Elle et deux mecs

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Elle et deux mecs
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Ils nous ont racontĂ© leur histoire d’amour depuis le lieu qui l’incarne le mieux. Pour Lucile, c’est le train qui est le trait d’union entre les deux hommes de sa vie.
Pour Lucile, l’amour ce n’est ni lui ni l’autre. C’est les deux. C’est Thomas, son mari ; et Benjamin, son amoureux. Lucile est polyamoureuse. « Je n’adore pas les Ă©tiquettes, mais elles permettent de se construire ou de tout dĂ©construire » , consent cette journaliste de 33 ans aux cheveux blonds, qu’elle teint parfois en rose.
Ce qui lie Benjamin et Thomas, c’est l’amour qu’ils portent Ă  la mĂȘme femme
Thomas – son Ă©poux depuis sept ans et le pĂšre de leurs trois enfants – n’est pas un cocu isolĂ© dans leur maison lilloise. Et Benjamin, trentenaire, n’est pas l’amant parisien non officiel occasionnel. Ils ne sont pas en trouple mais dans une relation « en V », dont Lucile est le « pivot » . D’une mĂȘme voix, ils soulignent qu’il ne s’agit pas, ici, d’adultĂšre, d’aventure passagĂšre, de polygamie, d’échangisme, de phĂ©nomĂšne de mode, d’utopie, de philosophie, ni mĂȘme d’état d’esprit. Dans ce polyamour qui dure depuis deux ans, Lucile vit simultanĂ©ment et alternativement deux histoires, avec deux vies sexuelles distinctes. Benjamin et Thomas ne partagent ni le mĂȘme lit, ni la mĂȘme vie. Ce qui les lie, c’est l’amour qu’ils portent Ă  la mĂȘme femme.
Une femme qui divise mĂ©ticuleusement son temps entre chacun et pour qui le train est l’unique moment de solitude oĂč elle tisse les liens dĂ©licats de cet amour Ă  trois. Une fois par mois, elle fait son sac et s’en va dix jours rejoindre Benjamin Ă  Paris, dans son autre chez elle. Des portes se ferment, de la distance se parcourt : « Je fais un choix Ă  chaque fois que je monte Ă  bord du train. Le choix d’aimer l’autre personne, Ă  l’autre bout de la ligne. » Lille-Paris. Paris-Lille. Dans le train, cĂŽtĂ© fenĂȘtre, la vie est devant ou derriĂšre, le temps s’écoule doucement, Ă  toute vitesse. Et dans son « carnet de gestion d’émotions » , Lucile noircit des pages, aux allures de bilan permanent de sa vie.
Quand ils n’en Ă©taient encore qu’au dĂ©but, Benjamin n’a pas maudit cette distance : ne pas croiser dans sa rue l’autre bien-aimĂ© les a « épargnĂ©s » , croit-il, « le temps que l’on trouve notre Ă©quilibre » .
Mais enfin, comment ça marche, l’amour Ă  trois ? Les yeux Ă©carquillĂ©s, la marginalisation quasi immĂ©diate d’un modĂšle si peu commun, les interrogations empreintes de mĂ©fiance, Benjamin connaĂźt cela par cƓur. Mais rien n’entame son aplomb. AccoudĂ© Ă  la table jaune et bancale d’un cafĂ© du quartier du Marais, oĂč il vient d’emmĂ©nager avec Lucile, il replace ses lunettes d’un revers de l’index, envoie valser ses cheveux de l’autre cĂŽtĂ© de son front et retourne la question : « Et comment ça marche, l’amour Ă  deux ? » Rompu Ă  ce qui a tout l’air d’un examen de routine pour lui, il dĂ©cortique le mystĂšre : « Lucile est entrĂ©e dans ma vie avec toute sa vie Ă  elle. Mari et enfants. Moi, je suis tombĂ© amoureux d’elle en entier, pas juste d’un petit bout. Je l’ai vĂ©cu comme le dĂ©but de n’importe quelle histoire : j’ai rencontrĂ© une femme qui me rend heureux. » Une femme, mariĂ©e, avec trois enfants, qui vit Ă  Lille. « Bon, je ne me suis pas dit “quelle aubaine !” , sourit-il. Et, dit comme ça, ma grand-mĂšre ne comprendrait pas. Mais ça te tombe dessus. C’est aussi facile et aussi difficile que l’amour tout court. »
« Suis-je à la hauteur ? Mon amour est-il assez fort pour leur faire payer le prix de me partager ? »
