Elle prend cher près de la piscine

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Elle prend cher près de la piscine

Mélina Facchin
06h55, le 23 mai 2022 , modifié à
07h46, le 25 mai 2022

Avec le temps estival de ce mois de mai, beaucoup de Français se ruent sur les piscines. Mais certains, notamment à cause de leur religion, évitent les piscines publiques. Contrairement à la mairie de Grenoble qui a récemment autorisé le port du burkini dans ses établissements, la plupart des villes de France (sauf Rennes) l’interdisent. Alors de nombreuses femmes musulmanes pratiquantes louent des piscines à des particuliers, par exemple via la plateforme Swimmy . Le site estime que 20% de sa clientèle est musulmane.
Une belle et grande piscine intérieure, des transats moelleux, un immense jardin. Dans cette maison de Lampertheim, près de Strasbourg (Bas-Rhin), Souaida et Imen profitent de cet après-midi ensoleillé. Pour 30 euros de l’heure, ces deux sœurs musulmanes ont loué cette piscine chez une particulière. Le seul moyen, disent-elles, de pouvoir se baigner en toute tranquillité : "Bien sûr, c’est lié à notre religion" confirme l’aînée, Souaida.
"Ici, on peut être en maillot de bains et à l’abri des regards" explique cette mère de famille, adepte de ce concept de location depuis des années. Aucune piscine publique dans la région n’autorise le port du burkini, alors Imen estime ne pas avoir d’autre choix si elle souhaite se rafraîchir : "C’est vraiment que ça coûterait moins cher d’aller dans une piscine publique, mais c’est ce cadre privé qui nous attire et le fait de pouvoir porter n’importe quelle tenue". En l’occurrence, des maillots de bains deux-pièces.
La propriétaire de cette piscine, Betty Reibel, est inscrite sur Swimmy depuis quatre ans. Et elle a très vite été surprise par le nombre de clientes musulmanes et juives aussi qui la contactent. "La question qu’on me pose le plus souvent c’est : est-ce qu’il y a un vis-à-vis ? Est-ce qu’on peut nous voir ?" rapporte-t-elle. "Et je réponds non : j’ai justement acheté des stores pour fermer les vitres". Betty reconnaît qu’elle ne s’attendait "pas du tout" à avoir ce type de clientèle au départ, "mais c’est vrai qu’on voit qu’on leur amène un plaisir qu’elles n’ont pas" poursuit-elle. "Je n’imaginais pas qu’il y avait de telles privations". 
Le site Swimmy, qui depuis six ans propose des locations de piscines entre particuliers partout en France, compte aujourd’hui 200.000 clients et 4.000 propriétaires de piscines privées. "On a effectivement beaucoup de personnes qui louent des piscines pour des questions religieuses, qui ne veulent pas être vues en maillot de bain, qui souhaitent un espace privatisé pour pouvoir se baigner", confirme Raphaëlle de Monteynard, la fondatrice de Swimmy.
"On l’a déduit par rapport aux questions qui sont posées sur la plateforme" précise-t-elle sur Europe 1. "Celle du vis-à-vis revient souvent, celle de savoir s’il y aura un homme présent dans la maison ou si les volets pourront être fermés". Aujourd’hui, Raphaëlle de Monteynard estime qu’une location sur cinq environ s’effectue sur son site pour des questions religieuses.


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La piscine Espace de Liberté à Narbonne.
Independant - PHILIPPE LEBLANC










Société , Guerre en Ukraine , International




Publié le 27/04/2022 à 06:05
, mis à jour

à 07:25





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Plusieurs municipalités en France ont déjà été contraintes de fermer leurs piscines face à la flambée des prix de l'énergie conséquente à la guerre en Ukraine.

La hausse des prix de l'énergie coulera-t-elle les piscines ? Certaines collectivités sont obligées de fermer leurs bassins car il est devenu trop cher de les chauffer. Près de Rouen, une piscine municipale a été fermée durant 5 semaines, la facture d'énergie étant multipliée par quatre. "L'année dernière, on a payé 40 000 euros. Mais avec la flambée des prix du gaz, cette fois-ci, nous payons 165 000 euros !" justifie Stéphane Barré, maire PCF de la commune, auprès de BFMTV . 
Dans les Deux-Sèvres, deux piscines de l'agglomération de Bressuire seront fermées tout l'été . "Nous avons décidé de fermer les deux piscines couvertes de Moncoutant et de Cerizay en juillet-août et d'ouvrir les piscines d'été de Mauléon et d'Argentonnay et de garder Bressuire" , détaille le président de l'agglomération à France Bleu Poitou qui table sur "une économie de 170 000 à 200 000 euros". 
Dans le Nord, le maire de la commune de Leffrinckoucke a dû fermer la piscine municipale depuis la mi-avril, rapporte France Bleu Nord . N'étant plus en capacité de supporter le coût énergétique que représente le chauffage des bassins et du bâtiment en général, la municipalité ne réouvrira pas la piscine d'ici 2023 . " C'est intenable, on a fait des scenarios, dans ceux où nous gardons la piscine, nous sommes mis sous tutelle avant le premier trimestre 2023" alerte l'édile. 
A Trouville-sur-Mer, en Normandie, la réouverture du bassin extérieur de la piscine prévue le samedi 2 avril 2022 a dû être reportée au 11 juin , a annoncé la municipalité sur son site. 
En Allemagne aussi, les municipalités doivent s'adapter à la hausse du prix de l'énergie. Quelques piscines publiques ont déjà abaissé la température de leurs bassins de deux degrés, a indiqué la Société allemande de la baignade (DGfdB), comme nous l'apprend le tabloïd allemand Express . 
"A cause de la guerre de Poutine, les Berlinois devront se baigner dans de l'eau plus froide". Les piscines publiques vont baisser la température de l'eau d'un ou deux degrés. J'en tremble déjà ! pic.twitter.com/PiWfZMVYnv
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Il suffit d'autoriser les nageurs à y uriner
Les piscines municipales n'ont donc pas assez misé sur le solaire thermique. Avant, on adoptait les solutions de facilité...

