Elle perd son mari et ce jour-là, elle baise un autre mec

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Elle perd son mari et ce jour-là, elle baise un autre mec
Avec l’aimable autorisation de Beverly Willett
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Hillary Clinton se confie sur ce qui lui a demandé le plus de courage
Avec mon ex, nous avons fait une semaine de thérapie pour nous séparer "en pleine conscience"
Je n’apprécie pas et je ne me reconnais pas dans le terme "couguar" mais j’aime l'esprit et l'attitude qu'il représente.
“Tu es une vraie couguar, dis donc!” s’est exclamée une amie lorsque je lui ai raconté mon rendez-vous amoureux avec un homme assez jeune pour être mon fils. Elle plaisantait, bien sûr, mais l’utilisation de ce terme péjoratif désignant les femmes qui font ce que les hommes sont encouragés à faire depuis longtemps m’agace profondément.
J’ai vécu un divorce horrible après vingt ans de mariage. Quand j’ai été à nouveau prête à faire des rencontres, j’ai constaté que les hommes libres de mon âge (la cinquantaine) ne couraient pas les rues.
Les chants nuptiaux entonnés par les hommes rencontrés par amis interposés n’avaient rien de romantique: ils me proposaient de me cuisiner un plat de pâtes chez eux ou d’apporter une bouteille de vin chez moi. Sans parler du riche propriétaire d’un yacht qui, après m’avoir invitée au restaurant, m’a fait promettre de lui préparer à dîner – et de faire beaucoup plus – le lendemain soir.
Les hommes rencontrés sur des sites étaient pires. Certains mentaient effrontément sur leur situation amoureuse ou prétendaient ne pas avoir d’enfants. La plupart cherchaient des femmes beaucoup plus jeunes que moi et je me souviendrai du misogyne qui, dès que nous avons commandé un verre, a commencé à tenir des propos orduriers à l’égard de sa supérieure hiérarchique.
Je voulais un hétéro, gentil et généreux. Etait-ce trop demander?
C’est à ce moment-là qu’un jeune pilote, que je prénommerai Ahmed, est entré en scène à l’aéroport de Dulles, à Washington. Notre vol à destination de Savannah, en Géorgie, était retardé, et lorsque je suis allée m’informer au comptoir, Ahmed – un grand brun ténébreux – s’est approché de moi et m’a demandé ce qu’on m’avait dit.
“Incident technique”, ai-je répondu.
“Mon alerte parlait d’un problème météo”, m’a-t-il dit en me montrant le message de la compagnie aérienne.
“Alors, ils ont menti”, ai-je ajouté.
Ahmed m’a souri et nous avons regagné nos places. Il avait peut-être 30 ans. En tout cas, beaucoup plus proche, en âge, de mes filles de 20 ans que de moi.
C’était le soir, j’avais passé toute une journée en famille avant de faire deux heures de route, sous une pluie battante et dans une circulation dense, jusqu’à l’aéroport. Je n’avais pas eu le temps de me laver les cheveux ni de me maquiller et je portais des leggings et une tunique informe. La tenue que je portais depuis deux ans (quand j’avais pris dix kilos). Je me sentais affreuse.
Ahmed, en revanche, avait clairement l’air athlétique sous son jean et son t-shirt serrés, et il était frais comme un gardon malgré les différents avions qu’il m’a dit avoir pris ce jour-là. J’ai essayé de ne pas fixer ses bras musclés et de ne pas penser à la graisse qui enrobait les miens. Et puis je l’ai vu approuver de la tête lorsqu’il a remarqué le tatouage sur mon épaule.
“Vous habitez à Savannah?”, lui ai-je demandé pour faire diversion.
“Non, dit-il. “Je viens d’Arabie Saoudite.”
Il rejoignait une ville proche de Savannah pour son entraînement de vol annuel. Je lui ai dit que je venais de rendre visite à ma mère.
Juste avant l’embarquement, il m’a dit qu’il aimerait beaucoup m’emmener dîner au restaurant Olde Pink House. Sa proposition m’a surprise mais j’ai accepté.
