Elle ne peut pas prendre son bain tranquille

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besoin de conseil,ma fille ne veux plus prendre son bain que faire??








Auteur de la discussion

my babylove



Date de début

25 Juin 2012




Bonjour,
J'ai un gros problème les mamans, ma fille depuis à peu près 2 semaines ne veux plus prendre son bain, elle hurle des qu'elle as un pied dedans ça m'inquiète trop et pis du coup jla force pas jveux pas la traumatisé non plus..jsais pas quoi faire! Aider moi ça mfait trop de peine surtout que avant elle s éclatait dans sin bain!

Et c'est pareil pour la table à langer dab elle disais rien la elle veux pas que jla change elle hurle se retourne se redresse..alors qu'avant elle disait rien!
Au passage j'en profite pour vous demander aussi des conseils pour les caprices!
elle commence les caprices,elle hurle, se débat,pleure.. comment la calmer sans céder? Dsl je pose bcp de question mais cest ma première et j'aimerais faire bien!

Merci pour vos réponses
Elle a quel age?

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Ah oui donc plus psychologique que physique ? Ma premiere dans le bain hurlait a dechirer le coeur et enfait il s averait qu elle avait un rgo donc des remontees acides. Il a fallu un bain assis

Tu peux toujours voir si ca passe mieux avec un shantala ou oplà ils ont des formes differentes

Sent from my iPhone using Manucure
Coucou
Loane aussi a eu une période où elle pleurait dans le bain alors qu'elle adorait l'eau puisque depuis ses 8 mois elle est assise dans sa baignoire...
sa a duré 2 semaines je crois donc pendant le bain je lui expliquant qu'elle ne risquait rien .... et sa lui est passé d'un coup

Sinon pour les caprices c'est une période où ils testent.Il faut etre ferme, ne pas céder (c'est pas facile parfois je cede quand meme)
la mienne se roule par terre .... mais tant pis quand c'est non c'est non elle a beau faire tout un cinéma

bon courage
Merci pour vos rép, jvais continuer d essayer et j'espère que ça ferra comme toi evane, G pas du tout de place chez moi c tout petit ça m'embête de racheter encore une autre baignoire,( celle que G se pli) pourvu que ça passe

Pour les caprices je cède pas mais son père ou ma mère, cède et limite j'suis la méchante dans l'histoire...le tps et la patience fera les choses alors! Merci
Merci pour ta réponse, ma fille prend son.bain assia depuis ses 8 mois et elle en a 13! Jpense pas que ce soit ça, mais persévérer on verra bien

Merci pour ta réponse, ma fille prend son.bain assia depuis ses 8 mois et elle en a 13! Jpense pas que ce soit ça, mais persévérer on verra bien

Salut Baby nos enfants ont alors à peine 3 jours d'écart le mien à 13 mois tout frais!!!
Les filles sont capricieuse ....
Moi c au coin en lui expliquant quelle doit pas faire de crise ...elle comprend bien mais sa l'empeche pas de tjs faire ses caprice ....pour le change c pareil elle ont leur passe Moi elle aime pas que je la change ..mais pour le bain je c pas


