Elle se marie demain et veut passer une nuit inoubliable avec son amant

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Entre la rencontre d’un soir, l’ex devenu un amant et l’homme de sa vie qui enfin se dĂ©cide Ă  appeler, AurĂ©lie a passĂ© une journĂ©e... trĂšs excitante.
Il ne faut pas dire : fontaine, je ne boirai pas de ton eau. On le sait, on l’oublie. Ça m’est arrivĂ© avec le jogging que je dĂ©testais et dont je ne peux plus me passer, et aussi, Ă  ma grande surprise, avec le fait de coucher avec plus d’un homme dans la mĂȘme journĂ©e. Trois, pour ĂȘtre prĂ©cise. Ce n’était pas un fantasme ni un dĂ©fi, c’est arrivĂ©, voilĂ ...
C’était l’annĂ©e derniĂšre, et j’avais en tĂȘte Fabio, un baryton italien beau comme un mannequin d’Armani que j’avais rencontrĂ© six mois plus tĂŽt. Le courant Ă©tait trĂšs bien passĂ© entre nous, nous nous Ă©crivions des mails de plus en plus roucoulants et, cette semaine-lĂ , il allait se trouver de nouveau Ă  Paris. Il m’avait dit que, dĂšs qu’il aurait cinq minutes, il m’appellerait. Donc, depuis mardi, jour de son arrivĂ©e, je m’étais greffĂ© le portable au poignet... pour rien. Ainsi, vendredi soir, je suis allĂ©e Ă  la crĂ©maillĂšre d’AdĂšle, en rogne mais prĂȘte Ă  m’amuser. Il avait encore tout le week-end pour m’appeler, Fabio, et sinon, je n’allais pas me morfondre sur mon canapĂ© en attendant un coup de fil qui pouvait venir ou pas.
J’ai dansĂ© comme une folle, bu plus que de raison et, quand je me suis rĂ©veillĂ©e, le lendemain, je n’étais pas dans mon lit, mais sur le Clic-Clac de... Il s’appelait comment, dĂ©jĂ  ? Horrible sensation de « tu t’es vue quand tu as bu » ! Ouf, ça m’est revenu : c’était LoĂŻc, un garçon mignon et drĂŽle qui avait dĂ©cidĂ© que j’étais le sosie de PenĂ©lope Cruz. Pas vrai, mais rien contre. Il m’avait proposĂ© de me raccompagner Ă  scooter, j’ai eu quand mĂȘme le bon sens de dire qu’il n’était pas en Ă©tat de conduire, qu’il faisait un froid de canard... Et comme il habitait tout prĂšs... Manque de prĂ©vision et donc de prĂ©servatif, nous ne sommes pas allĂ©s jusqu’au bout, et si, sur le coup, ça m’a frustrĂ©e, au rĂ©veil j’étais plutĂŽt soulagĂ©e d’en ĂȘtre restĂ©e aux caresses, certes trĂšs poussĂ©es, mais que des caresses en fin de compte. D’autant plus que, du haut de mes 27 ans, il me semblait terriblement jeune – il n’avait que 20 ans. Je l’ai embrassĂ© sur le front et j’ai filĂ© dans le froid. Il Ă©tait 11 heures et j’avais rendez-vous pour aller courir au bois de Vincennes avec Guy, rancard dont on avait convenu pour m’occuper l’esprit au cas oĂč Fabio n’appellerait pas.
