Elle met tout en oeuvre pour prendre son pied

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Elle met tout en oeuvre pour prendre son pied
D’où vient l’expression « Prendre son pied » ?
Administrateur système · L'auteur a 200 réponses et 415,4 k vues de réponse · 3 ans
D'où vient l'expression "à la mords-moi le nœud" ?
D'où vient l'expression "compter pour du beurre" ?
D'où vient l'expression "chier dans la colle" ?
D’où vient l’expression « avoir le seum » ?
D’où vient l’expression « à voile et à vapeur » ?
Anciennement Secrétaire de direction à Conakry, Guinée ( 1964 – 1965 ) · 1 an
D'où vient l'expression "à la mords-moi le nœud" ?
D'où vient l'expression "compter pour du beurre" ?
D'où vient l'expression "chier dans la colle" ?
D’où vient l’expression « avoir le seum » ?
D’où vient l’expression « à voile et à vapeur » ?
D’ou vient l’expression « Le choix du roi »?
D’où vient l’expression “attendre 107 ans” ?
D’où vient l’expression « Prendre ses jambes à son cou » ?
D'où vient l'expression "brut de décoffrage" ?
D’où vient l’expression « se prendre un râteau »?
D'où vient l'expression "être un cordon bleu" ?
D’où vient l’expression “à l’instar” ?
D'où vient l'expression «avoir la dalle» ?
D'où vient l'expression "ne pas faire de quartier" ?
D'où vient l'expression " mettre au clou" ?
D'où vient l'expression "à la mords-moi le nœud" ?
D'où vient l'expression "compter pour du beurre" ?
D'où vient l'expression "chier dans la colle" ?
D’où vient l’expression « avoir le seum » ?
D’où vient l’expression « à voile et à vapeur » ?
D’ou vient l’expression « Le choix du roi »?
D’où vient l’expression “attendre 107 ans” ?
D’où vient l’expression « Prendre ses jambes à son cou » ?
D'où vient l'expression "brut de décoffrage" ?
D’où vient l’expression « se prendre un râteau »?
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Voici une explication que j’ai déjà entendue.
L’expression aurait son origine dans l’argot des voleurs. « Prendre son pied », c’était partager le butin mesuré à l’aide du pied, l’unité de mesure, d’où le sens de plaisir partagé.
Cette explication, pour ma part, reste logique.
c'est l'antichambre du "Mont de piété" ou de " chez ma tante" À partir du xix ème siècle, comme les clous servent à fixer des objets, on a utilisé "mettre au clou" pour « mettre en gage », puisque les biens confiés aux prêteurs étaient accrochés à des clous en attendant qu'un retour de fortune permît à l'emprunteur de les récupérer.

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On s’était donné rendez-vous à la Nouvelle-Orléans, dans un souffle. Dans la torpeur des draps souillés par une nuit d’ivresse, on s’était dit qu’on s’y rejoindrait, quoi qu’il advienne. On avait passé une belle nuit, pleine de promesses qu’on ne tiendrait pas, pleine de miracles auxquels on ne croirait plus. Les corps s’étaient trouvés, les lèvres avaient étanché leur soif, les jambes s’étaient enroulées dans un mouvement brusque. Les jambes étaient solides, recouvertes d’un fin duvet. Ses jambes étaient agiles. Liane avait par-dessus tout profité des jambes de Jeronimo. On s’était enivré des peaux. On avait bu les sucs. On avait aimé ça. On avait recommencé plusieurs fois. Le lendemain, repus, on avait dû constater que ce genre de nuit magique ne se reproduirait pas tout de suite. Qu’il ne fallait pas insister. Que cela pourrait s’avérer dramatique. On avait de l’expérience, on savait à quoi s’en tenir. On avait donc trouvé la clé : ne plus se revoir et se donner la possibilité d’un jour se retrouver. Une porte de sortie pour se quitter sans se dire adieu. Pour s’en aller sans devoir laisser ses coordonnées. Pour préserver le mystère. Épais. On se reverra. Ailleurs. Là-bas, sur le continent du Jazz, en terre américaine. Pas de date précise, mais une année avait été évoquée. 2069 comme une année érotique. 