Elle persuade son père de lui défoncer la chatte

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Elle persuade son père de lui défoncer la chatte

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Publié le

08/09/2021 à 15:38


Une rue sombre, une prostituée sous un lampadaire, un client qui la fait monter dans sa voiture. Si c’est l’image que vous vous faites de la prostitution, il va falloir la réviser. Devenue minoritaire en 2015, la prostitution sur la voie publique représente aujourd’hui moins d’un tiers de l’activité. Désormais, la mise en relation des clients avec les prostituées se fait essentiellement via des sites d’annonces. Le plus vieux métier du monde s’est métamorphosé en silence, à l’ombre des grands bouleversements bruyants de la dernière décennie, dont il a pourtant pris les codes : digitalisation, réseaux sociaux, ubérisation.
À ceci près que dans la prostitution, ces mutations ont fait exploser un phénomène très inquiétant : la prostitution des mineurs. Le secteur associatif évalue le nombre de victimes, très majoritairement féminines, entre 7 000 et 10 000. Au point que le gouvernement prépare pour octobre un plan national de lutte, sous l’égide d’Adrien Taquet, le secrétaire d’État en charge de l’enfance et des familles, à qui un groupe de travail a remis son rapport en juillet.
Hier mardi 7 septembre, Adrien Taquet a reçu une interlocutrice dont l'expérience est on ne peut mieux caractéristique du fléau. On y retrouve le cocktail des tourments humains qui conduisent une ado à se prostituer : emprise d’un petit copain attardé qui se découvre proxénète, psycho traumatisme durant l’enfance, besoin d’argent facile, fugue, influence des réseaux sociaux, inaction des autorités… Ce récit, c’est celui de Jennifer Pailhé et de sa fille Assia, 17 ans aujourd'hui, qu’elle a sorti des griffes d’une prostitution qui a commencé lorsqu’elle en avait 15.
En 2019, l’histoire débute de façon d’autant plus sinistre que Jennifer est en prison, à Seysses (Haute-Garonne) pour vente d'héroïne, lorsqu’elle comprend que sa fille vend son corps à des hommes via Internet. Avec son proxénète, Assia semblait au départ vivre une idylle d’adolescente comme il y en a tant. Une rencontre en colonie de vacances, le coup de foudre, du sens donné à une existence chaotique. Car Assia a vécu ce genre de traumatisme d’enfant qui ronge l’âme et crée ce que les psychologues appellent dans leur jargon un « terrain » difficile. L’inceste de son grand-père paternel, la scarification, le dégoût de son propre corps.
Et puisqu’elle était capable de se scarifier, l’Aide sociale à l’enfance (ASE) l’accusait de se faire ses propres bleus. C’est précisément de ces faiblesses que celui qu’elle pense être son petit copain profite.
De trois ans son aîné, à 18 ans, ce délinquant juvénile originaire d'une cité lui prend sa virginité, et la force à se prostituer dans des hôtels ou des Airbnb miteux de banlieue parisienne, via des sites d’escorting comme Vivastreet, Sexemodel ou Wannonce. Lui, présente les choses comme si c’était normal et dit que ce ne sera que passager. Elle, voit ça comme une façon de payer ses fugues et d’être libre, un sacrifice pour que dure son couple.
C’est cette situation que Jennifer comprend mieux que personne, d’autant qu’elle s'y connaît en écorchée vive : elle aussi a connu l’inceste – de son beau-père – le placement en foyer, les fugues, les tentatives de suicides et l’hôpital psychiatrique à 13 ans. Grâce à un petit téléphone introduit en cellule, en fouillant la boîte mail d’Assia pleine de missives de sites d'annonce, elle saisit l’étendue des dégâts. Crée un faux profil masculin, reconnaît le corps de sa fille qui cache pourtant son visage sur les annonces. En promenade, elle pense à renier sa fille qui la dégoûte. Mais dans sa cellule, son mari la raisonne au téléphone, et tente de contacter leur fille pour glaner quelques informations.
Jennifer se lance dans un véritable jeu de piste de sa cellule : à partir de telle table de nuit ou telle faïence de salle de bains reconnue sur les sites, elle fait le rapprochement avec tel hôtel ou tel Airbnb du secteur où elle estime que sa fille se trouve. Elle enchaîne les captures d’écran pour mieux les faire imprimer par des gens à l’extérieur, afin de porter plainte.
Sauf qu'elle n'en a pas l'occasion. Son droit de courrier est bafoué, et même les matons la raillent. À deux doigts d'étriper une surveillante qui ose lui lâcher : « Pailhé, vous savez, dans la vie, y’a un truc bien, c’est d’être mère ! ». Elle écope du mitard, de trois rapports d’incidents, et se fait supprimer ses remises de peine. Elle tente de recontacter sa mère avec qui elle avait coupé les ponts pour lui demander de porte plainte. Mais n'écope que d'un : « À ton âge on est assez grande pour assumer ses problèmes ! ».