Guy, c’est mon ex prĂ©fĂ©rĂ©. Depuis le temps qu’on se frĂ©quente, je pourrais dire que c’est mon meilleur ami, mais comme on couche rĂ©guliĂšrement ensemble quand les circonstances s’y prĂȘtent, je dis qu’il est mon meilleur amant. Nous avons toujours plein de choses Ă  nous dire, et les dĂ©tails qui m’énervaient quand on sortait ensemble – deux mois, il y a trois ans – me le rendent attachant : c’est une brĂȘle en informatique, je dĂ©panne son ordi ; il n’est jamais Ă  l’heure, je ne vais plus avec lui au ciné  De son cĂŽtĂ©, il a toujours le sourire et joue les preux chevaliers dĂšs qu’il peut, comme la fois oĂč j’ai vu une souris dans ma cuisine. Bref, on est cĂ©libataires ensemble. Quand je l’ai appelĂ© pour annuler le rendez-vous, il m’a proposĂ© de passer Ă  la maison avec son remĂšde miracle pour les lendemains de fĂȘte. Il le tient de son Erasmus Ă  Madrid : moitiĂ© biĂšre, moitiĂ© limonade, le tout trĂšs froid avec des anchois marinĂ©s au vinaigre.
J’en ignore les raisons scientifiques, mais ça marche. Ainsi, aprĂšs une longue douche et quelques « claras » – nom du pseudo-cocktail –, j’allais beaucoup mieux. Guy s’est dĂ©clarĂ© fier de ma fermetĂ© quant Ă  l’usage du prĂ©servatif, s’est dĂ©solĂ© du manque de goĂ»t Ă©vident de Fabio, et m’a proposĂ©, dans la foulĂ©e, de me faire un massage. D’abord, j’ai dĂ©clinĂ©, je sais comment se finissent les massages avec Guy, l’huile... ça finit toujours par glisser. J’avais dormi avec LoĂŻc, et mĂȘme si on n’avait pas fait l’amour, ça me semblait trĂšs bizarre, de passer comme ça, d’un homme Ă  l’autre dans la mĂȘme journĂ©e : je n’ai jamais fait « la tournĂ©e des plumards » comme dit François Cluzet Ă  Emmanuelle BĂ©art dans « L’Enfer » de Chabrol
 Je connais une fille qui vit dans ce qu’on appelle « un couple libre » : aussi bien elle que son compagnon vont voir ailleurs quand ils en ont envie, et elle raconte sans complexes qu’il lui est arrivĂ© de rentrer de chez un amant et de faire l’amour ensuite avec son « officiel ». Ça m’a toujours laissĂ©e perplexe car, mĂȘme si ma libido se porte plutĂŽt bien, je ne me suis jamais sentie attirĂ©e par les pratiques hors sentiers battus.
Mais ce jour lĂ , je devais avoir la croustille, comme dirait Fonelle, et, dans la langueur de la sieste, Guy n’a pas eu de mal Ă  me persuader qu’un aprĂšs-midi gourmand me ferait le plus grand bien. Il est trĂšs douĂ© pour les massages, j’aime beaucoup sa peau et on rit Ă©normĂ©ment au lit. Trois orgasmes plus tard, quand je me suis relevĂ©e pour faire du thĂ© Ă  la cannelle, j’ai consultĂ© mon portable par rĂ©flexe, sans plus vraiment espĂ©rer l’appel de Fabio. J’avais un message : « ho voglia rivederti » ! Il Ă©tait enfin libre, il voulait me voir. J’étais affolĂ©e, je me sentais coupable, embarrassĂ©e, j’avais l’impression qu’il allait deviner en me voyant Ă  quoi j’avais passĂ© la journĂ©e. Guy, aprĂšs avoir jouĂ© cinq minutes les amants jaloux, m’a remis les idĂ©es en place. « Ça fait six mois que tu ne me parles que de lui, tu ne vas pas faire de maniĂšres ! Tu ne lui dois aucune explication, tu as passĂ© un bon week-end avec tes amis, tu as une mine superbe. » Il m’a mis le tĂ©lĂ©phone dans la main : « Va le voir, chienne infidĂšle, et carpe diem ! »
J’ai donc donnĂ© rendez-vous Ă  Fabio devant l’OpĂ©ra. J’ai changĂ© quatre fois de tenue, Guy a insistĂ© pour que je mette une petite robe noire et des bottes Ă  talon mĂȘme s’il avait neigĂ©. J’étais trĂšs nerveuse, j’attendais ce moment depuis six mois. Et puis, si ça se trouvait, Fabio voulait juste passer une soirĂ©e avec moi plutĂŽt qu’à l’hĂŽtel ou avec ses collĂšgues de la troupe. D’ailleurs, et mĂȘme si nos Ă©changes avaient pris une tournure carrĂ©ment sexy, il se pouvait qu’en le revoyant il ne me plaise plus, ou inversement. Je me suis obligĂ©e Ă  me calmer : rien ne m’imposait de coucher avec lui. Qu’est-ce qu’on se met la pression avec ça, nous les filles, alors que souvent les garçons, en dĂ©pit de ce que nous pouvons penser, s’estiment dĂ©jĂ  heureux d’avoir rĂ©ussi Ă  dĂ©crocher un rendez-vous !
