Elle s'abandonne à son plaisir et à sa passion

Elle s'abandonne à son plaisir et à sa passion




🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Elle s'abandonne à son plaisir et à sa passion

août 16, 2022 Paru le lundi 15 août 2022 à 19h01
Voir cette publication sur Instagram
Voir cette publication sur Instagram
Poster sur Facebook Tweeter sur Twitter Envoyer via Whatsapp
La star de la chanson s'apprête à quitter définitivement le devant de la scène. Vitaa sait le poids d'une telle décision mais semble en paix à l'idée de devenir une maman à temps plein.
Vitaa ne se présente plus, elle fait partie des artistes les plus en vogue de la scène musicale française actuelle . Passionnée par son métier, ses fans ne veulent pas croire qu’elle soit décidée à mettre un terme à sa carrière .
Pourtant, c’est bel et bien ce qu’elle affirmait. Vitaa souhaite se consacrer à sa famille et pour cela, elle serait prête à renoncer à sa carrière flamboyante. Carrière qu’elle a mis tant de temps à construire.
Dans la presse, l’information se répand. Et déjà des parallèles sont fait entre Vitaa et Diam’s. En effet, Diam’s était une immense star du rap avant de décider de mettre fin à sa carrière pour se consacrer à sa vie de famille. Or, elle et Vitaa étaient et sont encore de très grandes amies.
Le désespoir des fans de Vitaa est bien réel puisque l’annonce de sa retraite prochaine l’est tout autant. En effet, il faut croire que d’ avoir un troisième enfant a été un déclic pour la chanteuse . Elle souhaite changer de vie et se consacrer à sa famille pour ne pas manquer les moments importants.
Il est vrai qu’ une vie de star de la chanson est plutôt incompatible avec un rôle de mère . Vitaa voyage beaucoup, elle change de ville voire même de pays au gré des promotions, des concerts ou des émissions de télévision. Elle doit aussi faire beaucoup de sport, faire attention à son image et travailler évidemment ses nouveaux titres et ses prestations.
Tout ce temps qu’elle passe à construire sa carrière c’est autant de temps qu’elle ne passe pas auprès de ses enfants. Or, Vitaa aura 40 ans le 14 mars prochain . Un âge charnière et bien connu pour donner des envie de changements radicaux.
Effectivement, c’est à l’aube de ses 40 ans que Vitaa affirme que son prochain album sera le dernier . Elle a pris sa décision puisqu’elle en parle ouvertement. Sinon, ses propos pourraient être interprétés comme une habile façon de faire parler d’elle dans la presse.
« Mon prochain album sera certainement le dernier et je ne dis pas ça pour faire de la com. (…) Je suis une fille très simple. Quand je ne travaille pas, je reste chez moi avec mes enfants. Je ne traine pas dans les soirées. Je suis assez sauvage et je ne sais pas jusqu’à quand je ferai ce métier . » , disait-elle. Avant d’ajouter : « Je prends moins de plaisir à courir partout, à faire de la promo… J’ai une famille, j’avance en âge, et j’ai envie de voir mes enfants grandir . Je vais peut-être me faire plus rare . » , avait avoué Vitaa.
Doucement mais sûrement, Vitaa va donc disparaitre des radars jusqu’à se contenter d’être une mère dévouée . Mais saura-t-elle ignorer sa passion ? Ses fans ont en effet encore un petit espoir de la convaincre de ne pas abandonner sa carrière.
Julie Bourdin - Rédactrice web passionnée par la culture et par l’actualité. Je me fais un devoir de tenir mes lecteurs informés sur les dernières news.


Performance & security by Cloudflare


You can not access www.ellequebec.com. Refresh the page or contact the site owner to request access.
Copy and paste the Ray ID when you contact the site owner.

Ray ID:

73d5a8a05d948880


73d5a8a05d948880 Copy



Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Mesure d'audience , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal
Paramétrer les cookies Accepter et fermer


Se connecter







Rechercher sur le site











Partager sur facebook









Partager sur twitter









Partager sur pinterest

























Débriefer le sexe : comment oser en parler avec son partenaire - © kupicoo / iStock