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Entre nid douillet et bazar infernal
Si pour beaucoup d’adolescentes les vacances d’été sont l’occasion de profiter allègrement des plaisirs de la plage ou de la détente au bord d’une piscine, pour certaines c’est plutôt le cauchemar. L’idée de se mettre à nue, ou presque, en maillot de bains, les plonge dans l’angoisse. Elles détestent leur corps, en ont honte et affronter le regard des autres peut leur paraître une épreuve insurmontable.
Ces adolescentes qui se trouvent trop grosses, trop maigres, trop grandes, trop petites, qui détestent leurs fesses, leur poitrine, leurs cuisses, leur ventre, ont une peur féroce d’être jugée, car leur propre jugement sur elles-mêmes, loin de toute indulgence, est tyrannique. Elles sont dans le mythe du corps parfait, celui qu’elles imaginent, corps fantasmé au fil des années, ou celui qui leur est renvoyé via les photos retouchées des magazines. Ces adolescentes ont un idéal du moi particulièrement élevé, du coup leurs objectifs sont rarement satisfaits. La puberté leur a fait perdre le contrôle de leur corps qui s’est transformé et s’est sexualisé sans qu’elles ne puissent rien y faire. L’image d’elle-même qu’elles scrutent des heures dans le miroir, leur est un peu étrangère, elles vont plus ou moins bien l’apprivoiser, finir par l’aimer pour certaines, la détester pour d’autres.
Le regard bienveillant des proches, parents ou frères et sœurs, à ce moment- là est essentiel et les paroles maladroites sont autant de blessures qui mettront un temps fou à se cicatriser :
« L’été dernier, quand je suis rentrée de colo, une des premières choses que m’a dite ma mère, c’est : t’as de bonnes fesses. Dans sa bouche, elle qui est mince comme un fil, je vous assure que ce n’était pas un compliment… ».
Cette adolescente de 14 ans qui, depuis, se débat avec la nourriture, passant du « pas assez » au « beaucoup trop », n’est pas tranquille avec son image. « Je ne mets jamais ni de robe, ni de jupe , me dit-elle, alors quand cet été je vais devoir me mettre en maillot, ça va être l’horreur. »
Cette autre plus âgée part en vacances avec une bande d’amis : « J’appréhende un peu… Je me trouve moche et les garçons avec qui je pars, je les adore, mais ils ne sont pas tendres ; leurs blagues à deux balles sur la façon dont les filles sont foutues, je sais bien qu’elles seront aussi pour moi. Enfin, comme on part en Bretagne, avec un peu de bol on gardera nos pulls… »
II n’y a pas que le regard des parents, au fil de l’enfance et de l’adolescence, qui construit l’image que l’on a de soi, il y a aussi celui des autres du même âge qui ne fait pas de cadeau. Dans les vestiaires des gymnases ou des piscines, les moqueries vont bon train et peuvent déstabiliser celui ou celle qui s’est préalablement construit sur des assises narcissiques fragiles. Le refus de certains d’aller à la piscine avec leur classe, ou les évitements phobiques qui s’expriment à travers mal à la tête ou mal au ventre, et qui sont prétextes à rester chez soi, trouvent leur explication dans ses petites phrases assassines, reçues sans recul ni humour. Car pour prendre de la distance avec ces jugements et s’accepter avec ses imperfections, il faut déjà avoir construit une bonne estime de soi et n’être pas tributaire de sa seule image.
Je crois que c’est pour cela qu’il faut être vigilant avec ses fillettes de 8 ou 10 ans, très narcissiques, accaparées dès leur plus jeune âge par leur apparence, dans des attitudes de séduction constante. S’il convient de les complimenter parfois et de ne pas négliger totalement leur passion, il est important de s’interroger avec elles sur le sens de cet engouement et leur rappeler sans cesse qu’elles ne sont pas qu’une image, qu’elles ont d’autres qualités et doivent avoir d’autres centres d’intérêt. Car ces petites filles, qui idéalisent tant leur image, qui s’attachent avec autant de ferveur à leurs apparences en négligeant les autres facettes de leur personnalité, supporteront sans doute moins bien les changements corporels imposés par la puberté pour peu qu’ils n’aillent pas dans le sens de ce qu’elles avaient fantasmé.
