Elle est prête à tout pour avoir le job

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Ce poste de direction ? Oui, on le veut. Le sommet de la pyramide ? Oui, on le vise depuis longtemps. Mais le revendiquer haut et fort, quand on est une working girl, c’est suspect. Pourquoi? Comment faire enfin de l’ambition une vertu féminine ?























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"Cette fille a les dents qui rayent le parquet", "Tu joues les bonnes copines, mais dans mon dos tu fais tout pour avoir le poste", "Je la trouve bien hystérique pour briguer ce job"…
Que celle qui n’a jamais entendu ce genre de commentaires nous jette la première pierre. Dans l’entreprise traditionnelle, dès lors qu’une femme fait montre d’une once d’ambition elle passe pour une vile arriviste, "prête à vendre sa mère pour y arriver". Alors que pour un homme c’est presque – allez, on ose – "naturel".
Certes, les mœurs évoluent, des femmes parviennent à arracher des mandats prestigieux : ministre, directrice générale du Fonds monétaire international… Mais à quel prix ? Eh bien, (trop) souvent, celui d’acquérir une sale réputation ! Car, globalement, il est encore très mal vu, au XXIe siècle, d’afficher sa volonté de pouvoir et de réussite sociale quand on est une femme.
Dans l’esprit d’un grand nombre d’entre nous, ambitieuse rime forcément avec killeuse : une créature de glace, sans foi ni loi, capable du pire pour avancer. Bien plus effrayante, assurément, que son homologue masculin : le killer n’étant certes pas un tendre, mais avant tout un homme qui en veut, qui a du peps, de l’énergie, une foule d’idées à revendre, et qui veut les mettre en pratique. Tout de suite beaucoup moins négatif… Sauf que quand il y a compétition pour un poste, il y a forcément lutte. Un(e) gagnant(e), des perdant(e)s.
Qu’on soit femme ou homme, en quoi est-ce si différent ? Qu’est-ce qui, profondément, dérange ? Et comment faire, surtout, pour en finir avec ces amalgames ? 
"La tradition multimillénaire de conquête est ancrée en nous, dans notre inconscient collectif : l’homme est un guerrier, la femme reste à la maison, dans un rôle accueillant, explique le philosophe Jacques de Coulon. Le monde professionnel est profondément marqué par cette distinction ancestrale. Dans les entreprises, on cherche inconsciemment à perpétuer un système: celui des guerriers. Une femme qui prétend y entrer fait peur. Elle devient une guerrière, elle endosse l’habit de l’homme, c’est l’amazone. Dans une société encore trop marquée par le paradigme masculin, la femme est une menace. Elle effraie parce qu’elle remet en cause les fondements de ce fonctionnement archaïque."
Autre archétype dévastateur : celui de la mère, mis à mal par les femmes qui font carrière et doivent reléguer au second plan, au moins un temps, leur vie de famille. Ce qui est forcément suspect, encore de nos jours ! Même si cela demande, en fait, des prodiges d’organisation et de précautions afin que personne ne soit lésé. La vérité ? Plus que ses collègues, c’est la coutume que l’ambitieuse tue, et l’ordre établi qu’elle chamboule. Elle piétine une image ancestrale, bouleverse la répartition traditionnelle des rôles et dérange toutes celles (et ceux) qui sont vaguement frustré(e)s de n’avoir pas osé faire le même choix.
"On pourrait très bien imaginer qu’une femme occupe des fonctions haut placées tandis que son compagnon gère l’intendance et l’éducation des enfants, souligne Isabelle Parize, présidente du directoire du groupe Nocibé. Seulement, pour cela il faudrait que notre société soit prête à y consentir… Et pour l’instant c’est inacceptable." L’ambitieuse serait-elle une menace pour les hommes dans leur virilité ? Une menace pour tous, au fond, car une femme capable de préférer ses désirs de réussite à son "instinct" de douce fée du foyer nous renvoie sûrement, en écho, à toutes les Cruella et autres mauvaises reines de nos contes fondateurs… 
Résultat des courses: dès lors qu’on en veut, il y a de fortes chances pour qu’on ne soit plus très fréquentable… "Même dans les dîners, c’est la caricature, remarque en riant Laurence, polytechnicienne et diplômée de Sciences Po, en cours d’ascension fulgurante dans une grande compagnie d’assurances. Aussitôt qu’on annonce la couleur, le regard de certains hommes vire au lubrique: il y a sans doute en nous de la Domina. Chez les conjointes, le regard vire aussi… à la glace". Au terme de la soirée, en général, ils révisent leurs clichés.