Suivez-nous





Lien vers réseau social facebook








Lien vers réseau social twitter








Lien vers réseau social pinterest








Lien vers réseau social youtube








Lien vers réseau social instagram








Lien vers réseau social snapchat










Newsletter Psycho-Sexo
Je m'inscris


Contacts





Annonceurs




Abonnez-vous




La rédaction




Et depuis toujours, Elle s'efforce de vous proposer des articles de qualité, engagés et exclusifs. La publicité est un des moyens de nous soutenir. En acceptant ces cookies, vous nous permettez de maintenir cette exigence éditoriale.
Nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des données personnelles vous concernant comme celles liées à votre visite sur ce site. Nous pouvons également utiliser des traceurs exemptés du recueil du consentement pour le dépôt de cookies de mesure d’audience. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur 'Paramétrer' ou dans notre page 'Données personnelles et cookies' .
Les experts nous le répètent assez souvent : c’est en se parlant que l’on se comprend. On a beau le savoir, ce n’est pas toujours évident de mettre les mots sur ce que l’on veut en matière de sexe. On vous dit comment vous y prendre, concrètement. 
Que ce soit à cause de la peur du ridicule, ou de celle de choquer son·sa partenaire, dire clairement ce que l’on veut au lit peut s’avérer délicat. Quels mots ? Sur quel ton ? Et à quel moment ? Les sexologues s’accordent à dire qu’une bonne communication est la base pour s’épanouir sexuellement. Que les échanges aient lieu avec un·e inconnu·e ou un partenaire régulier, ils permettent de poser certaines limites, de faire travailler tout un imaginaire, et surtout de dire ce qu’on aime ou pas.  
Parler de sexe avec un date avant même d’avoir eu un rapport sexuel, cela peut sembler déplacé. Un tel dialogue permet pourtant de poser les bases, et d’évoquer sereinement les désirs et envies de chacun·e. « On a encore du mal à prendre la responsabilité de nos envies en termes de sexualité, et il y a beaucoup d’injonctions liées au sexe. On a l’impression que les choses doivent se faire toutes seules, et que tout doit être une évidence. On attend de l’autre qu’il devine ce que l’on aimerait, alors que ça doit absolument être exprimé », estime Gabrielle Adrian, sexothérapeute et fondatrice de MY.SEXO , une plateforme de conseils et téléconsultation.  
Une question demeure : après les échanges de politesse et de recos de séries Netflix, comment en vient-on à évoquer sa passion pour le missionnaire ou la pénétration par intermittence ? L’experte conseille d’aborder le sujet en posant des questions, pour ouvrir le débat de manière plus douce. « Le fait de se tourner vers l’autre permet souvent de se libérer soi-même. On peut demander “Tu en es où à ce niveau là ? Est-ce que tu as essayé de nouvelles choses ? Est-ce que certaines pratiques t’intéressent plus que d’autres ?” Il y a un tabou sur le fait de demander aux gens s’ils ont eu une expérience homosexuelle... pourquoi ne pas normaliser tout ça ? », encourage Gabrielle Adrian.  
Une conversation qui permet également d’aborder la question du consentement, qu’il s’agisse d’une première rencontre, ou pas. « Le fait de demander à l’autre s’il ou elle aime être touché·e à cet endroit, et être touché·e à cet endroit en particulier de telle ou telle manière, permet d’être très précis. Souvent, les gens ne le sont pas assez, et se contentent de dire “J’aimerais que ça soit plus doux”. Ce n’est pas suffisamment clair, il faut être très spécifique », préconise la sexologue. Au risque de casser un peu le mystère sensé entourer le sexe, et la découverte de l’autre ? « La communication n’a jamais enlevé l’imagination. Dire à un homme ou à une femme que je viens de rencontrer ce dont on a fait l’expérience et ce que l’on aimerait expérimenter exacerbe l’imaginaire et ouvre une fenêtre de fantasmes. Le mythe de l’autre peut tout aussi bien être cassé quand on se retrouve l’un à côté de l’autre avec un trouble érectile, ou que l’alchimie n’est pas au rendez-vous. C’est alors difficile à gérer car on avait imaginé que ça serait génial, et ça ne l’est pas », assure-t-elle.  
Comment gérer un·e partenaire maladroit·e, une position inconfortable, ou un rythme beaucoup trop saccadé qui ne nous permettra jamais de prendre du plaisir ? Si le langage corporel peut parfois faire des miracles, il est souvent nécessaire d’exprimer les choses clairement pour plus de satisfaction. « C’est excitant et sexy d’inclure la parole dans un acte sexuel. Le fait d’activer sa voix, et d’exprimer ses désirs, c’est déjà prendre une partie de son plaisir, et on est ensuite plus à même de le recevoir », préconise Gabrielle Adrian.  