Alors pour elles, l’été à la plage ne sera pas synonyme de détente et de farniente, mais il sera chargé de doutes et d’inquiétudes sur les regards posés sur leurs corps ainsi dévoilés.
Les stéréotypes genrés ont de l’avenir…
Car bien sûr, seules les jeunes filles souffrent du regard porté sur elles à cet âge, et elles seules sont mal à l’aise avec leur image d’elles-mêmes.
Les filles sont forcément des victimes de la puberté, qui « leur a fait perdre le contrôle de leur corps qui s’est transformé et s’est sexualisé sans qu’elles ne puissent rien y faire, » alors que les garçons, conquérants et, parfaitement à l’aise, sont de gros balourds qui n’ont qu’une idée en tête : faire des commentaires sur « la façon dont les filles sont foutues ».
Ajoutons que les adolescentes aussi peuvent se montrer vachardes dans leur commentaire envers un garçon mal dans sa peau. Se faire traiter de « calculatrice » à l’âge de l’éveil de la libido peut être mal vécu.
Si j’en juge par les témoignages reçu (et pour une petite partie, vécu) le pire sont les attaques de filles contre d’autres filles, en particulier pour celles qui sont en surpoids. Et non ce n’est pas un stéréotype. Et non si vous n’avez jamais été une jeune fille ou une jeune femme en surpoids vous n’imaginez pas jusqu’où ça va.
Je ne dis pas que les garçons n’ont pas le problème: je dis juste que ce n’est clairement pas dans les même proportions… en tous cas vis à vis de la prise de poids:
Je soupçonne sans pouvoir l’affirmer qu’un garçon qui sera vu comme trop frêle par ses camarades et/ou maniéré doit vivre une adolescence tout aussi difficile.
« Je soupçonne qu’un garçon qui sera vu comme trop frêle … »: on apprend peu à peu dans les cours de récré que pour être respecté, il faut être capable de cogner, de rouler des mécaniques et d’être fort en gueule. Alors on apprend à cogner, à gueuler, etc., si bien que le jour où on est mieux entouré, on se sent un peu décontenancé par la bienveillance …
Pour moi aussi, mettre un maillot de bain est un supplice. ça l’est devenu suite à un séjour en Allemagne, à l’adolescence, où j’ai découvert qu’on pouvait très bien se bronzer et baigner sans maillot, et que c’était beaucoup plus agréable!
Depuis, je ne remets un maillot que si vraiment il n’y a pas le choix, avec la folle envie de l’enlever et la lancinante question « qu’est-ce que je fiche avec ce truc là? »
C’est dingue quand même les ravages de la pudeur et du narcissisme (les deux faces de la même pièce, comme pudibonderie et exhibitionnisme se nourrissent l’un l’autre).
Un peu de naturel, que diable! Nous avons tous un corps, des fesses, un pénis ou une vulve, des seins, des jambes des bras un ventre, quelle idée d’en avoir honte?! Mieux vaut mille fois être trop maigre ou trop grosse, mais à l’aise dans son corps et souriante, qu’avoir une plastique parfaite mais garder des complexes.
C’est vrai qu’il suffit de s’être baigné une seule fois sans pour comprendre qu’il n’y en a pas besoin.
On parle que des filles dans cet article … Mais quid des garçons ?
Adolescent j’étais très maigre et j’avais de surcroix des boutons d’acné sur le dos .. Je ne ressemblais pas à grand chose ..
Aujourd’hui je suis quelqu’un de très musclé : il n’est pas rare que les femmes se retourne sur mon passage sur la plage. Je me la joue décontracté, ce qui renforce mon sex-à-piles.
Je pense toutefois qu’il faut aussi penser aux garçons qui subissent très jeunes la dictature des corps body buildés (Brad Pitt, George Clooney, Sylvester Schwarzeneger)
Moi aussi j’ai du sexe-à-pile. Mais chez moi on dit plutôt vibromasseur…
Très vrai. Trop maigre ou trop gros, ou pour toute autre raison, ce problème peut aussi être masculin.
Sex-appeal… temps de changer les piles.
Et pour votre sex-à-piles, et ce que vous pouvez utiliser des rechargeables?
