Elle peut s'occuper de deux mecs

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mioumiourue89 a posté le 17 novembre 2016 à 14h48
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crepitus a posté le 17 novembre 2016 à 14h48
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vieuxpuits a posté le 17 novembre 2016 à 14h48
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chele a posté le 17 novembre 2016 à 14h48
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artefact75000 a posté le 17 novembre 2016 à 14h48
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A quoi ressemble la vie sexuelle des homos ? Pour arrêter de croire que deux filles ne font que s’embrasser, deux mecs que se pénétrer, quatre homos passent leur sexualité au rayon X de notre partenaire StreetPress.
J’avais 17 ans, nous étions chez ma copine. Je lui avais menti, je lui avais fait croire que j’avais de l’expérience. Elle s’est vite rendue compte que non… J’avais peur de la décevoir alors c’était pas top. Depuis, je n’ai couché qu’avec des femmes. Mais la première de mes premières fois, c’était avec un garçon. J’avais 16 ans, et, pendant qu’on faisait l’amour, je pensais à une de mes copines…
Ta meilleure fois avec une fille  ?
Ma meilleure fois a duré un an. C’est avec une de mes ex, je pouvais tout faire, réaliser mes fantasmes les plus fous, nous n’avions aucun tabou.
Autour de toi, tes proches sont curieux de savoir comment se passe une relation sexuelle entre filles  ?
Moi, je vis dans un milieu très masculin, un milieu de motards. Donc, oui, ils m’ont déjà demandé. Ils croient toujours deux femmes ensemble se masturbent, se font des cunni et que ça s’arrête là. Je leur réponds assez crûment  : y’a les sex toys, y’a le minou contre le minou, y’a les doigts.
En quoi c’est mieux qu’une relation hétéro  ?
Y’a plus de tendresse, plus de préliminaires, aussi bien au début qu’à la fin. T’as déjà vu un mec bien s’occuper de sa femme après l’amour  ?
Comment tu expliques l’homophobie  ?
Je pense que les mecs flippent qu’on leur prenne leurs femmes. Et ils ont raison  : aujourd’hui, elles n’ont plus besoin d’eux comme il y a 60 ans.
Ma première relation avec pénétration  ? J’avais 16 ans et demi. Avec mon copain de l’époque, on était ensemble depuis un an et demi, on a vraiment pris notre temps. Parce que c’est pas anodin de passer le cap de la pénétration anale. Pour les hétéros, généralement, ça prend pas mal de temps avant de tester la sodomie, et là boum, nous on doit faire ça direct. Les premières fois, on se demande vraiment comment faire.
Tu es resté longtemps avec ton premier amour  ?
Oui, quatre ans. Puis je suis resté quatre ans avec un autre mec. Et là, depuis un peu plus d’un an, je m’amuse beaucoup. Faut dire que, quand t’es gay, si tu veux trouver un mec juste pour tirer un coup, c’est facile. Même si y’a toujours la menace du VIH qui peut faire flipper.
Non  ! Surtout qu’on a un souci, entre gays. Y’a ceux qui sont plus actifs, ceux qui sont plus passifs et ceux qui s’en moquent. Dans tous les cas, c’est pas écrit sur nos visages. Généralement, dans un couple, c’est toujours le même schéma  : moi, j’ai été actif pendant mes deux premières relations, ma première pénétration anale, c’était il y a seulement un an. Mais je ne suis pas contre l’idée d’être passif. Tout dépend de comment je me sens, c’est assez difficile à exprimer.
Je baise un peu partout, j’ai déjà baisé dans un avion. Un vol, en Asie, on était quatre dans l’avion… c’était très cool  ! J’ai fait l’amour dans des parcs, sur la plage, dans un ascenseur… C’est excitant l’idée que tu puisses te faire surprendre. Surtout que tu te fais toujours surprendre, si ce n’est par quelqu’un, ça peut être par un évènement. Je me souviens d’une fois, en Australie, on est allé dans un parc et une sorte d’écureuil est venu pisser sur mon mec.