Une fois dehors, en mars 2020, elle porte plainte contre le bourreau de sa fille, et court de département en département. 93, 95, 77… On lui rétorque que sa fille est consentante car elle avait la possibilité de porter plainte, et on la redirige de brigade en brigade. Autour d’elle, un manque ahurissant de protocoles, de psychologues, de professionnels. D’une région à l’autre, on lui sort la formule magique de l’ « incompétence territoriale », elle qui passe jusqu’à trois jours dans sa Clio 3 break à sillonner les territoires à la recherche d’un indice. Les policiers jouent même en sa défaveur : ils tentent de géolocaliser Assia sans appeler en masqué, son proxénète découvre que l’appel provient de Toulouse, et casse la carte SIM de l’adolescente.
Mai 2020. C’est toujours avec sa méthode que Jennifer trouve un jour le lieu de passe de sa fille dont elle l’arrache, en s’infiltrant grâce à un faux rendez-vous pris par son mari, à son tour incarcéré. Tandis que son fils de huit ans attend dans la voiture. Et que le proxo de sa fille est caché avec un couteau dans la salle de bains. Elle emmène sa fille de force, lui enlève ses chaussures pour ne pas qu’elle s’enfuie, et la fait examiner au CHU de Toulouse. Bleus, hématomes. Le pire ? Assia accuse sa mère devant les policiers. On la replace en foyer, Assia fugue à nouveau. Et Jennifer réédite la démarche de l'arracher de force plusieurs fois jusqu’en juillet.
Devant tant d'échecs, en octobre 2020, la jeune mère change de recette : plutôt que de forcer sa fille à couper les liens avec son petit copain, elle passe à la méthode diplomatique. Et la laisse le voir. Mais surtout, elle a une idée : inciter l’ancienne famille d’accueil de sa fille, avec qui les choses se passaient bien, à prendre contact avec elle.
Quand ils la revoient, ils conduisent Assia à l'hôpital. Une fois sur sa place, Jennifer les retrouve, et parle à sa fille sur un ton plus apaisé, se fend d'un « je respecte tes choix, même si je ne les accepte pas » à contrecœur mais qui fait la différence. Elle va même jusqu’à parler au proxénète et à sa mère. D’autant plus qu'une nouvelle donnée vient de s'ajouter : Assia est enceinte depuis mai 2020. Elle se persuade que c’est de lui. Même si Jennifer n’est pas dupe, elle fait semblant d'y croire aussi, crée de la complicité avec sa fille, l’entoure du voile de gaieté qui a manqué à sa vie. Et la joue stratège : en passant du temps avec sa fille, elle pousse son proxénète à la faute, lui alterne crise de jalousie et menaces de suicide.
La psychologie dure jusqu’à la naissance du bébé : Kelvyn, en janvier 2021. Mais l'ado a le mauvais réflexe d’appeler son bourreau pour lui montrer l’enfant… d’un client. Jennifer voit rouge, hurle de rage, lâche les chevaux contenus durant des mois : « Que tu ne te respectes, pas c’est ton choix, mais lui présenter son visage, c'est un tel manque de respect ! Tous les soirs il mettait la main sur ton ventre en sachant que c'était celui d'un client, et ça ne l'empêchait pas de t'envoyer te faire gicler dessus ! ». Suivent les pleurs, un électrochoc, une prise de conscience. Assia coupe les ponts et l’emprise.
Mars 2021, elle se rend capable de témoigner auprès de sa mère et de lui livrer les pires détails, pour qu’elle les transmette ensuite à la brigade d’Argenteuil qui a pris en main le dossier avec brio.
Nous sommes à l’été 2021. Le proxénète est incarcéré depuis mars, elle s’est reconstruite, se maquille moins, a un nouveau petit copain et espère faire du droit depuis sa seconde générale où elle rattrape deux ans de scolarité perdus. Et a symboliquement jeté les bijoux qu'il lui offrait avec de l'argent sale. Aujourd'hui Jennifer observe Assia du haut de la fenêtre de leur immeuble, s’amuser avec des amis, en scooter. Une vie insouciante, une vie normale. En ce début septembre, la mère espère faire entendre sa cause : elle a créé l’association « Nos Ados Oubliés », est reçue par ministre et médias. Pour enrayer ce fléau qui avance avec les mauvais vents de notre époque : la prostitution des mineurs.
Série d'été - Les pendules à l'heure (6/6)
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Thème: Première fois Personnages: FH Lieu: A la maison, intime Type: Histoire vraie


Cette histoire, s'est déroulée il y a quelques années.
À l'époque j'avais 17 ans et nous étions en plein été.
J'ai la chance d'avoir eu une enfance heureuse et lors des vacances d'été, ma famille avait l'habitude de nous installer chez les grands-parents qui avaient une très grande maison.
Nous occupions une aile de cette maison que mon père avait aménagée pour que l'on puisse y vivre durant tout l'été.
Dès le premier jour des vacances, nous nous installions dans cette maison secondaire et nous attendions avec impatience nos cousins et cousines qui venaient eux aussi.


Cette année, l'ensemble de la famille
Une MILF anglaise qui suce en POV
Il baise avec Codi Bryant
Prête pour baiser

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