Elle lui demande de lui faire des choses perverses

Elle lui demande de lui faire des choses perverses




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Elle lui demande de lui faire des choses perverses
15 témoignages de relations toxiques avec des pervers narcissiques
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Vous trouverez sur cette page des témoignages de personnes ayant eu une relation toxique avec un(e) pervers narcissique (alias PN).
Ces témoignages sont structurés à travers des questions qui vous permettront de comprendre comment commence une relation avec un PN et comment elle évolue avec le temps.
Vous verrez ainsi l’évolution de la relation, du dĂ©but de la relation jusqu’à la rupture et ce qui suit la rupture.
Vous identifierez Ă©galement la personnalitĂ© d’un pervers narcissique et vous saurez comment vous devez agir et surtout, ce que vous devez Ă©viter de faire.
A noter que les PN sont particuliĂšrement attirĂ©es par les personnes qui manquent de confiance en elles, qui ont une basse estime d’elles, et qui sont en dĂ©pendance affective .
J’ai prĂ©vu d’écrire un court article sur les pervers narcissiques en plus de ces tĂ©moignages. Si vous ĂȘtes abonnĂ© Ă  mes emails, vous recevrez cet article complĂ©mentaire.
Voici maintenant ces tĂ©moignages. Certaines personnes ont souhaitĂ© prendre un pseudo et d’autres ont souhaitĂ© garder leur prĂ©nom.
Isabelle : Tout allait bien
Un couple trĂšs fusionnel. Il Ă©tait trĂšs attentionnĂ©. Je n’avais jamais vu un homme aussi Ă  l’écoute de mes besoins.
Cristina : Au debout, j’étais heureuse et reconnaissante d’avoir rencontrĂ© enfin une personne qui s’intĂ©ressait Ă  moi, si attentif, si Ă  mon Ă©coute. Il arrivait juste au bon moment avec les mots que j’avais besoin d’entendre. Pour mon entourage, c’était juste une Ă©vidence, on Ă©tait faits l’un pour l’autre.
Mandy : Au dĂ©but, il Ă©tait parfait, des fleurs, des petits mots, toujours une petite attention, des compliments C’était la premiĂšre fois que je vivais une telle symbiose dans une relation. Les mĂȘmes envies d’avenir, c’était parfait.
Elisa : Je le trouvais fascinant, diffĂ©rent mais aussi trĂšs gentil et drĂŽle. Il a trĂšs vite voulu qu’on parte en week-end tous les deux, m’a trĂšs vite dit « je t’aime », m’a dit qu’il voulait s’engager, qu’il Ă©tait sĂ©rieux et fiable.
Julia : Au dĂ©but il se montrait attentif, prĂȘt Ă  tout pour me faire plaisir et me rendre heureuse. Il m’a invitĂ© dans un grand restaurant Ă©toilĂ©, pour me montrer son style de vie, indiquant que je ne mĂ©ritais pas moins. Il m’a offert de beaux ensembles de sous-vĂȘtements, m’envoyait des fleurs, de jolis messages plein d’amour. Il me complimentait sur mon physique, disant trĂšs souvent combien il Ă©tait fier d’ĂȘtre avec une belle femme comme moi. Il disait que c’était moi qu’il attendait depuis toujours, qu’on Ă©tait fait pour ĂȘtre et vivre ensemble. Il m’assurait de ses qualitĂ©s, un homme fidĂšle, attentif, prĂȘt Ă  tout pour me faire plaisir. Tout cela me plaisait. Je n’ai jamais Ă©tĂ© habituĂ©e Ă  tant d’attention, de cadeaux, de compliments. Il me faisait me sentir femme, dĂ©sirable.
Charlotte : J’avais l’impression de ne jamais avoir rencontrĂ© quelqu’un qui me ressemble autant. Un vrai coup de foudre ! J’ai d’ailleurs dĂ©cidĂ© de quitter mon mari en quelques semaines (ma relation n’était de toute façon pas Ă©panouissante, cela serait arrivĂ© avec ou sans cette rencontre)
Caroline : Notre relation a dĂ©butĂ© de maniĂšre trĂšs agrĂ©able. Il montrait son interĂȘt pour construire une relation durable. Il Ă©tait trĂšs attentionnĂ©, prĂ©sent, galant, trĂšs doux et Ă  l’écoute.
