Elle encule son soumis au petit déjeuner

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« Tu lui mets une couche ? Elle fait encore pipi au lit ? » - de l’énurésie aux plaisirs ABDL – 1ère Partie « Tu lui mets une couche ? Elle fait encore pipi au lit ? » Je crois que je me souviendrais de ces mots toute ma vie. Il suffit que je ferme les yeux et je peux revoir cette scène : allongée en travers du lit de ma cousine Marie, ma mère, alors enceinte de 7 mois, étais en train de me langer sous le regard étonné de ma tante Chloé. C’était le 23 Décembre 2002, j’avais 8 ans et demi. Présentation : je m’appelle Florianne, je suis française, étudiante en licence d’histoire et depuis un peu plus d’un an je me suis découvert une attirance pour l’univers ABDL. Ce petit récit est peut être une forme de thérapie, car j’ai besoin de parler cette attirance mais je n’ai pas le courage de le faire auprès de mes parents et de mes amis, aussi je demande votre indulgence. Voici quelques souvenirs, des instants qui ont certainement conduit à mon actuelle attirance pour les couches. Ils pourront peut être vous paraître tristes, mais pour moi ils sont à la fois doux et amers, comme peuvent l‘être certains bonbons. J’ai des parents parfois stricts mais adorables et aujourd’hui encore, je n’ai pas trouvé de meilleur refuge à mes angoisses que les bras de mon Papa ni de meilleurs remèdes à mes chagrins que les câlins de ma Maman. Depuis un an, j’ai mon propre appartement, mais dans la maison de mes parents, j’ai toujours ma chambre jouxtant celles de mon petit frère et de ma petite sœur. Cette chambre est toujours un endroit où je me sens en sécurité et protégé de tout (sauf des caprices de ma petite sœur). Je suis donc l’aînée d’une famille de 3 enfants, j’ai 6 ans et demi de plus que mon frère et presque 9 ans de plus que ma chipie de petite sœur. Mon père est officier parachutiste et ma mère est infirmière libérale. J’ai été propre le jour vers 2 ans et la nuit peu après mon quatrième anniversaire. Je suis entrée en CP avec un an d’avance, j’avais peine 5 ans. La naissance de mon petit frère n’a pas entraîné de jalousie ni de régression de ma part, bien au contraire, j’étais très heureuse de pouvoir aider ma Maman à s’occuper du bébé. Jusqu’à mes 8 ans, tout allait bien pour moi, même si j’étais un « garçon manqué » : je préférais jouer au football, à la guerre ou surtout aux pirates avec les garçons plutôt qu’à la poupée et à la dînette avec les autres filles. Bien sûr j’avais aussi des poupées mais je préférais y jouer seule et je n’ai jamais voulu de déguisement de fée ou de princesse, uniquement des déguisements de pirates ou de cow-boy. 1er Souvenir : Ma vie a changé durant l’été 2002 : nous avons déménagé en Juillet et mon père a été envoyé en Afghanistan début Septembre avec son régiment. Ma mère était alors enceinte de ma petite sœur. Le jour du départ, j’ai beaucoup pleuré dans les bras de mon papa. J’avais déjà vécue cette scène en 1999 lorsqu’il est parti au Kosovo, mais je crois qu’à l’époque je n’avais pas encore compris tout ce qu’impliquait ce départ. Il a essayé de me consoler et m’a dit « Tu es une grande fille maintenant, princesse, je compte sur toi pour aider Maman, pour veiller sur ton petit frère et sur le bébé. Tu seras toujours gentille et obéissante avec Maman, OK ? Tu me le promets ? ». J’ai promis, mais psychologiquement cette promesse a été un boulet pour moi, mais cela je ne l’ai compris que très récemment. Dès la nuit suivante, j’ai recommencé à faire pipi au lit. Les premiers jours ma mère ne me grondait pas et se contentait de me dire gentiment « il y a des petites fesses à nettoyer et des draps à mettre dans le lave linges » et de m’envoyer à la salle de bains pendant qu’elle changeait les draps, mais moi j’étais très honteuse. Un soir de la semaine suivante, à l’heure du coucher, je suis entrée dans ma chambre après m’être lavée les dents et avoir été aux toilettes. Maman m’attendait assise sur mon lit, elle tenait un petit paquet dans ses mains. Elle m’a fait asseoir sur ses genoux puis elle m’a expliqué qu’elle était très fatiguée à cause du bébé qu’elle attendait et de l’attention que réclamait encore mon petit frère et donc que cela serait mieux pour tout le monde que je porte une « culotte spéciale » pour la nuit en me montrant le paquet de Drynites. A l’époque je crois que c’était tout nouveau en France. J’ai pleuré, j’ai un peu protesté mais j’ai rapidement accepté, à cause de ma promesse d’être toujours gentille avec Maman. Si ces culottes ont réglé le problème des draps, elles ont probablement eu des répercussions sur mon attitude à l’école, car à partir de ce jour, je suis devenue plus nerveuse et plus agressive à l’école. Il faut dire que je n’aimais pas la nouvelle école dans laquelle j’allais car elle était tellement différente de celle du village avec son aspect 19e