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Mais vous, qu’est-ce qui vous fait kiffer ?


Mais vous, qu’est-ce qui vous fait kiffer ?


Publié le : 23 septembre 2021 à 07:40


Dernière mise à jour : 23 septembre 2021 à 12:22


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Motivés, motivés, il faut rester motivés ! Pourtant, cela ne se décrète pas… Si la motivation reste une alchimie mystérieuse, elle repose sur certains leviers qui sont dans les mains des managers. Encore faut-il que ceux-ci prennent la peine de comprendre à quoi aspirent leurs agents et comment ils peuvent les faire entrer en résonance avec leur organisation, en dosant missions passion et missions corvées à bon escient.
La motivation. C’est pour les recruteurs le facteur majeur pour inviter quelqu’un à rejoindre leur organisation. Les responsables expliquent la capacité à réussir (ou pas) de leur collègue par cet élément : « Untel est-il vraiment motivé ? »
Comme si la motivation venait de soi, du plus profond de l’être, sécrétée au besoin par une glande quelconque. Et pourtant non, la motivation ne vient pas de la personne. Lors de l’entretien de recrutement, c’est plutôt l’envie que l’on cherche à évaluer. De la rencontre entre cette envie et le cadre du poste naît la motivation.
Mais dès lors, l’agent devrait-il être en capacité de renouveler lui-même sa motivation ?
Non, la motivation est finalement la conséquence d’un ensemble de facteurs qui vont résonner différemment chez chacun de nous en fonction de nos aspirations profondes, de ce qu’on est, de ce qui nous fait vibrer. Il m’arrive ainsi régulièrement de demander à un candidat lors d’un entretien de recrutement : « Vous, qu’est-ce qui vous fait kiffer ? Après avoir vécu brillamment toutes ces expériences, qu’est-ce qui vous donne envie de mener encore des actions ? Qu’est-ce qui vous aide à vous lever, qui vous donne le sourire quand vous pensez à votre travail ? »
Question finalement pas si facile quand on veut bien la creuser un peu !
Question très intéressante quand le candidat parvient à dégager les ressorts de sa réalisation professionnelle.
Les psychologues aussi se sont interrogés sur « qu’est-ce qui motive les gens à travailler ? ».
De leurs études, ils ont ressorti des motivations extrinsèques et intrinsèques .
Les facteurs « qui font kiffer » répondent de façon plus savante à la définition de « motivations intrinsèques ».
Ainsi, d’après la théorie de l’autodétermination (TAD), conceptualisée par Ryan et Deci dans les années 2000, chacun se met en mouvement selon trois besoins humains universels et innés :
Ainsi, selon la synthèse de Wikipédia , l’autonomie « désigne la capacité d'un objet, individu ou système à se gouverner soi-même, selon ses propres règles ».
La compétence est, elle, définie comme « la capacité d’un individu à exercer une fonction ou réaliser une tâche. On parle aussi d’habileté (…). La compétence est un besoin qui se réfère à un sentiment d’efficacité sur son environnement et qui fait naître chez les individus la curiosité et le goût à relever des défis (Deci 1975 ; White 1959) ».
Enfin, le besoin de relations est aussi appelé « sentiment d’appartenance sociale ». « Ce dernier permet, non seulement à l’individu de se sentir “lié” à des personnes qui auraient une importance pour lui, mais amènerait, en retour, ces personnes à se sentir, elles aussi, importantes pour autrui. »
De fait, un manager qui est attentif à la motivation de ses collaborateurs veillera à s’assurer que le poste, les missions, les conditions de travail et les symboles associés à ce travail vont apporter à l’agent des possibilités de se réaliser en améliorant son autonomie, de montrer aux autres et de se prouver à lui-même sa maîtrise et ses compétences, voire son expertise, tout en étant en interaction avec des personnes qui vont lui renvoyer une image valorisante.
Encore faut-il définir dans quels domaines prioritaires le collaborateur se sentira valorisé en étant autonome, sur quelles compétences il appréciera d’être responsabilisé et avec quels interlocuteurs il se sentira grandi (réseau, séminaire interne, conférence, Cap’Com !)…
À partir du moment où un manager aura saisi les motivations intrinsèques d’un agent, il lui sera d’autant plus facile d’actionner ces leviers pour mettre en mouvement celui-ci afin de contribuer au sens recherché par la collectivité, qui est le niveau ultime de la motivation. Car on aura beau réunir tous les ressorts décrits par Ryan et Deci, il faut par-dessus tout que le projet de l’organisation, son sens, corresponde aux valeurs de l’agent.