Fabio, en tout cas, avait l’air ravi de me voir. Il voulait que je lui montre le Paris des Parisiens, on s’est baladĂ© sous les Ă©clairages de NoĂ«l. Les vitrines des grands magasins, les marrons chauds, une coupe de champ’ au Lutetia... J’étais sous le charme de ses yeux verts et de sa voix de baryton. Il me plaisait Ă  mort, chaque fois qu’on se frĂŽlait – dĂ©solĂ©e du clichĂ© – on s’excusait trois fois, alors que notre langage corporel exprimait trĂšs clairement qu’on cherchait le contact et que de toute façon, entre son beau manteau et ma doudoune, cela n’avait rien d’intime ! Enfin, c’est lui qui a pris les devants et ma main pendant le dĂźner, et, en quittant le resto, sous prĂ©texte de me rĂ©chauffer, il m’a prise dans ses bras. J’étais confuse, un peu rĂ©ticente, mais, franchement, ses baisers ont vite chassĂ© mes scrupules. On a mis un temps fou Ă  arriver Ă  son hĂŽtel car on s’embrassait Ă  chaque coin de rue. Jamais je n’aurais cru qu’aprĂšs une journĂ©e pareille j’aurais une telle flambĂ©e de dĂ©sir, mais ce fut le cas. J’ai passĂ© une nuit inoubliable, un dimanche inoubliable.
Un an plus tard, on continue Ă  se voir quand il vient Ă  Paris, nous allons passer le jour de l’An Ă  Rome ensemble, et j’imagine qu’un de ces jours il va falloir dĂ©cider si nous sommes ensemble pour de bon. Mais je ne lui dirai jamais ce qui s’est passĂ© la veille de notre premiĂšre fois. D’ailleurs, Guy estime que je n’ai pas Ă  m’en faire : je n’ai pas couchĂ© avec LoĂŻc, avec lui, c’était samedi, et, comme avec Fabio c’était minuit passĂ©, finalement, cette journĂ©e Ă  trois hommes n’en Ă©tait pas une. C’est une façon de voir les choses, non ?
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Moins cher que le it bag, plus efficace que le Botox, il y a l’amant ! SĂ©lection du marchĂ©.
Pourquoi ça nous tente ? Parce que la gĂ©nĂ©ration Y, c’est l’avenir, nous a-t-on martelĂ©. Et que l’avenir, on veut y croire mĂȘme si l’industrie française se casse la figure, mĂȘme si l’économie mondiale est en berne et mĂȘme si le douloureux problĂšme de la fuite des capitaux Ă  l’étranger nous rĂ©veille la nuit. A ce stade-lĂ , prendre un amant de quinze ou vingt ans plus jeune que nous, c’est quasi un acte de patriotisme militant.