Nous avons échangé nos numéros, même si je ne croyais pas vraiment à cette invitation dans l’un des restaurants les plus chers et les plus romantiques de Savannah, par un homme de vingt ans mon cadet, beau comme un dieu. Compte tenu de mon expérience désastreuse avec des hommes qui auraient dû mieux connaître les femmes, et mieux se comporter, quelles étaient les chances pour qu’un jeune de la génération habituée aux coups d’un soir me rappelle?
Je trouvais cela d’ailleurs bizarre qu’il m’ait proposé de passer par la case dîner. Je pensais que les jeunes de son âge faisaient l’impasse sur les rendez-vous amoureux, commençaient la soirée par le sexe et finissaient, dans quelques cas, pas cohabiter. Mais, même si le divorce m’avait dévastée, je croyais toujours à l’amour et au jeu de la séduction. Alors je me suis dit: pourquoi pas?
Nous avons embarqué et nous sommes dirigés vers nos sièges, situés aux extrémités opposées de l’avion. Après l’atterrissage, je me suis rendu compte de ce que j’avais fait et je me suis précipitée vers ma voiture.
Qu’est-ce qui m’avait prise de lui donner mon numéro? Vu mon âge et mon look débraillé, il n’allait jamais appeler. Pourquoi continuer à me bercer d’illusions alors qu’à chaque fois cela finissait mal? Pourtant, plus tard dans la nuit, il m’a envoyé un texto pour savoir si j’étais bien rentrée.
Bien décidée à ne pas céder aux fantasmes, j’ai sauté dans ma voiture le lendemain matin et suivi mon programme, c’est-à-dire assister à une retraite silencieuse hors de la ville.
À mon retour, j’ai trouvé ce message sur mon portable: “J’espère que tout va bien. J’attends ton retour pour qu’on puisse se voir.”
Il m’a aussi demandé une photo de moi (houlà!) et m’a envoyé plusieurs photos de lui que j’ai fait défiler lentement, de peur de tomber sur quelque chose de déplacé. Fort heureusement, il n’était pas adepte du sexting.
Ahmed a proposé une date pour notre dîner. Ce soir-là, nous avons longuement parlé au téléphone, chose que je croyais désuète, encore plus chez les jeunes.
“Quand tu m’as dit que tu étais allée voir l’hôtesse à la porte d’embarquement, je me suis dit: ‘Cette femme a des principes, et j’aime ça chez une femme.’”
Je me considère comme une femme forte et dynamique qui refuse d’accepter les mensonges d’une employée d’une compagnie aérienne, d’un rencard potentiel ou de toute autre personne. Il a donc immédiatement marqué des points pour la rapidité avec laquelle il l’avait compris.
Deux jours plus tard, nous nous sommes retrouvés en début de soirée au Olde Pink House. Ahmed avait réservé une table et m’a demandé si cela ne me dérangeait pas de repousser l’heure de notre rendez-vous afin qu’il ait le temps de prendre une douche après le travail. J’ai trouvé cela tellement mignon qu’il se donne du mal pour faire bonne impression que je me suis dit que je devais faire pareil. J’ai donc passé plusieurs heures à me coiffer, me maquiller et choisir la robe et les boucles d’oreilles adéquates.
Il est arrivé au restaurant à l’heure convenue. Il a passé sa main douce sur la mienne tandis que nous suivions le serveur jusqu’à notre table, il est resté debout pendant que celui-ci tirait ma chaise, et il s’est assis après moi.
Le serveur est venu plusieurs fois pour prendre nos commandes, mais nous étions tellement absorbés par notre conversation que nous avions oublié de consulter le menu.
Nous avons parlé de nos métiers, de ce que j’écris et de sa carrière de pilote-médecin chargé d’emmener des patients aux quatre coins du monde dans des hôpitaux spécialisés.
