Elle mouille comme une folle en prenant son pied

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Elle mouille comme une folle en prenant son pied

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Publié le 27 mars 2018 à 14:19 par La rédaction
À lire plus tard SauvegardĂ© Suivre #humour #humour Suivi
© Gentside. Crédit photographique pour toutes les images de ce site (sauf indication) : © GettyImage.
Payée pour venir faire le ménage chez un homme, cette trÚs jolie fille n'est visiblement pas dotée d'une trÚs grande conscience professionnelle. Regardez plutÎt à quoi celle-ci passe ses heures de boulot

En contrÎlant derniÚrement ses caméras de surveillance placées un peu partout dans sa maison, un homme s'est aperçu que sa femme de ménage n'était pas une adepte du travail acharné. Au lieu de se mettre rapidement au boulot sitÎt arrivée chez lui, celle-ci préfÚre en effet prendre son temps et vaquer à d'autres occupations.
Alors qu'elle cassait tranquillement la croĂ»te en se servant dans le frigo de son patron, la jolie fille a malencontreusement tĂąchĂ© ses vĂȘtements. Se croyant chez elle, elle s'est alors dĂ©shabillĂ©e pour faire une lessive. Le temps que ses habits sĂšchent, elle s'est ensuite baladĂ©e dans toute la maison en soutien-gorge et petite culotte , en daignant tout de mĂȘme passer un peu l'aspirateur et laver quelques carreaux histoire de dire qu'elle n'Ă©tait pas restĂ©e inactive.
En dĂ©couvrant ces images, son patron n'a pas Ă©tĂ© trĂšs content, mĂȘme si la plastique parfaite de cette femme de mĂ©nage n'a pas dĂ» le laisser insensible.


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6 avril 2014
Bagarre

commentaires
112,367 Vues
Par ma gentillesse j'offre à tous les pauvres netpraticiens qui n'ont pas de compte VIP cette vidéo anciennement vip :
Elle se fait humilier , battre et déshabiller par une fille de son école
IL SE BAT CONTRE 5 FILLES POUR SAUVER SA PETITE AMIE
une catĂ©gorie de vans pire sans tĂšte nie lois ni principe mes ou sons passer les droit de l’homme dans le monde on crĂ©e des bette avez une intĂšligence bien en dessous des animaux
Non?Tu crois? Comme tes compétences en grammaire,en gros

– Cordialement .
Quel bande de connard et connasse j aurais ete la je les aurait crever c est gens . Les gens sont stupide mechant moqeur . L humanite me degoute.
je comprends pas pourkoi elle ne l’a pas mise sur ses genoux cuisses Ă©cartĂ©es pour lui donner la fĂ©ssĂ©e cul nu,pour mieux l’humilier

