Elle séduit le photographe

Elle séduit le photographe




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Elle séduit le photographe
Incendies, restrictions d'eau : une sécheresse d'ampleur
Canicule : la France face à une nouvelle vague de chaleur
Qui était David Hamilton, le photographe que Flavie Flament accuse de l'avoir violée à l 'âge de 13 ans ?
Personnalisez votre expérience TF1 Info et créez votre JT rien que pour vous.
Police, justice et faits divers Rodéos urbains, un phénomène hors de contrôle
Police, justice et faits divers Accusé de plusieurs viols en Angleterre, le footballeur Benjamin Mendy face à la justice
International Le domicile de Donald Trump perquisitionné, des documents "top secret" saisis
International L'écrivain Salman Rushdie poignardé à New York
Environnement Opération sauvetage pour un béluga coincé dans la Seine
C'est l'histoire d'une adaptation pas tout à fait comme les autres. Diffusée ce soir sur France 3, La Consolation met en images le livre témoignage de l'animatrice Flavie Flament, paru le 19 octobre 2016 aux éditions JC Lattès. Un ouvrage dans lequel elle révélait avoir été violée par un célèbre photographe, sans le nommer, à l'âge de 13 ans. L'occasion d'une interview émouvante - et glaçante - accordée le 16 octobre au journaliste Thierry Demaizière dans le cadre de l'émission "Sept à huit", sur TF1.
"J’avais des flashs d’images précises, que j’étais incapable de relier à quoi que ce soit (…) Une terreur qui ne me quittait pas le ventre. A bout de course, je suis allée voir un psychiatre qui m’a parlé de la mémoire traumatique", raconte-t-elle. Un jour, une photo tombe d’un album de famille et tout lui revient. "C’était comme un message que m’envoyait Poupette, la petite fille que j’étais. Je me suis vue, j’ai pris la photo et j’ai compris. J’ai murmuré : 'J’ai été violée à cet âge-là, à l’âge de 13 ans'", détaille l'animatrice.
Dans la foulée de la diffusion de cet entretien, d'autres femmes vont témoigner dans la presse, sous pseudonyme, et affirmer avoir subi le même sort de la part du photographe, pendant leur adolescence. C'est le 22 octobre sur le plateau de "Salut les Terriens!", l'émission de Thierry Ardisson sur C8, que le nom de David Hamilton sera prononcé en premier dans cette affaire.
"Je ne peux pas donner son nom car j'ai aujourd'hui 42 ans et j'avais, selon la loi française, jusqu'à l'âge de 38 ans pour pouvoir me retourner contre mon bourreau", expliquera durant l'enregistrement Flavie Flament à l'animateur. "Je ne peux pas le faire aujourd'hui parce que je suis non seulement victime, mais je pourrais être en plus accusée de diffamation." C'est alors que l'homme en noir propose de le faire à sa place, dans une séquence "bipée" au montage... 
Il n'en faut pas plus pour que le nom du photographe s'étale sur les réseaux sociaux et dans les médias traditionnels. Après avoir nié ces accusations, et annoncé son intention de porter plainte pour diffamation , David Hamilton sera retrouvé mort, un sac en plastique sur sa tête, dans son appartement du boulevard Montparnasse, le 25 novembre 2016. D'après les enquêteurs, il se serait donné la mort par asphyxie. Il avait 83 ans.
Avant ce scandale, la carrière de David Hamilton a surtout été marquée par une oeuvre prolifique au succès mondial. Né à Londres en 1933, il travaille après la guerre pour un bureau d’architecte, puis déménage à Paris après s’être fait repérer par l’artiste Peter Knapp qui le fait entrer au magazine Elle . C’est à la fin des années 1960, après diverses expériences en tant que directeur artistique pour des magazines ou encore pour les grands magasins du Printemps, que sa carrière artistique décolle.
Il entame à 33 ans son activité de photographe professionnel. Son sujet de prédilection est tout trouvé : les (très) jeunes femmes. Dès lors, il capture toujours dans un style très onirique et aérien des adolescentes empruntant des poses lascives et très souvent dénudées. Le photographe déclarait sans gêne, en mai 2015 au quotidien Le Temps , “les femmes, ce n’est pas mon rayon. Je préfère les jeunes filles, 16 ans maximum”. 
Autre caractéristique de ses clichés, un flou artistique presque permanent dessinant un univers "cotonneux", semblant provenir d'une époque ancienne. Si son travail a séduit, il également provoqué certaines controverses. Beaucoup décrivent son esthétique comme une forme de pornographie infantile. Le photographe y répondait, jugeant toujours au Temps , que "de toute façon, tout est tabouisé. La nudité n’est plus acceptée".
Son style très remarqué va néanmoins lui permettre de travailler pour différents magazines internationaux. Durant sa carrière, il publiera une quinzaine d’ouvrages de photographies, réalisera cinq films et exposera ses clichés dans le monde entier. 
A l'annonce de sa mort, Flavie Flament exprimera sa colère dans les colonnes de Paris Match . "S'il avait eu des remords ou des regrets, il aurait demandé pardon", dira la journaliste, pour qui le suicide du photographe est une forme d'aveu, alors que plusieurs victimes avaient exprimé leur intention de porter plainte contre lui. "En se donnant la mort, il est venu saccager une nouvelle fois les espoirs de ces gamines", ajoutera celle qui, par la suite, se verra confier une mission sur le délai de prescription des viols sur mineurs.

Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Mesure d'audience , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal
Paramétrer les cookies Accepter et fermer


Se connecter







Rechercher sur le site











Partager sur facebook









Partager sur twitter









Partager sur pinterest









Suivez-nous





Lien vers réseau social facebook








Lien vers réseau social twitter








Lien vers réseau social pinterest








Lien vers réseau social youtube








Lien vers réseau social instagram








Lien vers réseau social snapchat










Newsletter Société & Débats
Je m'inscris


Contacts





Annonceurs




Abonnez-vous




La rédaction




Et depuis toujours, Elle s'efforce de vous proposer des articles de qualité, engagés et exclusifs. La publicité est un des moyens de nous soutenir. En acceptant ces cookies, vous nous permettez de maintenir cette exigence éditoriale.
Nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des données personnelles vous concernant comme celles liées à votre visite sur ce site. Nous pouvons également utiliser des traceurs exemptés du recueil du consentement pour le dépôt de cookies de mesure d’audience. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur 'Paramétrer' ou dans notre page 'Données personnelles et cookies' .
Ses clichés refont surface sur le Web et séduisent une fois de plus les internautes. Le photographe anglais James Mollison a photographié des enfants dans leur chambre partout dans le monde. Son livre « Where Children Sleep », publié en novembre 2010, rappelle de façon éloquente combien les enfants n’ont pas accès aux mêmes chances, selon l’endroit où ils naissent. « Il m'a semblé que la meilleure façon de se rendre compte des situations complexes et sociales de ces enfants à travers le monde était de regarder les chambres dans lesquelles ils vivent », expliquait James Mollison dans son ouvrage.
Dans un article publié en avril 2014, le photographe détaillait au « Daily Mail » le quotidien des enfants rencontrés. Lamine, un petit Sénégalais de 12 ans, partage ainsi une chambre avec plusieurs autres garçons. Leurs lits ont des briques en guise de pieds. Chaque matin, il commence à travailler sur la ferme-école, où il apprend à creuser, récolter le maïs et labourer les champs en utilisant des ânes. A plusieurs milliers de kilomètres de là, Joey, un jeune Américain de 11 ans, possède une chambre avec tout le confort nécessaire. Il y expose deux fusils de chasse et une arbalète. Quand il n’est pas à la chasse, Joey va à l’école et aime regarder la télévision avec son lézard Lilly sur ses genoux. Etre né quelque part…
Il photographie ses filles dans des mises en scène délirantes pour leur grand-mère malade
Le selfie de leur baiser devant un député homophobe fait le buzz
Curves : le livre de photos qui célèbre le corps féminin
Elles posent face à un miroir pour dégommer leurs complexes
Comment gagner du temps le matin : vos astuces
« Je serais incapable de dire à quand remonte notre dernière fois » : ces couples qui ne font plus l’amour
« Mouth taping » : mettre du scotch sur sa bouche pour mieux dormir, la tendance TikTok qui inquiète
Sécheresse en France : 6 destinations touristiques méconnaissables
Un enfant amputé d'une partie de sa jambe après une attaque de requin en Floride
« Je crois qu’elle prenait plaisir à me voir souffrir » : quand l’amitié devient toxique
Elles ont tout quitté pour devenir coach : un phénomène qui séduit de plus en plus de femmes
« C’est effrayant de ne pas avoir de droits dans sa propre ville… » : Maria raconte l’occupation russe en Ukraine
Covid-19 : une nouvelle vague de contaminations attendue à la rentrée
États-Unis : en Floride une orpheline de 16 ans jugée « pas assez mature » pour avorter
L'édito de ELLE : « Ce que nos essentiels disent de nous »
Écosse : colère après la nomination d'un homme pour promouvoir la gratuité des protections hygiéniques
De la lavande écolo ? Rencontre avec les paysans de demain
Voici quelle position prendre pour avaler un médicament afin qu’il soit plus efficace