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Châtellerault






Sécheresse : à Châtellerault, on utilise l'eau de la piscine pour arroser les espaces verts





Sécheresse : à Châtellerault, on utilise l'eau de la piscine pour arroser les espaces verts




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Environnement


Châtellerault



Vous l’avez sans doute vu dans les rues de Châtellerault. Ce camion-citerne vert de la collectivité qui s’arrête près des plantes, fleurs et autres massifs de la ville. Des agents du service des espaces verts descendent du véhicule et ouvrent les vannes pour acheminer la précieuse ressource et arroser les espaces verts de la ville. De quoi susciter parfois l’incompréhension parmi des particuliers à qui on demande de restreindre l’usage de l’eau potable en vertu de l’arrêté préfectoral qui a placé notre département en alerte renforcée de sécheresse. La Ville a investi dans des cuves pour stocker l’eau Ce que ces habitants ignorent, c’est que la Ville arrose ses espaces verts avec de l’eau de recyclage du centre aquatique de Châtellerault, comme on peut le lire sur le camion-citerne. « On récupère l’eau de la piscine qui est filtrée et déchlorée, explique Laurence Rabussier, adjointe au cadre de vie. Nous avons toujours fait cela, au moins depuis 2008, avec une utilisation toujours plus accrue ces derniers temps. Mais là, on a acheté des cuves pour stocker plus de mètres cubes. On fait un arrosage manuel des jeunes plants et massifs en utilisant cette eau filtrée du centre aquatique. C’est important pour préserver la ressource en eau, les nappes phréatiques et éviter le gaspillage. Cela permet d’assurer un arrosage peu coûteux et d’éviter de pomper sur l’eau potable. » La collectivité profite des vidanges réglementaires de la piscine pour réutiliser une partie du volume d’eaux usées qui partirait sinon à perte dans le réseau d’assainissement. Des volumes non négligeables. Les trois bassins représentant plusieurs milliers de mètres cubes d’eau. Les explications de Marc Bouderlique, directeur du centre aquatique de Châtellerault : « On effectue des rinçages quotidiens et des vidanges (deux fois par an) et l’eau, plutôt que de partir dans les canalisations, est récupérée dans une cuve à l’extérieur. Au bout de quelques minutes, le chlore s’évapore et on peut la réutiliser pour l’arrosage. En ce moment, le service cadre de vie vient tous les jours. Ce sont plusieurs dizaines à plusieurs centaines de mètres cubes qui sont ainsi récupérées. » Pour préserver l’eau, la Ville valorise, on le voit, l’eau de la piscine. Mais ce n’est pas tout. Elle adapte aussi son fleurissement avec le choix d’un « nombre limité de jardinières ». La collectivité prend très au sérieux la gestion de la ressource en eau face à la sécheresse persistante et aux épisodes de canicule, malgré les pluies de ces derniers jours. Dans un communiqué cette semaines, le maire de Châtellerault, Jean-Pierre Abelin, a tiré la sonnette d’alarme : « La situation des ressources en eau du département est alarmante. Les niveaux des nappes sont les plus bas jamais enregistrés à cette période de l’année. Toutes les ressources en eau sont impactées par cette sécheresse inédite. J’appelle les habitants à faire preuve de civisme et de responsabilité. »



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Publié le

25/06/2022 à 09:25
| Mis à jour le

25/06/2022 à 09:25



Avec la sécheresse qui sévit, Châtellerault recycle l’eau de sa piscine pour arroser ses plantes.

© Photo NR

Face à la sécheresse, Châtellerault récupère l’eau recyclée de son centre aquatique pour arroser ses espaces verts. Une initiative qui n’est pas nouvelle.
Journaliste, rédaction de Châtellerault


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