Charge au manager alors de montrer à son agent en quoi et comment, dans les actions que mène la collectivité, il va pouvoir rejoindre son idéal. Il s’agit alors de montrer le sens de l’action menée par la collectivité, de dire à l'agent en quoi son rôle va contribuer à la réalisation de l’ensemble, auprès des collègues, au service de la population.
Dès lors, l’agent va faire lui-même le travail de motivation. Ou plutôt, une réaction va s’opérer chez lui et il va se mettre en action pour pouvoir contribuer à l’objectif de l’entreprise, tant que celui-ci s’inscrit dans le sens qu’il veut donner à sa propre action, à sa propre vie.
De fait, ce n’est pas l’agent qui génère sa motivation, mais son organisation qui va lui donner les clés qui vont le mettre en résonance avec ses aspirations profondes.
Concrètement, on sait que, dans la majorité des cas, toutes les missions qui composent un poste ne nous plaisent pas autant : certaines sont des corvées, d’autres nous exaltent. Elles seront différentes selon les personnes, selon notre histoire, nos traits de personnalité, nos aspirations.
Il importe au manager de repérer, par l’observation ou la discussion, quelles sont les « missions corvées » et quelles sont les « missions exaltantes » pour son agent. Charge ensuite à lui de doser le poste pour que les missions exaltantes soient suffisantes en volume pour donner envie à l’agent de remplir sa mission… et de faire aussi les missions corvées, qui doivent bien être réalisées par quelqu’un. Si ce sont les missions corvées qui prédominent ou qui prennent toute la place, alors l’agent sera démotivé. À l’inverse, si l’agent sait qu’il pourra se réaliser en effectuant une mission passion, il réalisera au plus vite sa mission corvée afin de donner le meilleur de lui-même dans la mission passion.
Bon, il y a quand même le risque qu’il repousse ou relègue la mission corvée, voire qu’il essaie de ne pas la faire. Là intervient le manager, qui va lui rappeler que l’une ne va pas sans l’autre, et que corvée et passion sont les deux côtés d’une même fiche, celle de son poste.
Bien sûr, dans certains postes, il faut chercher longtemps pour trouver le côté exaltation… même si les perceptions des uns sont très différentes de celles des autres. Mais dans le domaine professionnel de la communication, il y a l’embarras du choix ! Cela fait partie des métiers passion, au même titre que les collègues de la culture, du sport, des archives (si, pour un archiviste…)… Rien de plus facile du coup que de mettre en avant les aspects en résonance avec l’agent et de les mettre en perspective avec un peu d’autonomie, de montée en compétence et de mise en relation !
Chargés de com, attachés de presse, community managers, dircoms… quelles meilleures opportunités pour mêler dans le même poste l’intérêt de la discipline et des techniques, la possibilité de montrer qu’on peut être créatif, le travail partagé et le sens du service au public ? Dans la compublique, c’est feu d’artifice de leviers de motivation intrinsèque !
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Home | Blog | Je suis née pour kiffer
Je vais le répéter ici encore une fois afin que cette phrase s’intègre bien dans chacune de mes cellules.
Et répète là aussi un coup pour voir, car il se pourrait bien que toi aussi, tu sois venue pour ça.
Cette révélation, c’est le Human Design qui me l’a offerte. Et je vous jure que lorsque j’ai entendu cette phrase : « Christelle, tu es née pour kiffer » (oui, oui, je le répète encore un coup au cas où ), tout mon coeur s’est détendu et j’ai enfin pu mieux respirer.
Et oui, plus besoin de lutter contre ce que je sentais au plus profond de moi ou alors de me culpabiliser en voyant que c’est lorsque je m’éclatais le plus que ma vie prenait de l’ampleur.
Désormais, j’assume totalement cette évidence..
Bon allez, même si parfois il m’arrive encore d’oublier…
De me faire rattraper par mon passé et par tout ce sur quoi je me suis construite jusqu’ici pour « grandir », genre : « Il faut trimer dur pour y arriver ».
Le Human Design a eu pour moi, cette force : celle de me faire accepter celle que j’étais dans sa plus grande version.
Car oui, plus tard, lors d’une nouvelle lecture, il est venu me révéler : « Christelle, tu es une cheffe de tribu ».
Mon coeur s’est alors ouvert puissance 10000 et de ce coeur ont jailli des larmes d’apaisement et de joie.
Cela non plus, je ne l’assumais pas : « Mais qui suis-je pour oser prendre une telle place ? Une place de cheffe ? Une place de leader ? »
Alors une fois intégrée l’information, j’ai décidé de m’engager chaque jour envers moi-même et à faire de mon mieux, un pas après l’autre pour honorer la mission de mon incarnation.
Oui, je suis venue sur cette terre pour créer une communauté puissante reposant sur des valeurs hautes et nobles afin que chacun de ses membres puisse participer au réenchantement du monde.