C’était avec un mec qui arrivait pas à bander, il était excité pourtant, je faisais tout ce que je pouvais, mais il ne se passait rien, c’était horrible…
Une double éjac’  : je jouis, et d’habitude, faut bien 10 minutes avant de remettre ça. Cette fois-là, je me sens pas comme d’habitude, du coup on refait l’amour tout de suite, et je re-jouis. Deux fois d’affilé en deux minutes. C’était divin.
J’avais 17 ans, c’était en Algérie, dans une tente. On rentrait d’un concert, on avait bu, c’était vraiment bien. Ça m’a libéré. Même si, aujourd’hui, plus de dix ans après, je ne me ressemble plus du tout  : j’ai fait beaucoup de sport pour me sentir mieux dans mon corps. J’ai des pec’, des bras, je plais plus aux mecs.
Je voyage beaucoup, parce que je préfère les étrangers. A Paris, j’ai épuisé mon carnet d’adresses. Je préfère Barcelone, Londres, Amsterdam, les mecs sont plus ouverts, moins hautains qu’à Paris, plus souriants aussi. Ça demande des moyens et du temps mais je préfère me taper un canon une fois de temps en temps que des moches tout le temps. Pour que ça fonctionne mieux, je mets des annonces en anglais sur le site GayRomeo. Les étrangers me font plus de compliments sur mon physique. Sinon, je fréquente les saunas, les soirées électro, les festivals gays.
Y’a des différences en fonction des pays dans la manière de faire l’amour  ?
Oui, en France, les mecs portent des jogging et aiment baiser dans les caves. Dans les pays du Maghreb, ils préfèrent jouir dans la bouche. J’aime bien cette diversité. J’aime surtout Barcelone, mais sinon je suis ouvert à tout, à toutes les nationalités.
Au sauna, on était dans le noir, et je pensais avoir accroché un mec jeune et beau. Sauf qu’à la lumière, il ne me plaisait pas du tout  : j’étais deg’.
Et la meilleure, c’était y’a un an, un festival gay à Barcelone avec plein de mecs bodybuildés. J’ai rencontré un Libanais, 1 bombe, 1m90, 90 kilos, yeux verts, j’ai vraiment craqué, c’était une nuit magnifique.
Avec un mec, j’avais 18 ans, et avec une fille, 20. Avec le mec, c’était pas du tout, du tout, ce que je cherchais sexuellement. J’étais encore avec mon copain quand je suis sortie avec cette fille, il était même dans la même maison que nous quand on a fait l’amour, sans qu’il se rende compte de rien. Avec cette fille, ça n’a pas duré. J’avais peur de ne pas savoir comment m’y prendre, j’ai été assez passive. Mais c’était de toute façon mieux qu’avec un garçon.
Tu es ressortie avec un homme depuis  ?
Oui, toujours avec le même. Quand mes parents ont su que je préférais les filles, ils m’ont viré de chez eux. Du coup, mon ancien copain m’a proposé de revenir habiter chez lui. J’étais perdue. Un an après, on s’est remis ensemble, ça a encore duré trois ou quatre ans. Sexuellement, c’était pénible, je lui disais de se dépêcher, qu’il se fasse plaisir mais vite.
Sans nul doute avec ma copine actuelle, qui a bouleversé ma vie. Le premier mois, elle m’a donné rendez-vous dans un lieu qu’elle tenait secret, elle m’a guidé au téléphone pour que je la trouve et elle avait organisé un repas en plein milieu de la nature. C’était magique.
Oui, plutôt sextoys. Ça change la façon de faire l’amour.
Une remarque débile entendue sur ta sexualité  ?
Des gens qui me demandent «  quand vous l’avez fait une fois, qu’est-ce qu’il se passe après  ?  » Comme si notre sexualité s’arrêtait après avoir fait l’amour une fois. Je trouve improbable aussi les mecs qui fantasment sur un truc à trois. Un jour, y’en a un qui nous a même proposé de filmer. Alors que dans nos têtes, si un jour il y avait un mec dans une relation (ce qui n’est pas à l’ordre du jour), il serait davantage un objet sexuel qu’un sauveur.
Bonjour le cliché à deux balles...


Bof ! pourrait mieux faire. Bien sûr je parle de l’article.


Je sais pas trop, mais les français gays qui portent des jogging et baisent dans les caves ça fait un peu cliché banlieue sordide.