Personne ne souffre dans cette histoire ? Avoir deux hommes dans sa vie « n’est pas si facile », convient Lucile. Sur le papier, ne pas se rĂ©soudre Ă  faire un choix, c’est un peu le fantasme d’avoir le beurre et l’argent du beurre . Mais « refuser la morale n’est ni simple ni confortable » , corrige-t-elle. Sa charge mentale est double ; sa passion, parfois Ă©prouvante ; ses questions, sempiternelles : « Suis-je Ă  la hauteur ? Mon amour est-il assez fort pour leur faire payer le prix de me partager ? Mon Ă©nergie assez puissante pour renverser les dĂ©savantages et les sacrifices ? »
Le regard des autres, conditionnĂ© par le couple hĂ©tĂ©rosexuel monogame, ne l’aide pas. « C’est le prix Ă  payer pour vivre des histoires alternatives et inhabituelles » , a compris Lucile, consciente que sa relation pose des questions Ă©motionnelles, intellectuelles, sociales. Solide sur ses appuis, elle assure ne pas ĂȘtre « une mauvaise mĂšre ou une folle de cul » : « Dans notre histoire, tout le monde est consentant. Personne ne souffre, et on assume nos choix du cƓur en ajustant nos vies. Mes enfants sont bien Ă  l’école, aimĂ©s et entourĂ©s Ă  la maison. Rien n’entrave leur Ă©quilibre. Nous sommes transparents avec eux, pas Ă  pas, en bonne intelligence. » Et puis Lucile ne cherche ni Ă  convaincre ni Ă  convertir : « Nous ne sommes pas des gourous. On essaye de mener notre vie du mieux qu’on le peut. C’est tout. »
Si cet Ă©quilibre hors norme, qu’ils affinent au fur et Ă  mesure, est viable en ce qui les concerne, il gagnerait Ă  ĂȘtre « davantage acceptĂ© dans la sociĂ©tĂ©, pour donner des repĂšres » , selon Benjamin, qui explique qu’en attendant, « s’il y a peu de modĂšles auxquels se rĂ©fĂ©rer, il faut crĂ©er le sien. DĂ©finir les mots, tracer les lignes d’un cadre oĂč tout le monde est respectĂ© dans ses envies comme dans ses rĂ©sistances . » Au service de l’instant, lui ne fait pas de plan loin dans le temps : « Je ne sais pas si j’aurais des enfants. Je ne sais pas oĂč on en sera dans six mois ou dix ans. » Et si un jour, la « dĂ©raison » le menait Ă  demander Ă  Lucile de faire un choix, et si un jour, le dĂ©samour s’installait, alors ils arrĂȘteraient, ils en ont convenu. Tout « simplement ».
Thomas défend qui que ce soit de le plaindre ou de douter de son bonheur
Simple, ça l’est aussi pour Thomas : « La femme que j’aime a deux mecs. Je ne fais pas de sacrifice. Naturellement, je ne suis pas possessif. » Et un dialogue permanent les aide « à perfectionner [leur] Ă©quilibre ». A 33 ans lui aussi, ce prof en lycĂ©e dĂ©plore qu’il faille faire « une sorte de coming-out chaque fois [qu’il] explique [qu’il ne vit] pas exactement dans ce que ce monde appelle “la norme” » : « Cela ne devrait pas faire peur, et pourtant ça tĂ©tanise tant on a peur d’ĂȘtre jugĂ©. » Thomas dĂ©fend qui que ce soit de le plaindre ou de douter de son bonheur : « J’aime Lucile. L’indĂ©pendance. La solitude. Le quotidien. Ma vie intĂ©rieure est riche, je ne me sens pas dĂ©possĂ©dĂ© quand elle est avec Benjamin. Ça me permet aussi de me dĂ©finir en tant qu’autre chose que le conjoint d’une personne. »
Retrouvez les autres volets de la série :
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Enfin, j'ai trouvĂ© les mots pour expliquer ce que je ressens. Je suis en couple depuis 8 ans et je dois admettre que ma relation va trĂšs mal, de ma faute et de la sienne. Parfois, c'est mĂȘme insupportable. Mon conjoint est trĂšs axĂ© sur lui-mĂȘme: il doit ĂȘtre LE meilleur. Alors, voilĂ  depuis quelques temps, un de ses amis me faisait des avances, sans vraiment ĂȘtre direct. Vous savez, lorsque l'on reçoit des fleurs d'un cĂŽtĂ©, et seulement le pot sur l'autre, le choix n'est pas difficile, notre cƓur se dirige instantanĂ©ment vers les fleurs. Le