Angie : Au dĂ©but tout Ă©tait beau, il me comblait de cadeaux, des sorties improvisĂ©es. Une vie rĂȘvĂ©e.
ValĂ©rie : Au dĂ©but, c’était super. Il Ă©tait si prĂ©venant et Ă©lĂ©gant dans son attitude envers moi. Il m’envoyait des messages, se montrait disponible. Plein de promesses et de belles paroles.
Jean : Le début était parfait, idyllique. Ma femme était trÚs amoureuse et totalement dévouée, presque trop.
Nita : Une relation trĂšs fusionnelle.
Valentina : La relation Ă©tait purement idyllique. J’avais retrouvĂ© le plaisir d’exister comme un enfant le ressent avec ses parents.
Marine : Il s’est montrĂ© trĂšs prĂ©sent, beaucoup dans l’écoute, beaucoup dans la communication et l’empathie. Mais il s’adaptait Ă  mes attentes. A ce moment, je traversais une pĂ©riode trĂšs significative qui me laissait vulnĂ©rable (explosion de mon enfance, suicide d’un proche, maladie parents
 beaucoup de choses Ă  porter Ă  20 ans seulement). Il a aussi montrĂ© qu’il n’avait pas eu un passĂ© trĂšs simple, mais qu’il voulait mieux pour le futur. Il rĂ©veillait l’espoir en moi et cette volontĂ© de construire.
Elishean : Au dĂ©but de notre histoire, la relation se passait sans encombre dans le respect de l’un de l’autre avec d’agrĂ©ables partages.
Isabelle : Moi, je ne voyais rien. Il faut croire que l’amour rend aveugle. Par contre, mon frĂšre et ma sƓur qui sont un peu plus ĂągĂ©s que moi, avaient dĂ©celĂ© quelque chose de bizarre. Comme si c’était trop beau pour ĂȘtre vrai. Il Ă©tait trop gentil envers tout le monde. Ils n’avaient pas confiance en lui.
Cristina : Il racontait ses expĂ©riences prĂ©cĂ©dentes en travail ou en amour comme s’il n’avait pas eu vraiment de chance. Cela finissait au tribunal, soit il Ă©tait persĂ©cutĂ©, soit exploitĂ©. La maman de ses enfants Ă©tait une vilaine sorciĂšre qui l’avait fait souffrir. Je me disais que c’était injuste tout ce qu’il avait souffert, lui si bon, si gentil. Il parlait souvent de lui, mais je me disais que c’était normal parce que l’on faisait connaissance. On a fait le tour de mes amis mais j’ai rarement rencontrĂ© un de ses amis. Il disait qu’il avait dĂ©mĂ©nagĂ© pas mal de fois. Il Ă©tait pressĂ© pour se marier. Cela correspondait tellement Ă  mes attentes, deux mois aprĂšs, il m’a proposĂ© en mariage et on s’est mariĂ©s six mois aprĂšs avoir fait connaissance.
Mandy : Je savais qu’il avait un petit penchant pour l’alcool et la fumette, je voulais l’aider Ă  arrĂȘter. Il se montrait assez jaloux. Au dĂ©but je trouvais ça mignon et c’est vite devenu pesant car je devais lui prouver que je ne le trompais pas. Il vĂ©rifiait mon tĂ©lĂ©phone rĂ©guliĂšrement. Je mettais ça sur le compte de l’alcool. Il passait devant chez moi plusieurs fois par jour quand on n’était pas ensemble.
Elisa : Rien n’était bizarre. Il me paraissait simplement diffĂ©rent, inclassable. Je savais qu’il avait un passĂ© difficile avec la drogue, qu’il avait Ă©tĂ© trĂšs marginal mais il s’en Ă©tait sorti et semblait s’ĂȘtre rangĂ©.
