Elle pompe un paquet de queues
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Elle pompe un paquet de queues
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Voici les principaux récits que nous proposons à nos amis lecteurs... Pour nous l'espérons votre plus grand plaisir ! ! !
 -Monsieur ! Monsieur ! Votre épouse au téléphone !
 - Je prends ! Passez-moi la communication dans mon bureau, sâil vous plait !
Câest Ă©trange, habituellement Claude ne mâappelle pas ainsi en pleine journĂ©e Ă mon bureau.
-Allo ! Oui ma chérie ! Tu as un problÚme ?
 - Ah ! Michel ! Non pas de problĂšme, mais maman vient de mâappeler et nous allons faire des courses ensemble. Tu peux venir nous retrouver Ă lâheure du dĂ©jeuner Ă la maison ? Elle veut acheter un de ces meubles en kit et nous aurons besoin de toi pour le sortir de la voiture. Enfin si câest possible que tu te libĂšres pour le dĂ©jeuner !
 - Pas de souci, alors je serai lĂ vers douze heures trente, si la circulation entre GĂ©rardmer et Remiremont le permet. A tout Ă lâheure mon cĆur !
Notre conversation a Ă©tĂ© brĂšve. Depuis quâelle a perdu son mari ma belle-mĂšre, femme adorable au demeurant, fait appel Ă son unique fille pour quelques bricoles dans sa maison. Elle rĂ©side dans un quartier calme de ce Remiremont si empreint de doux souvenirs pour moi. Dâautres plus douloureux sont venus se greffer sur cette vision idyllique, que je tiens cependant Ă conserver. Le matin se termine, mon bureau est rempli de paperasserie administrative qui nous submerge tous.
Sur la petite route tourmentĂ©e qui mĂšne vers la demeure familiale de mon Ă©pouse, je revois quelques images. Celle dâHenry, le pĂšre de Claude. Il est parti depuis cinq ans dĂ©jĂ , laissant Marine ma belle-maman Ă©plorĂ©e, inconsolable. Claude et moi, huit ans dĂ©jĂ que nous vivons une grande histoire, un amour partagĂ© et presque trop beau. Je traverse les petits hameaux qui mĂšnent à « la coquette », et je visualise ma belle-mĂšre. Elle ressemble, trait pour trait Ă mon Ă©pouse ; avec ses quarante-neuf ans, elle fait encore tourner bien des tĂȘtes Ă mon avis. Câest une femme charmante qui nâa jamais un mot plus haut que lâautre et jâimagine aisĂ©ment, que Claude puisse lui ressembler quand elle aura son Ăąge. Câest presque un vĆu que jâexprime dans ma tĂȘte.
Voila les premiĂšres maisons de Remiremont, et je remonte la grande rue, tourne au bout de celle-ci au « Volontaire », puis laisse sur ma gauche la place du « Batardeau » pour remonter vers la route de PlombiĂšres. Un petit coup dâĆil Ă la maison de notre sĂ©nateur, PrĂ©sident du SĂ©nat, et enfin je bifurque sur la gauche, prend la derniĂšre petite ruelle qui me mĂšne Ă la maison cossue de ma belle-mĂšre. Sur le perron, elles sont lĂ , au soleil Ă me regarder garer mon vĂ©hicule.
 -Bonjour Michel ! Jâai honte de vous avoir dĂ©rangĂ©Â !
Claude et Marine me font un bisou sur la joue, puis câest Claude qui mâouvre le coffre de sa petite « Ford Fiesta ». Je soulĂšve avec peine le premier des trois colis qui sont logĂ©s dans lâautomobile. Je comprends pourquoi elles nâont pas rĂ©ussi Ă les sortir. Jâempile les paquets dans lâentrĂ©e et nous passons au salon. Marine mâoffre un apĂ©ritif et je lui demande comment elle va faire pour monter ce meuble.
 -Je nây ai pas encore songĂ©Â ! Jâai juste achetĂ©, il me faut bien loger tous ces livres qui mâoffrent tellement de plaisir ! Je ne voudrais pas abimer les bouquins que jâaime !
 - Si vous voulez, je passerai ce soir en fin de journĂ©e pour vous monter cette bibliothĂšque ! CĂ ne devrait pas ĂȘtre trop compliquĂ© et ce sera peut-ĂȘtre dans mes cordes !
 -Je ne voudrais pas abuser de vous, Michel !
 - Enfin belle maman, puisque je vous le propose câest que cela ne me dĂ©range pas ! Je viendrai aprĂšs dix-huit heures !