Il m’a dit qu’il avait 36 ​​ans. Je ne lui ai pas donné mon âge, mais il était clair qu’il y avait un grand écart entre nous. De toute évidence, il s’en moquait. Il voyageait souvent et m’a raconté plusieurs aventures qu’il avait eu avec des femmes “immatures” qui l’avaient dragué. Il disait les trouver ennuyeuses.
Nous étions tous deux divorcés avec des enfants. Je lui ai parlé de ma mère vieillissante et il m’a parlé de la sienne. Il a ajouté qu’il avait récemment emménagé avec elle, après la mort de son père et de son frère. Il sentait qu’elle avait besoin de son aide et de son soutien affectif et parlait d’elle avec beaucoup de respect, comme jamais je n’avais entendu un homme parler d’une femme, à l’exception peut-être de feus mon père et mon grand-père.
“Le restaurant va bientôt fermer.” Ce sont les mots que nous avons entendus quelques heures plus tard. La salle s’était vidée sans que l’on s’en aperçoive.
J’ai remercié Ahmed, qui avait dégainé sa carte de crédit si rapidement que l’addition n’avait même pas eu la chance d’atterrir sur la table.
“C’est normal”, m’a-t-il répondu d’un air étonné.
Avec un homme de mon âge, je me sens toujours gênée lorsque l’addition arrive. Dans ce monde de rencontres entre divorcés, je ne suis jamais sûre de ce que je suis censée faire. Compte tenu des combats gagnés par les femmes et de l’époque dans laquelle nous vivons, une partie de moi a envie d’attraper l’addition et de proposer que chacun paie sa part, tandis que l’autre a envie de ne pas bouger et d’arrêter de chercher des justifications au fait de le laisser payer.
Pour être claire, je n’ai pas besoin qu’un homme prenne soin de moi, mais j’avoue avoir un faible pour la romance à l’ancienne et les hommes qui prennent l’initiative.
Une fois dehors, Ahmed et moi nous sommes assis sur un banc et nous nous sommes embrassés.
Un peu avant minuit, il a pris ma main et m’a accompagnée jusqu’à ma voiture. Je suis rentrée chez moi, abasourdie par le rêve que je venais de vivre.
Le lendemain, nous avons parlé, par textos, de cette soirée “merveilleuse” que nous avions passée ensemble.
Je ne m’attendais pas à ce qu’un homme plus jeune que moi se comporte aussi bien quand tant d’hommes de mon âge — presque tous, à vrai dire —, y compris mon mari, avaient été si décevants.
Mon divorce avait fait de l’avocate, mère de deux enfants, forte et sûre d’elle que j’étais une femme envahie par la peur et le doute. Pendant des années, j’ai été incapable de fixer mon reflet dans le miroir lorsque je me maquillais, tant je ne m’aimais plus.
J’avais vieilli. Mes enfants avaient grandi. Suite à mon divorce, j’ai vidé la maison de Brooklyn que je ne pouvais plus me permettre de garder. Au milieu des cartons et après l’ouragan que je venais de traverser, je me suis étonnée de découvrir la femme que j’avais été, celle que ses amis avaient exhortée à retrouver.
J’avais passé tant d’années écrasée par l’opinion que mon ex-mari avait de moi que j’avais mis de côté l’opinion que j’avais de moi-même. Cette rencontre avec un jeune pilote m’offrait une chance supplémentaire de me voir telle que j’étais: une femme attirante, intéressante et digne de passer du temps avec lui.
Quelques jours après notre dîner, Ahmed est reparti chez lui. Je ne l’ai jamais revu, je n’ai plus jamais entendu parler de lui, et je le vis très bien. Je savais, lors de cette soirée magique, que cette rencontre avec un homme de vingt ans de moins que moi qui vivait à l’autre bout du monde ne mènerait probablement nulle part. Mais cela n’enlève rien à ce que nous avons vécu ensemble. Je ne sais pas si Ahmed en a conscience, mais il m’a fait un cadeau merveilleux: il m’a aidé à comprendre que je méritais d’être aimée.
