Elle est ma marionnette

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Elle est ma marionnette
Canicule : la France face Ă  une 3e vague de chaleur
Incendies, restrictions d'eau : une sécheresse d'ampleur
"J'étais réduite à l'état de marionnette" : elle raconte les 20 ans de mépris et de souffrance endurés avant le diagnostic de son endométriose
Publié le 4 mars 2019 à 10h59, mis à jour le 4 mars 2019 à 13h31
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Le calvaire de Virginie Durant aura durĂ© 20 ans. Du haut de ses 38 ans, elle a vĂ©cu toutes ces annĂ©es dans la souffrance et l'incomprĂ©hension. Subissant des douleurs invalidantes et sĂ©vĂšres dĂšs ses premiĂšres rĂšgles, Ă  12 ans, cette CorrĂ©zienne n'est comprise ni par le corps mĂ©dical, qui minimise ses douleurs et la dĂ©crĂ©dibilise, ni par son entourage, qui la considĂšre bien souvent comme "une fille Ă  problĂšmes". Pendant 20 ans donc, et avec l'aide de ses parents, elle se battra pour prouver qu'elle n'est pas la "malade imaginaire" qu'on l'accuse d'ĂȘtre, mais qu'elle souffre d'endomĂ©triose, comme le lui a suggĂ©rĂ© une amie lorsqu'elle avait une vingtaine d'annĂ©es. De ce combat, elle a Ă©crit un livre, sorti au mois de fĂ©vrier aux Ă©ditions du Rocher : "Des barbelĂ©s dans mon corps".
"Ce qui m’a vraiment motivĂ©e Ă  Ă©crire ce tĂ©moignage, c'est la volontĂ© de mettre en lumiĂšre toutes ces femmes qui sont obligĂ©es de serrer les dents, nous explique-t-elle. Je commence Ă  recevoir des messages de femmes qui me disent qu’elles sont obligĂ©es de taire leur maladie par peur se faire virer. La honte doit changer de camp !"
Virginie Durant, autrice du livre "Des barbelés dans mon corps"
Si toutes les endomĂ©trioses ne sont pas Ă©quivalentes, celle dont est atteinte Virginie Durant se rapproche du supplice. Ses douleurs, qui s'apparentent Ă  des barres de fer plantĂ©es dans son bas-ventre, Ă  du fil barbelĂ©, Ă  des lacĂ©rations, ne font que se multiplier. "Au dĂ©but, j’avais mal juste au moment de mes rĂšgles, puis c’était Ă  partir de la pĂ©riode d’ovulation. Ensuite, cela a Ă©tĂ© tous jours." Les derniĂšres annĂ©es, la jeune femme ne tient plus sur ses jambes, tremble en permanence, ne s'alimente pratiquement plus.
A bout de force, rompue par la fatigue, la jeune femme consulte rĂ©guliĂšrement des mĂ©decins et des gynĂ©cologues qui ne la comprennent pas, n'apportent aucun crĂ©dit Ă  son ressenti. Tour Ă  tour, ses maux sont attribuĂ©s au stress, Ă  des problĂšmes digestifs, Ă  une inflammation de l'appendice dont elle se fait opĂ©rer. Alors qu'elle n'a que 19 ans, un mĂ©decin qu'elle rencontre aprĂšs une violente crise lors de ses vacances Ă  l'Île-de-RĂ© introduit son doigt dans son vagin, la malmenant "dans les profondeurs les plus avilissantes" et lui assĂšne avec violence : "Vu l'Ă©tat dans lequel vous ĂȘtes, vous devez avoir le Sida !". Il la renverra chez elle avec un simple antibiotique. Quelles annĂ©es plus tard, en 2006, un chirurgien-gynĂ©cologue prĂ©tend qu'elle est enceinte et fait une fausse-couche. Il opĂšre un curetage. Une grave erreur mĂ©dicale que l'auteure du livre considĂšre comme l'un des moments les plus traumatisants de son existence. "À partir de ce moment-lĂ , j’ai Ă©tĂ© dĂ©possĂ©dĂ©e de ma vie. Je n’avais plus la force de me battre face Ă  la mĂ©decine pour affirmer que je souffrais d'une endomĂ©triose. J'Ă©tais rĂ©duite Ă  l'Ă©tat de marionnette", nous dĂ©crit-elle.
Virginie Durant, autrice du livre "Des barbelés dans mon corps"
Des praticiens de mĂ©decines alternatives, qu'elle consultera plus tard aprĂšs une perte de confiance totale en la mĂ©decine traditionnelle, achĂšveront de la briser. "On me faisait croire que la douleur aux ovaires Ă©tait due Ă  un manque de crĂ©ativitĂ©, que les problĂšmes de vessie Ă©taient liĂ©s Ă  mes peurs, les douleurs Ă  l’anus Ă  un manque de positionnement dans la vie ou encore une douleur au bras, apparue aprĂšs une chute dans les escaliers, au dĂ©sir de tenir un enfant dans mes bras. A cause de tout ça, je me suis beaucoup jugĂ©e."
