Elle m'a offert son cul vierge

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Nombre de personnes connaissent une virginité tardive sans oser en parler. Pour les aider, Lisa, qui a fait l’amour pour la première fois à 37 ans, a accepté de rompre le silence avec courage. Témoignage . Propos recueillis par Elsa Rouden Visuel : Oredia
« J’ai connu ma première relation sexuelle à 37 ans. Après quelques entrevues infructueuses, j’ai essayé les sites de rencontre , en parallèle d’une psychothérapie. Un contact s’est montré plus intéressant que les autres. J'étais pleine d'envie, sans l'avoir vu. A sa demande, nous nous sommes rencontrés dans un lieu public. Puis, je l'ai rapidement emmené chez moi. Il m'a donné mon premier vrai baiser , mon premier contact avec le corps masculin. Il me trouvait timide ... Quand nous avons commencé à nous déshabiller, je lui ai avoué. Il a été surpris, m'a repris dans ses bras et, avec beaucoup de douceur et de tendresse, il m'a aidé à devenir femme. Et je me suis dit : comment ai-je pu me passer de ça aussi longtemps ? Je ne l'ai jamais revu. Mais je garde un très bon souvenir de cette première fois. Si c'était à refaire, je ne changerai rien. »
Une absence de désirs et d’opportunités « Assez réservée et ne souhaitant pas fonder de famille , j'ai privilégié d'autres aspects de ma vie (professionnel, associatif, amical...). Je n’éprouvais pas de désir assez fort pour rencontrer un homme et n’avais que des opportunités peu dignes d’intérêt. Mais, à 35 ans, cela a commencé à me peser. »
Un corps désexualisé « Ma sexualité tardive s’expliquait aussi par ma timidité et le fait que je n’aimais pas vraiment mon corps. Tout homme qui appréciait mon physique me paraissait alors assez étrange. C’est avec ma première fois que j’ai découvert en moi une sensualité dont je me sentais dépourvue –je pratiquais très peu l’autoérotisme. »
La peur de ne pas savoir faire « Avant de faire l'amour, j’avais peur d’être rejetée ou méprisée par mon partenaire. Je craignais surtout de ne pas savoir comment faire et, dans une moindre mesure, d’avoir mal . Aussi, pour ma première fois, j’ai délibérément choisi un inconnu n’habitant pas trop près de chez moi, afin de moins ressentir la pression. »
Virginité tardive et entourage « Seules deux amies proches étaient au courant de ma situation. L'une d'elle est croyante et pratiquante, l'autre a fondé une famille avec son amour de lycée. Deux femmes bien différentes qui ne m'ont jamais stigmatisée pour ma situation. Et qui m'ont toujours assuré que j'avais tout pour plaire à un homme -alors que je n'y croyais pas. »
Virginité tardive et partenaires « Je crois que mon premier partenaire sexuel a pris ses distances après avoir su que j’étais vierge. Nous avons tout de même échangé quelques mails après notre rendez-vous et il m’a avoué que s’il avait connu ma situation avant notre rencontre, il ne serait certainement pas venu. »
Virginité tardive et société « J'ai souhaité partager mon histoire pour déculpabiliser ceux qui ont l’impression de ne pas être normaux. Il n’y a pas de norme, chaque individu doit vivre à son rythme. Pour certains, comme moi, la découverte de la sexualité a été plus lente, mais pas moins bonne pour autant. Avant de faire l’amour, je me sentais différente, mais pas moins valable ».
Un bilan positif « J’aurais aimé faire l’amour avant, car le plaisir de la rencontre charnelle est vraiment unique et dynamisant. Mais je ne regrette rien. Je n’étais pas prête et je suis heureuse d’avoir attendu une certaine maturité pour mieux vivre cette expérience. »
Une sexualité épanouie « Maintenant, je me sens à l'aise avec la sexualité. J'aime cet échange avec l'autre : recevoir et donner. Mais ce n'est pas pour autant que je rattrape le temps perdu. Aujourd'hui, je recherche un partenaire. »

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Stéphanie Gasiglia
Publié le 18/04/2018 à 08:49, mis à jour le 18/04/2018 à 16:07


