Elle lui raconte l'histoire de son amie

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C'est mon histoire : « La femme de mon amant est devenue mon amie » - ©martin-dm






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Marion, 43 ans, se pensait épanouie dans l'histoire d'amour qui la liait à son amant marié. Jusqu'à ce que le destin la confronte à son épouse, bien plus aimable qu'elle ne croyait. 
Les hommes mariés, ce n'est pas mon truc. Pas pour des raisons morales, mais parce que je suis une amoureuse viscérale. J'aime aimer mon homme sans entraves, sans m'imposer de garde-fou. Mon frisson, c'est la vie à deux, pas la morsure du manque ni l'amour de l'homme pas libre, celui qu'on attend au début de l'histoire puis qu'on espÚre quand viennent les petits matins gris de solitude .
Grappiller les miettes, merci bien ! J'aime la magie d'un plat de pĂątes partagĂ© devant un film et les courses au marchĂ© le dimanche, j'aime quand l'amour n'a pas besoin d'ĂȘtre constamment perfusĂ©. Alors, seulement, je sais que l'autre est la bonne personne. Aussi, trĂšs peu pour moi les plans cul , mĂȘme torrides, si je dois ensuite passer la soirĂ©e seule au cinĂ©ma ou les week-ends avec des amis, tandis que mon chĂ©ri se prĂ©lasse en famille dans sa maison de campagne. VoilĂ  oĂč j'en suis quand je rencontre Alexandre. Sa prĂ©sence, c'est elle qui d'abord s'impose Ă  moi. MagnĂ©tique comme un appel des sens. Il se tient Ă  trois mĂštres, j'ai envie de m'approcher, d'ĂȘtre Ă  son contact, de jouer les maladroites pour le frĂŽler. Puis il y a eu sa façon de me regarder. Un mĂ©lange d'assurance de mĂąle alpha, habituĂ©, dans son quotidien de pouvoir, Ă  obtenir ce qu'il dĂ©sire sans avoir Ă  demander, et d'intranquillitĂ©, tout droit Ă©chappĂ©e du versant intime de l'homme. J'ai chavirĂ©. La premiĂšre fois que je suis dans ses bras, je sais qu'il est mariĂ©, mais il est dĂ©jĂ  trop tard pour en dĂ©battre avec moi-mĂȘme. Question de chimie, de polaritĂ©s Ă©lectriques qui se rĂ©pondent Ă  la perfection. Ce n'est pourtant pas qu'une affaire de sexe, je suis bien avec lui. AveuglĂ©ment, bien. Nous sommes en phase intellectuellement, nous refaisons le monde comme s'il nous appartenait. Il me confie ses tracas professionnels, je lui expose mon point de vue. On joue au couple avec suffisamment de talent pour y croire. D'autant que je ne veux rien savoir sur sa femme ni sur leur mariage. Pour me protĂ©ger et ne pas allumer le feu de la jalousie. Mais il ne rĂ©siste pas Ă  l'envie de se plaindre d'elle, de ses angoisses, de son manque d'indĂ©pendance, de sa peur de vieillir, des disputes sans fin qu'elle dĂ©clenche. Bref, il Ă©touffe. Du tableau qu'il me peint durant prĂšs de deux ans, je l'imagine en grande bourgeoise dĂ©sƓuvrĂ©e et capricieuse, jouant, Ă  43 ans, Ă  l'ado dans des fringues haute couture, et Ă©tirant ses journĂ©es entre le designeur d'intĂ©rieur, le coiffeur, le masseur et les boutiques de luxe. Je la visualise en train de picorer ses mini-carottes dans un bistrot hype au dĂ©jeuner, puis au spa d'un palace devant un thĂ© blanc au goĂ»ter.
Jusqu'Ă  ce soir improbable oĂč le destin, facĂ©tieux comme jamais, nous rĂ©unit Ă  l'inauguration du concept store – une boutique de fleurs et galerie d'art – d'une voisine de ma meilleure amie. Un atelier d'ikebana japonais est dispensĂ© pour fĂȘter l'ouverture. Autour de la grande table rectangulaire, je suis d'emblĂ©e complice du regard avec cette femme, dont j'ignore encore l'identitĂ©, car nous sommes les deux nulles de l'assemblĂ©e. Quoi qu'on fasse, nos compositions florales ressemblent Ă  des hĂ©rissons hirsutes. Puis arrive le moment de bascule, lorsque la maĂźtresse des lieux passe admirer les crĂ©ations. SpontanĂ©ment, elle nous prĂ©sente. J'entends un prĂ©nom puis un nom. Un homonyme. Nul doute. Sans crainte aucune — mais je prĂ©fĂšre quand mĂȘme en avoir l'assurance —, je lance l'air de rien : « Dans quel quartier habitez-vous ? » Sans mĂȘme lever les yeux du sarment de vigne qu'elle s'Ă©chine Ă  dompter, elle me rĂ©pond par l'adresse d'Alexandre. Je me fige. Fuir ! Vite ! « Tu lĂąches tout et tu dĂ©campes », me dis-je. Tel est mon premier rĂ©flexe. Mais je reste plantĂ©e lĂ , Ă  la dĂ©visager. Encore et encore. Je n'y avais pas prĂȘtĂ© attention, nous nous ressemblons. Terriblement. Je fais face Ă  mon double. La sensation est dĂ©sagrĂ©ablement rugueuse, on est en plein dans le clichĂ© pathĂ©tique de « la mĂȘme femme en plus jeune ». Ou presque, car la femme d'Alexandre et moi, nous avons le mĂȘme Ăąge, mais je parais nettement plus jeune. Coup de chance de la