Nous passons tous trois Ă table. Le repas servi, est comme dâhabitude, excellent. Le vin qui lâaccompagne vient tout droit de la cave quâHenry avait amĂ©nagĂ© sous la maison ! Je me sens dâhumeur plaisante et je regarde du coin de lâĆil, ces deux femmes qui transpirent la complicitĂ©. Je me surprends aussi Ă penser que Marine a de beaux restes et que celui qui la rencontrera aura bien de la chance. Elle est radieuse et cette tendresse qui Ă©mane dâelle, dĂ©teint agrĂ©ablement sur sa fille. Du reste en les regardant Ă la dĂ©robĂ©e, dans chacune des tĂąches domestiques quâelles font en commun, je vois tellement de similitudes. Elles sont belles toutes les deux !
En voyant la fille je devine la mĂšre, et en regardant la mĂšre, jâimagine mon Ă©pouse dans quelques annĂ©es. Je pose mes yeux sur ces deux croupes qui vont et viennent devant moi, comme elles sont similaires, pareilles avec les mĂȘmes cambrures, avec les mĂȘmes tressaillements. Pourquoi me donnent-elles ainsi envie ces deux lĂ Â ? Finalement, je me dis que Marine, si elle est aussi bonne au lit que sa fille, doit ĂȘtre une affaire ! PensĂ©es salaces dâun homme qui nâest pourtant pas en manque dâamour, ni de sexe !
Je suis reparti, mon bureau mâattend. Mais il reste cette idĂ©e dans ma caboche de la croupe de ces deux femmes qui sont trop semblables. ArrĂȘte ! ArrĂȘte donc idiot de penser Ă de pareilles choses ! Tu nâas donc aucune pudeur ? Cette femme câest la mĂšre de ton Ă©pouse ! Tu deviens dingue ou quoi ? Mais quand une idĂ©e pareille est dans mon crĂąne, jâai bien du mal Ă lâextirper. Je lâai vue des milliers de fois Marine, et jamais, jamais, je nâai songĂ© un seul instant que je puisse un jour la dĂ©sirer. Je lâai toujours vue comme ma belle-mĂšre ; mais lĂ , je viens dâentrevoir la femme qui se cache en elle.
Je regrette presque de mâĂȘtre portĂ© volontaire pour lui monter son meuble. Pourvu que Claude soit restĂ©e chez elle. Ce serait mieux, mes pensĂ©es seraient ainsi dĂ©tournĂ©es. Câest Ă cela que je songe alors que je fais le trajet qui me ramĂšne vers Remiremont. Mais la « Ford nâest plus rangĂ©e dans la cour. Bon et bien reste sage ! Nous y voila, Ă toi de jouer bricoleur du dimanche.
 -Vraiment, Michel, çà me gĂšne Ă©normĂ©ment que vous vous soyez dĂ©rangĂ© pour moi ! Claude est rentrĂ©e, une de ses amies devait passer la voir dans lâaprĂšs-midi !
 -Ce nâest pas grave, je vous ai proposĂ© et je vais vous monter cela. Ce ne sera pas bien long !
Jâai dit cela en tentant de dĂ©tourner mon regard des hanches de cette femme qui se tient debout, droite, face Ă moi. Pour penser Ă autre chose, je file Ă lâatelier chercher tournevis et marteau, il faut bien quelques outils pour monter lâĂ©tagĂšre ! Jâen profite pour remonter aussi une couverture. Et le montage dĂ©bute. Marine me propose un verre avant que ne dĂ©marre lâouvrage, mais je refuse. La couverture Ă©tendue dans le salon, je dispose les piĂšces de bois, une Ă une dans lâordre du schĂ©ma fourni dans les paquets. Sur le fauteuil, Ă cotĂ© de moi, Marine sâest assise, sans se prĂ©occuper de ma prĂ©sence. La robe quâelle porte a beau lui tomber sur le dessus des genoux, la position quâelle adopte me laisse entrevoir un petit morceau de ses cuisses blanches. Merde ! Voila qui rĂ©veille mes vieux dĂ©mons ! Je lui dirais bien de croiser les jambes, mais elle nâa pas lâair de sâapercevoir que jâai une vue remontante sur une peu dâĂ©toffe rouge, lĂ , tout au bout du nylon qui garnit les jambes. Câest vrai quâelle a de jolies jambes, bien galbĂ©es, fuselĂ©es Ă souhait ! Enfin ! Quâest ce qui me prend ? Que mâarrive-t-il ? Oh ! Michel ! Calme tes ardeurs, câest la mĂšre de ta femme qui est lĂ Â !