J’ai éclaté de rire quand j’ai lu ça. En dehors du fait que le Sharif en question semble être une vraie caricature, le coup des joggings et des caves, c’est drôlissime. Apparemment, son lieu exclusif de chasse, c’est les cités de banlieue. On a pourtant un cliché ambulant avec le quartier du Marais à Paris où il pourrait découvrir d’autres dressing codes que le jogging ; o)


Cet article est purement anecdotique et ne peut en aucun cas se prévaloir d’une réponse idoine au titre ’comment c’est, en vrai’.
Bon, dans tous les cas, ça nous change un peu des histoires ’polyamoureuses’ de la Tentacara et de ses deux aliborons.



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Entre la rencontre d’un soir, l’ex devenu un amant et l’homme de sa vie qui enfin se décide à appeler, Aurélie a passé une journée... très excitante.
Il ne faut pas dire : fontaine, je ne boirai pas de ton eau. On le sait, on l’oublie. Ça m’est arrivé avec le jogging que je détestais et dont je ne peux plus me passer, et aussi, à ma grande surprise, avec le fait de coucher avec plus d’un homme dans la même journée. Trois, pour être précise. Ce n’était pas un fantasme ni un défi, c’est arrivé, voilà...
C’était l’année dernière, et j’avais en tête Fabio, un baryton italien beau comme un mannequin d’Armani que j’avais rencontré six mois plus tôt. Le courant était très bien passé entre nous, nous nous écrivions des mails de plus en plus roucoulants et, cette semaine-là, il allait se trouver de nouveau à Paris. Il m’avait dit que, dès qu’il aurait cinq minutes, il m’appellerait. Donc, depuis mardi, jour de son arrivée, je m’étais greffé le portable au poignet... pour rien. Ainsi, vendredi soir, je suis allée à la crémaillère d’Adèle, en rogne mais prête à m’amuser. Il avait encore tout le week-end pour m’appeler, Fabio, et sinon, je n’allais pas me morfondre sur mon canapé en attendant un coup de fil qui pouvait venir ou pas.
J’ai dansé comme une folle, bu plus que de raison et, quand je me suis réveillée, le lendemain, je n’étais pas dans mon lit, mais sur le Clic-Clac de... Il s’appelait comment, déjà ? Horrible sensation de « tu t’es vue quand tu as bu » ! Ouf, ça m’est revenu : c’était Loïc, un garçon mignon et drôle qui avait décidé que j’étais le sosie de Penélope Cruz. Pas vrai, mais rien contre. Il m’avait proposé de me raccompagner à scooter, j’ai eu quand même le bon sens de dire qu’il n’était pas en état de conduire, qu’il faisait un froid de canard... Et comme il habitait tout près... Manque de prévision et donc de préservatif, nous ne sommes pas allés jusqu’au bout, et si, sur le coup, ça m’a frustrée, au réveil j’étais plutôt soulagée d’en être restée aux caresses, certes très poussées, mais que des caresses en fin de compte. D’autant plus que, du haut de mes 27 ans, il me semblait terriblement jeune – il n’avait que 20 ans. Je l’ai embrassé sur le front et j’ai filé dans le froid. Il était 11 heures et j’avais rendez-vous pour aller courir au bois de Vincennes avec Guy, rancard dont on avait convenu pour m’occuper l’esprit au cas où Fabio n’appellerait pas.
Guy, c’est mon ex préféré. Depuis le temps qu’on se fréquente, je pourrais dire que c’est mon meilleur ami, mais comme on couche régulièrement ensemble quand les circonstances s’y prêtent, je dis qu’il est mon meilleur amant. Nous avons toujours plein de choses à nous dire, et les détails qui m’énervaient quand on sortait ensemble – deux mois, il y a trois ans – me le rendent attachant : c’est une brêle en informatique, je dépanne son ordi ; il n’est jamais à l’heure, je ne vais plus avec lui au ciné… De son côté, il a toujours le sourire et joue les preux chevaliers dès qu’il peut, comme la fois où j’ai vu une souris dans ma cuisine. Bref, on est célibataires ensemble. Quand je l’ai appelé pour annuler le rendez-vous, il m’a proposé de passer à la maison avec son remède miracle pour les lendemains de fête. Il le tient de son Erasmus à Madrid : moitié bière, moitié limonade, le tout très froid avec des anchois marinés au vinaigre.