Qu’est-ce que ça va nous apporter ? Un coup de fouet aussi revigorant pour le teint que la lecture d’un ELLE SpĂ©cial Rajeunir ou que les principes actifs d’une crĂšme boostant l’énergie cellulaire. Bien sĂ»r, ça paraĂźt technique, tout comme l’appellation 2.0 qui peut faire peur aux rĂ©fractaires de la culture « Gangnam Style ». Disons que, en gros, ça consiste Ă  faire beaucoup l’amour, Ă  manger au KFC, Ă  dire « ctĂšv’ » (c’est ta vie) Ă  tout bout de champ et Ă  poster les vidĂ©os des mĂ©gaparties de « Harlem Shake » avec son « posse » sur YouTube. Autant dire, rien que de l’ultratentant.
Pourquoi ça nous tente ? Parce que le vintage, le second hand, le dĂ©jĂ -portĂ© signe toute l’élĂ©gance d’une garde-robe raffinĂ©e. Et parce qu’un amant aux tempes argentĂ©es ou au crĂąne aussi chauve qu’une boule de geisha fait ressortir, par contraste, notre fraĂźcheur et notre jeunesse. Attention toutefois Ă  ne pas emprunter les escaliers, sinon, notre fringant sexagĂ©naire se transformera vite en vieil Ă©pagneul soufflant et haletant.
Qu’est-ce que ça va nous apporter ? Du sexe vintage, pardi ! AprĂšs un scotch on the rocks dans sa garçonniĂšre 70’s aux canapĂ©s tout cuir, il s’enquerra, avec la voix grave de Jean-Pierre Marielle dans « On aura tout vu ! » (Georges Lautner, 1976) : « Clitoridienne ou vaginale ? » Puis il nous proposera, au choix, un 69, une cravate de notaire ou un tourniquet bulgare avec le sĂ©rieux de Richard Allan, dit « Queue de bĂ©ton », lĂ©gendaire acteur du X français des seventies. Si on arrive Ă  ne pas rire, ça peut ĂȘtre inoubliable.
Pourquoi ça nous tente ? Parce que l’amant casĂ© et tenu en laisse par une autre a du bon. Les fondations sont solides, le projet tient la route, reste Ă  apporter la touche dĂ©co finale, le brin de fantaisie, la cerise sur le gĂąteau et les soirĂ©es Ă©changistes. On peut tout se permettre, rien ne nous engage sur le long terme et, s’il lui prenait l’envie absurde de quitter sa femme, on peut toujours lancer une dĂ©nonciation anonyme groupĂ©e Ă  toute sa belle-famille.
Qu’est-ce que ça va nous apporter ? L’adultĂšre en souriant. Une recette dĂ©complexĂ©e et ultrahype, Ă  en croire les sites gleeden.com et vivre-son-infi delite.com. Soudain, la moindre situation du train-train quotidien ressemble Ă  un Ă©pisode de « Homeland ». Et on peut enfin tester toutes ces merveilleuses adresses de nouveaux hĂŽtels branchĂ©s qu’on avait dĂ©coupĂ©es au cas oĂč. Que du bonheur, on vous dit !
Pourquoi ça nous tente ? Parce qu’on a ratĂ©, question de gĂ©nĂ©ration, les piercings, le branding et les tatouages. Et que, si l’idĂ©e de se faire tatouer dans le dos un clair de lune en forĂȘt avec biches et ragondins nous traverse souvent l’esprit, la perspective de se faire appeler Amy Winehouse sur la plage cet Ă©tĂ© pour nos vacances en famille Ă  l’üle de RĂ© ne nous enchante qu’à moitiĂ©. Alors reste l’amant tatouĂ©, ou le tatouage par procuration.
Qu’est-ce que ça va nous apporter ? Un grand frisson en Technicolor. D’abord, parce que l’amant tatouĂ© entretient gĂ©nĂ©ralement sa musculature autant que ses tatouages – on voit rarement des mĂ©trosexuels fluets couverts de dragons crachant le feu –, ensuite parce qu’on ne s’ennuie jamais, puisque le paysage peut changer Ă  vue. Ah, la joie, comparable au dĂ©ballage des cadeaux de NoĂ«l quand nous Ă©tions enfant, de le dĂ©shabille
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