Elle est prête à entrer en guerre avec eux

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Publié le
31/07/2022 à 16:00






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Par Aurélien Saussay, chercheur à la London School of Economics, économiste de l'environnement spécialiste des questions de transition énergétique

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« Guerre en Ukraine : "L'armée russe est en très mauvais état" »


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Un soldat ukrainien passe à proximité d'un char russe détruit dans un champ au sud de la ville de Mykolaiev, le 12 juin 2022.
La guerre en Ukraine vient d'entrer dans son sixième mois, sans qu'aucun cessez-le-feu ne semble en mesure d'interrompre les combats. Professeur émérite en études sur la guerre au King's College de Londres, Lawrence Freedman est l'un des plus éminents experts britanniques de stratégie militaire. Il explique pourquoi l'armée russe se trouve en mauvaise posture, malgré sa conquête de l'intégralité de l'oblast de Lougansk , et évoque la nécessité pour l'Ukraine de reprendre l'initiative. 

L'Express : En 2019, vous avez publié L'Ukraine et l'art de la stratégie (non traduit). En quoi Kiev a-t-il fait preuve de maîtrise stratégique depuis le 24 février ? 

Lawrence Freedman : Les Ukrainiens ont été stratégiquement plus perspicaces que Moscou, dont le jugement stratégique a été très mauvais. Ils avaient bien préparé leurs forces à une bataille défensive et ils ont su repousser les envahisseurs russes de la partie nord du pays. L'étape qui vient est plus difficile : ils doivent mener une bataille offensive. 

D'où vient l'esprit combatif dont font preuve les Ukrainiens ? 

Ils n'ont pas le choix, ils défendent leur pays. Et leur motivation n'a pu que se renforcer à la découverte des exactions des Russes dans les zones occupées . Les Ukrainiens acceptent les pertes et sont prêts à se sacrifier pour que l'Ukraine reste un pays indépendant et souverain. A contrario, le moral des troupes russes semble très bas. 

Qu'est-ce qui explique selon vous la pause opérationnelle russe du mois de juillet, après la conquête de l'oblast de Lougansk ? 

Ils ont dû fournir un énorme effort pour y parvenir. A présent, l'artillerie ukrainienne, grâce aux armes fournies par les Occidentaux, vient mettre à mal leur logistique et leur commandement. En ce moment, les Russes luttent pour reconstituer leurs forces. 

La reconquête de Kherson et sa région est la priorité de Kiev. A quoi pourrait ressembler une telle contre-offensive ? 

Elle ne ressemblera pas à l'offensive menée par les Russes dans le Donbass. Les Ukrainiens ne peuvent pas faire pleuvoir une pluie d'obus sur les zones habitées qu'ils veulent reprendre. Je pense qu'ils vont essayer d'encercler des unités des Russes et de mettre à mal leurs lignes de ravitaillement, pour les encourager à battre en retraite. On voit déjà cela dans la façon dont les Ukrainiens agissent autour de Kherson, un peu à la manière dont ils avaient combattu autour de Kiev en mars. Mais les lignes de ravitaillement des Russes étaient alors plus étirées et la logistique était plus compliquée. 

Une voiture passant, le 21 juillet, à côté d'un cratère sur le pont Antonovsky de la ville occupée de Kherson, qui a été ciblé le 27 juillet par des frappes ukrainiennes.
Une contre-offensive cet été n'est-elle pas risquée pour l'Ukraine ? 

Il y a toujours un risque. Mais il est aussi risqué de ne rien faire. Kiev a besoin de montrer des progrès militaires aux Occidentaux, comme à sa population. Une absence d'offensive pourrait être démoralisante pour l'opinion. Il y a un risque dans les deux sens, mais la balance penche en faveur de la nécessité de reprendre l'initiative. 

Les armes occidentales ont permis à l'Ukraine de résister à l'armée russe. Les lance-roquettes américain Himars, de l'artillerie à très longue portée, sont-elles un tournant dans la guerre ? 

Je pense que oui. Les Ukrainiens, grâce à ces armes de précision, détruisent les dépôts de munitions dont l'artillerie russe a besoin. Mais ce ne sont pas seulement les Himars ; les canons Caesar de la France et les armes britanniques font également la différence. Les Russes vont se retrouver en difficulté pour alimenter leur artillerie. Ils vont devoir recourir à des camions faisant des voyages depuis la frontière jusqu'à la ligne de front, ce qui n'est pas simple. C'est quelque chose de très énervant pour eux, et ce n'est pas bon pour le moral de leurs troupes. 

Ils misent sur la déliquescence de la solidarité occidentale envers l'Ukraine. Mais je n'y crois pas, tout du moins pas tout de suite. En diminuant les livraisons de gaz à l'Europe, ils essayent de diviser les Européens, ce qui ne marche pas. 