Pour commencer, elle encourage à décrire comment on se sent, par des phrases simples comme « je suis très excité·e », ou « j’aime quand tu me touches comme ça », en jouant avec le ton de la voix. « On chuchote à son oreille, on prend une voix coquine, sexy, ou autoritaire... Il n’y a pas que les mots, mais aussi l’intonation », encourage la sexologue. Si l’on cherche au contraire à exprimer quelque chose qui ne nous plaît pas, l’experte recommande pour cela de faire une pause, pour prendre son temps et repartir sur de meilleures bases. « C’est une manière douce pour exprimer que l’on n’aime pas quelque chose. Ça met un stop, mais qui n’est pas violent, et qui permet de partager un moment d’intimité. On est nu·es, proches… c’est le bon moment pour dire qu’on ne s’est pas senti très à l’aise à tel moment. Beaucoup de personnes ont peur de vexer l’autre et préfèrent donc ne pas s’exprimer, mais cela crée des frustrations gigantesques », regrette Gabrielle Adrian. Une interruption offre l’occasion de montrer à l’autre ce que l’on préfère, ou de dire clairement quelle caresse nous plaît, et à quel rythme. « Je n’hésite pas, quand je sens que je sors du moment parce que ça me plaît moins, à faire une pause pour évoquer un souvenir, ou lui expliquer de quelle manière je préférerais qu’il me touche : “Tu te rappelles, quand tu on avait testé ça…” J’en profite en général pour lui demander ce dont lui a envie. Les bases sont ensuite saines, et surtout propices pour passer un bon moment », confie Laetitia, 31 ans.  
S’il est loin d’être obligatoire, le « pillow talk » (conversation sur l’oreiller en anglais) est bien souvent synonyme de révélations, petites ou grosses. On prend ainsi le temps, en toute décontraction, de partager avec l’autre son ressenti et ses émotions, dans un instant hors du temps. « C’est un moment de douceur, on se prend dans les bras, on va chercher un verre d’eau, on prend une douche, on s’endort, on discute, on se fait des câlins. Quoi qu’il arrive, il y a du partage, et on prend soin l’un·e de l’autre, dans l’intimité : c’est ce que l’on appelle l’"after care" », détaille Gabrielle Adrian.  
Selon elle, il est sain de « normaliser le fait de parler après un rapport sexuel, notamment parce que les corps ont engendré beaucoup d’ocytocine, qui vient renforcer l’intimité et favoriser la connexion ». Si l’on ne se sent pas le courage d’aborder tout de go le cunnilingus du début du rapport, on peut évoquer « la gratitude que l’on ressent, le moment agréable que l’on vient de passer, ou encore dire ce que l’on a moins aimé, sans accusation ni reproche ». Pour éviter tout blocage ou vexation, la conversation doit rester « légère et ludique », et avoir lieu assez rapidement. « Plus on attend, moins on ressent les choses qui se sont passées et on va avoir tendance à minimiser ou maximiser des choses », prévient Gabrielle Adrian. « Ce ne sont pas des échanges systématiques, et ils ne durent pas des heures. Mais c’est sympa, de temps en temps, de parler de cul avec ton mec presque comme tu en parles à tes copines. Ça dédramatise, et c’est un espace où chacun se sent libre de dire ce dont il ou elle a envie, en toute sécurité, sans jugement », conclut Laetitia.  
Hors du lit également, il est possible d’instaurer un dialogue concret et novateur sur sa vie sexuelle. Là encore, si le sujet semble difficile à aborder, voire tabou, la technique du questionnement est d’une aide précieuse. « C’est plus compliqué de dire frontalement “J’aimerais que tu me fasses un cunnilungus, mais différemment des autres fois, parce que c’était pas fou”. Le but des questions est d’ouvrir le sujet, en demandant par exemple “Y a-t-il des situations ou des scénarios que tu as vus dans des films, ou lus dans des livres qui t’excitent et que tu aimerais réaliser ?” Le fait de passer par l’extérieur du couple normalise le sujet, d’autant que les scènes de sexe sont de plus en plus présentes dans les films et les séries mainstream. On n’a ainsi pas l’impression de se mouiller, mais ça peut donner des clés, et permettre de dire à son tour ce qui a pu nous exciter », explique Gabrielle Adrian. « Mon compagnon est devenu expert en caresses et cunnilingus en regardant des tutos, ou en consultant le site “ OMG Yes ”. Un jour, après trois ans de relation, j’ai enfin osé lui dire que j’aimais bien la façon dont il me touchait, mais que ce n’était pas de cette manière que j’atteignais l’orgasme. Il a alors tout fait pour mieux explorer mon corps, et donc me faire plaisir. Ça a marché ! », raconte Laetitia.  