pour moi,voir une fille autoritaire soumettre et punir une bonne garce,c’est le pied!
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Quand Cédric entre dans sa vie, Elodie craque pour cet athlÚte ultra-sexy, sans imaginer que son désir va les mener trÚs loin, trop loin.
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Lorsque j’ai quittĂ© CĂ©dric, j’ai menĂ© une vraie vie de nonne. Pendant des mois, mon plus grand plaisir a Ă©tĂ© de rester pelotonnĂ©e chez moi, avec ma tasse de thĂ©, mon pull informe et mes grosses chaussettes de ski. Je ne sortais plus de la maison sauf pour aller chercher ma fille Ă  l’école. Et Dieu merci ! je n’avais aucun homme dans ma vie. Dans mon appartement de Honfleur, je passais mon temps Ă  regarder la mer. Parfois, mĂȘme en plein hiver, j’ouvrais la fenĂȘtre et je prenais une grosse bouffĂ©e d’air frais. Enfin, j’arrivais Ă  respirer. Je n’avais plus cette angoisse du moment oĂč CĂ©dric allait rentrer Ă  la maison. Ce petit cliquetis dans la serrure avait fini par me terroriser. Je savais ce qu’il signifiait : dans l’heure qui suivait, je passerais Ă  la casserole. Mon ex Ă©tait un accro au sexe. Le genre Ă  ne pas vous laisser une journĂ©e de rĂ©pit. C’est bien simple : tous les soirs, il voulait faire l’amour. Et tous les matins aussi. Sept jours sur sept. En fait, il n’avait que ça en tĂȘte, tout le temps. Pendant toutes les annĂ©es que nous avons passĂ©es ensemble, son appĂ©tit sexuel n’a jamais faibli. Je l’excitais terriblement. Un vrai enfer.
Pourtant, ça avait trĂšs bien commencĂ© entre nous. Quand je l’ai rencontrĂ©, CĂ©dric m’avait tout de suite attirĂ©e. J’aimais sa taille haute, sa carrure ciselĂ©e par la pratique intensive de la natation et ses fossettes canailles. Tout son univers culturel me fascinait : j’admirais les disques pointus qu’il collectionnait, ses connaissances encyclopĂ©diques en Ă©sotĂ©risme. Il fourmillait d’idĂ©es, il avait des projets qui allaient dans tous les sens, et tout ce qu’il touchait se transformait en or. Il avait Ă©crit un roman en quelques semaines, qu’il avait rĂ©ussi Ă  faire publier. Et quand il s’était mis Ă  la photo, il avait trouvĂ© un agent immĂ©diatement. Sexuellement, on Ă©tait aussi complĂštement raccord. J’avais toujours considĂ©rĂ© que le sexe, c’était simple, ludique et lĂ©ger. A consommer sans modĂ©ration. Et CĂ©dric Ă©tait comme moi, toujours partant pour un cinq Ă  sept. Il habitait en Normandie, oĂč il avait dĂ©gotĂ© une vieille longĂšre dont il avait su faire un cocon sublime et lumineux. TrĂšs vite, j’ai dĂ©cidĂ© de quitter Paris pour venir m’installer avec lui. MĂȘme au fin fond de la campagne, pensais-je, la vie Ă  ses cĂŽtĂ©s s’annonçait trĂ©pidante.
Sans attaches ni amis lĂ -bas, nous passions tout notre temps ensemble. On travaillait tous les deux Ă  notre compte, de chez nous. J’écrivais mes articles, il bidouillait ses photos. Souvent, au milieu de la journĂ©e, il nous arrivait de monter dans la chambre pour faire des galipettes. Comme tous les nouveaux couples d’amoureux, on faisait l’amour tout le temps. CĂ©dric Ă©tait sans cesse en train de me rĂ©pĂ©ter que j’étais belle, qu’il Ă©tait fou de moi. Il m’avait mise sur un piĂ©destal. Au dĂ©but, c’était assez grisant. Mais, au fil des mois, c’est devenu un tantinet oppressant. Il avait un besoin de fusion permanent avec moi. Quand on ne faisait pas l’amour, il me sollicitait tout le temps, pour discuter, Ă©changer, dĂ©battre. Il aurait aimĂ© que nos esprits et nos corps soient en permanence connectĂ©s entre eux, Ă  tel point qu’il meublait tous nos silences, et venait systĂ©matiquement me chercher lorsque je m’étais volontairement mise Ă  l’écart. Il me voulait totalement Ă  lui. Physiquement, mentalement. Un vrai vorace.
Quand je montais me coucher avant lui, j’entendais une pointe de frayeur dans sa voix lorsqu’il me disait : « Tu ne t’endors pas, chĂ©rie, hein ? Surtout tu me prĂ©viens quand tu Ă©teins, que je n’arrive pas trop tard