2069 dans le Quartier Français. On avait fait confiance à la destinée. Le temps avait coulé depuis, lentement mais sûrement. Liane s’était mariée, avait eu des enfants. Liane chantait. Gagnait un peu d’argent, ce faisant. Liane avait été heureuse. Un matin pourtant. Ce matin, tout de même, en se brossant les dents, la chair n’était plus fraîche, les dents s’étaient tachées, les plis s’amassaient au coin des joues. Liane ne se reconnaissait plus du tout. Soudainement. Rien n’avait plus de sens. Son ventre était vide, son esprit s’ennuyait. Elle aurait pu accuser son mari aux pieds tordus ou ses enfants aux caprices gâtés. Elle aurait pu. Elle avait préféré, en secret, prendre son billet d’avion et décoller, le soir même, pour la Nouvelle Orléans. C’était la bonne année. C’était le mois de Juin. L’air en descendant de l’engin était lourd. Le jean de Liane lui collait les fesses, ses mains étaient moites. Elle attrapa un taxi et fila à l’hôtel qu’elle avait réservé. Elle ne savait pas où se rendre. Après. Elle ne savait pas quand le retrouver. Elle ne savait pas quelles étaient ses chances. Il n’existait pas de statistiques auxquelles se fier. Liane ne croyait pas aux signes du destin. Liane ne croyait en rien. Liane avait juste faim des jambes de cet amant du passé, de son souffle sur ses reins, de ses mains sur ses seins, de son sexe dans le sien. Liane voulait juste un instant retrouver la peau de ses vingt ans, les muscles de sa jeunesse, les sucs, l’ivresse. Liane manquait. Dans le premier bar sur la droite, un groupe de musiciens jouaient un air français. La glycine envahissait les parois. Le soleil s’apaisait. L’air était bon. Liane entra, commanda un cocktail. Ausculta l’assemblée. Pas de Jeronimo en vue. Aucune trace de son amant perdu. Liane s’en était doutée. Un autre, pourtant, jouait du trombone à la perfection. Un autre battait la mesure. Un autre avait le même sens du rythme, les mêmes mèches folles, un regard qui perçait jusqu’à sa culotte. Un autre donc. On allait donc pouvoir souffler. Retrouver les corps qui fusionnent, remplir les vides, étancher les soifs, rassasier les faims. Liane était apaisée. Soudain les rides avaient disparues, les cheveux avaient retrouvé de leur souplesse originelle, le port de tête était fier. Liane soudain séduisait. L’autre la rejoint. Il sentait bon. Ses poils piquaient. Ses mains enveloppantes, ses fesses moulées. Liane salivait d’impatience. Elle aurait voulu ne pas perdre ce temps retrouvé et profiter, là tout de suite, sous les yeux des clients. Elle aurait voulu ne pas en perdre une miette. Cela faisait déjà si longtemps que Liane n’avait pas eu d’amant. Cela faisait déjà si longtemps que Liane n’avait pas été attirée. Abruptement. Mais l’autre était plus raisonnable, plus précautionneux, plus respectueux des conventions. Il lui tendit la main et la fit monter jusqu’à la chambre, sous les combles, jusqu’à cette chambre qu’il habitait. Le cœur de Liane battait, ses jambes étaient déjà flageolantes, son corps anticipait le moment où elle retrouverait sa jeunesse. Un instant volé. Une étreinte essentielle. Et là, elle sentait comme le besoin devenait urgent, comme le trou dans son estomac avait pris toute la place. Toutes ces années sans cette chaleur, toutes ces années sans les reins qui palpitent, les seins qui durcissent. Toutes ces années à s’en priver. Le corps de Liane vibrait tant qu’elle ne remarqua pas que l’autre boitait. Ni les béquilles qu’il portait. La gorge de Liane salivait tant qu’elle ne regarda pas les pieds de l’autre. L’euphorie de Liane lui fit aussi oublier que les jambes de l’autre n’existaient pas, n’existaient plus, avaient été fauchées par un banal accident des routes. Liane s’était retrouvée enfin, dans le corps de cet autre dont le bas du corps manquait, dont les pieds ne toucheraient plus jamais terre. Dont les genoux ne se cogneraient plus. Dont les cuisses n’avaient plus de vigueur. Dont les mollets disparaissaient sous deux tiges de fer roides. Liane n’en avait pas eu besoin pour atteindre l’orgasme.


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Romancière pseudonyme de Lou B. Simone.
Amoureuse des plumes, des lettres, des voyages et des nuages. Graphomaniaque.
Mon premier roman La Belle Histoire a été publié en 2015 aux Editions
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Nous sommes enfin face à face. J’ai choisi la musique adéquate avec soin, tamisé les lumières. Un moment parfait ! Nos regards sont plongés l’un dans l’autre. Je respire un grand
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Et un jour qu’elles désiraient s’enlacer dans ses bras, Qu’elles pensaient ne jamais se lasser dans ses draps, Alors que les corps caressaient du bout des doigts, Que les peaux et les
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C est très beau ! Un rayon de soleil du matin, on en a besoin, merci :-)
J'aime beaucoup votre travail; mi pub, mi BD, la technique est au top.