Avec votre accord, nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre politique de confidentialité sur ce site.
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Analyser activement les caractéristiques du terminal pour l’identification , Créer un profil personnalisé de publicités , Créer un profil pour afficher un contenu personnalisé , Développer et améliorer les produits , Exploiter des études de marché afin de générer des données d’audience , Mesurer la performance des publicités , Mesurer la performance du contenu , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal , Sélectionner des publicités personnalisées , Sélectionner des publicités standard , Sélectionner du contenu personnalisé , Utiliser des données de géolocalisation précises
En savoir plus → Refuser Accepter & Fermer

La photographe Marie Rouge dégenre dans la douceur


L’actrice Anne Heche meurt à l'âge de 53 ans


Abonné
Livres


Abonné
Cinéma

Accédez à l’intégralité des Inrockuptibles
Publié le 4 septembre 2017 à 0h00 Mis à jour
le 4 septembre 2017 à 0h00

Quand elle n’écume pas les soirées lesbiennes ou les prides, la photographe Marie Rouge met en scène avec une subtile délicatesse ceux et celles qui troublent les codes du féminin et du masculin.
Mâchoire saillante ou bouille lunaire, le regard rêveur ou défiant, les visages qui passent devant l’objectif de Marie Rouge ont du caractère. “ De la gueule ”, comme se plaît à dire cette photographe de 25 ans, qui tire le portrait d’une jeunesse queer et de ses nuits. “ J’aime photographier les gens qu’on ne voit pas souvent, ceux qui ont des traits atypiques, des visages forts, marqués ”, résume-t-elle. 
Marie Rouge a grandi dans la campagne normande. Avec l’appareil de son père, elle s’exerce sur les papillons et met en scène son chien. Ado, elle devient son propre sujet et publie des autoportraits sur son Skyblog. “ Ça m’a aidée à prendre confiance en moi, à apprivoiser mon image .” Plus tard, elle commence à photographier ses amis. Un déclic. “ J’ai compris que ce qui me plaisait n’était pas de me photographier moi, mais de faire des rencontres .” Après un an aux Beaux-Arts de Rennes, elle suit sa petite amie de l’époque à Montpellier où elle tente une fac d’arts plastiques. Elle passera finalement plus de temps à poser pour des photographes que sur les bancs de l’université. Cette expérience la marquera dans sa façon d’envisager la relation au modèle: “ J’y accorde de l’importance, car je veux en tirer quelque chose d’intime, de sensible. J’ai envie que ce soit thérapeutique pour la personne, comme ça a dû l’être pour moi .” Suite à ce passage dans le sud, elle arrive à Paris, fait une formation professionnelle, enchaîne les expériences de photographe et de retoucheuse, avant de se lancer en 2017 comme freelance, jonglant désormais entre ses portraits, ses reportages pour la presse ou encore ses portfolios de soirées, notamment les fameuses Wet For Me, organisées par le collectif lesbien Barbi(e)turix .
À travers un univers onirique et coloré, Marie Rouge s’attache à défaire les a priori sur le genre, sur ce que doit être une femme ou un homme. Pour elle, une photo réussie est une photo qui trouble et questionne. “ J’ai envie qu’il se passe un truc bizarre, qu’on se demande ‘ qui est cette personne? pourquoi elle est comme ça?’” Ces visages, elle les trouve dans son entourage. “ Pour des personnes hétéros, extérieures au milieu queer, mon travail surprend. Elles n’ont souvent jamais vu ce genre de personnes. ” Elle reconnaît qu’il y a une approche quasi documentaire dans ses photos de soirées. “ J’aime cette idée de capter l’effervescence d’une communauté. J’aimerais bien que dans 20 ans, on se dise ‘alors ça ressemblait à ça les soirées queer à l’époque’.”