vous avez raison les garçons sont aussi concernés. En revanche il semble que cela provoque moins chez eux des troubles des conduites alimentaires.
Ah, ne m’en parlez pas de ce « Sylvester Schwarzeneger » et de son sex à pile ! 😀
Depuis l’adolescence, j’ai toujours été très complexé lorsque j’allais à la piscine en maillot en bain.
Excusez moi d’être franc et direct mais la taille de mon pénis au repos est assez impressionnant et beaucoup de regards se tournaient vers mois. Cela me rendait vraiment mal à l’aise.
Le pire c’est lorsqu’il y a des enfants à coté de moi à la piscine, leurs parents pensent que je suis en érection. Très pénible et difficile à vivre.
Depuis quelques années, j’ai trouvé une solution : je mets des shorts de bain, cela permet de rendre la chose un peu moins visible.
Par contre dans de nombreuses piscines, les shorts de bains sont interdits et je n’ose plus y aller par peur d’être une bête de foire ou de provoquer certaines jalousies.
Moi, c’est pareil. Ce que je fais : je l’enroule autour de ma cuisse gauche, deux fois, puis je fais un noeud. Avec un boxer, ça passe.
 » .. se tourner vers mois … » Il a mis Moi au pluriel, lapsus comme dirait Freud. Ou bien figure de style très raffinée. J’apprécie, je referai.
Moi je pense qu’un corps se gère comme une petite entreprise. Je m’explique : une entreprise mal gérée aura quelques réticences avant de faire un audit financier. Pour un corps c’est pareil, le maillot de bain c’est l’audit !
Si on est gros ou trop maigre c’est qu’on a mal travaillé ! Je connais un ami qui était gros, on l’appelait même bigboobs ! il a fait beaucoup beaucoup de sport, ça en est même devenu sa conduite de vie et maintenant avec 20 kg de moins il n’a aucune réticence à aller à la piscine. #nopainnogain
Voilà typiquement le genre d’attitude qui amène les jeunes filles au suicide. Je suppose que vous transmettez ce genre de hum! valeurs à votre descendance?
Félicitations pour participer à rendre notre monde pire qu’hier.
Je pourrais vous expliquer longuement pourquoi ça n’est pas si simple, pourquoi le surpoids en particulier est une boucle viscieuse, je pourrais vous expliquer qu’un corps humain peut être dysfonctionnel…
Je me contenterai de vous souhaiter de belles années de vieillesse.
Moi je pense qu’un corps se gère comme une petite entreprise. Je m’explique : une entreprise mal gérée aura quelques réticences avant de faire un audit financier. Pour un corps c’est pareil, le maillot de bain c’est l’audit !
Si on est gros ou trop maigre c’est qu’on a mal travaillé ! Je connais un ami qui était gros, on l’appelait même bigboobs ! il a fait beaucoup beaucoup de sport, ça en est même devenu sa conduite de vie et maintenant avec 20 kg de moins il n’a aucune réticence à aller à la piscine. No pain no gain !
Vous croyez vraiment que ceux qui ont des complexes avec leur corps n’ont pas essayé de rentrer dans la norme ? Vous croyez qu’il suffit de faire du sport pour maigrir, et de manger plus pour grossir ?
Ça a fonctionné pour une de vos connaissances (à quel prix ?), donc ça doit fonctionner pour tout le monde, c’est ça ?
Vous êtes bourrés de préjugés, et n’y connaissez visiblement rien.
tiens ça me rappelle un histoire …
– « Docteur, je viens parce que j’ai un ami qui n’ose pas en parler et a un petit s*xe. »
– « Très bien, baissez votre pantalon et montrez moi votre ami »
« sex-à-piles », « Sylvester Schwarzeneger »
En plus de boutons d’acné dans le dos, Pepeto (Gepetto ?) n’aurais-tu pas du bois dans la tête ?
On oublie les garçons qui ont un bâton de maréchal dans leur maillot de bain. A l’adolescence même sans idées dégueulasse dans les synapses ni la vision d’un violon à 2 pattes, le tuyau s’engorge comme la Vidourles dans Sommières. La météo n’y peut rien . Il faut ronger son frein ! Une expression qui s’applique bien au sujet d’ailleurs . Je me souviens assis dans un transat à la piscine Molitor ma meilleur copine et ami d’enfance s’inquiète de pas me venir à l’eau , et pour cause mon maillot de bain subissait une traction qui m’interdisait tout mouvement susceptible de découvrir la chose. J’ai posé discrètement mon livre, je crois bien que c’était Vipère au poing d’Hervé Bazin , sur mon ventre, j’allais dire près de ma vipère. Elle m’avait dit « tu viens » en filant rapidement vers le bassin.
