Elle est pressée mais toujours le temps pour une

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Elle est pressée mais toujours le temps pour une
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Notre journaliste Emmanuel Grynszpan a répondu à vos questions sur les derniers incidents qui ont eu lieu à la centrale nucléaire de Zaporijia, dans un tchat.
Au centre de toutes les inquiétudes en raison de bombardements, dont s’accusent mutuellement Russes et Ukrainiens, la centrale de Zaporijia s’est trouvée « totalement déconnectée » pendant plusieurs heures, jeudi 25 août, du réseau en raison de dommages sur les lignes électriques, causés par des incendies, a annoncé la compagnie d’Etat ukrainienne Energoatom.
Sur les derniers incidents qui ont eu lieu à la centrale nucléaire de Zaporijia, notre journaliste Emmanuel Grynszpan a répondu à vos questions.
Nous sommes largement enveloppés du brouillard de la guerre. Il est toujours difficile de déterminer d’où viennent les tirs d’artillerie et il faut être très prudent avec les déclarations des deux camps. Etant loin de la zone, je me fonde sur deux raisonnements :
Pas pour l’instant, les négociations sont très complexes. Les Russes insistent pour que la délégation de l’AIEA passe par leur territoire (et offre ainsi une forme de légitimation à l’occupation). Les Ukrainiens exigent que la visite respecte la souveraineté de leur territoire et traverse ainsi la ligne de front, ce qui implique un cessez-le-feu local complexe à obtenir auprès des militaires. Les Occidentaux soutiennent entièrement Kiev sur ce point.
Je n’ai pas entendu la Chine demander à la Russie de retirer son armée de la centrale nucléaire. Il n’est pas impossible qu’elle fasse pression en coulisse, car un incident grave aurait un impact sur l’ensemble de l’industrie nucléaire, sur l’industrie chinoise également. Sinon, oui, les Occidentaux font tous cette demande à la Russie, mais Moscou n’est pas prêt à faire un « geste de bonne volonté » . Après l’appel téléphonique entre Macron et Poutine, l’Elysée a parlé d’accord portant sur le passage de la délégation de l’AIEA par le territoire ukrainien. Mais, côté russe, cela n’a pas été confirmé. Il n’y a donc pas d’accord du tout, et surtout pas sur un retrait des troupes russes du site de la centrale.
Les incendies (ou ce qui les a provoqués) ont coupé plusieurs lignes alimentant le système de pompage d’eau qui refroidit les réacteurs. Un système indispensable pour prévenir une catastrophe. Des générateurs diesel situés juste à côté de chaque réacteur ont pris le relais. Mais on ignore s’ils disposent de suffisamment de diesel pour assurer cette tâche. Les lignes risquent d’être coupées à nouveau. On n’est pas certains que les six générateurs sont tous en bon état.
Concernant les casques bleus : il faudrait obtenir l’accord des Russes, ce qui n’est pas le cas. Ensuite, leur déploiement prend toujours beaucoup de temps à organiser, les tractations diplomatiques sont longues. Les casques bleus ne sont pas une force d’intervention rapide, alors que le problème auquel nous faisons face est urgent.
Les « outils des services secrets » sont par définition secrets. Les Américains ont certainement des capacités d’observation très puissantes, mais, d’après ce que j’ai compris, ils préfèrent que ces capacités restent inconnues de leurs adversaires et – ou – rivaux. S’ils diffusaient leurs images secrètes, cela n’empêcherait de toute façon pas les Russes et tous les intérêts antiaméricains de parler de fakes et de manipulations.
Le risque est énorme pour toute la région. Les vents peuvent tourner rapidement, personne ne peut avec certitude prédire que la Russie ne sera pas touchée par des retombées éventuelles. Les région de Voronej et de Rostov ne sont qu’à 300 kilomètres. La population russe n’a aucun intérêt à ce qu’une catastrophe se produise, mais elle n’a pas son mot à dire.