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Ils sont encore adolescents et ils s'offrent pour de l'argent. Ce mercredi soir, France 5 diffuse «Jeunesse à vendre» pour expliquer ces «passages à l'acte», facilités par les réseaux sociaux. Comme Sarah, une jeune niçoise de 16 ans.
Un regard, un sourire craintif. La porte de son studio à peine entrouverte, elle lâche : « Il n'y a pas d'âge pour foutre sa vie en l'air »
Sur son annonce, Sarah - c'est son vrai prénom, mais pas celui qu'elle donne à ses clients - dit avoir 20 ans. En vérité, elle en a 16. Elle referme la porte doucement. Pièce toute petite… Rendue plus petite encore à cause d'un immense lit envahi de coussins et qui ne laisse guère de place pour le reste. À peine un fauteuil rose coincé entre un mur et une minuscule fenêtre. Les volets sont fermés. « Je ne les ouvre jamais ». Son 24 m2 est dissimulé derrière l'avenue Jean-Médecin à Nice. Le cœur de ville. Avec vis-à-vis.
Sur ses talons noirs, pas si vertigineux, dans son pantalon noir, moulant mais pas trop, dans sa chemise en jean toute simple, Sarah est une jeune fille banale, à peine plus apprêtée qu'une lycéenne lambda.
Elle s'essuie les yeux : « Je me remaquille toute la journée sans me démaquiller, c'est un peu le chantier ».
Sarah a posé sur la table un paquet de chips, deux verres et une bouteille de vin blanc. « ç a vous dit de boire un verre ? ». Voix fluette et peu assurée. La jeune fille a hésité longtemps avant de témoigner. « En fait, ça va me faire du bien, car je n'en parle avec personne sauf avec ma cousine », avait-elle fini par répondre.
Depuis ses 14 ans, Sarah se prostitue. Elle ne prononcera jamais ce mot. Depuis un an elle s'est même organisée et dépose des annonces sur des sites internet. Pourtant, pour ses parents, elle est une étudiante « normale ».
« Ils habitent à Saint-Roch. Je vis encore chez eux. Et la journée je suis ici. Ils croient que je suis en CAP coiffure à Carros. »
Pratique, dit-elle. « Comme c'est loin, je peux rentrer chez mes parents vers 20 h, 20 h 30 sans qu'ils se doutent de quelque chose ».
Toute sa journée, Sarah la passe dans ce studio que sa cousine, qui vend son corps comme elle, a loué à son nom. « Elle a 26 ans. C'est elle qui m'a expliqué comment m'organiser ». « Il m'arrive de me faire 400 euros par jour. Parfois moins. Je pourrais me faire beaucoup plus. »
Sa vie est réglée comme une horloge. « Je pars de chez mes parents à 7 h et j'arrive au studio. Je redors jusqu'à midi, car la nuit je n'y arrive pas. » Sarah est accro aux réseaux sociaux. Et aux vidéos sur YouTube. Elle sourit en touchant ses cheveux - « des extensions » - «Je regarde des tutos coiffures. Comme ça, je peux coiffer ma mère et mes deux sœurs et elles n'y voient que du feu. Elles croient que je suis une pro. »
À midi, Sarah gère « son agenda ». Puis s'habille pour « recevoir ».
Il est 21 h 30. Du bruit dans le couloir de l'immeuble. Des cris… Alors, non, elle n'a pas peur du regard des voisins. Elle hausse les épaules : « C'est un immeuble de cas sociaux. En face, c'est un drogué qui capte rien. À côté c'est une fille qui doit faire comme moi. En dessous deux vieux. En haut je ne sais pas. Ici tout le monde s'en balance. Vous avez vu l'état des parties communes ?», lâche-t-elle, en finissant son verre de blanc.
Elle a envie de parler. Mais hésite. Par quoi commencer ? Par ça : « Un jour je me suis fait un peu peur quand même. Le client est venu avec trois copains. J'ai dû accepter que les trois regardent, j'avais trop la trouille que cela dégénère. Les autres m'ont pas touchée. » Elle bouge nerveusement ses jambes : « Je ne ferai pas ça toute ma vie, c'est sûr ». « J'ai des économies. Quand j'arrive à la somme que je me suis fixée, j'arrête tout et je pars m'installer aux États-Unis » , rêve-t-elle.
Sarah n'a pas de petit copain : « Trouve un mec qui accepte ce que je fais. » Elle rit, mais pas franchement. Et elle n'a plus vraiment d'amis non plus. « Pas grave j'ai ma cousine et ses copines. Et le week-end je suis chez moi avec mes parents et mes sœurs, ça fait du bien. »
Sarah retrouve sa chambre de « gamine ». Un cocon.
Elle avoue avoir la hantise que sa famille apprenne un jour. « Je ne veux pas y penser. J'improviserais. »
Sarah se laisse aller : « J'ai commencé dans les toilettes d'un snack près du collège. J'étais en quatrième. Des pipes. C'était cool, je me faisais 50 euros parfois par semaine. Je voyais pas le mal en fait. J'étais même pas une ado à problèmes. Je bossais bien à l'école. Une fille normale quoi. Mes parents n'ont pas de blé, alors moi j'avais l'impression d'en avoir », murmure la jeune fille, en triturant un coussin doré.
Et puis, un jour, elle se confie à sa cousine. Elle avait 15 ans passés.
« J'avais compris ce qu'elle faisait, même si pour toute la famille elle est femme de chambre dans un hôtel. »
« Elle a compris que comme elle, coucher, ça ne me dérangeait pas. Je fais ça comme si je vendais du parfum dans une boutique. Je gagne plus c'est tout. » La honte ? « Non. J'aurai honte seulement si ma famille l'apprend. »
(1) Certains indications géographiques et familiales ont été volontairement modifiées pour préserver l'anonymat de la jeune fille.
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Un toucher vaginal ( National Cancer Institute/CC)
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stevenV a posté le 11 septembre 2017 à 13h43
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ba_ka a posté le 11 septembre 2017 à 13h28
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gilbertduroux a posté le 04 septembre 2017 à 19h19
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gilbertduroux a posté le 04 septembre 2017 à 18h52
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Nicky Mado a posté le 04 septembre 2017 à 17h33
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