Oui, je souhaite que chaque jour que Dieu fait, chaque personne sur cette terre puisse se rapprocher un peu plus de son paradis, de ce qui lui procure une joie profonde et la tient dans une énergie d’Amour envers la Vie.
Mais j’ai aussi appris avec le Human Design que je n’avais pas pour cela, à initier (alors que c’est ce que je faisais tout le temps en créant de nouveaux projets et en forçant sur le réel).
Je suis une Generator et j’ai donc à répondre aux sollicitations de la vie. Rien de plus !
Tout en sentant dans mon sacral si tout mon être danse un grand Oui à cette proposition offerte.
Je vous assure que plus j’intègre mon design au quotidien, plus la vie devient simple et kiffante.
Et comme je rêve que chaque personne ait accès à cette joie intense d’être juste soi, je serai en live cet après midi à 16h sur Facebook dans le groupe Héroïnes et Gardiens.
Je recevrai Frédérique Avouac Gohé avec qui je collabore lors de mes accompagnements individuels. Frédérique est une sorcière et aiguilleuse de vies merveilleuse et elle va nous révéler les premiers secrets qui se cachent derrière ce terme étrange du Human Design.
Si toi aussi, tu as envie de te rapprocher encore un peu plus de ce que ton âme est venue vivre sur cette terre, je t’invite vraiment à nous rejoindre car pour cela, cet outil est vraiment extraordinaire.
Je te dis donc peut-être à tout à l’heure !
TU PEUX LaisseR un commentaire... ca fait toujours TRES plaisir..
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Femme multiple, je jongle constamment entre mes différentes facettes.
Un objectif : tenir l’équilibre sur le fil magique de la vie.
Entrepreneure, j'ai la joie de faire au quotidien ce que j'aime : danser, écrire, accompagner, partager, rêver...
Christelle Le Chat 2020 - Politique de vie privée

Ma femme me demande à autoriser un amant ! Quoi penser ? 
Ma femme me demande à autoriser un amant, après que j'ai l'ai surpris en plan rendez-vous avec son amant ! Manque de chance, à ce deuxièment rendez-vous, ils ne se sont pas rencontrés. J'ai donc tout appris avant qu'ils ne couchent ensenble. Ils avaient cherchaient un hôtel pour leur deuxième rencontre.C'est un ami d'enfance à ma femme, et à leur première retrouvaille ils ont discuté ensemble durant 3 heures dans une voiture (sans rien faire). Maintenant elle veut que je l'autorise à aller faire l'amour avec lui ! Quoi penser ?
slt thierry, dans ton malheur, tu as de la "chance", ils n'ont pas consommés. et puis moi j'aurais bien aimé qu'on me demande l'autorisation au lieu de le découvrir par la suite... qu'en pense tu ? tu préfère savoir et "gérer" ou qu'elle fasse ça derrière ton dos en inventant des histoires à dormir debout ? bien à toi je sais que malgré tout ça ne dois pas être facile pour toi.
Je pense que c'est parce que son mari l'a pris sur le fait qu'elle lui demande aujourd'hui "l'autorisation d'aller faire l'amour" avec son amant, si elle voulait être transparente à ce point là, elle lui aurait fait part de leurs retrouvailles dès la première rencontre non ?
Je pense que c'est parce que son mari l'a pris sur le fait qu'elle lui demande aujourd'hui "l'autorisation d'aller faire l'amour" avec son amant, si elle voulait être transparente à ce point là, elle lui aurait fait part de leurs retrouvailles dès la première rencontre non ? Bonjour à toutes et à tous ! Merci pour vos belles remarques, ça me fait du bien... Pour répondre à ta question Lueur, c'est vrai qu'il faut maintenant que je précise un peu plus notre relation ; On s'est rencontré en nov. 2001 et on s'est marié en jan 2006. Elle a 31 ans, j’en ai 35. En mai de cette année, elle m'avait parlé qu'elle avait retrouvé un ami d'enfance (13 ans) sur Face Book, qui ne l'avait pas laissé indifférent ! Ça l'avait excitée à nouveau et elle en était troublée, donc, comme on se dit (disait) tout, elle m'en a enformée immédiatement. Elle me demanda si elle pouvait en avoir le coeur net, en allant simplement prendre un café. Ne comprenant pas exactement son genre de perception envers lui, j'avais dit un petit oui, pour ne pas lui faire de peine, mais j'avais évidement des craintes. Résultat, elle ne m'en parla plus. Je pensais qu'elle n'y pensait plus... En fait elle continua à lui écrire sur Messenger durant 2 mois (mai et juin) ! Mais désormais en cachette, car elle craignait de me faire de la peine ! Le 15 