Elle reçoit des fessées et se faire punir par sa maitresse

Elle reçoit des fessées et se faire punir par sa maitresse




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Elle reçoit des fessées et se faire punir par sa maitresse

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La femme soumise voulait porter une tenue très sexy mais elle va se faire punir par sa dominatrice qui l'attache et l'asperge d'eau glacée. Les seins ligotés la soumise reçoit des coups de fouet et elle ne peut même pas crier car elle a un bâillon boule en bouche. Sa dominatrice lui donne une bonne fessée et continue de l'asperger d'eau gelée. Avec des pinces à linges accrochées aux lèvres de sa chatte la soumise se fait titiller son clitoris et elle prend son pied. Pour l'humilier totalement la dominatrice la plonge dans un grand bac d'eau pour lui faire connaître la sensation de noyade.

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Afin d'éradiquer leurs désobéissances, négligences et comportements irresponsables, certains garçons et filles, surtout quand ils sont devenus grands, ont besoin de recevoir une sérieuse fessée déculottée. On n'est jamais trop âgé pour recevoir une bonne fessée et en tirer bénéfice. JLG
 Fini ? Non, pas tout à fait ! Ne croyez pas que je vais reprendre mes publications régulières. Ce sera beaucoup plus épisodiques. Je ne veux pas me relancer dans une course à la publication, seule solution pour le blog acquière de plus en plus d'audience.
L'occasion fait le larron. J'ai publié, sur un forum ( Quora ) un article en réponse à une question posée par une personne que je ne connais pas. J'ai repris cette question en titre de mon article. Cela concerne la fessée, vous vous en doutez, bien que ce soit un forum généraliste dont les sujets couvrent un champ beaucoup plus large. Le contenu décrit précisément la nature de la relation que j'ai construite avec ma compagne.
Bonne lecture et j'attends vos avis, commentaires et témoignages. S'il en est qui sont suffisamment longs, je les publierai sous forme d'articles.
Permettez-moi de reformuler légèrement la
question : "qui, alors qu'il est adulte, reçoit la fessée en
guise de punition ?" Je crois qu'ainsi, elle est plus facilement
compréhensible et qu'il sera plus facile d'y répondre. Mais peut
être faudrait-il la compléter par l'autre volet de la question :
"qui administre la fessée à un autre adulte quand il a mérité
d'être puni ?" Tout le spectre de la problématique serait
alors couvert.
Je ne sais pas si cette question, jusqu'alors
restée sans réponse, a été postée sur ce forum depuis longtemps.
Je ne sais pas s'il est habituel, sur Quora, que des questions
restent longtemps sans réponse. Je ne sais pas s'il y a beaucoup de
personnes susceptibles de répondre positivement à cette question ou
sont en capacité de l'alimenter, mais je ne sais pas non plus si
ceux qui pourrait témoigner osent le faire ou adoptent plutôt un
profil bas.
Sans doute ne se vante-t-on pas trop, quand on est
adulte, d'être réellement puni quand on l'a mérité et encore
moins de recevoir la fessée quand on est puni. Même les enfants
n'en parlent que rarement. C'est d'autant plus difficile quand on
grandit et qu'on est censé s'assumer soi-même, de savoir qu'une
autre personne doit nous prendre en main fermement et qu'on a besoin
de recevoir la fessée pour rester dans le droit chemin. C'est
assurément infantilisant, le statut social d'adulte est remis en
cause. Il est donc bien plus difficile que cette situation soit
connue par d'autres adultes. C'est effectivement embarrassant de
croiser ensuite quotidiennement leur regard tout en conservant
l'apparence d'être un adulte. C'est assurément également compliqué
pour eux, après avoir assisté à l'administration d'une correction
en leur présence, de voir autre chose que celui qui a eu besoin
d'une bonne fessée déculottée devant eux en raison de son
inconséquence, et non un égal, un adulte responsable. Ne serait-il
alors pas raisonnable que la fessée soit également administrée de
leur main quand elle est nécessaire alors qu'ils sont seuls présents
? Le risque, pour la personne pour qui la fessée est de rigueur, que
soit franchi le pas entre recevoir la fessée devant témoins et voir
ces personnes autorisées à le corriger elle-même, est bien réel.
Recevoir la fessée déculottée quand on est puni ne peut donc
rester qu'une réalité partagée avec très peu de personnes. Ce
n'est pas le genre de chose qu'on raconte au détour d'une
conversation anodine autour d'un verre entre amis. Il n'est pas plus
habituel qu'une personne explique publiquement qu'elle déculotte et
fesse un autre adulte quand il a mérité une punition. Cela reste
donc le plus souvent au sein du cadre familial stricte ou du cercle
restreint des intimes. Cela ne fait pas partie des représentations
sociales communément admises. C'est cantonné du côté des
pratiques sexuelles plus ou moins sulfureuses, s'apparentant à un
jeu entre personnes consentantes.
