Elle glisse la queue entre ses nichons

Elle glisse la queue entre ses nichons




🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Elle glisse la queue entre ses nichons
Histoires-Intimes.com ATTENTION: CONTENU RESERVE AUX ADULTES ENTRER    

Découvrez les filles coquines près de chez vous :


Histoire de orangina07 Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter
Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide
Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :
Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs. Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée. © Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.
© Copyright 2004-2022 © Histoires Intimes

Avec votre accord, nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre politique de confidentialité sur ce site.
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal











Editer l'article



Suivre ce blog




Administration




Connexion


+
Créer mon blog







<< Striptease...

Vacances à la neige... >>


23 février 2012
4
23
/ 02
/ février
/ 2012
15:57


Published by john



commenter cet article



Voir les 2 commentaires





<< Striptease...

Vacances à la neige... >>

Bonjour,tu dit dans ton premier article être une fille prénommer Stéphanie, et dans cette article tu parle de toi au masculin. Tu a fais une erreur là. Blog très sympa sinon

-ça fait chaud au coeur (et pas que là !!! ) de savoir qu'une fille dait (parfois , souvent ---) dans sa culotte .PIPI (seulement ?) ou CACA ? ERIK 61 .





Blog
:
Le blog de enviesoudaine.over-blog.com









Description

:
histoires vécues, actualité du moments...du plaisir quoi...récits des premières fois....



Contact








Ma première fois...femme




J'ai eu un orgasme dans mon bureau la main dans mon string..




Striptease...




Ma cousine la première fois




Vacances à la neige...




Massage quand tu me prends...




Vacances à la neige...




Ma première expérience bi...a la colo




Je prends la copine sur mon bureau




Ma première fois au travail






Voir le profil de john sur le portail Overblog
Créer un blog gratuit sur Overblog
Top articles
Contact
Signaler un abus
C.G.U.
Rémunération en droits d'auteur
Offre Premium
Cookies et données personnelles
Préférences cookies


Je vais vous raconter ma première fois avec ma cousine, on est du même âge ,et cela s ‘est produit alors que l’on avait 16 ans, on est très proche depuis tout petit.
On habite dans la même ville et nos parents se voyaient régulièrement donc nous avec et on a grandi ensemble et on découvert les joies du sexe pratiquement en même temps.
A l’époque elle faisait de l’équitation et un jour bingo elle se casse une jambe en chutant de l’animal.
On est dans la même classe et ma tante appelle ma mère pour me demander si je peux apporter les cours à ma cousine, car elle a manqué deux jours de classe le temps de se remettre de sa chute et de plâtrer une jambe, je lui ok que j’irais demain apres midi la voir avec les cours.
Le lendemain je vais chez ma tante et celle ci n’est pas la elle est travaille, elle a perdu son mari elle élève ses deux filles toute seule.
Elles habitent dans une résidence et au troisième étage.
C’est sa sœur qui l’ouvre elle a 14 ans et déjà elle a les seins qui poussent je vois a travers son pull. On s’embrasse pour se dire bonjour et elle me m’accompagne jusqu’à la chambre de sa sœur.
La porte est ouverte et ma cousine est appuyée devant la fenêtre avec sa jambe dans le plâtre elle fume une cigarette, sa mère ne veut pas qu’elle fume donc elle en profite pendant qu’elle bosse.
On discute de tout et sa petite sœur sort de la chambre en nous disant qu’elle va en bas jouer avec des copines, et elle ferme la porte.
Nous racontons les histoires de bahut et elle est toujours appuyée sur le bord de la fenêtre elle me tourne le dos pour éviter de mettre de la cendre sur la moquette.
Je suis assis sur le lit et elle elle en nuisette avec juste des bas noirs jusqu’à mi cuisse.