L’AIEA n’a aucun pouvoir décisionnaire. Les Etats sont souverains chez eux, sauf quand leur territoire est occupé par une puissance voisine. L’AIEA inspecte, conseille, donne des avis.
La centrale de Zaporijia n’est pas du même type que celle de Tchernobyl (RBMK, pour « réacteur de grande puissance à tubes de force », réacteurs à neutrons thermiques utilisant le graphite comme modérateur), sa conception est plus moderne. Mais les risques ne sont pas liés uniquement au refroidissement. On ne peut pas exclure que des munitions entreposées par l’armée russe à proximité des réacteurs explosent. Le personnel de la centrale est épuisé et travaille dans des conditions très difficiles, ce qui augmente le risque d’erreur humaine. Les déchets radioactifs sont nettement moins bien protégés que les réacteurs et peuvent aussi être à l’origine de fuites. Si un incident survient, la situation de guerre va compliquer extraordinairement les efforts pour circonscrire le problème.
Les Russes ont fait des déclarations claires sur leurs intentions d’alimenter la Crimée depuis la centrale de Zaporijia. Mais les experts que j’ai entendus s’exprimer sur ce projet sont sceptiques. Il faudrait construire une infrastructure de transport (des lignes de haute tension, des sous-stations) à proximité du front. Il est probable que l’artillerie ukrainienne anéantira tous travaux dans ce sens, étant donné les capacités et la précision des armes dont disposent maintenant les Ukrainiens. Donc, pour l’instant, il ne s’agit que de déclarations d’intention, probablement à but propagandiste : justifier au public russe l’occupation militaire d’une centrale nucléaire en dépit du danger extrême.
En principe, les centrales nucléaires ne doivent jamais être attaquées ou prises d’assaut. La Russie a clairement enfreint les accords internationaux sur ce point en envoyant une colonne de blindés sur la centrale, le 4 mars.
La centrale est à la fois loin et proche. La ligne de front se trouve 60 kilomètres à l’est de la centrale. Mais la centrale est aussi située sur la rive gauche du Dniepr (dont les eaux refroidissent les réacteurs). Le gouvernement ukrainien contrôle la rive droite du Dniepr, donc des militaires ukrainiens se trouvent à 10 kilomètres à vol d’oiseau de la centrale. Des duels d’artillerie se déroulent par-dessus le Dniepr au niveau de la centrale. Les Russes bombardent fréquemment les villes ukrainiennes de Nikopol et Marhanets, profitant de la centrale comme « bouclier tactique » . L’armée ukrainienne n’a sans doute pas les moyens, pour l’instant, de mener une contre-attaque dans cette région visant à encercler les militaires russes basés dans l’enceinte de la centrale de Zaporijia.
Le Kremlin contrôle entièrement le récit sur la guerre. Les médias indépendants ne sont plus tolérés, toute critique des actions de l’armée russe expose au mieux à des amendes, au pire à de la prison ferme. Dans ce contexte, on imagine qu’un accident grave à Zaporijia sera présenté au public russe comme le résultat d’un complot occidental et – ou – néonazi quelle que soit la cause réelle.
Tchernobyl reste dans toutes les mémoires, mais, ces dernières années, le pouvoir a présenté l’accident comme un incident mineur qui n’a fait qu’une trentaine de victimes à tout casser. L’industrie nucléaire est exclusivement présentée sous un jour favorable. Une série télévisée russe en réponse à la minisérie Chernobyl de HBO a présenté la catastrophe comme le résultat d’un complot de la CIA.