Oui ! Mais câest Ă©galement une femme dĂ©sirable et belle ! La petite voix au fond de moi, le dĂ©mon de midi qui traine dans ma caboche ! Tu vas te calmer ? Allez ! Monte cette saloperie de bibliothĂšque et file retrouver Claude ! Ah ! Non ! Tu ne vas pas rater une pareille occasion ! Regarde, elle vient dâĂ©carter les gambettes, tu ne penses pas quâelle tâaguiche un peu ? Claude pourquoi nâes tu pas restĂ©e, nâes tu plus ici ? Je baisse la tĂȘte, les yeux, je ne peux cependant pas les fermer pour travailler !
  -CĂ va Michel, vous nâavez besoin de rien ? Ce nâest pas trop difficile Ă lire, ce plan ?
En disant cela, elle se baisse pour le prendre ce foutu papier, et jâai une vision affriolante de ses seins. Ils ont beau ĂȘtre enfermĂ© dans un soutien-gorge serrĂ©, je les vois presque Ă portĂ©e de main et bon-sang ! Elle va me faire bander si elle continue ! Ouf, elle vient de se redresser sur son fauteuil ! Jâai des gouttes de sueurs qui perlent sur mes tempes. Elle va les voir ? JâespĂšre que non ! Elle se coule plus profondĂ©ment dans son siĂšge moelleux et moi je persiste Ă visser une Ă une les planches. CĂ commence Ă prendre forme. Partout mĂȘme ! Et surtout dans le milieu de mon corps ! Ma braguette est dĂ©formĂ©e par une bosse qui ne peut pas passer inaperçue.
Elle bouge ses jambes et je sens son regard sur moi. Je nâose plus lever les yeux ! Je cherche un dĂ©rivatif dans les vis, les Ă©crous, les boulons ! Encore une Ă©tape de franchie et la bibliothĂšque est dĂ©jĂ bien avancĂ©e. Marine a encore remuĂ© dans son coin ! Et vous mes yeux, restez tranquille ! Non, ne vous relevez pas ; pas maintenant, pas vers elle, pas dans cette direction ! Rien Ă faire, ils ne veulent plus mâobĂ©ir ! Jâai une incroyable vue dĂ©sormais sur deux cuisses fines qui sont ouvertes, mais, Marine ne semble mĂȘme pas sâapercevoir du trouble quâelle provoque chez moi. Câest au moment oĂč je redescends mon regard sur les derniĂšres planches que je sais quâelle me suit des yeux elle aussi. Pourquoi ? Pourquoi nâes tu pas lĂ Claude ?
Il est superbe ce meuble que je termine. Il ne reste plus quâĂ le mettre en place, Ă lâendroit oĂč Marine le veut. Pour cela, elle se lĂšve et se dirige vers moi. Sa jupe me frĂŽle un peu trop ! Je me tourne de maniĂšre Ă cacher le plus possible cette bosse qui me gĂšne Ă©normĂ©ment. Mais elle est trop proche pour ne pas la remarquer. Enfin elle ne dit rien ; juste elle me donne la main, pour pousser sur la couverture le meuble vers sa destination finale !
 -Merci ! Mille fois merci ! Michel, vous ĂȘtes mon sauveur ! Finalement, elle et trĂšs jolie et je vais pouvoir y placer le carton de livres qui se trouve dans lâentrĂ©e. Si jâosais, mais je ne veux pas abuser, vous pourriez me le poser sur la table du salon ?
Les bouquins atterrissent sur la table basse et elle me suit. Elle me suit de trop prĂšs. Quand elle remarque les gouttes de sueurs qui perlent sur mon front. Câest sa main maintenant que je vois sâapprocher, celle-ci tenant un mouchoir jetable.
 -Venez que jâĂ©ponge cette sueur qui vous coule dans les yeux.
Belle maman, vous ĂȘtes trop, trop prĂšs de moi ! Je voudrais me faire souris et mâenfiler dans un trou. La main qui Ă©ponge mon front est dâune douceur et le corps qui est contre le mien lâest tout autant. Je sens que tout bascule Ă vitesse grand V. Les doigts se glissent plus bas que le front, ils caressent mes joues. Il nây a pas de sueur sur celles-ci pourtant ! Elle sâest encore rapprochĂ©e de moi et je sens les pointes de ses seins qui me touchent la poitrine ! Elle sait bien quâelle me donne encore plus envie ? Mon Dieu pardonnez moi ; mais je ne suis pas de bois, je ne suis quâun homme.