nov., ayant un pressentiment, j'ai cherché et suis tombé sur un historique de ces chats Messenger du mois de mai. Mon coeur s'est déchiré, quand je lis qu'elle pensait à lui quand elle me faisait l'amour ! En fait depuis deux mois elle le draguait par écrit, pour voir sa réaction ! Juillet et août ils ne se sont brouillés, et ne se sont plus écrit, mais mon épouse a demandé une réconciliation et ils ont recommencé à s'écrire de sep à nov., mais je n'ai pas trouvé de traces de cette saison de chat. Quand je l'ai découvert le samedi 15 nov., je ne lui ai pas dit , je voulais voir la suite... trois jours plus tard, mardi, je lis qu'elle avait des clés d'une ancienne maison à ses parents, et qu'elle l'attendait l'après-midi ! Deuxième déchirure du coeur, celle-ci effroyable. Je lis ceci le soir, alors qu'elle était en cours à l'université. Je pensais que j'étais intervenu trop tard, et qu'ils avaient couché ensemble, peut-être même depuis plusieurs fois ! Une heure après ma macabre découverte, je la questionnais. Elle m'avoua qu'elle l'avait rencontrée pour la première fois vendredi 14 pour prendre un café. Et qu'effectivement aujourd'hui, elle lui avait demandé le matin s'il voulait allez plus loin, il a répondu oui, et l'après-midi et lui donna rendez-vous. Elle m'avoua, qu'elle était curieuse de faire ça avec lui, et mais qu'elle rien prévue d'absolu, une fois de plus, pour vérifier comme elle se saurait senti en sa présence... Que les chats n’étaient que pur provocation pour le tester, et qu’elle ne pensait jamais à lui quand elle me faisait l’amour… Bref, depuis 1 semaine on s'est juré, de tout se dire. Malgré tout, malgré nos peurs, malgré la peur de faire de la peine à l'autre, nous nous dirions tout désormais. Elle me demande quand même s'il peut le voir dès que possible, et si non, si elle pourrait avoir un amant un jour dans sa vie ! Elle me dit qu'elle m'aimera toujours et qu'elle a besoin de plans cul des fois ! Que ces amants, ne seraient que pour le plaisir du sexe. Elle me dit également souhaité que j'en ai une ! Elle souhaiterais qu'on aille voir nos amants à notre guise, sans forcément en rendre compte, du moment que pour nous, nous nous aimons toujours ! Ses amants resteraient tout au plus des amis, pas des amoureux. Voilà, je suis peiné, troublé, perdu... Je l’aime ! Moi je n'ai pas le goût de sauter des femmes rien que pour le cul ! Je trouve qu'elle me laisse le choix, oui, mais pour avoir sa liberté. Quoi penser de ses demandes ? SVP aidez-moi.
Elle souhaiterais qu'on aille voir nos amants à notre guise, sans forcément en rendre compte, du moment que pour nous, nous nous aimons toujours ! Ses amants resteraient tout au plus des amis, pas des amoureux. Voilà, je suis peiné, troublé, perdu... Je l’aime ! Moi je n'ai pas le goût de sauter des femmes rien que pour le cul ! Je trouve qu'elle me laisse le choix, oui, mais pour avoir sa liberté. Quoi penser de ses demandes ? SVP aidez-moi. Et tu y crois toi que ça puisse se passer ainsi sans aucune répercussion négative sur votre couple ?
Et tu y crois toi que ça puisse se passer ainsi sans aucune répercussion négative sur votre couple ? Non, effectivement, je suis d'accord avec toi lueur et je le lui ai dit... Elle souhaite néanmoins s'écouter, c'est à dire ce mois-ci, pour la première fois de sa vie, penser à rencontrer un amant ! Si cette relation dérange, elle ou moi, elle souhaite arrêter avant ou pendant une relation avec un amant, car son but est que l'on s'aimer toujours plus. En se respectant et s'aimant soi-même, elle pense que cela rejaillira dans notre couple. Si je dis oui, elle irait dès demain. Pour elle, si elle ne s'écoute pas, elle craint que notre couple n'évoluera pas trop non plus. Cette pour cette raison, qu'elle me demande mon avis. Elle reconnaît avoir eu grand tort d'imaginer qu'elle pouvait l'essayer sans m'en parler. Elle s'est excuser d'avoir essayer, et m'a promis qu'elle ne tenterait plus rien sans notre accord en commun. Je comprends son point de vue. Ce qui me jette à terre, c'est cette envie d'avoir des échanges, du sexe, voire une amitié avec un autre homme, en m'écartant donc de notre vie commune ! Je sais bien, qu'un couple a besoin de respirer, mais quand même, notre romantisme en prend un coup ! De sexe avec autrui, il me semble, s'emparerai
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