siècle et ses parquets en bois et où les institutrices étaient tellement gentilles et maternelles avec nous, n’hésitant pas à nous consoler par quelques câlins quand nous étions en pleurs. Ma nouvelle école avait un aspect triste, toute en béton et en verre, avec une institutrice sévère et pas câline du tout avec ses élèves, je ne m’y sentais pas bien. Mais le pire étaient les toilettes : souvent sales, avec des odeurs mélangées de déjections, de béton humide et de désinfectant et surtout avec des portes qui fermaient mal et avec un large espace au bas de la porte… en principe c’était pour que nous puissions sortir en nous glissant dessous si nous n’arrivions plus à ouvrir le verrou, mais en fait, cela servait surtout aux garçons à venir voir « comment c’est fait une fille ». Du coup, si vous n’aviez pas de copine pour se mettre devant la porte, il ne restait que la solution de se retenir durant toute la journée, ce que je faisais généralement. Aussi, un des premiers mardi d’octobre 2002, lors de la récréation de l’après midi, ce qui devait arriver arriva : après des heures à me retenir, j’ai fait pipi dans ma culotte alors que je jouais au basket ! Je me vois encore, près du panneau de basket avec mon pipi qui faisait une flaque autour de mes chaussures, et la large tache humide qui s’étalait sur ma salopette rose pâle depuis l’entrejambe jusqu’à mes chaussettes. Et les autres enfants autour de moi qui regardaient étonnés ou en ricanant. L’un d’entre eux, Francis (lui, je ne l’oublierais ni ne lui pardonnerais jamais ! Et pourtant nous étions très ami avant cet accident), a commencé à se moquer de moi à haute voix « Venez tous voir ! Florianne a fait pipi dans sa culotte ! Florianne est un bébé ! La maîtresse devrait l’envoyer à la Maternelle, ils ont des couches pour la sieste des petits ! ». Je crois que c’est le mot « couches » qui a déclenché ma réaction violente : je me suis jeté sur lui en le bourrant de coups de poings et de pieds et je l’ai fait tombé par terre. Lorsque les maîtresses sont venues nous séparer, j’étais assise sur sa poitrine, il pleurait et il saignait du nez, de la bouche et de la pommette. Pendant qu’il était conduit à l’infirmerie en braillant comme un bébé, mon institutrice me trainait par le bras me grondant et me secouant en direction du bureau du directeur. Je suis incapable de me souvenir ce qu’elle me disait, elle criait et me secouait si fort que j'avais l'impression qu'elle allait m'arracher le bras, mais je regardais Francis pleurer à chaudes larmes sous les regards moqueurs des autres enfants, à présent je n’étais plus la seule cible des moqueries. Le directeur me cria dessus parce que j’avais blessé un de mes petits camarade, il me reprocha également mon « petit accident », me disant que si je n’étais pas capable d’être propre pendant la journée, ma place était à la crèche et non à l’école primaire. Était-il au courant de mon problème de pipi au lit ? Il téléphona à ma mère pour qu’elle vienne me chercher et quand elle fut là, il lui annonça que vue ma conduite de la journée et des différentes punitions que j’avais reçues au cours des dernières semaines, j’étais renvoyée pour le restant de la semaine. Ma mère était atterrée, elle tenta de le faire revenir sur sa position mais il resta ferme, lui annonçant qu'elle avait quelques jours pour m'apprendre comment une gentille fille devait se comporter à l'école sinon il serait dans l'obligation de me renvoyer définitivement.Ma mère s’avoua vaincue. Elle me prit par la main et nous sortîmes de l’école. Au lieu de repartir directement chez nous, nous fîmes un crochet par le petit centre commercial qui était à quelques centaines de mètres de l’école et de notre appartement, j’étais très honteuse, car tous les gens qui nous croisaient pouvaient voir que j’avais fait pipi dans ma culotte. Nous sommes allées à la droguerie-quincaillerie et ma mère demanda à la vendeuse un martinet. Le petit sourire et le regard de cette dernière laissait entendre qu’elle avait compris à qui était destiné cet instrument. Maman paya tout en me disant qu’elle se rembourserait avec le contenu de ma tirelire (quand j’y repense, je trouve que c’est du vol ! Ce martinet a servit pour mon petit frère et sert encore parfois pour ma petite sœur ! Je devrais exiger qu’ils me remboursent les 2 tiers du prix ! LOL). Enfin rentrées à notre appartement, je fus rapidement déculottée et chaudement fessée avec le martinet avant d’être envoyé au coin, dans la salle de bain, face au sèche serviette mural sur lequel ma mère avait accroché ma salopette et ma petite culotte mouillées de façon à ce qu’elles soient juste devant mon visage. Lorsque j’ai cessé de pleurer, ma mère me rappela et me fit la morale de façon sévère et conclue sa tirade avec « les grandes filles de CM-1 ne mouillent plus leur culotte et ne se battent pas avec les garçons », je lui ais