hic, c'est que je crois ĂȘtre tombĂ©e en amour avec lui. Pour sa part, je ne suis pas certaine. Puisque nous sommes en couple tous les 2, et que j'ai un petit garçon, on n'ose pas se dire les vraies choses. Parfois, il me dit que nous devons continuer nos relations respectives. Et lorsque je l'Ă©coute et que je me retire un peu, il me dit qu'il s'ennuie. Je ne sais plus quoi penser. Je ne veux pas dĂ©truire la vie de mon fils, il n'a pas demandĂ© cela. En revanche, il doit bien s'apercevoir que ça ne fonctionne pas bien entre papa et maman. Et mon amant, lui, c'est l'inverse de mon conjoint. Il est doux, aimant, aime rire, tellement charmant. Tout ce que j'attends de mon conjoint, il me l'offre sans que je n'ai Ă  le dire. Et je parle de sentiment, lĂ , pas de matĂ©riel. Il me fĂ©licite pour des petits riens, est fier de moi. Mais, lorsqu'il s'Ă©loigne, car il a commencĂ©, rĂ©cemment, Ă  Ă©prouver une mauvaise conscience face Ă  son chum, soit mon conjoint, il a tendance Ă  s'effacer un peu de mon quotidien: il ne m'appelle pas, se contente de me saluer lorsqu'il me croise. Alors, je suis son ''beat''. Mais lorsque je le fais, il m'appelle et me dit qu'il s'ennuie Ă©normĂ©ment de moi. Lorsqu'il est en face de moi, il ne peut pas rĂ©sister, c'est plus fort que lui, il dĂ©sire me prendre dans ses bras et m'embrasser. Par contre, lorsqu'il est au tĂ©lĂ©phone, il est plus distant, parfois. Je m'en veux presque d'ĂȘtre stupidement tombĂ©e en amour avec lui car au tout dĂ©but, ce n'Ă©tait qu'une histoire sexuelle. Puis, malgrĂ© qu'il essaie parfois de se convaincre du contraire, nous Ă©prouvons des sentiments de plus en plus intenses l'un pour l'autre. Lorsque je suis sans nouvelle de lui, je ne vais pas bien. Je pense qu'il ne veut plus de moi. Je lui ai demandĂ© ce que nous allions faire plus tard, en lui mentionnant qu'on ne sera probablement plus capable de s'arrĂȘter. Il m'a rĂ©pondu: ''On verra cela en temps et lieu''. Je ne sais plus quoi penser. C'est stupide, me direz-vous, mais j'ai fait quelques petits tests suite aux conseils d'une amie. J'ai jouĂ© l'indiffĂ©rente, la fille qui ne l'aime pas, etc, et Ă  toutes les fois, ça lui a frappĂ© au cƓur...Et lĂ , je m'aperçois que j'Ă©cris depuis tout Ă  l'heure et que je ne parle que de lui. Quelqu'un m'a demandĂ© si je voulais enterrer le fossĂ© qui s'est creusĂ© entre mon conjoint et moi. Bien honnĂȘtement, je ne sais plus. Et si mon amant me disait qu'il plaque tout pour moi et me demandait de le suivre, je ne sais pas plus si j'accepterais, surtout connaissant le caractĂšre de mon conjoint. Je me sens tellement perdue: j'ai l'impression de vivre une peine d'amour avec un homme tout en Ă©tant couple avec quelqu'un d'autre...

il est imposible d aimer deux homme a la foi car par experiance

je vis aujourd'hui la meme histoire , de retrouver celui que l'on a aimé il y a 20ans, je n'étais pas dispo a cette époque, aujourd'hui c'est lui, suivre son instinct, toujours en respectant l'autre, la vie choisit pour nous.

Je vis la mĂȘme situation depuis quelques semaines seulement
Je me retrouve totalement dans ce que vous Ă©crivez.
Je pense qu'Ă  40 ans , on a besoin de ces Ă©motions nouvelles, de ce regard frais et valorisant d'un autre homme mĂȘme si on aime toujours le premier ...
Mais lorsqu'on le peut, l'idéal est de garder les deux (hommes) en essayant de n'en blesser aucun.
Si Didier l'accepte, cette situation est idéale .... pour vous !
Carpediem !

Ne vous emballez pas trop vite , j'ai vĂ©cu Ă  peu prĂšs la mĂȘme situation...J'ai quitter mon mari et aujourd'hui je le regrette plus que tout mais bon moi je ne pourrai plus revenir en arriĂšre sauf que vous il est pas trop tard ! Bonne continuation .