Julia : C’est quand j’ai rencontrĂ© ses enfants. Il tĂąchait de se contenir pour ne pas leur crier dessus. Il leur parlait mal. Parfois il s’énervait trĂšs fort en les grondant. Il les affublait de surnoms ridicules et humiliants. Puis il a commencĂ© Ă  me parler de ses nombreuses souffrances d’enfance. Sans jamais me dire de quoi il avait souffert. Il m’a dit que son ex l’avait beaucoup fait souffrir malgrĂ© tout ce qu’il a fait de bon pour elle. Il m’a confiĂ© de nombreux Ă©lĂ©ments obscurs et inquiĂ©tants qui l’ont fait souffrir , sans jamais donner de dĂ©tails, en restant dans le flou, le faisant persister comme un hĂ©ros. Il m’a indiquĂ© que parfois il faisait des choses sous une emprise et qu’aprĂšs il ne se souvenait de rien. Je trouvais que c’était un homme qui avait beaucoup souffert et que je devais lui offrir beaucoup d’amour, que je devais essayer de le faire parler pour lui faire extirper ces souffrances. Que mon rĂŽle Ă©tait de l’aider Ă  aller mieux. En mĂȘme temps, toutes ces aventures faisaient penser Ă  un film de cinĂ©ma et sortaient de l’ordinaire.
Charlotte : Il insistait trĂšs fort pour que nous emmĂ©nagions trĂšs vite ensemble. Je voulais avoir le temps de retrouver un Ă©quilibre avec mes enfants avant cela mais il insistait beaucoup. J’essayais de tenir bon mais j’avais droit Ă  des jours de bouderies. Par ailleurs, nous avions croisĂ© son ex femme un jour, qui avait fait une crise d’hystĂ©rie (en montant sur le capot de la voiture, en hurlant, en essayant de le frapper
) et elle m’avait dit « tu verras, toi aussi, il te rendra folle, il trouvera tes faiblesses et s’en servira contre toi
 ». Cette phrase est toujours restĂ©e dans un coin de ma tĂȘte, heureusement.
Caroline : Il me paraissait parfois trĂšs prĂ©cautionneux, et d’un coup adopter un comportement sans gĂȘne. Ou bien se renfrognait quand ma rĂ©ponse Ă  une question ne paraissait pas rentrer dans sa logique puis il revenait rapidement Ă  un comportement agrĂ©able. J’interprĂ©tais ce genre de choses comme de la maladresse ou des petits sautes d humeurs passagers et sans gravitĂ©.
Angie : J’ai Ă©tĂ© une fois chez une voisine et entre temps, il est arrivĂ© pour venir me voir. Il Ă©tait Ă©nervĂ© que je n’étais pas lĂ  et m’a presque repoussĂ©e quand j’ai voulu lui faire un cĂąlin. Je me suis dit qu’il Ă©tait juste Ă©nervĂ© parce qu’il y avait une casserole sur le feu et l’eau bouillait et moi je n’étais pas lĂ  pour surveiller.
Jean : Elle a voulu que je dĂ©truise toutes les photos de mes ex, et les album photo de mes voyages. De plus, notre mariage sans contrat, c’est Ă  dire en communautĂ© rĂ©duit aux acquĂȘts l’embĂȘtait beaucoup, car elle savait que ma maison ne lui appartenait pas.
Phoenix : Pendant les dix premiĂšres annĂ©es, il y a eu quelques couacs ‎oĂč pour une broutille, il me hurlait dessus, m’insultait. Je pleurais beaucoup, mais aprĂšs il Ă©tait de nouveau si gentil que je me disais que tous les couples vivaient ce genre de moments.
Nita : Nous avons eu trĂšs rapidement des disputes trĂšs fortes, extĂ©nuantes, quelque chose que je ne pense pas avoir expĂ©rimentĂ© auparavant. L’impression, parfois, de devenir folle Ă  ces occasions, une sensation d’impuissance de me faire comprendre ou respecter. Sa façon de parler toujours en « je » Ă  des tiers quand il s’agissait d’un « nous » (par exemple des choses que nous avions rĂ©alisĂ©es ensemble ou qui nous appartenaient ensemble). Il ne me laissait pas aller dormir le soir selon mon rythme et me reprochait d’ĂȘtre toujours fatiguĂ©e. Dans notre sexualitĂ©, il Ă©tait peu concernĂ© par mon plaisir ou mĂȘme par mon dĂ©sir, pouvant devenir furieux si je refusais ou ralentissais, me comparant Ă  son ex. Quand j’ai su qu’il m’avait trompĂ©e c’est lui qui a criĂ© et m’a reprochĂ© la façon dont je l’avais dĂ©couvert. Il y avait quelque chose qui ne me paraissait pas logique dans ce raisonnement, mais je ne voyais pas quoi. Comment j’ai interprĂ©tĂ© tout cela ? Pour moi c’était surtout incomprĂ©hensible, un Ă©tonnement sans bornes, et une bataille permanente pour essayer de faire entendre mes besoins ou mon avis.