“ On vit dans un monde tellement dur, on ne peut pas se faire un peu plaisir avec un petit selfie? ”
Capter les corps, les visages, cela a pour elle une portée politique: “ On a besoin de se représenter pour que les gens sachent qu’on existe. Pour ça et aussi pour les jeunes LGBTQ qui vont se découvrir. ” Il y a aussi un esprit féministe assumé dans les photos de Marie Rouge, qui va de pair avec le besoin de se réapproprier son image dans une société qui pousse au dénigrement de soi. “ Je suis exaspérée par les critiques sur le selfie . Ça a l’air frivole mais au contraire, je crois que c’est très politique d’avoir le pouvoir sur ce qu’on renvoie, de se sentir beau ou belle. ” Convaincue que se réconcilier avec son image ne peut qu’apporter un changement positif, elle a en horreur le cynisme. “ Quel est l’intérêt de critiquer des initiatives qui peuvent être positives ? On vit dans un monde tellement dur, on ne peut pas se faire un peu plaisir avec un petit selfie? ”
La bienveillance avec laquelle Marie Rouge sublime ses modèles confère une grande douceur à ses images. Cette délicatesse, elle la porte aussi avec conviction; ce qui ne l’empêche pas d’être agacée en voyant cette caractéristique constamment accolée aux femmes photographes: “ Ça me dérange quand on suggère que les femmes photographes ont forcément des visions douces et délicates .” Elle prend en exemple le travail de son amie Romy Alizée : “ Ce qu’elle fait n’a rien de doux, et c’est pourtant une vision de femme. ” Des artistes l’ont d’ailleurs marquée dans leur manière de dépeindre les femmes fortes, comme l’auteure Wendy Delorme, la réalisatrice Émilie Jouvet et son documentaire Too Much Pussy! , ou encore la romancière Joyce Carol Oates .
Dans ses références, Marie Rouge cite les freaks de Diane Arbus , l’approche des couleurs de Viviane Sassen , mais aussi le cinéma de John Waters et son esthétique camp ( Ndlr: une sous-culture gay ), les films de Gregg Araki . Une “gueule” dont elle aimerait tirer le portrait? Virginie Despentes , sans hésitation. “ Je l’admire énormément, c’est une icône de notre génération. Il y a une justesse dans ses propos. Elle ne minaude pas, elle y va direct .” Une spontanéité qui séduit forcément cette photographe instinctive, toujours en quête de visages singuliers.
Je veux enregistrer ce contenu pour le lire plus tard
Je n'ai pas encore de compte pour alimenter ma bibliothèque

Avec votre accord, nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre politique de confidentialité sur ce site.
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Analyser activement les caractéristiques du terminal pour l’identification , Créer un profil personnalisé de publicités , Créer un profil pour afficher un contenu personnalisé , Développer et améliorer les produits , Exploiter des études de marché afin de générer des données d’audience , Mesurer la performance des publicités , Mesurer la performance du contenu , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal , Sélectionner des publicités personnalisées , Sélectionner des publicités standard , Sélectionner du contenu personnalisé , Utiliser des données de géolocalisation précises
En savoir plus → Refuser Accepter & Fermer

L’actrice Anne Heche meurt à l'âge de 53 ans


Abonné
Livres


Abonné
Cinéma

Accédez à l’intégralité des Inrockuptibles
Publié le 5 décembre 2017 à 15h41 Mis à jour
le 16 mars 2021 à 0h52

Natures mortes sophistiquées, séries mode pleines d’espr
Jeune amatrice fait son premier anal
Lionne blanche baise un black
Un super spectacle gangbang

Report Page