Perdue, dĂ©nuĂ©e de toute confiance en elle, Virginie Durant se remet alors sans cesse en question et intĂ©riorise sa maladie. Elle s'Ă©loigne de ses amis, de ses connaissances, qui ne la comprennent pas non plus et refusent de voir ce dont elle souffre. "Tout ce qui touche au fĂ©minin, ce sont des problĂšmes de femmes. Ça ennuie. Et mĂȘme entre femmes, on nourrit ça", soupire-t-elle. Quant Ă  la vie professionnelle de cette passionnĂ©e d'histoire et d'Ă©criture, elle se rĂ©duit chaque annĂ©e un peu plus, ses souffrances la forçant Ă  dĂ©missionner rĂ©guliĂšrement de ses petits boulots. "Je me disais que j’avais besoin d’ĂȘtre en vacances de ma vie", affirme-t-elle.
C'est finalement en 2016, lors d'une Ă©niĂšme crise, que le diagnostic tombe. Face au refus de sa gynĂ©cologue de l’hospitaliser, Virginie Durant se fait conduire par sa mĂšre dans une clinique de Brive. Un kyste lutĂ©al [augmentation du volume de la glande sĂ©crĂ©tant des hormones] sur l'ovaire gauche et un kyste sur l'ovaire droit sont dĂ©tectĂ©s lors d'une Ă©chographie. Un infirmier lui annonce qu'elle est atteinte... d'endomĂ©triose. Face Ă  l'avancement de la maladie qui n'a, finalement, jamais Ă©tĂ© prise en charge, la jeune femme risque de perdre ses organes fĂ©minins. L'opĂ©ration se dĂ©roulera finalement au mieux, et marquera le dĂ©but son rĂ©tablissement, chez ses parents.
Viriginie Durant, autrice du livre "Des barbelés dans mon corps"
"Je ne parviens Ă  quitter mon lit que depuis mi-dĂ©cembre et aujourd'hui, je renais", nous assure-t-elle. "Je n’arrive pas encore Ă  me projeter mais maintenant je suis heureuse parce que je peux enfin profiter de l'instant prĂ©sent. J’avance au jour le jour." À l'aube de ses 40 ans, Virginie Durant dit vivre "en paix par rapport Ă  ce passĂ©". Elle affirme tout de mĂȘme vouloir continuer de se battre pour une meilleure formation des mĂ©decins et la reconnaissance de cette maladie sournoise qu'est l'endomĂ©triose. "On ne peut pas piĂ©tiner des patientes comme cela a Ă©tĂ© fait avec moi. Nous devons ĂȘtre entendues. Si je n’avais pas mes parents, je serais Ă  la rue !", affirme-t-elle en racontant que seulement quatre mois aprĂšs que le diagnostic a Ă©tĂ© posĂ©, un mĂ©decin de la sĂ©curitĂ© sociale lui a soutenu qu'elle ne voulait pas travailler parce qu'elle avait ses rĂšgles.
L’endomĂ©triose est une maladie chronique qui touche environ une femme sur dix en Ăąge de procrĂ©er. La plupart (70%) souffrent de douleur chronique. Selon l'association EndoFrance , en raison des multiples formes qu'elle peut adopter, elle est souvent diagnostiquĂ©e "par hasard", au bout de sept annĂ©es en moyenne. Des annĂ©es "durant lesquelles la maladie a eu le temps de causer des dommages notables Ă  diffĂ©rents organes". 
Ces dommages proviennent de la migration, lors des rĂšgles, de cellules de l'endomĂštre (tissu qui tapisse l’utĂ©rus) vers les trompes. Un tissu semblable au tissu endomĂ©trial se dĂ©veloppe alors hors de l’utĂ©rus et provoque des lĂ©sions, des adhĂ©rences et des kystes ovariens dans les organes colonisĂ©s. "Cette colonisation, si elle a principalement lieu sur les organes gĂ©nitaux et le pĂ©ritoine peut frĂ©quemment s’étendre aux appareils urinaire, digestif, et plus rarement pulmonaire", prĂ©cise EndoFrance. Environ 35 % des femmes atteintes d’endomĂ©triose connaissent des problĂšmes de fertilitĂ©. Si la maladie peut se traiter de diffĂ©rentes façons, elle ne se guĂ©rit pas. Un suivi mĂ©dical rĂ©gulier est nĂ©cessaire pour prĂ©venir d'Ă©ventuelles rĂ©cidives.