Si la centrale reste encore opérée par des employés ukrainiens après six mois d’occupation, c’est que visiblement la Russie manque de personnel capable de prendre le relais. La centrale a beaucoup évolué et changé depuis la fin de l’URSS. Elle fonctionne avec un carburant nucléaire fourni par Westinghouse (Etats-Unis), donc complètement étranger aux spécialistes de Rosatom (le monopole d’Etat russe du nucléaire). Le personnel ukrainien est supervisé toutefois par les Russes et j’imagine que ces derniers tentent d’en faire des collaborateurs loyaux. Pour l’instant, le personnel communique toujours avec sa direction ukrainienne, mais il semble probable qu’à terme, si l’occupation se poursuit, les Russes finiront par opérer la centrale. Difficile de dire combien de temps sera nécessaire au passage de relais.
Si un incident survient sur un réacteur, ce dernier doit être arrêté et ne produit donc plus d’énergie. Or le refroidissement du réacteur doit, lui, se poursuivre, et l’opération demande de l’électricité (pour le système de pompage). Il est donc impératif qu’il y ait une génération d’électricité indépendante des réacteurs. Chaque réacteur dispose donc d’un générateur diesel prêt à prendre le relais en cas d’incident. Un réacteur nucléaire ne s’éteint pas comme un générateur diesel. Le processus de refroidissement peut prendre des semaines, voire davantage.
Il n’y a eu aucune fuite radioactive, pour l’instant, émanant de la centrale de Zaporijia. Des capteurs sont installés tout autour de la centrale (certains sont très bien dissimulés et émettent par radio leurs résultats aux observateurs ukrainiens). La population n’a été évacuée ni du côté occupé par les Russes ni du côté libre. Mes contacts dans la ville de Zaporijia (60 kilomètres de la centrale) se disent très inquiets, et les discussions en ville tournent souvent autour du thème : « Où iras-tu en cas d’accident ? »
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Comment choisir une presse hydraulique

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Il existe sur notre site une multitude de presses hydrauliques pour des utilisations aussi diverses que variées. Les spécifications présentées par les constructeurs peuvent parfois être complexes à comprendre, et le choix, d’autant plus difficile à faire. Plusieurs critères sont en effet à considérer pour pouvoir bénéficier d’une presse hydraulique correspondant réellement à vos contraintes. Pour vous aider, nous vous proposons de lire cet article, nous vous y fournissons toutes les informations dont vous aurez besoin pour sélectionner une presse hydraulique qui correspondra à vos besoins.
Une presse hydraulique est une machine utilisant un circuit hydraulique pour fournir une force capable de comprimer divers types d’objets. Grâce à elle vous pouvez réaliser divers travaux comme :
La force offerte par ce type d’appareil est souvent très élevée, permettant ainsi d’œuvrer sur n’importe quel type de matériau pouvant supporter sa pression.
Une presse hydraulique fonctionne sur le principe physique de transmission de pression de fluide, appelé aussi loi Pascal ou théorème de Pascal. Pour résumer, la notion ressemble à celle du levier d’Archimède, mais appliquée à la mécanique des fluides. Ainsi, d’un côté on aura un piston avec une petite surface, qui va comprimer un fluide qui propagera sa force vers un deuxième piston avec une surface plus grande. La force que ce deuxième piston va employer sera démultipliée par rapport à celle issue du premier piston grâce à la loi de la conservation de l’énergie. Contrairement à une presse mécanique, celle qui est hydraulique a tendance à s’user beaucoup moins, car peu de pièces sont utilisées dans son fonctionnement.
Cette partie est celle qui accueille les différents éléments mécaniques, et par conséquent le poste de commande de la presse hydraulique ainsi que sa table. Le bâti à colonnes sert généralement de structure de support à l’ensemble de la machine et est percée de trous sur chacune de ses colonnes pour pouvoir ajuster la table. La hauteur de travail peut donc être adaptée à vos besoins.
La table est la partie de la presse hydraulique où l’on va poser la pièce à travailler. Étant donné qu’elle doit être capable de supporter la pression exercée par la machine, elle est construite à partir de tôles épaisses montées en parallèle. Sa surface est souvent renforcée pour une meilleure résistance. Comme son poids peut être assez élevé, il est généralement nécessaire d’utiliser un treuil pour pouvoir l’ajuster à une certaine hauteur, en toute sécurité.