 » Le jour de mon accouchement, il a mĂȘme demandĂ© aux sages-femmes de combien de temps j’aurais besoin pour me remettre. Devant leur rĂ©ponse, il a paniquĂ© : « Quoi ? Trois semaines ? Mais vous n’y pensez pas ! C’est beaucoup trop ! » Moi, sur le moment, je n’ai pas relevĂ©. Mais, petit Ă  petit, toutes ses rĂ©flexions ont mĂ»ri dans ma tĂȘte, et j’ai eu l’impression diffuse de manquer d’air, de m’ĂȘtre engagĂ©e dans une course sans fin. Il ne me laissait plus le temps d’avoir envie de lui, sans cesse il devançait mon dĂ©sir. J’ai fini par nĂ©gocier deux soirĂ©es off par semaine. Deux soirĂ©es pour moi, dans mon lit, avec mon bouquin et mon vieux pyjama, sans avoir ses mains baladeuses qui viennent me tripoter avec insistance sous la couette. Plusieurs fois, j’ai essayĂ© de lui dire que son dĂ©sir m’étouffait, qu’il ne laissait aucun espace pour le mien. Mais lui ne voyait pas le problĂšme. « Au contraire, me rĂ©pondait-il, tu devrais ĂȘtre heureuse d’ĂȘtre autant aimĂ©e. Et puis, mon amour, on n’est pas des colocataires non plus
 » Quand je me risquais Ă  lui rĂ©pondre que cela faisait tout de mĂȘme beaucoup, il me sortait l’argument massue : « Dites donc, mademoiselle la frigide, il faudrait peut-ĂȘtre songer Ă  consulter
 »
Nos discussions s’arrĂȘtaient gĂ©nĂ©ralement Ă  ce stade, parce que ses piques suffisaient Ă  me faire chanceler. Et s’il avait raison ? Et si je n’étais qu’une fille coincĂ©e et rabat-joie qui n’avait rien Ă  faire avec un type fringant comme lui ? Je n’allais quand mĂȘme pas le quitter pour ça. C’était le pĂšre de ma fille, et j’aimais sa personnalité  J’ai passĂ© des nuits Ă  tenter de me raisonner : « Ma petite Elodie, l’homme parfait n’existe pas. Il faut savoir faire des concessions dans un couple. » J’ai eu beau essayer de me convaincre, mon corps a fini par dire stop. Il Ă©tait Ă  bout de souffle, beaucoup trop sollicitĂ©. J’étais Ă©puisĂ©e, comme l’ont rĂ©vĂ©lĂ© mes examens de sang. Pendant des mois, j’ai passĂ© mon temps chez le mĂ©decin, pris des antibiotiques, changĂ© quatre fois de pilule, sans que l’on sache ce que j’avais prĂ©cisĂ©ment. Je n’ai compris que plus tard pourquoi je somatisais : parce que, pendant ce temps-lĂ , mon corps avait la paix.
Quand, Ă  force de traitements de cheval, j’ai fini par aller mieux, le rythme de ses sollicitations a repris. En pire. J’avais beau m’habiller comme un sac et Ă©viter ses regards, on aurait dit qu’il cherchait Ă  rattraper le temps perdu. Je redoutais son insatiable convoitise, je stressais Ă  l’idĂ©e de devoir m’allonger et de devoir prendre du plaisir, encore et encore. Cette situation Ă©tait devenue intenable. Maintenant, je ne le trouvais plus ni fringant ni charmant. Ses envies me dĂ©goĂ»taient. Je ne le voyais plus que comme un Ă©goĂŻste, un gosse attendant son biberon ou, pire, un animal, prĂȘt Ă  me sauter dessus Ă  la moindre occasion. J’en suis venue Ă  dĂ©tester le sexe, et Ă  le dĂ©tester, lui. J’avais atteint mes limites. Je devais partir. ImpĂ©rativement.
J’ai rapidement trouvĂ© cet appartement sur le port. Il Ă©tait tout petit, mais sa vue sur la mer m’a tout de suite plu. En m’y installant, j’étais bien dĂ©cidĂ©e Ă  y vivre seule avec ma fille pendant les dix prochaines annĂ©es de mon existence, au moins. Et puis, un jour, en revenant de l’école, j’ai rencontrĂ© Maxime. Il peignait les bateaux sur le port. J’ai tout de suite remarquĂ© son teint burinĂ© et son sourire franc. Quand je suis passĂ©e devant lui, il m’a regardĂ©e en me disant : « Comment allez-vous, aujourd’hui, jolie demoiselle ? » Tiens, CĂ©dric ne m’avait jamais posĂ© cette question. Avec Maxime, les choses sont devenues simples. J’ai retrouvĂ© du dĂ©sir, et je peux enfin l’exprimer. A nouveau, je prends du plaisir Ă  m’habiller, et j’aime le regard qu’il porte sur moi. Ça me rassure pas mal sur moi-mĂȘme : je ne suis ni frigide ni coincĂ©e, ça, c’est sĂ»r. Tous les deux, on fait l’amour quand ça nous chante, et, si je n’ai pas envie, il le comprend d’un geste. D’ailleurs, ça lui arrive Ă  lui aussi de temps en temps
 CĂ©dric a mis du temps Ă  rĂ©aliser que je ne reviendrais pas. Quand il l’a finalement admis, il m’a dit, dĂ©fait : « Au fond, tu as eu raison de partir. Avec tout ce que je t’ai fait subir
 » Enfin il avait compris. Mais beaucoup trop tard.
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