Elle offre son cul pour le permis

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Elle offre son cul pour le permis
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Publié le 30 octobre 2018 à 23:33 par La rédaction
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© Gentside. Crédit photographique pour toutes les images de ce site (sauf indication) : © GettyImage.
Au guidon de sa splendide moto , cette jolie blonde n'a pas laissé indifférent les automobilistes. En même temps, vêtue d'un débardeur et d'un mini short , sans culotte , elle ne dispose pas de la tenue idéale pour prendre la route. A moto le casque n'est pas le seul équipement de protection, mais pour ce cas, nous n'allons pas nous plaindre qu'elle ait oublié son pantalon et son blouson de cuir.













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En 1976, Chantal Ladesou participait sans le savoir au tournage d’un film pornographique. Un extrait de ce chef-d’œuvre olé-olé a été diffusé hier à la télévision.
Au milieu des années 70, alors jeune comédienne en devenir, Chantal Ladesou acceptait un peu tout et n’importe quoi pour faire chauffer la marmite. Il y a deux ans de cela, alors que Laurent Argelier la réveillait pour la promo de sa pièce Nelson sur MFM radio, la comédienne s’était souvenue de ce film porno auquel elle avait participé malgré elle en 1976. Un gros moment de solitude auquel elle repense en souriant aujourd’hui. « A un moment donné, c’était une grande fête, ils ont dit : “Tout le monde à poil main­te­nant !” » Totalement paniquée face à cet ordre, Chantal Ladsou avait tenté d’esquiver l’effeuillage et ce qui devait se passer après. Impossible, elle avait signé un contrat… « Je pensais que c’était un gag, ajoutait-elle. Au final, j’ai été virée du travail, c’était l’hor­reur ! »
Ce fameux film, c’était Les maîtresses de vacances . Quelques images ont été diffusées hier après-midi dans le tout premier numéro des E nfants de la télé présenté par Laurent Ruquier sur France 2. Très à l’aise, Chantal Ladesou a redécouvert ces images en esquissant un sourire. Il faut dire que la musique, les dialogues et tout le reste sont au top. Découvrez cette séquence très drôle dans la vidéo ci-dessus.

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Stéphanie Gasiglia
Publié le 18/04/2018 à 08:49, mis à jour le 18/04/2018 à 16:07



