Elle prétend faire du sport mais nous excite

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Trouver la motivation nécessaire pour se mettre au sport n’est pas une chose facile, comme l’explique la psychothérapeute et sophrologue Michèle Freud, auteur de « Réconcilier l'âme et le corps » paru en 2007. Selon elle, il faut d’abord repérer ses inhibitions , afin de mieux les combattre. Ce qui permet ensuite de retrouver une motivation nécessaire, notamment dans le cadre d’exercices sportifs.
En effet, beaucoup considèrent que «se faire du bien » n’est pas la priorité et l’on trouve souvent une infinité de prétextes.
Mais quels peuvent être ces blocages qui nous empêchent de pratiquer une activité physique? La paresse est un premier facteur, mais qui se combat facilement puisqu’au bout de quelques séances de sport seulement le corps libère des endorphines, les hormones du bien-être . Ainsi, vous devenez rapidement « addict ».
En revanche, parfois ce n’est ni l’envie ni le courage qui fait défaut. Michèle Freud évoque des anecdotes avec quelques uns de ses patients « Je me souviens d'une femme qui disait ne pas avoir le temps puisqu’elle était déjà prise par ses tâches ménagères, ou d’un autre qui prétendait vouloir privilégier le développement de son intellect plutôt que celui de son corps».
Ces excuses sont bien évidemment contestables car il est toujours facile de s’octroyer quelques heures dans la semaine, de la même façon que l’on peut à la fois stimuler son corps et son esprit . Il faut simplement se poser les bonnes questions, à savoir: qu’est ce que je gagne à ne pas faire de sport? Quels sacrifices des séances de sport quotidiennes ou hebdomadaires me demandent-elles? Lorsque l’on voit les choses de façon globale, on favorise un déclic qui peut alors conduire à faire plus d’exercices.
En ce début d’année, l’heure n’est-elle pas aux bonnes résolutions ?

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Témoignages : « Pourquoi je veux rester célibataire » - © Visual