crié «Alors je ne veux plus être une grande fille ! Je veux être encore une petite fille !»,je pense qu'inconsciemment je voulais envoyer un SOS à ma mère, mais elle ne le comprit pas, et elle se mit à nouveau très en colère, et je reçus à nouveau le martinet et ce fut la pire fessée de ma vie, à la fin j'avais même du mal à respirer tellement je pleurais. Immédiatement après, elle me conduisit à la salle de bain, termina de me déshabiller, me mit dans la baignoire pour me laver mais aussi pour calmer mes pleurs puis me ramena dans ma chambre pour m'habiller et m’obligea, par quelques claques supplémentaires sur les cuisses, à enfiler une drynites avant de m’habiller rapidement et nous sommes repartis vers le centre commercial, pour entrer ce coup-ci au supermarché, et là, nouvelle humiliation pour moi, ma mère me porta pour me faire asseoir dans le siège bébé du chariot. Avec la barre de maintien à l’entrejambe, impossible de serrer les cuisses ou d’empêcher le bas de ma robe de remonter presque jusqu’en haut de mes cuisses. Tout le monde pouvait voir la curieuse culotte blanche que je portais et dont l’épaisseur indiquait sans nul doute l’usage, j’étais mortifiée, je regardais par terre et j’essayais de pleurer le plus doucement possible pour ne pas attirer l’attention. Nous avons juste été dans le rayon bébé où ma mère pris un paquet de pampers dans la plus grande taille disponible et un ou deux autres de drynites, je crois qu’elle prit aussi quelques autres produits pour bébé, était-ce pour moi ou pour mon petit frère de 2 ans ? Aujourd’hui je ne saurais le dire, mais à l’époque je le croyais, d’autant qu’elle expliqua à la caissière que j’avais fait pipi dans ma culotte à l’école et que j’avais dit que je ne voulais plus être une grande fille. La caissière m’avait sourit gentiment et m’avait dit « Tu sais, c’est bien d’être une grande fille ! Tu vas vite voir que ce n’est pas agréable d’être dans une couche mouillée ». Aujourd'hui je pourrais lui répondre que cela dépend des moments et des situations… De retour à la maison, ma mère me prévint que j’étais punie jusqu’à dimanche et puisque je voulais être une petite fille, elle allait me traiter comme mon petit frère, comme si j’avais 2 ans, et cela fut le cas pendant 2 jours : j’ai porté mes drynites en guise de pull-ups durant la journée et les pampers pour la nuit et la sieste, je fus mise sur le pot au même rythme (ou presque) que mon petit frère, j’ai bu dans une tasse en plastique pour bébé, sauf le matin où j’ai eu droit au biberon de chocolat (un vrai bon souvenir celui-là) et mise au lit à 20h15, à peine 15 minutes plus tard que mon petit frère. Mais le jeudi soir, j’ai pleuré plus longtemps et plus fort que les deux soirs précédent. Ma mère a fini par venir me voir et, après avoir vérifié si j’avais sali ma couche, elle m’a demandé pourquoi est-ce que je pleurais. Je lui aurais répondu que j’étais trop vilaine et que devait me mettre à l’orphelinat parce que je n’arrivais pas à être une gentille fille et que je n’avais pas tenu ma promesse à Papa. Alors elle m’a prise dans ses bras et s’est aussi mise à pleurer. Ce fut un moment magique car je ressentais la tendresse de ma Maman par tous mes sens. J’ai sangloté assez longtemps pour m’épuiser et m’endormir dans ses bras. Le lendemain, il était tard quand Maman est venue pour me lever. Elle avait confié mon petit frère à une voisine pour la journée pour rester seule avec moi. Après m’avoir donné mon biberon de chocolat, elle m’a gardé dans ses bras un long moment en me câlinant. Puis elle m’a demandé gentiment comment c’était d’être une toute petite fille et si je voulais encore en rester une. Je lui ai juste répondu que je ne voulais plus de couche dans la journée. Elle m’a sourit et m’a dit simplement : « d’accord, princesse, plus de couche dans la journée… plus de séance sur le pot ni de couverts de bébé non plus. On va juste garder la couche pour le dodo. » « Et le biberon du matin ? ». Elle se mit à rire, me caressa le visage et répondit « Et aussi le biberon du matin » « Et l’histoire pour dormir le soir ? » « Aussi longtemps que tu en auras besoin ma chérie ». Elle m’a gardé longtemps dans ses bras, s’excusant de m’avoir un peu trop puni, m’expliquant qu’elle était fatiguée à cause du bébé qu’elle portait dans son ventre et que même une Maman peut se tromper. Et, après m’avoir changé, elle a passé la journée entière à s’occuper uniquement de moi, comme lorsque j’étais plus petite : elle m’a fait faire mes devoirs, elle a joué avec moi et m’a beaucoup câliné. A partir de cette époque et jusqu’à mes 10 ans, ma Maman me langea le soir avec un change complet et me changeait le matin, me nettoyant les fesses avec des lingettes pour bébé, mais seulement après le petit déjeuner, moment que j’aimais beaucoup, car elle me prenait sur ses genoux pour me donner un biberon de lait chocolaté.