Pour Gabrielle Adrian, il est primordial de se sentir libre de parler de sexe avant de (re)passer à l’acte, surtout dans le cadre d’un couple installé depuis longtemps, au sein duquel les partenaires n’osent pas dire les choses. « Dans la sexualité, il y a une part d’égo, c’est une partie de nous qui nous rend très vulnérables. Même les personnes qui ont confiance en elles se demandent si elles ont bien fait les choses. Le fait de parler pendant l’acte de quelque chose qui nous déplaît peut casser la dynamique du moment, mais aussi la dynamique du couple, car l’autre peut se sentir trahi. Je recommande donc d’aborder les choses avant, en achetant des livres comme “Jouissance Club”*, ou “Sexplorer”**, ou de s’aider en parlant d’un article, ou d’une discussion échangée avec des ami·es », illustre la sexothérapeute. Dès lors, on peut évoquer ses fantasmes, demander à l’autre de nous montrer de quelle manière on a envie d’être touché·e, ou encore de quelle manière il·elle a envie qu’on lui montre qu’on a envie d’elle·lui.  
Suggestions de questions et affirmations, pour mieux communiquer avant, pendant, et après le sexe, par Gabrielle Adrian : 
Y a-t-il des situations ou des scénarios qui t’excitent et que tu aimerais réaliser ? 
Comment souhaiterais-tu que je te montre que j’ai envie de toi ? 
Où et comment aimes-tu que je te touche ? 
Quel est ton moment favori pour faire l’amour et pourquoi ? 
Est-ce que tu préfères faire l'amour dans le lit ou ailleurs ? 
Aimerais-tu que l'on fasse l'amour sous la douche la prochaine fois ?  
Est-ce que tu aimes quand je te touche de cette manière ? 
Est-ce que je peux te lécher ici ? 
Est-ce que tu veux que j’aille plus doucement ou plus rapidement ? 
Dis-moi ce qui te ferait plaisir. 
Est-ce que tu souhaites faire une pause ? 
Est-ce qu’il y a des choses que tu aimes, et que tu aimerais que je te fasse ? 
Est-ce que tu pourrais me toucher plus doucement / lentement / fort / de telle manière ? Je peux te montrer. 
J'aime sentir ton souffle dans mon cou. 
J'aime quand tu me regardes / quand tu m'embrasses. 
J'ai envie de me mettre sur toi / devant / derrière / au-dessus. 
J'ai envie de voir tes seins / tes fesses. 
Viens dans mes bras, j'ai envie de te sentir contre moi. 
J'ai aimé ce que tu m'as fait à tel moment. 
J'ai ressenti telle ou telle chose pendant l'orgasme. 
Quand tu me fais des compliments en faisant l'amour, ça me rend fou / folle ! 
La prochaine fois, c'est sur le bureau ! 
J'aime tellement te donner du plaisir (à dire avant, pendant et après...)  
Est-ce qu’il y a quelque chose que tu aimerais essayer ? 
Qu’est-ce que nous pourrions faire pour améliorer notre vie sexuelle ? 
Est-ce que tu as vu ce film ? Il y a dedans une scène de sexe qui m'excite beaucoup. 
J'ai parlé de BDSM avec une amie... est-ce que c'est quelque chose qui te plairait ? 
J'ai vu tel documentaire, j'ai lu tel livre, je pourrais te lire un passage ? Je crois que ça me donne envie... 
* « Jouissance Club », de Jüne Plã, aux éditions Marabout. 
** « Sexplorer », de Masha Sexplique, aux éditions Mango. 
Comment enfin lâcher prise au lit : 7 pistes pour s’abandonner au plaisir
Fossé orgasmique : les femmes jouissent toujours beaucoup moins que les hommes
Nouveaux plaisirs : la pénétration immobile pour atteindre l'état orgasmique
Erotophobes : pourquoi sont-ils terrifiés en entendant parler de sexe ?
5 techniques jouissives pour utiliser ses seins pendant l’amour
Intuition : 6 conseils pour booster son sixième sens
Comprendre les paralysies du sommeil : « J’allais au lit en ayant peur »
5 positions sexuelles pour une pénétration jouissive
Le Kama-Sutra de la semaine : 7 positions pour faire grimper la température
Le Kama-sutra de la semaine : 7 positions célestes pour faire l’amour sous les étoiles
Julien, divorcé sur les applis de rencontres : « Je me suis pris la réalité en pleine gueule »
Mon histoire d’amour impossible : « J’étais amoureuse de l’ex-fiancé de ma meilleure amie »
Le Kama-sutra de
Couples blanc et black échange de partenaires
Une pute britannique qui mouille
Une fille sexy qui aime les grosses queues

Report Page