Et pourtant, rien de tel, surtout avec un adulte
récalcitrant, qu'une bonne fessée pour le recadrer, permettant
ainsi de résoudre bon nombre de problèmes rencontrés
quotidiennement, même si, l'âge avançant, on est censé ne plus en
avoir besoin, ce qui est, bien sûr, une illusion. Ce n'est,
évidemment, pas une question d'âge, mais plutôt de capacité à
s'autodiscipliner et les adultes sont très inégaux face à cette
nécessité sociale. Certains, plus nombreux qu'une première
approche le laisserait penser, ont grand besoin d'être cadrés et
fermement tenus en main par une autre personne, figure d'autorité.
Certains ne l'acceptent pas, pour leur plus grand dommage. Cela donne
souvent des adultes inadaptés à une relation sociale apaisée avec
les autres. Beaucoup cherchent la bonne personne qui pourrait
construire et leur imposer les repères nécessaires et les limites à
ne pas franchir. Qui d'autre qu'une personne avec qui la confiance
est totale et l'autorité certaine pour le faire ? Deux
caractéristiques que peuvent cumuler une compagne ou un compagnon,
un parent plus ou moins proche, un ou une amie, voire même une
voisine ou un voisin. Comment le faire avec plus de pertinence
qu'avec une bonne fessée déculottée au moment où elle est méritée
? Le message est alors on ne peut plus clair.
C'est ce qui m'arrive depuis quelques années,
pour mon plus grand bénéfice, mais jamais pour mon plus grand
plaisir. Il faut rappeler à tout le monde qu'une réelle fessée,
quand on la reçoit, ça ne fait pas du bien si elle est donnée avec
la vigueur nécessaire, même quand ce n'est que la main nue qui
officie. Le fessier ne peut alors pas retrouver sa couleur d'origine
avant plusieurs minutes. Il arrive qu'on en ressente la démangeaison
pendant de longs moments, ce qui est souvent nécessaire afin que le
souvenir de la punition et de ce qui l'a provoquée ne s'estompent
pas trop vite. C'est l'effet recherché. A long terme, les bénéfices
sont patents. Une fessée méritée, administrée au bon moment,
oblige indubitablement celui qui a besoin de cette aide pour prendre
conscience du comportement inadapté qu'il vient d'avoir, à le
modifier, étant certain d'en recevoir, qu'il soit d'accord ou non,
une autre correction, tout aussi cuisante voire plus, à la première
récidive.
La prise de conscience, sans échappatoire
possible, du constat fait par son entourage de ne pas être assez mûr
pour se discipliner soi-même malgré son âge, obligeant une autre
personne à s'en charger ; la honte de sentir sa culotte glisser le
long de ses cuisses, faisant fi de sa pudeur d'adulte, renforcée
quand c'est dans un lieu public ou en présence de témoins qui, eux,
conservent une tenue normale pour un adulte ; la cuisson ressentie
sur les fesses dès le début de la fessée et qui ne fera que se
renforcer durant toute la correction ; et naturellement
l'introspection forcée lors d'une longue mise au coin pendant que la
vie continue dans son dos, donnant l'impression d'y être oublié…
autant de facteurs qui invitent à prendre de nouvelles et fermes
résolutions afin d'éviter une nouvelle et cuisante déconvenue.
Bien sûr il faut de nombreuses fessées pour y arriver, mais
remettre, autant de fois qu'il le faudra, l'ouvrage sur le métier,
c'est ce qu'a accepté la personne qui a endossé la responsabilité
de l'éducation d'un adulte. Modifier des comportements est, en
effet, lent, difficile et laborieux quand on a affaire à un adulte.