Voyez-vous cette guerre durer des années ? 

La ligne de front peut rester ainsi longtemps, comme cela a été le cas après 2014-2015, surtout si les Ukrainiens ne progressent pas beaucoup militairement sur le terrain. Mais l'armée russe est en très mauvais état et ne pourra pas supporter cette situation de guerre en Ukraine indéfiniment, tout du moins avec ses seuls moyens et ses capacités de production d'armement. Nous verrons bien dans les mois à venir. La guerre est pleine de surprise. On n'est jamais sûr de rien. 

Quelles leçons stratégiques voyez-vous depuis le début de l'invasion ? 

Les leçons à tirer concernent avant tout la logistique, son importance dans une guerre d'une telle intensité et le danger que représente le fait de n'avoir pas assez de stocks à disposition. La quantité n'est pas moins importante que la qualité des armes. Le camp occidental doit continuer à fournir à l'Ukraine de l'équipement militaire, c'est son défi. Et les Européens doivent garder leur calme malgré la pression que représente la crise économique. 







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Le voyage de Nancy Pelosi, la présidente de la Chambre des représentants, à Taïwan cette semaine a considérablement aggravé le conflit entre les États-Unis et la Chine, déclenchant la plus grande crise militaire dans le détroit de Taïwan depuis une génération.
Hier, Taïwan a été soumis à un véritable blocus militaire, la Chine effectuant des exercices à balles réelles tout autour de l’île. Deux porte-avions chinois ont fait route sur Taïwan ayant en face d’eux un groupe de combat de porte-avions américains et deux groupes d’intervention amphibies prêts à intervenir dans les eaux voisines.
Au milieu d’une crise militaire qui menace d’éclipser la guerre faisant actuellement rage avec la Russie en Ukraine, aucune figure médiatique américaine n’a sérieusement cherché à expliquer, et encore moins à poser, la question évidente de pourquoi la présidente de la Chambre des États-Unis, avec le soutien de la Maison Blanche, est allée à Taïwan ?
L’affirmation du porte-parole de la Maison-Blanche, John Kirby, que ce voyage ne changeait «rien» aux relations des États-Unis avec la Chine est manifestement absurde.
Les gouvernements Trump et Biden avaient désigné des actes que la Chine considérait comme des violations inacceptables de sa souveraineté et ont passé à leur exécution, l’un après l’autre, démantelant systématiquement une politique de la Chine unique qui régissait la normalisation des relations entre les États-Unis et la Chine depuis les années 1970.
Le président américain Joe Biden sait parfaitement, et la Chine l’en a averti publiquement, que si les États-Unis renoncent à la politique d’Une seule Chine, reconnaissant ainsi effectivement Taïwan comme nation indépendante, la Chine reprendra l’île militairement. Et Biden lui-même a promis d’entrer en guerre contre la Chine si cela se produit.
Autrement dit, le gouvernement Biden suit une ligne de conduite dont il sait pertinemment qu’elle conduira à un conflit militaire avec le pays le plus peuplé du monde. Biden veut, en fait ou en droit, un état de guerre avec la Chine, considérée à Washington comme la plus grande menace à la domination mondiale américaine.
En mars 2021, le secrétaire d’État américain Antony Blinken a déclaré que Biden avait instruit le «Département de la Défense de considérer la Chine comme son défi de cadence». Blinken a ajouté: «La Chine est le seul pays qui possède la puissance économique, diplomatique, militaire et technologique pour défier sérieusement le système international stable et ouvert».
Les motivations géopolitiques américaines pour faire la guerre à la Chine ont été décrites par Elbridge Colby, principal auteur de la Stratégie de Défense nationale 2018, qui a déclaré mardi sur Twitter qu’un conflit avec la Chine au sujet de Taïwan «avait du sens pour les intérêts économiques concrets des Américains».
Colby met en garde, si la Chine n’est pas contenue militairement, contre un avenir où «elle aura une influence déterminante sur plus de 50 pour cent du PIB mondial. Elle sera le gardienne et le centre de l’économie mondiale». Et «le yuan sera la monnaie dominante».
Dans son livre «The Strategy of Denial » (La stratégie du déni), paru en 2021, Colby préconise une politique visant à pousser la Chine à l’action militaire. «Peut-être que la façon la plus claire et parfois la plus importante de s’assurer que la Chine soit perçue de cette façon [comme l’agresseur] est simplement de faire en sorte que c’est elle qui frappe la première. Peu d’intuitions morales humaines sont plus profondément ancrées que celle-ci : celui qui a commencé est l’agresseur et, par conséquent, il est celui qui est présumé avoir une plus grande part de responsabilité morale».