Valentina : J’ai pu constater que son comportement ne correspondait pas Ă  ce qu’il « revendiquait » telles que des façons d’aider son prochain, prendre soin de soi, etc. Mais je continuais la relation car je voulais vraiment m’en convaincre bien que j’avais en moi une dĂ©ception face aux promesses non tenues sur des projets qu’il m’avait fait miroiter (partir en Italie, sorties, etc. )
Marine : il avait des rĂ©actions violentes qu’il justifiait. Je trouvais qu’il s’énervait trop sur les autres. Toujours des problĂšmes contre lui. Toujours lui la victime. Un jour, je parlais avec son coloc et j’ai Ă©tĂ© trĂšs sĂšchement sommĂ©e d’arrĂȘter ce genre de comportement car il avait Ă©tĂ© trompĂ© par le passĂ©. Je pouvais comprendre, mais pas cette intensitĂ©, cette violence qui Ă©tait en dĂ©calage avec moi. Et progressivement, je passais au second plan, mes ressentis n’étaient pas lĂ©gitimes, j’étais une femme (trĂšs misogyne de base).
Elishean : Les premiers dĂ©rapages se sont trĂšs rapidement manifestĂ©s, Ă  savoir au bout d’un mois Ă  peine oĂč il s’est montrĂ© soupe au lait, impulsif cherchant Ă  me contrĂŽler. Moi j’ai immĂ©diatement vu cela d’un trĂšs mauvais Ɠil. Mais cependant, dĂ» au fait que je voulais tellement que notre histoire fonctionne j’ai acceptĂ© de passer l’éponge.
Isabelle : Ça s’est fait petit Ă  petit. En fait, il Ă©tait trĂšs intelligent et a rĂ©ussi, avec les annĂ©es, Ă  me faire avoir de moins en moins confiance en moi. Une faible estime de moi-mĂȘme s’est Ă©tablie. Lui, il en profitait, et faisait paraĂźtre pour le bon conjoint. « Je vais t’aider, je vais m’en occuper, etc
 » Par la suite, il me disait que je n’étais pas capable de faire telle ou telle chose par moi-mĂȘme. Il se rendait indispensable.
Cristina : DĂšs la nuit de noces. Il m’a humiliĂ© Ă  plusieurs reprises. Par exemple, pendant le repas de lune de miel, on Ă©tait Ă  table au resto. Il y avait un photographe et deux mannequins, une d’entre elles avec des cheveux rouges. Lorsqu’ils sont sortis, il a soudainement quittĂ© la table et est revenu 20 a 30 minutes aprĂšs. On avait dĂ©jĂ  pris l’entrĂ©e, et j’attendais bĂȘtement son retour. Il m’a alors dit que son fantasme, c’était les femmes rousses et il fallait qu’il aille la contempler. Je ne savais pas quoi dire, tellement j’étais confuse. Plus tard, dans la nuit de noces, lorsqu’on est rentrĂ©s dans la chambre, il m’a dit « Je te le dis tout de suite, ce qu’on va faire, on va faire vite car tu ne me plais pas du tout. Tu n’es pas mon genre. La seule raison pour laquelle je t’ai Ă©pousĂ©e, c’est parce que Dieu me l’a dit ». J’ai commencĂ© a me sentir moche, inintĂ©ressante, bĂȘte. Comme si j’étais une ignorante alors que j’ai un trĂšs bon niveau d’études supĂ©rieures et un mĂ©tier intĂ©ressant et des valeurs qui me sont chĂšres. J’ai alors perdu la notion de qui j’étais. J’étais trĂšs fatiguĂ©e, je ne voyais pas clair.