Reste à assumer le rôle de la méchante, tenir bon, contre vents et marées, malgré les jalousies et les suspicions, ne rien lâcher. Jusqu’à ce que le temps et les actes rétablissent la justice: oui, on en veut, mais pas à n’importe quel prix. Oui, ce poste on l’a eu et on en assume toutes les facettes, même les moins sympathiques. Mais on n’a jamais manqué de respect à personne, ni laissé de cadavres au bord de la route. Quand on n’a rien d’une killeuse, ça finit par se savoir. Et ça fait du bien à toutes les suspectes. "Se battre pour obtenir ce qu’on veut (et ce qu’on vaut), ce n’est pas réservé aux hommes, poursuit Laurence. Et nous aussi on sait le faire “à la loyale”. Tant qu’on reste fidèle à sa déontologie, le jugement des autres, même l’exclusion, sont juste une étape à franchir." 
La résistance à l’injustice, c’est une vertu nécessaire quand on est ambitieuse. La patience aussi, l’obstination. Avec le temps, on finit par distinguer les vraies killeuses et les autres. Si elles n’ont pas craqué avant… C’est la technique du coureur de fond. Ereintant. Mais plus les ambitieuses assumeront, moins elles auront à faire leurs preuves. Plus elles seront nombreuses et sans complexes, sûres de leur bon droit, moins elles inquiéteront. Comme chez les hommes, quoi. "A compétences égales, j’ai dû prouver deux fois plus ce que je valais, résume Charlotte, ingénieure des Mines, qui fait carrière dans l’industrie lourde. J’ai été testée pendant plus d’un an. Mais je me suis accrochée. Il ne faut rien lâcher, se focaliser sur ses propres résultats, faire ses preuves. Ne pas être dans la comparaison mais dans la concentration. Moi j’ai des objectifs à atteindre et je fais en sorte de les réaliser. Quand on glisse une peau de banane en travers de mon chemin pour me mettre à l’épreuve, je travaille deux fois plus et j’arrive béton. Il faut tenir. Je suis sûre que j’œuvre pour les générations suivantes."
Sonia et Julie en sont convaincues elles aussi. Ces deux fonceuses qui ont réussi racontent.
Sonia a 33 ans et est scénariste. "Mon objectif très clair depuis trois ans que je suis non seulement scénariste pour la télé, mais aussi directrice d’écriture: je veux travailler pour les meilleures séries. Parce que c’est ce qu’il y a de plus intéressant. Bien sûr, pour de tels postes, la concurrence est rude. On est bien payé, on a des responsabilités… Je suis jeune, je n’ai pas d’enfant, et c’est ce que je veux faire aujourd’hui, alors je fonce", déclare-t-elle, très sûre d'elle. Elle utilise tous les moyens : elle réseaute à mort, elle invite des producteurs à dîner chez elle, elle organise des fêtes et elle tisse sa toile. "S’il y a un appel d’offres pour une série, je me mets sur les rangs et je bosse d’arrache-pied, j’y passe des nuits s’il le faut. Si on est plusieurs, oui, je me mets en avant. J’appelle les sociétés de production, je discute, je suis sympa et professionnelle en même temps…", poursuit la trentenaire. 
Bref, elle fait ce qu’il faut. "Je sais ce qu’on raconte derrière mon dos: que je suis un requin, prête à tout. Au début, ces rumeurs me troublaient : j’y apparaissais comme un monstre, la fille assoiffée de pouvoir. Ce que je ne suis pas. J’ai juste envie de faire un boulot qui me plaît et de bien gagner ma vie. Je ne vois rien de monstrueux là-dedans. Un jour, j’étais à une fête chez mon agent et j’ai surpris deux filles en train de parler… de moi. Planquées derrière un pot de fleurs, elles ne m’ont pas vue approcher. J’ai d’abord entendu: "Ouais, enfin, on sait ce qu’elle a fait pour l’avoir, la série", puis "bah, elle se la joue, mais tu vas voir : elle va se planter, l’équipe est super dure, et puis elle aura la tête qui dégonfle".