Il faut réussir à déconstruire les mauvaises habitudes qui ont été
prises, parfois depuis des nombreuses années avant d'imaginer les
remplacer par de bien meilleures attitudes. Cela ne se fait pas avec
une seule fessée, si rigoureuse qu'elle soit. Mais quand c'est la
meilleure méthode…
Je suis persuadé que bon nombre de personnes,
sans doute pas toutes évidemment, approuverait le recours à une
sérieuse fessée pour discipliner un adulte dont le comportement
laisse régulièrement à désirer. Il y a probablement infiniment
plus de personnes qui y sont favorables que celles qui accepteraient
d'en convenir publiquement. L'air du temps n'est plus à approuver
ouvertement le recours à la fessée, ni pour les enfants ni pour les
adultes, quoiqu'on en pense réellement. Beaucoup, en leur for
intérieur, ne trouveraient rien à dire s'ils devaient assister à
l'une de ces punitions. Pour peu que le contexte soit ouvert à cette
solution, ils prodigueraient certainement des encouragements à celui
qui sévit afin que perdurent ces punitions bien utiles et se
garderaient bien d'émettre la moindre protestation. Au-delà de ceux
qui ont déjà franchi le pas, quelques-uns n'hésiteraient sans
doute pas à y recourir avec l'un de leur proche si la situation les
invitait à passer à l'action. D'autres, enfin, accepteraient, sans
grande réticence, de remettre, entre les mains d'une personne de
confiance, la charge de les discipliner quand ils le méritent. Ils
auraient l'espoir que la rigueur qui leur serait ainsi imposée,
règlerait nombre de problèmes dont, souvent, ils n'arrivent pas à
se dépêtrer, mettant fin aux compromis que bien des adultes font
avec eux-mêmes pour se permettre des comportements révélant leur
petite capacité à assumer leurs responsabilités sociales et
sociétales. La sécurité qu'ils en ressentiraient alors,
constituerait certainement un profond soulagement l'emportant
aisément sur les inconvénients qu'ils pourraient trouver à
recevoir, quand d'autres le jugent pertinent et sans que leur opinion
ne compte, la fessée déculottée.
Pour illustrer ces propos, je prends le risque,
relatif il est vrai compte tenu de l'anonymat de règle sur ce forum,
de dévoiler ma situation. Je vais vous brosser, dans les quelques
lignes qui suivent, le tableau de ce que nous vivons ma compagne et
moi, en vous assurant que ce que j'écris est le reflet exact de la
réalité. Croyez-moi ou non, ce sera votre choix, mais je suis prêt
à en discuter sur ce forum ou si vous préférez, par courriel, dans
un espace plus privé (legall.josip35@laposte.net), pour essayer de
vous convaincre de la véracité des propos et de ses énormes
avantages. Je ne vois pas comment, sur internet, le faire à coup
sûr, à moins que ma compagne ne décide un jour de me punir en
votre présence, ce que je ne souhaite, bien évidemment, pas. Mais
nous ne serions alors plus en virtuel… et cela serait une autre
histoire.
Oui, je reçois la fessée en punition de mes
désobéissances, de mes comportements inappropriés, mais aussi
quand ma compagne constate un relâchement sur les questions
d'hygiène corporelle ou de propreté ou pour d'autre motif
l'obligeant à me punir. Peut-être faut-il, avant d'aller plus loin,
vous donner une idée de qui nous sommes afin que soit claire la
position que j'occupe en écrivant ce commentaire : ma compagne a un
peu plus de 50 ans et moi un peu plus de 60. Nous nous connaissons et
nous nous rencontrons depuis plusieurs années et nous envisageons de
finir notre vie ensemble.
Nous avons commencé à converser à partir de mon
blog ( josiplegall35.blogspot.com )
où se publiaient des récits ou des témoignages de fessées
punitives données par une main féminine à des hommes ou des
femmes. C'est en recevant un courriel de mon actuelle compagne qui
prétendait pouvoir et vouloir me donner la fessée comme mon profil
l'y invitait, que nous avons fait connaissance. C'est autour de cette
question que se sont déroulées nos premières rencontres préparées
avec quelques échanges téléphoniques. J'ai effectivement reçu, de
sa main, la fessée déculottée, en punition des bêtises que je
provoquais volontairement. A l'époque, nous n'habitions pas
ensemble, les fessées étaient donc circonscrites à nos moments de
rencontre et elles étaient loin d'être aussi rigoureuses que
maintenant. Cette relation durant, elle est peu à peu devenue
filiale, avec au début un côté "jeu de rôle" assumé :
elle, la maman et moi le garçon qu'elle punissait quand il l'avait
mérité. Puis s'est rajouté une composante adulte qui prend
maintenant une grande place et le jeu de rôle n'est plus de mise.
Nous avons basculé dans la vie réelle. C'est maintenant ma
compagne. Nous habitons ensemble. Vous comprendrez donc que la
probabilité de fessée est quotidienne, parfois plusieurs fois par
jour, et elle se concrétise souvent, toujours cuisantes. C'est la
responsabilité qu'elle a accepté et qu'elle assume.
En effet, il est maintenant clair entre nous
qu'elle a la charge de veiller à mon éducation et de la parfaire,
donc de sanctionner tous les écarts que je commets. Nous en avons
tous deux convenu explicitement au début de notre relation et nous
ne sommes jamais revenus sur ce principe, nous le considérons comme
intangible. Ce caractère éducatif s'est renforcé au fil des mois.