Evidement elle est pas sortie de la journée de la maison, ce qui fait que je m’aperçois qu’elle a de belles jambes fines et un petit postérieur que je devine sur la nuisette.
Entre deux discussions elle tourne la tête et me dit en souriant « n’en profite pas pour mater » et je lui répond « je vais gêner, c’est gratuit et c’est agréable , j’avais pas vu que tu étais si bien gaulée »et elle réponds « c’est sur avec mon plâtre je suis sexy » enfin plâtre ou pas plâtre penchée comme elle sur la fenêtre sa nuisette remonte assez haut sur ses cuisses ce qui fait que cela me donne des chaleurs et j’ai une érection rapide.
Je lui demande « ton mec te manque pas « et elle me réponds « oh si tu te rends compte que j’ai pas touché mon mec depuis 3 jours !!! ,ca me tue ! »
Et comment tu fais alors je lui demande et elle me réponds « devine gros malin » et j’ajoute » c’est pas pareil, tes doigts ou le pieu de ton mec » « ah non c’est sur qu’elle me dit mais la j’ai pas le choix, pourtant j’en rêve qu’elle me dit » elle sort une autre cigarette de son paquet l’allume tandis que je me lève ,elle m’excite de trop penchée ainsi et je m’approche d’elle par derrière.
Je mets mes mains sur ses hanches et je me colle à elle, mon sexe bien dur contre ses fesses.
Elle tourne la tête et me dit « t’es fou ? arrete ! » Mais elle me repousse pas et ne bouge pas.
Je me frotte contre elle et je glisse une main devant et je la remonte le long de sa cuisse pour caresser son sexe.
Elle porte rien en dessous, et lorsque mon doigt se pose sur son petit minou elle gémit « oh merde t’es raide ca m’excite » qu’elle me dit et en effet je sens sous mon doigt son sexe devenir humide, elle bouge ses fesses pour mieux sentir ma barre de chair contre elle.
Je continue de la caresser avec mon doigt tandis qu’avec l’autre main je défait ma braguette, j’ai envie de la prendre la de suite, mon jean et mon short tombe sur mes chevilles, je soulève sa nuisette juste au dessus de ses fesses, et je découvre son petit postérieur, ouah elle est canon, un petit cul comme cela c’est du tonnerre, je colle mon sexe libéré contre et elle gémit au contact.
Elle a la tête dehors, appuyée sur le bord, je suis excité comme un pou et elle aussi car son sexe ruisselle sous mon doigt.
Je recule et je glisse mon bâton dans son antre bien ouvert, elle m’accueille en gémissant et je m’enfonce en elle tout en douceur,que c'est bon quand le gland rentre juste à l'intérieur, c'est tellement sensible, elle commence à gémir plus fort lorsque j’entame un va et vient régulier.
Je m’accroche à ses hanches, je glisse mes mains sous sa nuisette pour caresser ces deux seins, elle adore et me le dit »vas y vas y viens encore encore j’aime « je me fais pas prier et je continue de la pilonner, la fenêtre grande ouverte.
Elle glisse sa main sous elle entre ses cuisses et je sens ses doigts me caresser les testicules , oh que c’est bon , elle en rajoute en plus « elles sont lourdes tes c.. , j’adooooore ! vas y bourre moi » j’accélère le mouvement et ensemble nous gémissons de concert jusqu’à jouir pratiquement en même temps.
Nous profitons de la plénitude après l’acte pendant quelques minutes, en ondulant tout en douceur.
Puis elle se retourne et pousse un petit cri, je me retourne aussi et je vois sa sœur qui nous regarde, la main dans son jean, elle se caresse.
On n’a pas entendu la porte s’ouvrir tellement on était occupés. Ma cousine lui demande ce qu’elle fait la tandis que l’on se rhabille enfin surtout moi, et elle de répondre » j’ai entendu gémir d’en bas «t’es pas discrète » et elle rajoute « et puis t’as aimé on dirait ».
On éclate de rire tous les trois, et elle demande à sa sœur de rien dire , elle réponds t’inquiète je suis une tombe mais tu me devras quelque chose dit elle en retirant sa main de son jean.
« on verra cela plus tard petite sœur » maman va arriver d’ici quelques minutes.
Je suis parti quelques minutes après, avec le sourire et l’espoir de remettre cela une autre fois.