Ensuite jouer avec les filles dans l’eau ça posait pas de problème pour les garçons. Pour les filles aux gros nichons souvent elles devaient se remonter les bretelles, sauf que moi myope j’en profitais guère.
Le supplice du maillot de bain pour les filles actuellement c’est engendré par la Tv et les magazines vu que la pudibonderie religieuse à disparue (je zap sur certaine religion et me censure !)
Ca rejoint ce qu’on disait ailleurs sur les jeunes garçons qui préfèrent les shorts de bain au slip non pas tant pour des raisons de mode que par refus du moulage intégral. Appelons ça de la pudeur (pourquoi pas ?), des complexes, etc, en attendant tout le monde n’a pas envie de se retrouver en maillot moulant. Personnellement j’étais mal à l’aise à la plage ado et je ne suis pas retourné nager pendant quinze ans, jusqu’au jour où j’ai trouvé une piscine en plein air dans une maison de Jésuites en Suisse avec des personnes qui allaient nager sans se soucier de ressembler à des figures de mode. Et là je me suis remis à la natation et au maillot.
je suis toujours surprise de voir comme les medias lient par une relation de cause à effet unique et nécessaire les complexes corporels des ados aux maladies telles que la boulimie ou l anorexie.
Je suis passée à travers ces enfers, et me suis beaucoup renseignée, que ce soit dans les bouquins ou en discutant avec d autres malades. Il se trouve que l image corporelle occupe une place certes, mais jamais vraiment centrale dans les facteurs déclenchants de ces maladies. Ce sont avant tout des symptômes d’un traumatisme, d un stress mal vécu et d’une incapacité à vivre et ressentir certaines émotions trop violentes, négatives.
On ne règlera pas les troubles du comportement alimentaire en faisant en sorte que les ados se sentent mieux sur une plage… c’est peut être un faux combat… même si il est juste (travaille sur l estime de soi des ados est vital pour des adultes en bonnes santé).
Ayant toujours porté quelques kilos de trop j’ai crû pendant longtemps que je comprenais… et j’aurais approuvé vos billet bien volontiers.
Mais depuis j’ai découvert à quel point les réactions aux rondeurs sont différents selon que vous êtes garçon ou fille, ou pire, home ou femme.
Craindre d’exposer ses bourelets, pour une fille, n’a strictement rien à voir avec du narcissisme! Il ne s’agit pas non plus d’une crainte de perdre un soutien social du groupe… C’est beaucoup plus grave, car les attaques sont incroyablement violentes.
Et la victime ne peut pas se défendre, convaincu qu’elle a été par son éducation que c’est de sa faute, qu’elle a bien mérité ce qui lui arrive.
Ce n’est pas l’éducation de la future victime qui est à repenser, c’est celle du futur boureau… Notez que j’utilise boureau au masculin pour une question de langue française, mais en général le pire ne sont pas les adolescents: leurs remarques désobligeantes sont loin d’être aussi douloureuses que celles des autres filles.
Le sujet peut paraître trivial.
Sauf pour celles qui en souffre.
Sauf pour ceux qui les voient souffrir.
Sauf poru ceux qui les ont perdus, une soir de désespoir.
Vous avez raison. Ce sujet est trop peu mis en avant.
Ce qu’on dit trop souvent aux victimes c’est « défendez vous », « il faut bien qu’ils s’amusent », « ça vous forgera » ou autres. Mais on s’attaque rarement au auteurs de ces brimades.
On ne protège pas assez les victimes, que ce soit des hommes ou des femmes, des garçons ou des des filles, tous pareil face à toute cette violence.
Il est sûr que l’adolescent est
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