En d’autres termes, les États-Unis cherchent à établir toutes les «lignes rouges» de la Chine, à les franchir, puis à faire semblant d’être surpris quand la Chine répond par une action militaire.
Les objectifs géopolitiques de l’impérialisme américain ne sont qu’une composante de la campagne de guerre des États-Unis. Confrontée à une crise médicale, économique et sociale incontrôlable, la classe dirigeante américaine est anxieuse d’utiliser le conflit militaire comme moyen de garantir l’«unité nationale».
L’escalade du conflit avec la Chine s’accompagnera d’attaques radicales contre les droits sociaux et économiques de la classe ouvrière, et d’exigences que les travailleurs sacrifient leur niveau de vie au nom de l’effort de guerre.
Le plan de guerre dément et meurtrier de Biden a reçu le soutien de l’ensemble de l’establishment politique américain.
Mardi, le leader républicain du Sénat, Mitch McConnell, et vingt-cinq autres républicains du Sénat, ont déclaré dans un communiqué: «Nous soutenons le voyage de la présidente de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, à Taïwan».
«La crise de Taïwan pointe à l’horizon», a déclaré un éditorial du Wall Street Journal , proche des républicains, ajoutant: «Les livraisons d’armes doivent se faire plus rapidement, et du type qui dissuaderait le plus une invasion potentielle».
Le sénateur Bob Menendez, président de la Commission des affaires étrangères du Sénat, a loué ainsi le voyage de Pelosi dans une tribune du New York Times : «Mme Pelosi a eu raison de ne pas laisser la Chine décider de qui peut ou ne peut pas visiter Taïwan».
Dans cette tribune, Menendez annonce que lui et le sénateur républicain Lindsey Graham allaient présenter un projet de loi intitulé «Loi sur la politique envers Taïwan 2022» qui multiplierait par 10 les dépenses militaires américaines pour armer Taïwan.
Notre législation renforcerait la sécurité de Taïwan en fournissant près de 4,5 milliards de dollars d’aide à la sécurité au cours des quatre prochaines années et en reconnaissant Taïwan comme un «allié majeur non-OTAN» – une appellation forte pour faciliter des liens militaires et sécuritaires plus étroits. Elle élargirait également l’espace diplomatique de Taïwan par sa participation aux organisations internationales et aux accords commerciaux multilatéraux.
Cela marquerait la fin effective de la politique de la Chine unique aux États-Unis. Autrement dit, les démocrates adoptent la politique emblématique du gouvernement Trump.
Tandis que Biden s’efforce de provoquer une guerre avec la Chine, l’aile «progressiste» du Parti démocrate – les sénateurs Bernie Sanders et Elizabeth Warren – gardent le silence sur le voyage de Pelosi, refusant de répondre aux questions directes des journalistes.
Mais les déclarations de son conseiller en politique étrangère, Matt Duss, qui a soutenu pleinement les objectifs du renforcement militaire américain dans une interview à The Intercept , ont clairement montré l’attitude de Sanders.
Duss a préconisé «d’améliorer la sécurité de Taïwan» et «de donner la priorité… à la sécurité et l’auto-défense de Taïwan».
Il a condamné «l’inflation galopante des menaces» de ceux qui mettaient en garde contre les conséquences du voyage de Pelosi à Taïwan, et précisé que «s’engager dans un schéma d’inflation de menaces concernant Taïwan [était] contre-productif».
En d’autres termes, ceux qui avertissent que les actions de Pelosi menacent l’humanité tout entière sont le véritable problème, et non la pyromane Pelosi et l’armée américaine. L’interview de l’ Intercept condamne les «progressistes» qui présentent la «relation États-Unis-Chine comme étant principalement liée aux actions américaines alors qu’il y a eu, vous savez, une montée de l’autoritarisme en Chine».
Ces déclarations montrent une fois de plus clairement qu’aucune section du Parti démocrate ou de l’establishment politique américain ne s’oppose sérieusement au militarisme américain, peu importe combien irresponsables ou dangereuses sont les actions de la Maison-Blanche.
Face au soutien de tout l’establishment politique américain pour l’escalade militaire visant la Chine, c’est la classe ouvrière qui constitue la base sociale de la lutte contre la guerre. Les travailleurs, qui sont déjà confrontés à une crise massive du coût de la vie et à une récession imminente, doivent rejeter les «sacrifices» au nom de la campagne xénophobe anti-chinoise des États-Unis, et s’unir à leurs collègues ouvriers chinois dans la lutte contre la guerre.
(Article paru d’abord en anglais le 4 août 2022)
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