Il prend maintenant toute la place. Quand elle juge que j'en ai
besoin, suite à une bêtise, une imprudence, une désobéissance ou
un comportement inadéquat, ma compagne me donne la fessée
déculottée sans que mon autorisation ou mon avis ne soient ni
nécessaires ni pris en compte. C'est elle seule qui en décide. Et
je n'ai d'autre choix que de l'accepter, sachant que, quand elle me
baisse la culotte et qu'elle me fesse, c'est pour mon bien, autant
pour sanctionner mon comportement délictueux que pour m'inciter à
ne plus recommencer. Je ne crois pas, jusqu'à aujourd'hui, qu'elle
m'ait donné injustement une fessée, une que je n'avais pas méritée,
même si je ne suis pas toujours d'accord quand elle décide de me la
donner, mais ma compagne ne prend jamais en compte mes réticences.
C'est normal puisqu'il s'agit de punition. C'est donc à chaque fois
elle qui a raison.
Les fessées qu'elle me donne, sont assez sévères
pour me faire réfléchir à la raison qui m'a valu une punition et
je me promets, intérieurement, bien souvent de ne plus recommencer
afin d'éviter la prochaine… même s'il m'est difficile, dans la
durée, de tenir cette promesse. Le souvenir de la cuisson d'une
fessée s'estompe, comme le reste même si elle a été très vive,
alors que l'attrait d'outrepasser l'interdit, de tester son autorité
sans être pris, reste toujours présent. La main de ma compagne
suffit pourtant, sur le moment, à me faire regretter la bêtise qui
m'a conduit à plat ventre sur ses genoux ou courbé sous son bras,
la culotte descendue à la hauteur de mes genoux. Elle sait provoquer
une fournaise qui laisse mes fesses toutes rouges et endolories à la
limite du supportable, frontière qu'elle franchit sans que je n'y
puisse rien. Parfois, quand c'est nécessaire, en cas de récidive
par exemple ou quand je l'ai poussée à bout, elle n'hésite pas à
utiliser le martinet, la règle plate en bois, la baguette ou le dos
de sa brosse à cheveux. Il arrive que les fessées soient
suffisamment rigoureuses pour laisser des marques persistantes sur
mes fesses durant plusieurs heures. Plusieurs fois, elle a eu recours
aux orties et j'en ai ressenti la démangeaison plus de vingt-quatre
heures durant. Souvent, elle me met ensuite au coin pendant de
longues minutes, à exhiber mes fesses nues portant encore les traces
de ma récente correction. Heureusement, jusqu'à maintenant, il n'y
a eu qu'elle pour les contempler.
Il m'arrive fréquemment de recevoir la fessée en
dehors du domicile conjugal, en extérieur. Ma compagne estime que
les fessées les plus efficaces sont celles qui sont données
aussitôt qu'un écart est commis, au plus proche possible de
celui-ci, qu'on soit à notre domicile ou dans un lieu public. Elle
n'hésite donc pas à me déculotter sur un chemin ou sur le bord de
la route, tout en prenant des précautions pour ne pas risquer de
tomber sous le coup de la loi, ce qui en restreint notablement le
périmètre d'application "et c'est bien dommage",
dit-elle. Il est cependant arrivé que des voitures soient passées à
ce moment-là et que leurs passagers aient pu assister, quoique
furtivement, à l'une de mes punitions. Le coup de klaxon de l'une
d'elle, en voyant mes fesses nues déjà copieusement rougies, me l'a
confirmé. Quand il s'est agi de piétons, ils étaient,
heureusement, suffisamment loin pour ne pas être des témoins
directs, mais cependant suffisamment près pour se rendre compte
qu'une fessée déculottée était en cours. Ma compagne m'a promis
que, si les circonstances l'exigeaient et le permettaient, elle me
déculotterait et me fesserait en présence directe de témoins,
juste sous leurs yeux. J'ai la chance que ce ne soit pas encore
arrivé, mais je sais qu'elle tiendra sa promesse si la situation le
nécessite et le rend possible. J'appréhende fortement le moment ou,
en présence d'autres personnes, elle me baissera la culotte. Cela
finira bien, hélas, par arriver.
J'ai appris à accepter ces fessées comme un mal
nécessaire, mais justifié et indispensable. Je sais que c'est moi
qui les provoque, par mon comportement coupable et mes négligences.
Elles me maintiennent dans le droit chemin, surtout quand elles sont
très sévères et c'est souvent le cas. C'est ma compagne qui décide
quand elles doivent cesser. Je vous assure que j'en attends la fin
bien avant que celle-ci n'arrive et je dois habituellement patienter
jusqu'à ce que mes fesses soient bien rouges et bien brûlantes. Je
dois prendre sur moi pour laisser la correction aller à son terme, y
compris quand je pense ne pas pouvoir supporter le prochain contact
de sa main ou d'un instrument punitif avec mes fesses. L'autorité
dont dispose ma compagne sur moi est suffisamment installée pour
m'ôter toute tentation de faire appel à notre
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