J’en ignore les raisons scientifiques, mais ça marche. Ainsi, après une longue douche et quelques « claras » – nom du pseudo-cocktail –, j’allais beaucoup mieux. Guy s’est déclaré fier de ma fermeté quant à l’usage du préservatif, s’est désolé du manque de goût évident de Fabio, et m’a proposé, dans la foulée, de me faire un massage. D’abord, j’ai décliné, je sais comment se finissent les massages avec Guy, l’huile... ça finit toujours par glisser. J’avais dormi avec Loïc, et même si on n’avait pas fait l’amour, ça me semblait très bizarre, de passer comme ça, d’un homme à l’autre dans la même journée : je n’ai jamais fait « la tournée des plumards » comme dit François Cluzet à Emmanuelle Béart dans « L’Enfer » de Chabrol… Je connais une fille qui vit dans ce qu’on appelle « un couple libre » : aussi bien elle que son compagnon vont voir ailleurs quand ils en ont envie, et elle raconte sans complexes qu’il lui est arrivé de rentrer de chez un amant et de faire l’amour ensuite avec son « officiel ». Ça m’a toujours laissée perplexe car, même si ma libido se porte plutôt bien, je ne me suis jamais sentie attirée par les pratiques hors sentiers battus.
Mais ce jour là, je devais avoir la croustille, comme dirait Fonelle, et, dans la langueur de la sieste, Guy n’a pas eu de mal à me persuader qu’un après-midi gourmand me ferait le plus grand bien. Il est très doué pour les massages, j’aime beaucoup sa peau et on rit énormément au lit. Trois orgasmes plus tard, quand je me suis relevée pour faire du thé à la cannelle, j’ai consulté mon portable par réflexe, sans plus vraiment espérer l’appel de Fabio. J’avais un message : « ho voglia rivederti » ! Il était enfin libre, il voulait me voir. J’étais affolée, je me sentais coupable, embarrassée, j’avais l’impression qu’il allait deviner en me voyant à quoi j’avais passé la journée. Guy, après avoir joué cinq minutes les amants jaloux, m’a remis les idées en place. « Ça fait six mois que tu ne me parles que de lui, tu ne vas pas faire de manières ! Tu ne lui dois aucune explication, tu as passé un bon week-end avec tes amis, tu as une mine superbe. » Il m’a mis le téléphone dans la main : « Va le voir, chienne infidèle, et carpe diem ! »
J’ai donc donné rendez-vous à Fabio devant l’Opéra. J’ai changé quatre fois de tenue, Guy a insisté pour que je mette une petite robe noire et des bottes à talon même s’il avait neigé. J’étais très nerveuse, j’attendais ce moment depuis six mois. Et puis, si ça se trouvait, Fabio voulait juste passer une soirée avec moi plutôt qu’à l’hôtel ou avec ses collègues de la troupe. D’ailleurs, et même si nos échanges avaient pris une tournure carrément sexy, il se pouvait qu’en le revoyant il ne me plaise plus, ou inversement. Je me suis obligée à me calmer : rien ne m’imposait de coucher avec lui. Qu’est-ce qu’on se met la pression avec ça, nous les filles, alors que souvent les garçons, en dépit de ce que nous pouvons penser, s’estiment déjà heureux d’avoir réussi à décrocher un rendez-vous !
Fabio, en tout cas, avait l’air ravi de me voir. Il voulait que je lui montre le Paris des Parisiens, on s’est baladé sous les éclairages de Noël. Les vitrines des grands magasins, les marrons chauds, une coupe de champ’ au Lutetia... J’étais sous le charme de ses yeux verts et de sa voix de baryton. Il me plaisait à mort, chaque fois qu’on se frôlait – désolée du cliché – on s’excusait trois fois, alors que notre langage corporel exprimait très clairement qu’on cherchait le contact et que de toute façon, entre son beau manteau et ma doudoune, cela n’avait rien d’intime ! Enfin, c’est lui qui a pris les devants et ma main pendant le dîner, et, en quittant le resto, sous prétexte de me réchauffer, il m’a prise dans ses bras. J’étais confuse, un peu réticente, mais, fra
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