Le vérin est la pièce qui fait d’une presse hydraulique ce qu’elle est. En effet, c’est la partie mobile chargée de créer la force nécessaire à comprimer l’objet sur lequel vous travaillez. Il se décline sous différentes formes :
Si vous employez un vérin à cric , sachez que celui-ci sera relié à une pompe hydraulique ou hydropneumatique, d’où sera générée la force. Pour ce faire, un flexible renforcé est utilisé pour lier les deux la pompe et le vérin.
Si en revanche, votre presse est pourvue d’un vérin hydraulique, celui-ci sera alimenté par un groupe hydraulique. On se sert dans la grande majorité des cas d’un manomètre et d’un limiteur de pression pour s’assurer que la pression exercée ne dépasse pas celle supportée par le vérin.
Le tonnage est la force exercée par la presse en tonnes. Le tonnage requis pour une presse hydraulique est généralement le même que celui exigé pour une presse mécanique . La force maximale déployée dépend de chaque modèle. Elle peut varier de 15 tonnes à 200 tonnes. Pour des pièces de petite taille, 15 tonnes suffisent amplement. De leur côté, les pièces avec une dimension importante et construites dans un matériau dur vont demander une puissance d’au moins une cinquantaine de tonnes. Le choix est donc à faire selon les situations auxquelles vous êtes confronté. Néanmoins, les presses hydrauliques ont souvent une force réglable, si bien que vous pouvez utiliser une machine avec tonnage maximal assez élevé pour plus de flexibilité.
Toutes les marques ne sont pas logées à la même enseigne. En effet, certaines sont beaucoup plus fiables que d’autres. Sur notre site, nous travaillons avec des marques de renom qui n’ont plus rien à prouver comme KS Tools ou Kraftwerk . Le choix de la marque est important, notamment pour s’assurer que des pièces de rechange sont disponibles en cas d’usure de l’une de ses composantes. De même, l’accessibilité et la compatibilité de certains accessoires dépendent de la marque.
Selon le type de presse hydraulique, vous pouvez effectuer des travaux plus ou moins différents. Cependant, une grande majorité des presses hydrauliques peuvent réaliser presque toutes les variétés de tâches que l’on peut rencontrer dans un atelier. Cela peut aller du concassage au formage , en passant par le pliage ou le moulage. Néanmoins, certaines applications requièrent une presse hydraulique spécifique.
Une presse hydraulique a en général un bon rapport qualité prix. En effet, sa puissance est inégalée pour un coût initial assez bas. Le retour sur investissement est d’ailleurs souvent élevé étant donné son efficacité, sa précision et son temps de production rapide. De plus, comme il y a beaucoup moins de pièces mobiles, les coûts d’entretiens sont plutôt minimes. Les presses les moins chères avoisinent les 700 euros et les plus coûteuses, une vingtaine de milliers d’euros.
Selon les compatibilités de la presse, plusieurs accessoires peuvent lui être associés.
Avant de pouvoir vous procurer une presse hydraulique, vous devez être capable de vérifier si votre atelier peut réellement l’accueillir. Vous devez donc avoir l’espace nécessaire pour l’installer, mais surtout l’utiliser. Généralement, on aura tendance à la poser à un endroit où l’on peut avoir une certaine flexibilité sur l’axe de travail . De même, pour une plus grande stabilité, certains professionnels préfèrent l’accoler à un mur.
La presse hydraulique est un outil qui peut être dangereux si toutes les normes de sécurité ne sont pas bien respectées. Vous devrez donc veiller à appliquer quelques règles :
Être équipé de tous les accessoires de protection est une valeur sûre lorsque l’on travaille avec genre d’outils. Cela vous évitera par exemple de coincer une partie de vos habits dans un mécanisme et de
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