Elle connait son point G

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Elle connait son point G
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Un gynecologue amĂ©ricain a Ă©tĂ© radiĂ© de la profession pour avoir eu des rapport sexuels avec des patientes. Il aurait notamment fait atteindre l'orgasme Ă  des femmes lui demandant oĂč se trouvait le Point G
Ah le Point G , ce Graal mythique de la sexualitĂ© fĂ©minine dont beaucoup s’accordent Ă  rĂ©futer l’existence. Quoiqu’il en soit, d’autres affirme savoir oĂč il se trouve. Par exemple, qui de plus qualifiĂ© qu’un gynĂ©cologue pour savoir oĂč sont situĂ©s les petits secrets du plaisir sexuel fĂ©minin. C’est en tout ce qu’a voulu faire un gynĂ©cologue amĂ©ricain Ă  titre pĂ©dagogique en montrant Ă  une patiente oĂč se situait son Point G . Seulement, il est allĂ© plus loin que ça et a fini par la stimuler jusqu’à l’orgasme.
Le docteur Froehlich Ă©tait ce jour-lĂ  avec une patiente qu’il connait bien et avec qui il travaillait notamment. Cette derniĂšre lui a alors demandĂ© oĂč se trouvait le Point G. Normalement, le gynĂ©cologue aurait eu recours Ă  un diagramme ou un schĂ©ma pour informer la patiente. LĂ  il lui a montrĂ© physiquement, en le touchant pour lui donner une preuve tangible.
Lors d’une consultation ultĂ©rieure, il a rĂ©itĂ©rĂ© l’expĂ©rience : la mĂȘme patiente lui aurait redemandĂ© de lui montrer oĂč Ă©tait son Point G, et il l’aurait stimulĂ© jusqu’à l’orgasme . Il auraient ensuite eu une relation sexuelle dans l’enceinte de l’hĂŽpital. Le lendemain lors de ma garde, j’ai juste dit qu’elle Ă©tait mariĂ©e, que moi aussi, qu’on ne devrait pas faire ça et que ce n’est pas l’homme que j’ai envie d’ĂȘtre; elle Ă©tait d’accord a-t-il dĂ©clarĂ©. Le Docteur Froelich a tout de mĂȘme rĂ©itĂ©rĂ© l’expĂ©rience avec une deuxiĂšme patiente, mais il a dĂ©clarĂ© ne pas avoir eu de relation sexuelle avec elle.
Dans son rapport, il a expliquĂ© ses agissements par son Ă©tat de stress , ses difficultĂ©s Ă  pratiquer son mĂ©tier, la mort rĂ©cente de sa mĂšre, son rĂ©cent diagnostique de cancer et le rĂ©gime amincissant qu’il suivait. L’affaire a divisĂ© lors des discussions entre membres de la profession. Certains ont fermement condamnĂ© son comportement : Se comporter de cette maniĂšre pour un gynĂ©cologue est trivial, brut et inacceptable a expliquĂ© une s’est insurgĂ©e un femme membre du conseil des mĂ©decins. D’autre ont plutĂŽt nuancĂ© leur jugement, considĂ©rant le consentement des patientes. Le Docteur Froelicher a finalement Ă©tĂ© radiĂ© de la profession.




Le terme «point G» vient du gynĂ©cologue allemand Ernst GrĂ€fenberg, le premier Ă  l’avoir dĂ©crit. 81222587/vladimirfloyd - stock.adobe.com




Journaliste
- Sa biographie


Le vagin est l’organe de la copulation chez la femme.