Issue: *

Violation de copyright Ce contenu est à moi le spam


Your Name: *



Your Email: *


Cliquez ici pour poster un commentaire
FreeDirtyGame.com | FunFuckDolls.com | SexSimulators.com
Copyright © 2022. Created by Histories de Sexe .
Ce site utilise des cookies. Si vous continuez à utiliser le site Web, nous supposons votre consentement. D'accord
Elle ne me voit pas. Je regarde par le trou de la serrure. Elle se déshabille. Ses seins sont petits, ils ont la forme de demi-citrons bien pleins, tâches de rousseur, aréoles claires et tétons ronds rose très pâle- un peu épais, là encore comme le cul d’un agrume juste coupé. Elle a la peau si blanche ! Sa culotte tombe à ses pieds. Une touffe rousse. Elle s’allonge sur le lit, jambes écartées. Le bas de sa chatte est presque naturellement glabre. Ses seins ne s’étalent pas, ils restent drus, fermes, ils trônent, comme deux petits citrons pâles sur son buste menu. Elle remonte le drap sur elle, comme à chaque fois. Je vois sa main s’agiter, sa poitrine se soulever, elle se masturbe lentement, des gémissements étouffés me parviennent à travers la porte. Je bande comme un fou. J’essaye de redresser mon slip d’une main en restant collé au trou de serrure mais mon coude cogne contre la porte, le bruit est clair, limpide, il annonce: “quelqu’un cogne à la porte !”. – Oui ? C’est elle ! Je me redresse doucement et prie pour qu’elle ne vienne pas ouvrir. Tout est calme. Pas un bruit. Sauf les battements de mon coeur. Je compte jusqu’à 10. Lentement. Rien. Je me penche, et me replace devant la serrure. C’est tout noir, je ne vois… La porte s’ouvre à la volée ! Je me redresse d’un coup, l’air coupable. Rebecca, ma coloc, est furax. Elle est enveloppée du drap, je sais qu’elle est nue dessous. – Sean ! Qu’est-ce-que tu fais là ! Tu m’espionnes ? Si seulement je pouvais arrêter de bander ! J’ai le cerveau déconnecté. Je ne peux pas trouver de mensonge. Et comme un con, je dis la vérité. – Non, Becky, je… je… je regardais juste euh… j’aime bien quand tu… – QUOI !? Tu veux dire que tu m’as déjà vue en train de… Tu es un gros dégoûtant ! Que je ne te vois plus jamais – ja-mais – devant ma porte comme ça ! Elle recule, le visage blanc de rage, la porte claque, faisant vibrer les murs. Je reviens à ma chambre en traversant la salle commune. Ma bite me fait mal, j’ai le ventre douloureux, comme si l’on m’avait donné un coup de genou dans les roubignolles. Je fais glisser la fermeture éclair de mon pantalon, et sors mon sexe affamé, que je caresse amoureusement. Je ferme les yeux, et me branle debout, au milieu de ma chambre en repensant aux petits nichons dressés de Becky. Ma porte s’ouvre en grand. Rebecca est là, enveloppée dans une serviette rose, qu’elle tient d’une main, juste entre ses seins. Elle pose les yeux sur ma bite, que je remets hâtivement dans mon slip. – Becky ? Qu’est-ce tu… Elle garde les yeux rivés sur mon entrejambe. Elle semble satisfaite, et sérieuse. Mais elle ne sourit pas. – C’est d’accord. Tu peux me regarder. Tu viens ? J’ouvre des grands yeux étonnés et la suit machinalement. – Par le trou de la serrure ? Elle ouvre sa porte et me fais signe d’entrer. – Ne sois pas ridicule. Tiens, prends la chaise et mets-toi là. Je hoche la tête, coeur battant. Je m’installe à côté du lit une place. Elle se place juste devant moi, la serviette tombe, ses seins mandarines sont pleins de tâches de rousseur, sa chatte est rouquine, courte et drue, je devine le clito, lové dans le creux sombre. Elle se tourne, sa taille est menue, son cul n’a pas un gramme de gras, il est ferme et pâle, constellé lui aussi de tâches rousses. Elle monte sur le lit, se cache sous le drap. Je devine que ses jambes s’écartent, et je suis le chemin de sa main qui s’y glisse, et qui tourne, en une ronde incessante, sur le sexe vierge. Elle me fixe des yeux, qui deviennent vides par moment, lorsque le plaisir est plus fort. Je bande comme jamais, je mate, et mate encore. Ses épaules se dénudent peu-à-peu, je vois le haut de ses seins, mais pas les mamelons. Elle chuchote d’une voix plaintive: – Montre-le moi. Elle tend sa main gauche vers mon pantalon. J’ai la tête qui tourne tellement je bande. Je réponds: – Si tu me montres tes seins. Elle gémit plaintivement et tire le drap jusqu’à son nombril, offrant son buste délicat à mon regard voyeur. Elle se masturbe plus vite. Ses seins roux se soulèvent et s’écartent au rythme de ses profondes inspirations, ses tétons ronds sont drus, tendus, gonflés de plaisir, j’ai envie de les toucher. Je me mets debout, au-dessus d’elle, et je sors mon sexe pâle, que je tiens dans ma main. Elle le regarde en ondulant le bassin, ses deux mains sont en action, explorent sa chatte, j’ai envie d’en voir plus, le drap glisse encore, je peux voir ses poignets qui vont et viennent. J’ai honte, la bite à l’air, mais je la mate toujours. Je ramasse sa culotte, parterre, et la porte à mon nez. L’odeur salée est forte, la culotte est sale, souillée, je sens mon gland gonfler sous le coup de l’excitation, Rebecca halète comme un petit chien, elle s’arrête, dos cambré, et gémit longuement, dans un chuchotement délicieux, tendue comme un arc. – Ah ouiiiii aaah ouiiiii aaaaaah….. mmmm…. aaaaah…… Je me retiens d’éjaculer sur elle, je lâche ma queue – rougie par la pression de mes doigts – et la laisse battre dans le vide, au-dessus de Becky, magnifique dans son extase. Elle se relâche, remonte le drap sur elle, tourne son visage souriant vers moi et murmure: – Merci. C’était… nouveau. Ses yeux descendent vers mon sexe nu, toujours tendu à l’horizontale. Elle tend sa main et le prend avec le bout de ses doigts. – C’est dur comme du bois. Il dégonfle quand ? Je suis étonné. Je pensais qu’elle savait ce genre de truc, quand même. – Quand… Quand… Comme toi, quoi, quand j’aurai eu mon plaisir, ou quand je penserai à autre chose que toi toute nue. – Oh. Elle a l’air curieuse. – Vas-y, fais-le. Devant moi. Je suis sur le cul. – Ça… Ça va pas ou quoi !? Elle hausse les épaules. – Je l’ai fait devant toi, moi. Je rougis. – Oui, mais tu t’es cachée, c’est pas pareil. Elle ne se démonte pas. – Bon, si tu le fais, le prochain coup je me cache pas, d’accor
Petite chatte limée avec fougue
Une brunette qui aime toucher ce micro pénis
Dans les chiottes avec Natasha

Report Page