 -Vous savez, je vous ai vu me regarder, je sais que vous avez envie de moi ! Je sais que jâai aussi envie de retrouver ces sensations que jâai oubliĂ©es depuis que mon Henry est parti ! Et rassurez vous, je nâirai pas en parler Ă Claude ! Je suppose que vous non plus. Jâai remarquĂ© cette bosse lĂ , sous votre braguette ! Câest bon de se dire que lâon peut encore faire bander un homme ! MĂȘme si câest mon gendre.
A ses paroles, elle a joint les actes. Sa main libre est arrivĂ©e comme par magie sur lâendroit qui ne peut plus cacher mon dĂ©sir Ă©norme et elle frotte sur le tissu de mon pantalon. Les miennes sont parties sur les fesses qui sont me semble-t-il encore bien fermes sous la jupe. Je mâempresse de la coller plus fort. Finalement Ă quoi bon rĂ©sister ? AprĂšs tout, câest une belle femme et elle est consentante, non ? Ses lĂšvres Ă elle sont venues se coller aux miennes. Elles aspirent Ă faire entrer sa langue dans ma bouche et lĂ encore, je suis volontaire. Ses seins sont de plus en plus tendus contre ma poitrine alors que Marine sâĂ©vertue, dâune main Ă dĂ©faire ma ceinture. Bien entendu, elle a gain de cause et câest maintenant, les quelques boutons de la braguette qui sâouvrent. Le baiser que nous Ă©changeons me coupe le souffle ! Pas Ă©tonnant que sa fille embrasse tellement bien !
Elle a repoussĂ© mon slip ! Elle tient dans sa main, mon membre quâelle vient de mettre Ă lâair. Je la laisse faire alors quâelle le branle lentement. Elle nâa pas oubliĂ©Â ces gestes Ă©lĂ©mentaires ! Câest bougrement bien fait et câest bon. Tout en nous caressant mutuellement, nous avons doucement changĂ© de place et nous sommes au bord du canapĂ©. Elle se fait chatte, ronronne presque alors que sa bouche reste en contact permanent avec la mienne. Je retrouve dans ces baisers un peu de ceux de Claude. Avant de lâallonger sur le divan, je remonte la jupe et je vois apparaitre la culotte rouge qui mâa tant plu tout Ă lâheure. Jâen Ă©tais sĂ»r, je le savais ! Quand jâai fait glisser le dernier rempart de la vertu de Marine, je dĂ©couvre une forĂȘt de poils bien entretenus. Depuis combien de temps je nâai pas senti une pareille touffe dans ma main ? Câest beau les poils de femme, quand ils sont bien taillĂ©s, câest excitant, tellement que jâen bande davantage encore, comme si câĂ©tait possible.
Nous sommes sur le divan et la bouche de ma belle-mĂšre est occupĂ©e par ma bite quâelle a si bien fait grossir. Elle me pompe le nĆud et je peux dire que jâapprĂ©cie. Je la regarde quelques instants, avant que de me laisser enivrer par cette caresse buccale que jâamplifie par de langoureux mouvements de mon bassin. Mes hanches roulent et ma pine sâenfonce dans cette bouche gourmande qui semble aimer cela. Je me laisse aller et je plonge moi aussi, mon visage dans cet entrecuisse largement ouvert et dĂ©nudĂ©. Les poils longs et fins que jâĂ©carte pour chercher lâentrĂ©e de la fente mâexcitent encore plus. Elle rĂąle sous lâarrivĂ©e de ma langue qui ne se prive plus pour visiter cette offrande fĂ©minine. Jâai envie, je suis impatient et elle continue de faire passer sa langue sur mon gland qui me fait frissonner.
CramponnĂ©e Ă mes fesses, elle lape comme un jeune chiot, mes bourses qui flirtent avec son visage. Ce soixante-neuf nous comble dâaise elle et moi. Jâentends ses soupirs qui font Ă©cho aux miens et nous allons plus avant encore dans ce corps Ă corps enivrant. Je ne pense plus Ă Claude, je ne sais plus que câest sa mĂšre qui rĂ©agit de pareille maniĂšre sous mes coups de langue. Les poils de son pubis me rendent dingue, je plonge mes doigts dans cette foufoune bĂ©ante et elle mouille. Son envie est palpable et elle se transforme en cette rosĂ©e qui me rend cinglĂ©.
Jâai une furieuse envie de la baiser, mais je recule ce moment au maximum ; je veux dâabord dĂ©couvrir ce ventre, ce corps que je nâai jamais vu que vĂȘtu. Quand les petits seins pointus sont Ă lâair libre, jâen apprĂ©cie les contours et les malaxent affectueusement. Les tĂ©tons sont tout durs, ils sont longs et sombres, une invitation Ă entrer dans ma bouche. Je ne me prive pas pour le faire et elle gĂ©mit, elle dit des mots que je ne comprends pas. Peut-ĂȘtre me traite-t-elle de salaud ! Mais elle a bien cherchĂ© et amenĂ© ce qui arrive. Je suis responsable, mais pas coupable !