Aujourd’hui, j’accepte peu de rendez-vous romantiques. J’ai fermé mes comptes sur les sites de rencontres. Je croise rarement des hommes de mon âge qui remplissent les conditions requises et méritent que je leur accorde mon temps et mon énergie. Je me suis aussi rendu compte que je n’avais pas besoin d’un homme pour être heureuse. Néanmoins, je reste ouverte à la possibilité d’une relation à long terme si ce quelqu’un – peu importe son âge – ressemble à Ahmed (sans vivre à des milliers de kilomètres).
Je n’apprécie pas et je ne me reconnais pas dans le terme “couguar” mais j’aime l’esprit et l’attitude qu’il représente. Dans un monde où l’on dit aux femmes qu’elles sont fanées après un certain âge (qui semble de plus en plus tôt), il est important de valoriser ce que nous sommes et ce que nous avons à offrir. Il est important que nous soyons appréciées des hommes avec qui nous choisissons d’être, quel que soit notre âge ou la personne qui nous invite à dîner.
Ce blog, publié sur le HuffPost américain , a été traduit par Karine Degliame-O’Keeffe pour Fast ForWord .
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Édité et parrainé par louise-auvitu
 Emma a été victime de "stealthing", pratique qui consiste à retirer son préservatif pendant l'acte sexuel. (Flickr/Kerry J/CC)
C'était en 2012, Cédric et moi étions ensemble depuis environ quatre mois. Nous nous étions rencontrés à plusieurs reprises lors d’une soirée entre amis. De fil en aiguille, nous avons commencé à sortir ensemble.
Notre relation, bien que balbutiante, était ce qu’on peut qualifier de sérieuse, même si je n’étais pas amoureuse. Parce que Cédric avait cette réputation de beau parleur, un brin dragueur, je restais sur mes gardes. Il m’a toujours fallu du temps avant d’accorder ma confiance à un homme.
Prenant la pilule, je tenais à ce que nous nous protégions à chaque rapport. J’ai toujours très vigilante : hors de question d’avoir un rapport à risque. Cédric avait déjà abordé la question de faire des tests chacun de notre côté et d’arrêter l’utilisation de préservatif, mais de mon côté, je jugeais que c’était un peu trop tôt.
Ce jour-là, on revenait de soirée comme c'était souvent le cas, et on comptait prendre une douche tous les deux. Une chose en entraînant une autre, ce moment est devenu un peu plus qu'une simple douche.
Immédiatement, j’ai tout arrêté pour attraper un préservatif que j’avais dans un placard de ma salle de bain. Je l’ai tendu à mon compagnon lui faisant entière confiance. Étant dos à lui, je ne pouvais me fier qu'à ce que je ressentais.
Au début, tout semblait normal, mais j'ai soudainement senti que c'était différent. Je ne voyais pas grand-chose, mais j’avais l’impression qu’il ne portait plus de préservatif. Pourtant, je me disais que ça ne pouvait pas être possible.
Et puis, j’ai regardé le sol, et là, je l’ai vu par terre, entre ses deux pieds. Sans mon consentement, il l’avait retiré.
Ma gorge s’est serrée en un quart de seconde et les larmes me sont montées. Dans ma tête, ça a été comme un électrochoc : Suis-je victime d'un viol ? Ça y est, j'ai peut-être le Sida ? Depuis quand fait-il ça ? Et si je suis enceinte ?
Je me suis écartée de lui aussi vite que j'ai pu, et comme si mon corps ne m'appartenait plus, je me suis sentie vraiment salie.
Je lui ai immédiatement demandé ce qui lui avait pris de faire ça, il m’a répondu qu'il n'avait pas réfléchi et que le préservatif l'avait toujours frustré. Comme si son plaisir était la priorité, peu importe les conséquences que ça pouvait avoir sur moi !
Pour une femme, c'est déjà difficile d'avoir un rapport sexuel dénué de soumission, si subtile soit-elle, alors si en plus on ne peut plus compter sur la bienveillance de l'autre, on ne touche plus personne !