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L’idĂ©e d’une zone dans le vagin qui serait le centre ultime du plaisir sexuel fĂ©minin a Ă©mergĂ© dans les annĂ©es 1980. Mais jusqu’à maintenant, il n’existe pas de preuves scientifiques de son existence.
L’idĂ©e qu’il existerait une zone hypersensible dans le vagin est internationale et vieille de plusieurs siĂšcles. En Occident, cette zone fut baptisĂ©e «point G» en hommage au mĂ©decin allemand Ernst GrĂ€fenberg. Ce gynĂ©cologue est connu pour l’invention dĂšs 1930 d’un anneau contraceptif, ancĂȘtre du stĂ©rilet que l’on connaĂźt actuellement. En 1950, il dĂ©crit une «zone Ă©rotique, toujours prĂ©sente sur la paroi antĂ©rieure du vagin, le long de l’urĂȘtre» dans l’ International Journal of Sexology .
Le point G connaĂźtra ensuite une popularitĂ© importante Ă  partir des annĂ©es 1980, quand trois AmĂ©ricains publient The G-Spot and Other Recent Discoveries about Human Sexuality (Ed. Holt Paperbacks ) . C’est ce livre qui, le premier, a popularisĂ© auprĂšs du grand public l’idĂ©e d’un «point G». Mais son existence ne repose alors sur aucun fait scientifique, hormis la vague description qu’en faisait Ernst GrĂ€fenberg en 1950. Depuis, de trĂšs nombreuses d’études plus ou moins sĂ©rieuses ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©es, dont certaines ont fait le lit de fausses croyances.
L’enjeu est grand: stimuler cette zone procurerait un orgasme Ă  coup sĂ»r
 Imaginez! La dĂ©couverte de sa localisation prĂ©cise pourrait rĂ©volutionner la sexualitĂ©. Mais en rĂ©alitĂ©, «les Ă©tudes suivantes qui ont eu tant de retentissement mĂ©diatique portent sur un nombre modeste de patientes et se basent sur un niveau de preuves notoirement insuffisant», expliquait Marie-HĂ©lĂšne Colson, mĂ©decin sexologue et directrice d’enseignement de sexologie Ă  la facultĂ© de mĂ©decine de Marseille, dans la revue Sexologies en 2010. En 1983 par exemple, une Ă©tude menĂ©e avec seulement 11 femmes a trouvĂ© chez 4 d’entre elles «une zone similaire au point G» grĂące Ă  une palpation manuelle, une mĂ©thode «plus que sujette Ă  caution», selon Marie-HĂ©lĂšne Colson.
En 2006, l’idĂ©e d’un point G est mĂȘme sur le point d’ĂȘtre enterrĂ©e, quand une Ă©quipe d’uro-gynĂ©cologues amĂ©ricains rĂ©alisent plus de 100 biopsies de parois vaginales. «Nous n’avons pas trouvĂ© d’innervation particuliĂšre dans la paroi antĂ©rieure du vagin», concluent-ils dans The Journal of Sexual Medicine . «Cependant, nous n’affirmons pas pour autant qu’il s’agisse de la preuve que le point G n’existe pas», nuancent-ils. Et d’ajouter: «Il est possible que nous n’ayons pas cherchĂ© au bon endroit».
Mais une autre hypothĂšse vient dĂ©fendre l’existence de cette zone mythique: celle que le plaisir viendrait non pas du vagin, mais du clitoris collĂ© Ă  celui-ci, la pĂ©nĂ©tration stimulant le clitoris au travers du vagin. Le point G correspondrait en fait Ă  cette zone de contact entre les deux organes.
«Ceci semble confirmĂ© par des Ă©tudes plus rĂ©centes utilisant l’échographie», explique Marie-HĂ©lĂšne Colson. En 2009, la gynĂ©cologue Odile Buisson et l’urologue Pierre Foldes font passer des Ă©chographies de la vulve Ă  5 femmes. Ils observent alors que que la pĂ©nĂ©tration vaginale entraĂźne un mouvement du clitoris. «La racine du clitoris descend et rentre en contact avec la paroi vaginale antĂ©rieure», dĂ©crivent-ils dans The Journal of Sexual Medicine . «Nous suggĂ©rons que cela pourrait augmenter le contact entre le vagin et le clitoris, trĂšs innervĂ©. C’est important car l’innervation pauvre du vagin est l’argument habituel de ceux qui nient l’existence du point G», poursuivent-ils. Une annĂ©e plus tard, ils font passer une Ă©chographie Ă  un couple pendant leurs relations sexuelles et confirment ce mouvement du clitoris: «la racine du clitoris est particuliĂšrement Ă©tirĂ©e par le pĂ©nis et compressĂ©e contre la paroi vaginale antĂ©rieure», observent-ils.
«Le point G est une idée, un concept»
Dr Marie-HélÚne Colson, médecin sexologue
Cela suffit-il Ă  prouver l’existence du point G? Pour Marie-HĂ©lĂšne Colson, «le point G est une idĂ©e, un concept». En clair, le point G ne correspond pas Ă  une rĂ©alitĂ© physique fixe et immuable. «Ce que l’on a pu appeler le point G n’est en fait pas un point, mais plutĂŽt une zone de tissu conjonctif plus richement innervĂ©e et vascularisĂ©e, donc plus sensible, et situĂ©e Ă  l’entrĂ©e du vagin, sur sa paroi antĂ©rieure», explique la sexologue. Et nombreux sont les organes qui, Ă  un moment ou un autre de la relation sexuelle, peuvent concourir Ă  la venue de l’orgasme. En effet, toutes les structures qui participent au plaisir sexuel (le vagin, le clitoris, mais aussi l’anus, la vessie et la vulve) sont liĂ©es Ă  la fois sur le plan neurologique et vasculaire. «L’orgasme en lui-mĂȘme est identique quelle que soit la zone de stimulation initiale, et son intensitĂ© est liĂ©e au nombre de ses structures qui y contribuent (anus, vagin, clitoris, vessie, vulve), ainsi qu’à la rĂ©sonance Ă©motionnelle qui l’accompagne».