Avant de poursuivre, "vous croyez vraiment que si j’étais un mec j’aurais entendu ce genre de commentaires ? Et dans un milieu soi-disant « artistique », où les mentalités sont censées être ouvertes ! Je suis allée vers elles avec un grand sourire et j’ai lancé: "Ça va ?" Gros froid ! Je suis repartie au bout de deux minutes". Ce soir-là, elle s'est promis qu'elle ferait tout ce qu’il faut pour leur clouer le bec. Et elle a réussi ! "Ces filles-là, si jamais un jour elles osent me demander un boulot, je les enverrai promener, et je saurai pourquoi. Je vois aujourd’hui qui sont mes vrais amis. Je ne me leurre pas : un producteur ne sera jamais un pote. Je suis sympa, mais je sais qui je veux garder près de moi, les gens que j’aime, et les autres, ceux qui me sont utiles. Oui, c’est cynique, mais c’est comme ça que ça marche ! Et ça ne fait pas de moi une sale méchante", conclut-elle. 
Julie est une haute fonctionnaire de 36 ans. Elle a été confrontée à une situation dantesque. "On a instauré un poste d’adjointe dans mon service et j’ai immédiatement senti que ce boulot était pour moi : il était plus intéressant, m’ouvrait des horizons. Le jour où la création de poste a été annoncée, il y a eu deux choses concomitantes. D’un côté, mon chef m’a dit que je n’aurais pas ce job parce que l’équipe ne m’accepterait pas (la moyenne d’âge est de 55 ans; je suis là depuis trois ans, alors que l’ancienneté moyenne est de trente ans; j’ai deux enfants en bas âge…). De l’autre, l’équipe au grand complet ne m’a plus adressé la parole. Sans m’expliquer pourquoi. J’ai vécu une période de cauchemar. Du jour au lendemain, j’étais la pestiférée", raconte-t-elle.
Pendant deux semaines, elle a serré les dents, beaucoup pleuré chez elle sans vraiment comprendre. "Mais ce poste je le voulais. J’ai martelé à mon chef que j’allais y arriver, qu’il fallait me faire confiance, et j’ai passé des entretiens, rédigé ma lettre de motivation , franchi toutes les étapes comme je le devais. J’ai tenu. Il y avait une atmosphère exécrable, tout le monde était tendu, mal, malheureux. Un matin, pendant la réunion hebdomadaire, alors que le service était là au complet, j’ai percé l’abcès. J’ai demandé à l’équipe de s’expliquer, et j’ai compris qu’ils m’avaient prise pour une intrigante : ils pensaient que ce poste avait été créé à mon intention. J’ai pris mon chef à témoin et mis fin aux rumeurs", raconte-t-elle.
Elle a pris son temps, développé, expliqué pourquoi elle allait postuler, raconté qu'elle était en concurrence avec d’autres candidats, en externe et en interne… "Bref, j’ai mis les compteurs à zéro. A la fin de la réunion, ils sont tous venus me voir pour me remercier. Mais j’avais besoin de faire plus. Je les ai rencontrés un par un, et je leur ai expliqué pourquoi ce job me convenait, et non pas l’ascension en soi. Je leur ai dit que je ne jouerais pas à la petite chef , que je les respectais et qu’ils avaient tous intérêt à ce que j’y arrive, parce que je les soutenais et que je connaissais le travail et les qualités de chacun. Bref, j’ai longuement verbalisé. Honnêtement ? Jamais un homme n’aurait eu besoin de faire un tel marathon ! Ensuite je suis allée voir mon chef et je lui ai dit : "C’est moi qu’il te faut, tu le sais, je connais le service et les enjeux par cœur, je suis la plus qualifiée et tu sais aussi que je ne te lâcherai pas." Je suis revenue à la charge jusqu’à ce que j’obtienne le poste. Et je l’ai eu !", conclut-elle tout sourire. 
Article publié initialement en février 2012, réédité en octobre 2019
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