They said that we were lucky when the IED overthrown our truck
They said that I have crawled my driver out of the wreck
They said that I went back to take out our rifles and the computer too
They said that the medic found me almost stunned near my teamate
They said that I bled from ears, nose and both legs and could not answer
They said that I deserve the Croix de la Valeur Militaire and had to be proud of that
But I could not remember a single thing... nothing between the end of the briefing and the awakening in the hospital with a concussion, perforated eardrums and 12 scares on my legs... almost 3 days totally wiped of my brain.

Yesterd
It was a misty day on the short walk back from lunch. Sort of a wet mist, flecked with water that damped the stone pavement. It was April and the intense heat of summer was only just starting to warm the air, although the cool mist kept it from getting uncomfortable. Laura was casually strolling into the school playground, time was on her side and he wasn’t in any rush. She was 15 years old and in her third year of high school. The most striking feature on her was her hair. It was a dulled yet scorching red, the same colour as burnt coals slowly dying out on a stone hearth. Her eyes were a smooth brown resembling the bark of the oak tre
When he gets home, Mac sees his mother packing suitcases. He prays to be a family trip.

Mac - Mom, why do these bags?

Mother - that is the godmother of his brother is sick. and he and I will stay with her until she gets better.

Mac - I'm going too?

Mother - I'm sorry son, but she only gave 2 tickets and she demanded that her brother was. It is a short time, I promise.

Mac - All right. But I'll be alone here?

Mother - to could, but no more frozen food, and you would not know how to cook yet. I think you better ask to stay in that mansion there with Bloo and those weird wrapping other imaginary friends.

Mac was a little sad, not wanting
« Tu lui mets une couche ? Elle fait encore pipi au lit ? » - des souvenirs d'enfance qui m'ont conduit vers le plaisirs ABDL
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Que c'est affreux ce témoignage de ton enfance, tu as dû subir les pires humiliations de ta vie pour avoir enduré des moments aussi dégradants, d'autant plus que tu avais échoué à la promesse que tu avais faite à ton père lorsqu'il est parti pour le Kosovo.


Thibaud Le Meneec
18h55, le 14 janvier 2019 , modifié à
19h44, le 14 janvier 2019

Brigitte est heureuse : mariée, cette sexagénaire a un amant depuis huit ans et demi. Mais elle n'a pas fait ce choix de vie sans en informer son époux, qui est courant et valide cette relation extraconjugale. "On ne divorce pas, ça ne change rien à la situation", lui a-t-elle promis au début de cette aventure, comme elle l'a expliqué à Olivier Delacroix sur Europe 1 , lundi. 
"Dans la vie et dans un couple, on n'évolue pas toujours au même niveau. Après la cinquantaine, très souvent dans un couple, les envies ne sont plus les mêmes. Certains hommes ou femmes n'ont plus envie de sexe, tandis que l'autre a toujours des besoins.
>> De 15h à 16h, partagez vos expériences de vie avec Olivier Delacroix sur Europe 1. Retrouvez le replay de l'émission ici
À 20 ans, on dit : 'Tu me trompes, je te quitte.' À 30 ans, avec les enfants, la maison et le chien, on réfléchit. À 40 ans, les enfants sont ados, on pense un peu plus à soi. À 50 ans, les circonstances font que si la vie n'est pas invivable et qu'il n'y a pas matière à divorcer, pourquoi ne pas faire des aménagements dans le couple ?
À cette époque, mon mari n'avait plus d'attrait pour le sexe. Nous
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Ballerine fait un strip-tease et montre son talent
Couple gay baisant

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