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Comme instrument de reprĂ©sentation, la marionnette est un mĂ©dium. En elle se rejoignent la rĂ©alitĂ© qu'elle figure et la croyance que le spectateur peut avoir en cette rĂ©alitĂ© – qu'il s'agisse de la rĂ©alitĂ© des forces qu'elle devait obliger Ă  se manifester dans les spectacles de magie animiste, ou de celle de l'univers imaginaire dans le jeu thĂ©Ăątral traditionnel. Dans les deux cas, elle a la particularitĂ© de n'ĂȘtre qu'un objet. Cette nature fait qu'elle Ă©chappe Ă  l'une et Ă  l'autre. Elle rend sensible le mystĂšre, elle reflĂšte toutes les imaginations, mais, son office terminĂ©, elle demeure une forme parfaitement dĂ©sincarnĂ©e et Ă  la fois prĂȘte Ă  fonctionner, disponible.
Sur le plan technique, le marionnettiste doit combiner la physionomie, son dessin et sa coloration, pour que tout puisse ĂȘtre lisible en elle. L'asymĂ©trie du visage permet un jeu de facettes qui offre un champ infini d'expressions au grĂ© de l'action et en fonction du mouvement. Le merveilleux vient de ce que la marionnette ne propose que des signes Ă  la vision et Ă  l'imagination du public : de nature synthĂ©tique, elle prĂ©sente un art de suggestion.
Mais, pour atteindre à l'expression, pour endosser le caractÚre qu'on lui attribue, elle a besoin du mouvement. C'est le mouvement qui découvre les angles divers sous lesquels les signes qui composent le physique du personnage forment un relief et prennent vie. La puissance du relief et la force de la vie dépendent de la personnalité, de la maßtrise, du style, de la chaleur de la manipulation.
Le mouvement est imprimĂ© par en dessous pour la marotte, les marionnettes Ă  gaine et Ă  tige et pour les ombres, par au-dessus pour les marionnettes Ă  fils et Ă  tringle. La marionnette, poussĂ©e du bas ou tirĂ©e du haut, n'adhĂšre pas effectivement au sol sur lequel elle est censĂ©e agir ; son Ă©volution Ă©chappe dans une certaine mesure Ă  la pesanteur. Cette donnĂ©e ajoute Ă  la singularitĂ© de l'instrument situĂ© entre ciel et terre, entre la fĂ©erie et la rĂ©alitĂ©. Selon la fantaisie du marionnettiste, la dĂ©marche aĂ©rienne entraĂźne des sautillements, Ă©ventuellement de brusques et longues avancĂ©es, de grands sauts ; ceux-ci sont comparables au schĂ©matisme des traits, Ă  l'outrance des situations et du langage de personnages qui, dans cette optique grossissante, ne peuvent ĂȘtre que des types. Ils arrachent la marionnette au rĂ©alisme pour la faire accĂ©der Ă  son univers propre qui est poĂ©tique. C'est dans le dĂ©calage constant entre la rĂ©alitĂ© de la sociĂ©tĂ© humaine Ă  laquelle la marionnette se rĂ©fĂšre et la reprĂ©sentation qu'elle en donne que naĂźt cette poĂ©sie .
La marionnette n'est guĂšre apte, sinon Ă  la parole, du moins au discours. Ses paroles doivent tĂ©moigner du mĂȘme sens du raccourci que les autres composantes du spectacle. Des Ă©crivains cĂ©lĂšbres – Goethe, Kleist, Jarry, Lorca, Ghelderode – ont conçu des piĂšces pour elle. Mais, dans la pratique, le texte s'inscrivant au milieu d'une pantomime qui a la part la plus importante, le montreur de marionnettes a prĂȘtĂ© le plus souvent aux personnages des rĂ©pliques qu'il a notĂ©es lui-mĂȘme ou qu'il a improvisĂ©es. C'est d'ailleurs sa vocation d'ĂȘtre l'auteur total du spectacle.
Il faut que le contact le plus franc s'Ă©tablisse spontanĂ©ment entre la marionnette et son auditoire. La naĂŻvetĂ© du genre et celle qu'elle suppose de son public l'exigent. L'art de la marionnette est par essence populaire. Ses personnages fameux ont Ă©tĂ© Ă©levĂ©s Ă  la dignitĂ© de hĂ©ros nationaux parce qu'ils rĂ©sument dans leur personnalitĂ© des qualitĂ©s et des dĂ©fauts, une mentalitĂ©, un langage, des tics rĂ©pandus chez leurs compatriotes. Leur force vient de ce qu'ils sont la synthĂšse, dans leur existence imaginaire, d'un ensemble de caractĂšres complexes, mĂȘlĂ©s, souvent contradictoires, dont leur prĂ©tence impose la vĂ©ritĂ©, et qui commande la complicitĂ© du spectateur.
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Paul-Louis MIGNON,
« MARIONNETTES », EncyclopÊdia Universalis [en ligne],
consulté le 15 août 2022 . URL : https://www.universalis.fr/encyclopedie/marionnettes/