... excellemment bien Gainsbarrée... celle çi ! ...(et pis si on aime pas l'anis, faut changer de prénom) - BRAVO l'gone (2-2)
c est très bien réalisé j aime bien aussi

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On s’était donné rendez-vous à la Nouvelle-Orléans, dans un souffle. Dans la torpeur des draps souillés par une nuit d’ivresse, on s’était dit qu’on s’y rejoindrait, quoi qu’il advienne. On avait passé une belle nuit, pleine de promesses qu’on ne tiendrait pas, pleine de miracles auxquels on ne croirait plus. Les corps s’étaient trouvés, les lèvres avaient étanché leur soif, les jambes s’étaient enroulées dans un mouvement brusque. Les jambes étaient solides, recouvertes d’un fin duvet. Ses jambes étaient agiles. Liane avait par-dessus tout profité des jambes de Jeronimo. On s’était enivré des peaux. On avait bu les sucs. On avait aimé ça. On avait recommencé plusieurs fois. Le lendemain, repus, on avait dû constater que ce genre de nuit magique ne se reproduirait pas tout de suite. Qu’il ne fallait pas insister. Que cela pourrait s’avérer dramatique. On avait de l’expérience, on savait à quoi s’en tenir. On avait donc trouvé la clé : ne plus se revoir et se donner la possibilité d’un jour se retrouver. Une porte de sortie pour se quitter sans se dire adieu. Pour s’en aller sans devoir laisser ses coordonnées. Pour préserver le mystère. Épais. On se reverra. Ailleurs. Là-bas, sur le continent du Jazz, en terre américaine. Pas de date précise, mais une année avait été évoquée. 2069 comme une année érotique. 2069 dans le Quartier Français. On avait fait confiance à la destinée. Le temps avait coulé depuis, lentement mais sûrement. Liane s’était mariée, avait eu des enfants. Liane chantait. Gagnait un peu d’argent, ce faisant. Liane avait été heureuse. Un matin pourtant. Ce matin, tout de même, en se brossant les dents, la chair n’était plus fraîche, les dents s’étaient tachées, les plis s’amassaient au coin des joues. Liane ne se reconnaissait plus du tout. Soudainement. Rien n’avait plus de sens. Son ventre était vide, son esprit s’ennuyait. Elle aurait pu accuser son mari aux pieds tordus ou ses enfants aux caprices gâtés. Elle aurait pu. Elle avait préféré, en secret, prendre son billet d’avion et décoller, le soir même, pour la Nouvelle Orléans. C’était la bonne année. C’était le mois de Juin. L’air en descendant de l’engin était lourd. Le jean de Liane lui collait les fesses, ses mains étaient moites. Elle attrapa un taxi et fila à l’hôtel qu’elle avait réservé. Elle ne savait pas où se rendre. Après. Elle ne savait pas quand le retrouver. Elle ne savait pas quelles étaient ses chances. Il n’existait pas de statistiques auxquelles se fier. Liane ne croyait pas aux signes du destin. Liane ne croyait en rien. Liane avait juste faim des jambes de cet amant du passé, de son souffle sur ses reins, de ses mains sur ses seins, de son sexe dans le sien. Liane voulait juste un instant retrouver la peau de ses vingt ans, les muscles de sa jeunesse, les sucs, l’ivresse. Liane manquait. Dans le premier bar sur la droite, un groupe de musiciens jouaient un air français. La glycine envahissait les parois. Le soleil s’apaisait. L’air était bon. Liane entra, commanda un cocktail. Ausculta l’assemblée. Pas de Jeronimo en vue. Aucune trace de son amant perdu. Liane s’en était doutée. Un autre, pourtant, jouait du trombone à la perfection. Un autre battait la mesure. Un autre avait le même sens du rythme, les mêmes mèches folles, un regard qui perçait jusqu’à sa culotte. Un autre donc. On allait donc pouvoir souffler. Retrouver les corps qui fusionnent, remplir les vides, étancher les soifs, rassasier les faims. Liane était apaisée. Soudain les rides avaient disparues, les cheveux avaient retrouvé de leur souplesse originelle, le port de tête était fier. Liane soudain séduisait. L’autre la rejoint. Il sentait bon. Ses poils piquaient. Ses mains enveloppantes, ses fesses moulées. Liane salivait d’impatience. Elle aurait voulu ne pas perdre ce temps retrouvé et profiter, là tout de suite, sous les yeux des clients. Elle aurait voulu ne pas en perdre une miette. Cela faisait déjà si longtemps que Liane n’avait pas eu d’amant. Cela faisait déjà si longtemps que Liane n’avait pas été attirée. Abruptement. Mais l’autre était plus raisonnable, plus précautionneux, plus respectueux des conventions. Il lui tendit la main et la fit monter jusqu’à la chambre, sous les combles, jusqu’à cette chambre qu’il habitait. Le cœur de Liane battait, ses jambes étaient déjà flageolantes, son corps anticipait le moment où elle retrouverait sa jeunesse. Un instant volé. Une étreinte essentielle. Et là, elle sentait comme le besoin devenait urgent, comme le trou dans son estomac avait pris toute la place. Toutes ces années sans cette chaleur, toutes ces années sans les reins qui palpitent, les seins qui durcissent. Toutes ces années à s’en priver. Le corps de Liane vibrait tant qu’elle ne remarqua pas que l’autre boitait. Ni les béquilles qu’il portait. La gorge de Liane salivait tant qu’elle ne regarda pas les pieds de l’autre. L’euphorie de Liane lui fit aussi oublier que les jambes de l’autre n’existaient pas, n’existaient plus, avaient été fauchées par un banal accident des routes.
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