Mandy : Au bout de deux ou trois mois, aprĂšs notre premiĂšre dispute, il m’a envoyĂ© des insultes toute la nuit par sms. Il me disait que j’étais trop grosse pour que quelqu’un veuille de moi, que j’étais une pauvre fille, une grosse vache. Le lendemain, il est revenu avec des fleurs en m’expliquant que je l’avais poussĂ© Ă  bout et qu’il m’avait dit tout ça pour me faire rĂ©agir. Je me suis excusĂ©e car que je pensais que c’était de ma faute.
Elisa : les difficultĂ©s sont arrivĂ©es aprĂšs deux mois de relation. Je me suis plainte d’une forme de distance, d’indiffĂ©rence qu’il pouvait avoir parfois et il l’a mal pris. Au bout de quelques mois, aprĂšs une crise de jalousie de ma part et un froid entre nous, il m’a dit qu’il me quittait. J’étais dĂ©sespĂ©rĂ©e mais quand je suis allĂ©e chez lui pour lui rendre ses clĂ©s, j’ai compris qu’il avait menti et qu’il ne voulait pas me laisser, mais juste jouer. A partir de lĂ , il est devenu mĂ©chant, rabaissant, distant et Ă  d’autres moments gentil et aimant.
Julia : la relation a changĂ© au bout d’un mois environ.
Charlotte : Peut ĂȘtre au bout de deux mois avec ce besoin de trĂšs vite emmĂ©nager ensemble.
Caroline : Il a changĂ© du tout au tout le jour mĂȘme de mon emmĂ©nagement chez lui.
Angie : Il a changĂ© de comportement Ă  partir du moment oĂč on s’est installĂ©s ensemble.
Valérie : Il a changé quand je suis venue vivre avec lui et que je lui ai demandé pourquoi ses actes étaient si différents de ses paroles, notamment quand je manifestais ma volonté de faire des choses.
Jean : Il a changé deux ans aprÚs la naissance de notre deuxiÚme fille.
Phoenix : Il a changĂ© aprĂšs la naissance de nos enfants, lorsque je n’ai matĂ©riellement plus eu tout mon temps pour m’occuper de lui. Il est devenu jaloux du temps que je passais avec eux, il a commencĂ© Ă  me rabaisser devant eux, et Ă  m’insulter rĂ©guliĂšrement.
Nita : Durant les premiĂšres annĂ©es, je n’ai pas remarquĂ© de changement, j’ai plutĂŽt l’impression que les choses se sont installĂ©es insidieusement. Par contre, aprĂšs la naissance de notre deuxiĂšme enfant, il y a eu un changement plus abrupt.
Valentina : Il a changĂ© lorsqu’il s’est aperçu que je marquais mon opposition face Ă  certaines de ses demandes telles que aller en course seule Ă  la tombĂ©e de la nuit en hiver Ă  pieds car le supermarchĂ© Ă©tait Ă  proximitĂ©, m’obliger Ă  frĂ©quenter ses Ă©ventuelles futures partenaires dans l’hypothĂšse oĂč je le quitterais, tout en voulant me faire croire que j’accepterais sa vie d’infidĂšle et oĂč j’aurais le rĂŽle de « favorite ».
Marine : Il a changĂ© de comportement quand je suis tombĂ©e enceinte par accident aprĂšs deux ans et demi de relation. Le tout associĂ© avec une demande en mariage pour laquelle je n’étais pas du tout enthousiaste. Je voulais garder ma libertĂ© envers lui. Mais je ne l’ai compris qu’aprĂšs, que cette peur que je ressentais en moi, c’était pour me prĂ©venir que quelque chose n’allait pas dans la relation.
Elishean : au bout de seulement 1 mois de relation.
Isabelle : Il prenait de plus en plus le contrĂŽle sur moi, sur mes activitĂ©s, les amis Ă  qui je parlais. Il dĂ©cidait mĂȘme mes vĂȘtements Ă  acheter et avec lesquels je dormais. Quand j’arrivais du travail le soir, il y avait un pyjama de coton et de la lingerie sur le lit. C’était un piĂšge ! Si je mettais le pyjama, il boudait toute la soirĂ©e parce qu’il voulait que je sois sexy. Il me faisait sentir coupable. Il avait une trĂšs forte libido (faire l’amour au moins deux fois par jour) et pour lui, si j’enfilais le pyjama, j’allais refuser d’avoir des rapprochements physiques avec lui.