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Etre célibataire a ses avantages et ces femmes l'ont bien compris. Sept d’entre elles nous expliquent pourquoi, contre vents et marées, elles veulent rester des « single ladies ».
« Pendant longtemps, j’ai enchaîné les relations amoureuses. Je ne supportais pas d’être seule. Mais après plusieurs échecs, j’ai préféré m’enfermer dans le célibat, volontairement. Et je ne m’en porte pas plus mal, je suis heureuse. Aujourd’hui, je n’imagine pas revivre une histoire d’amour avec un homme. » Fabienne, 36 ans.
« Je fais partie des femmes qui se sont dit : "Entre l’amour et le travail, fais un choix." Il y a un an, j’ai mis fin à une relation de cinq ans pour me concentrer sur ma carrière professionnelle. Mon compagnon ne comprenait pas mon rythme de travail (je suis intermittente du spectacle). Je ne peux pas être à 100% sur les deux fronts. J’ai donc décidé d’être focus sur mon travail pendant quelques années, pour ensuite tenter de rencontrer l’homme de ma vie ! Mais j’espère ne pas passer à côté entre temps ! » Virginie, 28 ans.
« In-dé-pen-dan-ce. C’est mon leitmotiv. Certains diront que le couple est aussi synonyme de liberté et d’épanouissement, mais j’ai la conviction que cela n’est possible que lorsqu’on est seule à gérer sa vie. Je n’ai aucun compte à rendre à personne, et ça, c’est ce que j’aime. Si je devais me mettre en couple demain, cela devrait être l’une de mes conditions non-négociables. » Béatrice, 31 ans.
« Dit comme ça, cela fait un peu "nunuche qui attend le prince charmant". Mais je ne veux pas perdre mon temps avec des hommes qui ne me correspondent pas. "Comment savoir si un homme en vaut la peine ou non ? ", me demandent mes amies. Je leur réponds que j’ai besoin de connaître et de découvrir un homme avant d’envisager une relation avec lui. Un jour, je tomberai certainement sur un homme qui "en vaut la peine". » Marina, 30 ans.
« La surprise de la rencontre ! Voilà ce qui m’excite, ce qui m’enthousiasme vraiment. Dans une relation, je préfère les débuts. C’est pour cela que j’ai une prédilection pour le célibat. J’aime aller à un premier rencard, me préparer, découvrir le prétendant que j’ai en face de moi. Mais n’allez pas croire que j’enchaîne les "plans cul", au contraire. Le passage à l’acte est une autre étape à laquelle je n’arrive pas systématiquement. En revanche, je suis accro aux applis de rencontres pour m’organiser des rendez-vous. Mais je n’exclus pas un jour de m’engager. » Helena, 34 ans.
« Je crois que je suis amoureuse du célibat. J’aime être tranquille, seule et disponible pour mes amies. J’aime n’avoir à m’occuper que de moi, sans me prendre la tête. Et même si j’ai eu des relations très épanouissantes, elles ne l’ont jamais été autant que le célibat. Bref, je suis ce qu’on appelle une "célibattante", une femme heureuse et épanouie dans son célibat, comme bien d’autres. D’ailleurs, mon statut marital sur Facebook n’a pas changé depuis trois ans ! » Nadine, 29 ans.
« Je ne veux pas paraître méchante avec les amoureux que j’ai rencontrés dans ma vie, mais certains m’ont vaccinée des relations. Ceux qu’on appelle entre nous les "bolosses", très peu pour moi. Je les attire on dirait ! J’ai choisi d’être célibataire plutôt que de jongler entre les relations instables qui me compliquent la vie plus qu’autre chose. Puis, il paraît que c’est lorsqu’on ne cherche pas que l’amour se dévoile. Attendons alors ! » Monica, 35 ans.
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Tout comme on peut avoir envie de quelqu’un sans éprouver le moindre sentiment amoureux pour lui, on peut, à l’inverse, ressentir un amour réel sans que la libido suive. Il importe alors, pour la faire revenir, de poser le bon diagnostic.
Près d’une femme sur deux souffre d’une baisse de libido à un moment ou l’autre de sa vie. De même qu’environ un homme sur sept avouera, lorsqu’on le lui demande, qu’il a constaté une baisse de désir sexuel. Soucis, course contre la montre, il est normal de traverser des phases à l’érotisme moins flamboyant. Mais quand les semaines succèdent aux jours et les mois aux semaines, il est temps de se poser des questions et de trouver quel « grain de sable » est venu enrayer notre vie sexuelle.
Si « le désir, c’est avant tout dans la tête », le corps joue aussi un rôle capital ! Ne serait-ce que parce que faire l’amour requiert une certaine énergie. C’est pourquoi, en période de stress ou si l’on est épuisé, on a rarement le cœur aux galipettes. C’est aussi pourquoi un manque d’appétence sexuelle qui se prolonge peut être le signe d’une vraie dépression, plus ou moins masquée.
Pour ressentir du désir, notre corps a par ailleurs besoin d’être imprégné des hormones nécessaires (testostérone pour les hommes, œstrogènes – mais aussi testostérone – pour les femmes). Si leur taux chute, du fait de l’âge ou à cause de certains médicaments (traitements hormonaux, tranquillisants, antidépresseurs), le désir risque de s’effondrer en parallèle.
C’est également le cas lors de certaines maladies : perturbations de la thyroïde, diabète mal équilibré, hémochromatose (maladie génétique occasionnant une surcharge en fer) ou, au contraire, anémie (manque de fer).
C’est pourquoi, si vous ne comprenez pas a priori l’apathie qui vous habite, il ne faut pas hésiter à en parler à votre médecin. Les causes physiques sont en général simples à soigner.
Problème majeur des couples longue durée : l’endormissement érotique qui s’installe pernicieusement, bercé par l’habitude. Les rapports s’espacent au fil du temps et comme « moins on fait l’amour, moins on en a envie : » la sensualité se met progressivement en berne.
Il est vrai aussi qu’un excès d’intimité non amoureuse tue l’intimité amoureuse, laquelle apprécie l’imprévu. Où est la séduction si on s’appelle trois fois par jour, mais uniquement pour parler du pain, des embouteillages ou des enfants ? Sûrs de notre amour, on cesse de se courtiser, considérant l’autre comme acquis. Et cet excès de sécurité transforme parfois le lien amoureux en une tendresse quasiment fraternelle.
Lorsque faire l’amour se résume au « rituel du samedi soir » ou, pis, « au devoir conjugal », il est temps de se réveiller. Le désir peut être relancé à l’idée d’une rivale potentielle, ou, plus simplement, en consacrant à nouveau à l’autre quelques efforts. Pour briser la routine , il est en effet indispensable de réintroduire de la fantaisie et de s’octroyer suffisamment de moments amoureux à deux : restaurant, week-ends de charme, balades à vélo, etc. A savoir, les rendez-vous extérieurs sont en général plus efficaces !
La familiarité est source de complicité, mais la vitalité érotique a besoin de distance, que notre partenaire nous soit un peu étranger et nous échappe par moments. C’est pourquoi trop de fusion (ou de possessivité) entrave le désir. Il est nécessaire, pour le couple, de ne pas se refermer sur lui-même et de garder quelques activités chacun de son côté, pour avoir le plaisir de se retrouver. Même si on est bien avec son compagnon, il est important de manifester un minimum d’indépendance (sortir avec des amies, s’inscrire à un cours de gym) pour redonner un peu de piment à la vie sexuelle du couple.
Si Madame se montre séduisante, épanouie et autonome, nul doute que Monsieur la regardera à nouveau avec une étincelle dans les yeux qui la fera craquer.
Attention, quand même, à ne pas tomber dans l’excès inverse ! Si on ne passe plus suffisamment de temps ensemble, on risque aussi de considérer l’autre comme un « meuble » qu’on ne voit plus.
Plus souvent que la routine , cependant, c’est la qualité de la relation qui bloque l’envie de faire l’amour. Sans même que le couple traverse une crise ouverte, les contentieux peuvent venir tout geler. Ce peut être le cas après un écart de conduite, y compris si on croyait l’avoir pardonné, ou juste parce qu’il nous a rabrouée la dernière fois qu’on a eu un geste tendre. Si l’esprit passe l’éponge, le corps, lui, n’oublie pas.
Il suffit aussi que la relation soit vécue comme globalement décevante pour que l’un des deux évite le partage sexuel. Chacun de nous a besoin de se sentir aimé et admiré pour désirer son conjoint. Et c’est souvent là que le bât blesse. « Il (elle) ne fait plus attention à moi », « Il ne m’écoute jamais, ne me comprend pas ».
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