gĂ©nĂ©tique. Je ne cesse de la regarder et de l'Ă©couter. Elle est agrĂ©gĂ©e d'histoire, bĂ©nĂ©vole dans une association humanitaire, oĂč elle enseigne le français Ă  des enfants migrants. Elle se dĂ©place Ă  vĂ©lo. D'ailleurs, elle a percutĂ© le camion des Ă©boueurs Ă  l'arrĂȘt en venant, aprĂšs avoir dĂ©rapĂ© sur un fruit Ă©crasĂ©. Ça la fait rire. Elle est chaleureuse. Effroyablement sympathique. OĂč est la femme pĂ©nible que dĂ©crit Alexandre ? Je dĂ©teste ce moment, oĂč je comprends qu'il a eu besoin de l'accabler pour se dĂ©douaner de son infidĂ©litĂ© et pour soulager sa culpabilitĂ© . Tout ce que j'ai feint de ne pas voir en deux ans, refait surface d'un coup : ses retards – de plusieurs heures parfois – dont il ne s'excuse jamais, comme si le cadeau de sa prĂ©sence autorisait toutes les impolitesses ; nos si rares week-ends ensemble qu'il annulait Ă  la derniĂšre minute ; ses appels tĂ©lĂ©phoniques, rĂ©itĂ©rĂ©s dix fois d'affilĂ©e, si je ne dĂ©crochais pas illico, non parce qu'il se languissait d'amour et trĂ©pignait de dĂ©sir de me voir, mais parce qu'il entendait mettre Ă  profit l'annulation inopinĂ©e d'un rendez-vous professionnel pour s'envoyer en l'air. Plus je parle avec elle, plus je m'Ă©loigne de lui. AprĂšs l'atelier, nous restons ensemble Ă  siroter du champagne. C'est naturel, tant nous avons d'affinitĂ©s. Les mĂȘmes goĂ»ts, une sensibilitĂ© commune. Je suis troublĂ©e, car cette femme, c'est moi. Je reconnais ses fragilitĂ©s et ses failles. Je connais par cƓur ses incertitudes d'amoureuse. Elle aurait pu ĂȘtre mon amie. De celle avec qui on traverse une vie. Nous nous racontons l'une Ă  l'autre trois heures durant en sautant du coq Ă  l'Ăąne, comme deux copines qui se seraient trop longtemps perdues de vue et dont l'enthousiasme chahute les pensĂ©es et bouscule les mots.
Ce n'est pas glauque, car dans ma tĂȘte, ce soir-lĂ , je passe de l'autre cĂŽtĂ© du miroir de mon histoire d'amour. Quand elle m'apprend, tandis que ses yeux rassemblent ses regrets, qu'elle adorait enseigner, mais que « c'Ă©tait important pour [s]on mari qu'elle suive l'Ă©ducation des enfants, alors [elle est ]restĂ©e Ă  la maison aprĂšs leur naissance », le mĂ©pris se rĂ©pand en moi. Alexandre savait que, par amour pour lui, autant que par angoisse de l'abandon, elle renoncerait Ă  sa carriĂšre et Ă  son indĂ©pendance Ă©conomique. Je m'en veux et j'ai mal d'avoir Ă©tĂ© si peu clairvoyante. Mon amant a peut-ĂȘtre Ă©tĂ©, jadis, un type bien, mais il s'est perdu en route. Elle continue Ă  parler de son mari, une petite flamme dans les yeux. Elle l'aime. Elle sourit en me fixant quand elle l'Ă©voque. Un instant, le doute me saisit : elle sait qui je suis. Non, c'est impossible. Elle l'aime, c'est tout. Ou plutĂŽt, envers et contre tout. Elle n'est sĂ»rement pas dupe, mais il est son homme, alors elle sourirait Ă  la terre entiĂšre s'il le fallait pour tĂ©moigner de son amour. Je ne sais pas si on peut parler de coup de foudre amical, mais Ă  cet instant-lĂ , je pense : « Il n'avait pas le droit de lui faire ça. » Et je le quitte pour de bon. De mon amant si brillant, si attirant, que j'aimais tant, il me reste la duplicitĂ© factice et stratĂšge de l'homme mariĂ© qui manipule et ment Ă  tour de bras, quand devant moi se tient une si belle personne. À la fin de la soirĂ©e, nous Ă©changeons nos numĂ©ros. Le champagne rosit nos pommettes, et nous sommes si bien qu'elle propose de me ramener sur le porte-bagages de son vĂ©lo. On tangue lĂ©gĂšrement au beau milieu de la piste cyclable, les autres vĂ©los klaxonnent en nous doublant. Qu'importe, on rit, on a de nouveau 15 ans cette nuit-lĂ , on est si heureuses de s'ĂȘtre trouvĂ©es. Elle m'appellera une fois. Je n'ai pas dĂ©crochĂ©. Comment construire une amitiĂ© sans lui dire la vĂ©ritĂ© ? Me taire serait la trahir. Parler serait avouer que je l'ai dĂ©jĂ  trahie. Trente fois, j'ai saisi mon tĂ©lĂ©phone pour la rappeler, en me disant : « On n'a qu'une vie, il ne faut pas gĂącher une si belle rencontre. La femme de mon amant est devenue mon amie. » Trente fois, j'ai raccrochĂ©, convaincue qu'Ă  sa place, ce n'est pas tant la maĂźtresse que je jugerais coupable et impardonnable que la femme qui a fait double jeu. Et elle n'aurait pas tort. Je n'ai pas rappelĂ©. Quand nous serons vieilles peut-ĂȘtre, lorsque le temps aura patinĂ© les tourments de la vie, je nous imagine en vieilles dames indignes et mutines, pouffant de rire en avalant un paris-brest. Qui sait, le destin aura peut-ĂȘtre envie de remettre la mise ?                       
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