Jambe de bois le 23/07/2018 Ă  21:05
Vous oubliez la grande dĂ©couverte de l’éjaculation fĂ©minine. AprĂšs 300.000 ans de recherches et d'espoirs, voila, c'est fait! Certains petits malins l'appellent Ă©jaculation fĂ©ministe - mais on se fiche de leurs sarcasmes minables.
Le mysterieux point/zone G peut etre anywhere dans ou sur le corps feminin. Alors chercheurs, veuillez continuer a chercher
Heureusement que les femmes ne comptent pas sur les sexologues pour jouir !
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Le plaisir fĂ©minin ne se rĂ©duit pas au plaisir de jouir. Orgasme vaginal ou clitoridien, jouissance physique ou mentale, sensibilitĂ© aux caresses et aux mots doux, le plaisir ressenti par la femme pendant l'acte revĂȘt diffĂ©rentes formes. Si certains rapports sexuels se soldent par un orgasme simulĂ©, quels sont les signes d'un rĂ©el plaisir sexuel ?
Beaucoup d'idĂ©es reçues circulent sur le plaisir fĂ©minin. Parfois avĂ©rĂ©es et souvent fausses, elles n'aident pas nĂ©cessairement l'homme dans sa quĂȘte de l'orgasme de sa partenaire.
Lorsqu'est évoqué le plaisir sexuel de la femme, il est d'usage répandu de se rapporter immédiatement aux 2 types d'orgasmes - vaginal et clitoridien - qui lui sont attribués. Toutes les femmes peuvent-elles parvenir à ce plaisir de jouir ? Existe-t-il d'autres voies de plaisir féminin ?
Physiquement, l'orgasme consiste en une contraction involontaire et rĂ©pĂ©tĂ©e du vagin, qui procure un plaisir intense. Cette contraction peut avoir pour origine la stimulation du clitoris par masturbation, ou l'atteinte du point G par pĂ©nĂ©tration. La plupart des femmes expĂ©rimentent l'orgasme clitoridien : en se masturbant elles-mĂȘmes, elles s'entraĂźnent Ă  stimuler leur clitoris de maniĂšre Ă  jouir, puis peuvent guider leur partenaire pour les mĂȘmes bĂ©nĂ©fices pendant un rapport sexuel. L'orgasme vaginal est plus difficile Ă  apprivoiser et certaines femmes ne ressentent de plaisir sexuel physiologique Ă  la pĂ©nĂ©tration. En tout Ă©tat de cause, l'amant peut mener sa partenaire Ă  la jouissance par d'autres biais. Caresser des zones trĂšs Ă©rogĂšnes, favoriser un climat de passion amoureuse ou rĂ©aliser un fantasme peut procurer un plaisir plus cĂ©rĂ©bral, de nature Ă©motionnelle mais tout aussi intense.
Mener sa partenaire à la jouissance n'est pas tùche aisée, ni garantie. Pré-requis essentiel : la femme, pour atteindre le plaisir sexuel, doit se sentir en confiance. Confiance en son partenaire mais aussi confiance en elle, il est nécessaire qu'elle soit en mesure de lùcher prise. Pour l'y aider, l'amant peut flatter sa partenaire pour doper son estime de soi.
Autre élément qui conditionne souvent l'orgasme : la connaissance mutuelle des partenaires. Mieux les amants se connaissent, mieux ils savent comment mener l'autre au plaisir de jouir. Cela s'acquiÚre avec le temps et avec l'entraßnement. Une raison de pratiquer réguliÚrement. Et les amants d'une seule fois ? Un homme peut mener la femme à l'orgasme lors du 1er rapport si elle se connaßt suffisamment pour le guider vers ses zones érogÚnes et son point G. 
Pour donner un plaisir intense Ă  sa partenaire, l'homme a tout intĂ©rĂȘt Ă  faire monter le dĂ©sir progressivement, pour un orgasme tant attendu qu'il s'en trouve explosif. Dans cette mĂȘme optique, il peut ĂȘtre particuliĂšrement jouissif de faire durer le moment qui prĂ©cĂšde le plaisir fĂ©minin.
En fonction de son anatomie, la femme ne prend pas son plaisir sexuel au mĂȘme endroit : dans ces conditions, la position sexuelle la plus favorable au plaisir fĂ©minin varie. L'amazone, nĂ©anmoins, est souvent plĂ©biscitĂ©e : la femme est Ă  califourchon sur l'homme, allongĂ© sur le dos. De cette maniĂšre, la partenaire dĂ©tient une large marge de manoeuvre pour guider son amant vers l'orgasme.
Dans leur grande majorité, les hommes et les femmes ressentent moins de sensations avec un préservatif. En cas de sécheresse intime, il est en revanche nécessaire d'utiliser un gel lubrifiant. Certains couples pour leur part ont un attrait particulier pour les sex toys, qui leur permet de pimenter leur sexualité pour une jouissance supérieure. A chacun de tester ses astuces pour augmenter le plaisir sexuel. 
Si les manifestations de l'orgasme dépendent des femmes, certains signes concernent une grande majorité d'entre elles. Respiration saccadée, accélération du rythme cardiaque, cris ou gémissements et frissons : le plaisir féminin est une lente ascension.
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