Je lui ai mangĂ© les nichons, mordillant les pointes et elle se tord sous mes dents alors que de son ventre sâĂ©chappe un peu de cette jute quâelle sĂ©crĂšte. Je suis revenu Ă ce volcan dâoĂč coule sa lave claire et jâaime le goĂ»t de cette femme. Rien Ă faire, je suis irrĂ©sistiblement attirĂ© par le bouquet de poils qui orne son bas ventre et câest fou, mais je regrette cette absence chez mon Ă©pouse. Câest finalement Marine qui je ne sais comment, arrive Ă se mettre Ă califourchon sur moi, et dâune main experte, elle engage mon sexe dans le sien. Puis commence alors des montĂ©es qui me donnent la chair de poule, on dirait quâelle nâa jamais fait que cela de toute sa vie. Alors que je sens quâelle prend un pied formidable, ses gĂ©missements se transforment en petits cris au fur et Ă mesure quâelle approche de lâorgasme.
Je nâai pas immĂ©diatement compris ce quâelle murmure dâune voix rauque. Elle scande des mots que mon cerveau a du mal de digĂ©rer. Mais câest si gros que je ne veux sans doute pas y croire ! Je ne peux pas imaginer que ces mots lĂ sont sortis de sa bouche et surtout quâelle les pense vraiment !
 - Fais-moi mal ! Va- y tape moi sur les fesses ! Oh ! Mais quâest ce que tu attends ? Claude nâaime pas cela ? Vas-y, donne moi une fessĂ©e ! Jâen rĂȘve depuis que mon Henry nâest plus lĂ Â ! Allez ! Claque-moi donc le cul ! Donne-moi du plaisir et le mien, câest dâavoir mal !
Je nâai jamais vraiment fais cela, alors jâhĂ©site de longues secondes. Puis ma main se lĂšve et elle vient toucher une fesse, presque comme une caresse.
 -Mais vas-y ! Plus fort ne sois pas timide, si je te le demande câest que je sais bien ce que je veux ; nâhĂ©site donc pas comme çà  ! Tanne-moi le cuir, allez !
Alors je recommence, une fois, deux, puis le jeu me plait et ma main sâabat nâ importe oĂč, sur les fesses et je sens Marine qui frĂ©mit. Elle jouit si violemment que je dois la retenir pour quâelle ne tombe pas du canapĂ©. Elle gigote tellement que plusieurs fois ma queue est arrachĂ©e de sa gaine de velours, elle hurle maintenant des mots sans suite, des phases quâelle seule peut dĂ©crypter. Tant et si bien que pour finir, je la mets en travers de mes cuisses, et que je continue la correction alors quâelle rĂ©clame toujours plus fort, toujours plus fort. Sur le cuir du sofa, une tache mouillĂ©e est lĂ , bien en Ă©vidence, signe dâun abandon total de cette femme.
Elle a eu plusieurs orgasmes successifs et elle les a plutĂŽt bien montrĂ©s. Maintenant, elle a repris entre ses lĂšvres mon sexe qui est toujours aussi dur, aussi tendu. Elle me suce divinement, une bouche faite pour tailler des pipes, je lâavoue! Bien entendu, le terme de cette sĂ©ance approche et alors que je tente de retirer ma bite de son gosier, elle, elle fait tout pour lâenfoncer au plus profond de sa gorge. Câest bien sur, elle qui a le dessus, il faut dire que je ne fais plus rien qui puisse la dĂ©ranger. Mon sperme sâĂ©chappe en giclĂ©es brutales. Et Marine le lĂšche jusquâĂ la derniĂšre goutte.
CalĂ©e contre moi, je lui caresse lâĂ©paule doucement et elle passe sa main sur mon torse. Elle semble satisfaite et radieuse. Moi je me sens coupable de quelque chose de moche ! Pourvu que Claude ne se doute de rien, mon mariage rĂ©sisterait-il Ă cet outrage ? Comment rĂ©agirait-elle si elle savait ?
 -Ne crains rien Michel, ce nâest pas moi qui irai lui dire ce que nous venons de faire !
Câest comme si elle lisait dans mes pensĂ©es, ce qui ne me rend pas plus joyeux pour autant, dâautant quâelle ajoute :
 -JâespĂšre mĂȘme que nous recommencerons le plus souvent possible ! CâĂ©tait trop bon ! Et puis, çà reste dans la famille ! Non ?
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