Cristina : Il a commencĂ© Ă  ĂȘtre trĂšs querelleux, trĂšs conflictuel, rien ne lui allait. Des fois cela montait crescendo et j’ai connu toutes sortes d’abus: verbal, physique, sexuel, financier.
Mandy : Il est devenu violent verbalement et un jour, c’est devenu physique. Une petite claque derriĂšre la tĂȘte d’abord et ensuite l’habitude de m’attraper par les cheveux pour me faire m’agenouiller devant lui pour m’excuser de l’avoir poussĂ© au bout de ses limites. Il me disait que j’avais besoin d’aide. Un jour il m’a sĂ©questrĂ©. La fois d’aprĂšs, il me vire de chez lui Ă  3h du matin en sous-vĂȘtements, pieds nus dans la neige. Il ne se cachait plus pour me tromper. Mais il revenait gentil avec des fleurs en me disant que je l’avais forcĂ© Ă  rĂ©agir comme ça, que je ne faisais pas d’effort pour lui plaire

Elisa : Il Ă©tait souvent distant ou agressif, me criait dessus, me reprochait ma jalousie et mon inquiĂ©tude face Ă  ses comportements d’indiffĂ©rence. Il est parti au ski avec sa « meilleure amie » et malgrĂ© mon inquiĂ©tude, n’a pas voulu y renoncer. J’ai appris ensuite que c’était son ex. Il alternait passion et dĂ©nigrement, affection et indiffĂ©rence. Il mentait, s’engageait Ă  faire des choses puis changeait d’avis, provoquait des disputes pour pouvoir se dĂ©barrasser de moi. J’ai compris plus tard qu’il me poussait Ă  me mettre en colĂšre pour qu’on se sĂ©pare et me dire que c’était de ma faute. Pendant ces pĂ©riodes de ruptures, il en profitait pour partir en voyage. Je pense qu’il avait d’autres histoires aussi. Quand il se lassait de ça, il revenait me chercher avec des cadeaux et des promesses et je cĂ©dais Ă  chaque fois.
Julia : ce qui a changĂ©, ce sont nos relations intimes. Il m’a indiquĂ© qu’il fallait passer Ă  un stade supĂ©rieur. En m’expliquant ce qu’il aimait, ce qu’il avait fait, ce qu’il aimerait que l’on fasse. Il devenait trĂšs autoritaire m’obligeant Ă  lui obĂ©ir en temps et en heure. Il voulait me faire dĂ©couvrir de « nouveaux mondes » , de nouveaux lieux , de nouvelles mĂ©thodes pour nos relations intimes. Parce que lui, il savait ce qui Ă©tait bon pour moi , ce que j’aimais, comment s’y prendre. Il me faisait comprendre que je n’étais pas faite pour cette vie de mĂšre, qu’il y avait beaucoup mieux pour moi.
Charlotte : Il a commencĂ© Ă  bouder, si j’allais voir une amie par exemple. Il y avait Ă©galement des injonctions paradoxales. il me disait que nous voyions trop ma famille, que je n’avais pas assez de temps pour lui. Parfois, je le retrouvais reclu dans le lit, il ne rĂ©pondait plus Ă  mes appels
). Il s’est ensuite « attaquĂ© » Ă  ma fille qui avait un an et demi en disant qu’il ne supportait plus de vivre avec cette « gamine », qu’il en avait mal au ventre le matin de la voir car elle ne lui disait pas bonjour !
Caroline : Il s est mis Ă  me crier dessus car je n’arrivais pas assez vite pour l’aider Ă  monter un meuble. Et lĂ  aucune excuse de sa part bien au contraire. Il m’a ignorĂ© pendant plusieurs jours. J’ai dormi la premiĂšre semaine de notre vie commune sur le canapĂ© du salon sans qu’il vienne me chercher. Ensuite, cela s’est reproduit par vagues plus ou moins violentes pendant un an. A chaque crise, il attenda
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