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Ils sont encore adolescents et ils s'offrent pour de l'argent. Ce mercredi soir, France 5 diffuse «Jeunesse à vendre» pour expliquer ces «passages à l'acte», facilités par les réseaux sociaux. Comme Sarah, une jeune niçoise de 16 ans.
Un regard, un sourire craintif. La porte de son studio à peine entrouverte, elle lâche : « Il n'y a pas d'âge pour foutre sa vie en l'air »
Sur son annonce, Sarah - c'est son vrai prénom, mais pas celui qu'elle donne à ses clients - dit avoir 20 ans. En vérité, elle en a 16. Elle referme la porte doucement. Pièce toute petite… Rendue plus petite encore à cause d'un immense lit envahi de coussins et qui ne laisse guère de place pour le reste. À peine un fauteuil rose coincé entre un mur et une minuscule fenêtre. Les volets sont fermés. « Je ne les ouvre jamais ». Son 24 m2 est dissimulé derrière l'avenue Jean-Médecin à Nice. Le cœur de ville. Avec vis-à-vis.
Sur ses talons noirs, pas si vertigineux, dans son pantalon noir, moulant mais pas trop, dans sa chemise en jean toute simple, Sarah est une jeune fille banale, à peine plus apprêtée qu'une lycéenne lambda.
Elle s'essuie les yeux : « Je me remaquille toute la journée sans me démaquiller, c'est un peu le chantier ».
Sarah a posé sur la table un paquet de chips, deux verres et une bouteille de vin blanc. « ç a vous dit de boire un verre ? ». Voix fluette et peu assurée. La jeune fille a hésité longtemps avant de témoigner. « En fait, ça va me faire du bien, car je n'en parle avec personne sauf avec ma cousine », avait-elle fini par répondre.
Depuis ses 14 ans, Sarah se prostitue. Elle ne prononcera jamais ce mot. Depuis un an elle s'est même organisée et dépose des annonces sur des sites internet. Pourtant, pour ses parents, elle est une étudiante « normale ».
« Ils habitent à Saint-Roch. Je vis encore chez eux. Et la journée je suis ici. Ils croient que je suis en CAP coiffure à Carros. »
Pratique, dit-elle. « Comme c'est loin, je peux rentrer chez mes parents vers 20 h, 20 h 30 sans qu'ils se doutent de quelque chose ».
Toute sa journée, Sarah la passe dans ce studio que sa cousine, qui vend son corps comme elle, a loué à son nom. « Elle a 26 ans. C'est elle qui m'a expliqué comment m'organiser ». « Il m'arrive de me faire 400 euros par jour. Parfois moins. Je pourrais me faire beaucoup plus. »
Sa vie est réglée comme une horloge. « Je pars de chez mes parents à 7 h et j'arrive au studio. Je redors jusqu'à midi, car la nuit je n'y arrive pas. » Sarah est accro aux réseaux sociaux. Et aux vidéos sur YouTube. Elle sourit en touchant ses cheveux - « des extensions » - «Je regarde des tutos coiffures. Comme ça, je peux coiffer ma mère et mes deux sœurs et elles n'y voient que du feu. Elles croient que je suis une pro. »
À midi, Sarah gère « son agenda ». Puis s'habille pour « recevoir ».
Il est 21 h 30. Du bruit dans le couloir de l'immeuble. Des cris… Alors, non, elle n'a pas peur du regard des voisins. Elle hausse les épaules : « C'est un immeuble de cas sociaux. En face, c'est un drogué qui capte rien. À côté c'est une fille qui doit faire comme moi. En dessous deux vieux. En haut je ne sais pas. Ici tout le monde s'en balance. Vous avez vu l'état des parties communes ?», lâche-t-elle, en finissant son verre de blanc.
Elle a envie de parler. Mais hésite. Par quoi commencer ? Par ça : « Un jour je me suis fait un peu peur quand même. Le client est venu avec trois copains. J'ai dû accepter que les trois regardent, j'avais trop la trouille que cela dégénère. Les autres m'ont pas touchée. » Elle bouge nerveusement ses jambes : « Je ne ferai pas ça toute ma vie, c'est sûr ». « J'ai des économies. Quand j'arrive à la somme que je me suis fixée, j'arrête tout et je pars m'installer aux États-Unis » , rêve-t-elle.
Sarah n'a pas de petit copain : « Trouve un mec qui accepte ce que je fais. » Elle rit, mais pas franchement. Et elle n'a plus vraiment d'amis non plus. « Pas grave j'ai ma cousine et ses copines. Et le week-end je suis chez moi avec mes parents et mes sœurs, ça fait du bien. »
Sarah retrouve sa chambre de « gamine ». Un cocon.
Elle avoue avoir la hantise que sa famille apprenne un jour. « Je ne veux pas y penser. J'improviserais. »
Sarah se laisse aller : « J'ai commencé dans les toilettes d'un snack près du collège. J'étais en quatrième. Des pipes. C'était cool, je me faisais 50 euros parfois par semaine. Je voyais pas le mal en fait. J'étais même pas une ado à problèmes. Je bossais bien à l'école. Une fille normale quoi. Mes parents n'ont pas de blé, alors moi j'avais l'impression d'en avoir », murmure la jeune fille, en triturant un coussin doré.
Et puis, un jour, elle se confie à sa cousine. Elle avait 15 ans passés.
« J'avais compris ce qu'elle faisait, même si pour toute la famille elle est femme de chambre dans un hôtel. »
« Elle a compris que comme elle, coucher, ça ne me dérangeait pas. Je fais ça comme si je vendais du parfum dans une boutique. Je gagne plus c'est tout. » La honte ? « Non. J'aurai honte seulement si ma famille l'apprend. »
(1) Certains indications géographiques et familiales ont été volontairement modifiées pour préserver l'anonymat de la jeune fille.
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