Pour lui, ma réaction était démesurée
J’avais l’impression d’être face à un étranger, un homme que je ne connaissais plus. J’ai enfilé une serviette, puis nous avons eu une dispute. Pour lui, il n’y avait aucun risque, car il s’estimait "clean". Moi, j’étais sous le choc. Il m’avait trahie. C'était un acte égoïste, d'un machisme tellement profond et un total manque de respect.
Évidemment pour lui, ma réaction était démesurée.
Je lui ai demandé de s’habiller, de prendre ses affaires et de partir de chez moi. Le lendemain, je lui ai téléphoné pour mettre fin à cette relation. Je savais qu’il me serait impossible de lui faire à nouveau confiance.
Je l’ai recroisé, mais jamais nous n’avons reparlé de ce qui s’était passé ce soir-là.
Trahie, j’ai eu du mal à faire à nouveau confiance
Après cet événement violent et humiliant, j’ai préféré me taire. Je me suis simplement confiée à ma meilleure amie qui, hors d’elle, voulait aller lui parler. Je lui ai demandé de ne pas le faire. Je voulais juste tourner la page et l’oublier.
Même si je me suis sentie victime, je n’ai à aucun moment envisagé de porter plainte. Pour quel motif d’ailleurs ? Je me sentais souillée, trahie.
Il m’a fallu du temps pour m’en remettre. Pendant plusieurs mois, j’avais peur d’avoir de nouveaux partenaires. Et quand les choses se sont apaisées, que j’ai repris un peu confiance en moi, j’ai continué à être paranoïaque. Dès que j’avais un rapport, je vérifiais que le préservatif était bien en place, quitte à choisir des positions sexuelles qui me permettaient d’avoir cette sécurité-là.
Depuis quelques jours, j’ai eu l’occasion de prendre connaissance d’autres témoignages . C’est triste de réaliser que je ne suis pas la seule victime de "stealthing". J’espère sincèrement que cette mauvaise expérience ne se reproduira.
Propos recueillis par Guillaume Reuge et Louise Auvitu
Ça continue le cours d'Anglais ! Il faut vraiment donner un nom anglais à tous nos actes de la vie courante ? Je vais au Foof-Truck, j'ai attrapé le Burn-Out, et maintenant mon copain me fait du Stealthing...??? Je suis Fed-Up !
Plutôt qu'un mot anglais que peu de monde comprend, je propose "dérobade" qui reprend le sens anglais de dissimulation et de furtivité tout en l'enrichissant d'un sens littéral puisque dérober signifie : "dépouiller de sa première peau ou de son écorce". Ce mot rend aussi compte du caractère dissimulé de l'acte (cf. "porte dérobée"). On aimerait que les journalistes fassent ces efforts linguistiques qui redonneraient un peu de lustre à leur profession.
Une relation où l'une, pas amoureuse, le prenant pour un dragueur, campe sur ses positions et refuse l'arrêt du préservatif, et l'autre qui perd ses inhibitions et son sens moral au retour d'une soirée.
Ce n'est pas un drame, c'est d'une médiocrité sans nom.
@Léa 7
Ce n'est pas un drame ?
Vous pensez à la confiance qui doit se construire ? Si, c'est un drame, demain, un partenaire séropositif enlève son préservatif à votre insu, et ce n'est pas un drame ? Forcer une femme, ce n'est pas un drame ?
Je l'ai toujours dit, la pire ennemie de la femme, c'est la femme. Quand on lit un pareil commentaire signé d'un prénom féminin, on est révoltée, ou bien on croise les doigts pour que le pseudo soit en fait celui d'un macho indécrottable.
Non ce n'est pas un drame, sinon dans votre tête R jf. Il a déconné gravement, mais nuancez votre indignation : son inconséquence aurait pu porter à conséquences, mais tout est bien qui fini bien. Elle est pas en sucre la demoiselle, cela fait partie des ratés de la vie de couple. Elle en connaîtra d'autres.
En fait, cette histoire est un non-évènement.
@ R jf Bah non, je suis bien une femme, d'une autre génération que vous sans doute, et ce n'est pas la
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