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Peut-on commencer une histoire d'amour avec un ami d'enfance retrouvĂ© sur internet ? Et quelle place lui donner quand on est mariĂ©e et fidĂšle au mĂȘme homme depuis vingt ans ? Autant de questions qui se posent Ă  Catherine, troublĂ©e par le retour de Didier dans sa vie.
"En novembre 2008, j'ai reçu un mail d'un ancien camarade de classe, Didier, via Copains d'avant. On consulte ce site pour retrouver des gens avec qui on était à l'école. Je m'étais inscrite peu de temps avant. Je voulais renouer avec une copine qui était partie étudier aux Etats-Unis, parce que ma fille cherchait un stage là bas. En fait, j'ai retrouvé plein d'autres copains, mais pas elle. Donc j'ai reçu un message de Didier, auquel j'ai répondu par trois mots seulement. Ma fille partait finalement le lendemain au Brésil pour son stage. Je lui ai expliqué que je reviendrais vers lui quand ce serait plus calme. Je l'ai recontacté la semaine suivante.
Nous Ă©tions contents de nous retrouver. Je me souvenais trĂšs bien de lui. Nous avons grandi dans le mĂȘme quartier, et passĂ© deux ans ensemble en primaire. Entre nous il n'y avait pas une complicitĂ© particuliĂšre, mais plutĂŽt une saine Ă©mulation dans le travail. Nous Ă©tions tĂȘtes de classe tous les deux, avec chacun son domaine de prĂ©dilection : les maths pour lui, le français pour moi. Nous Ă©tions proches sans l'ĂȘtre vraiment. Je l'ai perdu de vue quand je suis entrĂ©e en 6 Ăšme , parce que nous n'avons pas choisi les mĂȘmes langues. Nous Ă©tions quand mĂȘme dans le mĂȘme collĂšge et le mĂȘme lycĂ©e. Je me souvenais de quelqu'un de rĂ©servĂ©, calme, rĂ©flĂ©chi, agrĂ©able. S'il avait eu une personnalitĂ© un peu plus exubĂ©rante, comme d'autres copains que j'ai retrouvĂ©s, nous serions peut-ĂȘtre restĂ©s en contact plus longtemps. Mais il Ă©tait trĂšs timide.
Nous nous sommes vite dit que, peut-ĂȘtre, nous avions envie de nous revoir.
Nous nous sommes rĂ©sumĂ© vite fait nos vies d'adultes respectives par mails. Lui Ă©tait sĂ©parĂ© depuis peu, avec deux fils. Il habite en rĂ©gion parisienne, prĂšs de lĂ  oĂč nous avons grandi. Il est cadre dans une grande entreprise. Moi, femme au foyer, mariĂ©e depuis plus de vingt ans avec quelqu'un que j'ai rencontrĂ© au lycĂ©e, mĂšre de deux grands enfants, installĂ©e depuis quelques annĂ©es prĂšs d'Aix-en-Provence. Il traversait une sale pĂ©riode, c'Ă©tait dur moralement. Nous avons commencĂ© Ă  Ă©changer des mails sur un rythme un peu plus soutenu. Puis je l'ai appelĂ©. Nous Ă©tions Ă©mus de nous entendre. Nous nous sommes appelĂ©s de plus en plus souvent, de plus en plus longtemps. Mon mari est tout le temps en voyage. Il dirige une entreprise qui a des filiales dans toute l'Europe. Au travers de ses mails, dĂ©jĂ , je sentais - comment dire, comment qualifier ça ? Une certaine forme de penchant. Nous nous sommes vite dit que, peut-ĂȘtre, nous avions envie de nous revoir.
Mais je l'ai averti tout de suite : j'étais trÚs heureuse en famille , j'étais comblée.
J'ai eu l'occasion de monter en rĂ©gion parisienne en janvier 2009, pour rejoindre mon mari Ă  Paris, oĂč nous avons un pied-Ă -terre. Nous nous sommes donnĂ©s rendez-vous un vendredi soir. Mon mari avait une soirĂ©e, avec des Anglais, Ă  laquelle je n'avais pas envie de participer. Nous nous sommes retrouvĂ©s Ă  la gare la plus proche de son domicile. C'Ă©tait une grosse Ă©motion. Il avait une rose Ă  la main. Je suis sortie du train et je suis tombĂ©e sur lui.
Je l'ai reconnu tout de suite Ă  ses yeux, Ă  son regard bleu. Il n'y avait pas de doute : il a des yeux bleus exceptionnels. Lui, je ne sais pas Ă  quoi il m'a
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