« MARIONNETTES ». Dans EncyclopÊdia Universalis [en ligne]. Consulté le 15 août 2022 sur https://www.universalis.fr/encyclopedie/marionnettes/

EncyclopÊdia Universalis, s.v. « MARIONNETTES »,
Consulté le 15 août 2022 , https://www.universalis.fr/encyclopedie/marionnettes/
© 2022 EncyclopÊdia Universalis France. Tous droits de propriété industrielle et intellectuelle réservés.


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Publié le 27 juillet 2016 par Pétr

Le 1 mars 2018 à 21 h 15 min , villedieu a dit :

C’est une vielle histoire. Il y a plus de quarante ans (ça ne me rajeunit pas ! ) j’ai construit ma deuxiĂšme marionnette. La premiĂšre je la prĂ©senterai Ă  un autre moment. Aujourd’hui c’est ce garçon lĂ  qui est Ă  l’honneur:
Le systĂšme qui la commande est hors service et demanderait une grosse rĂ©paration. Mais ce trop gros travail devra attendre le jour oĂč je me casserai une jambe par exemple pour que je puisse m’y mettre. Les fils, ils sont une quarantaine, sont complĂštement nouĂ©s, ses mains se sont perdus etc.
Marionnette à fils aux yeux mobiles et à l’expression variable
Marionnette à fils aux yeux mobiles et à l’expression variable
J’avais inventĂ© et construit cette marionnette dans le but de faire un spectacle de rue pour me permettre de financer un tour du monde. Dans ce spectacle pour commencer la marionnette dĂ©couvre le monde. D’abord elle Ă©tablit une relation avec le public. Elle Ă©tait capable, par exemple, d’offrir une fleur ou de faire un bras d’honneur. Évoluant ainsi Ă  prendre place dans son environnement, sa relation avec le public, elle dĂ©couvre qu’elle est commandĂ© par des fils et ça ne lui plait pas. Elle veut dĂ©cider par elle-mĂȘme et ne plus ĂȘtre manipulĂ©. Commence alors une lutte contre moi qui la tient au bout de ses fils et la manipule. Elle tire sur ses fils, me tire en avant en reculant, se dĂ©bat comme si elle possĂ©dait une propre force et finalement elle rĂ©ussit sa libĂ©ration : les commandes ‘s’arrachent’ de mes mains, tout tombe par terre et c’est la fin, c’est la mort
.. oĂč presque, car ce qui suit couronne ce spectacle : je la saisis tendrement et la dĂ©pose dans sa valise, tout en douceur. FIN (le dĂ©mĂȘlage des fi
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