Elle commence avec une fille puis passe à une bite

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Sophie, Baligh : pouvez-vous vous présenter ?




Parlez-nous de votre éducation. Dans quel cadre avez-vous grandi et par conséquent développé votre goût ?




Vous vous êtes rencontrés à Blois, êtes passés par Paris et nous vous retrouvons finalement, ici, à Marseille ! Qu’est-ce qui a motivé ce changement ? Qu’aimez-vous dans cette ville ?




Vous avez tous les deux ouvert en 2017 Sophie Ferjani – La Sélection, votre boutique. Pouvez-vous nous la présenter ? Qui y fait quoi ?




Pourquoi avoir choisi de l’implanter rue de La République ?




Un nouvel espace viendra l’agrandir en septembre. Parlez-nous-en !




Cette adresse, c’est finalement un peu le prolongement de votre propre maison. Quels sont leurs dénominateurs communs ?




D’ailleurs, quelle est l’histoire de votre lieu de vie, où nous nous trouvons aujourd’hui ?




Vous ne souhaitiez pas trop modifier son enveloppe historique. Vous avez néanmoins opéré certains travaux pour la magnifier. Lesquels ?




Comment y avez-vous pensé les associations entre les couleurs et les matières que l’on y retrouve ?




Toujours dans cette recherche d’authenticité et de respect de l’existant, en somme ?




Outre les imposants luminaires qui jalonnent votre bastide, comment avez-vous choisi le reste du mobilier ?




Pour vous, The Socialite Family, c’est ?




Où vous retrouverons-nous dans les prochains mois ?



« Notre maison, votre maison. » Une maxime généreuse qui donne le ton chez Maison Acacia. Adresse de charme singulière qui récuse toutes les définitions : ni hôtel, ni chambres d’hôte ou encore gîte. Un espace de vie hybride que ses...


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Son nom est indissociable du petit écran où elle aide depuis près de quinze ans des couples et des familles à transformer leurs biens dans l’émission Maison à vendre . Fidèle à l’image solaire qu’elle renvoie à la télévision aux côtés de son acolyte Stéphane Plaza, Sophie Ferjani nous accueille, tout sourire, à Marseille. Dans cette ville dont elle a tant rêvé, et qui a vu naître sa boutique Sophie Ferjani – La Sélection. Une aventure cocréée avec son associé et mari, Baligh, dont ils ne se lassent pas de parler. Car ce concept store, c’est elle. Sans triche, sans filtre. Mais plus encore, c’est un prolongement de leur maison. « Tout ce que je ne peux pas y mettre – ce qui déborde, tous mes coups de cœur –, je le prends et je le mets ici. » Et comme l’architecte d’intérieur est une passionnée de tout, confiant « ne pas savoir faire les choses qu’à moitié », ce « tout » se chiffre à plus de 10 000 références. De la bougie à la référence de carrelage. Des produits qui côtoient un cabinet d’architecture, qui, à la rentrée, prendra un peu plus ses aises juste à côté. Toujours rue de la République. En attendant, c’est dans les quartiers Nord de la cité phocéenne que nous retrouvons le couple. Dans cette bastide datant de 1880 surplombant la Méditerranée ayant été un temps la propriété d’armateurs. Une grande dame dont le corps ne demandait qu’à être rajeuni. « Surtout pas dénaturé », nous explique la décoratrice, qui a pour philosophie de respecter l’histoire des lieux qu’elle investit. Après d’importants travaux d’assainissement, de remises aux normes de la structure et l’ajout d’une cuisine-véranda, c’est donc autour de l’embellissement de l’existant que s’est concentrée la créative. Grâce à l’omniprésence des couleurs fidèles à son identité – joyeuses, franches, acides ! – et du choix des matériaux appliqués, au plus proche de ceux utilisés à l’époque et parfois twistés « à la Sophie ». Comprendre : avec un brin de folie ! D’importantes modifications qui auront permis à la belle endormie de se réveiller et d’embrasser à nouveau son rôle. Celui de foyer familial enserré entre la roche blanche marseillaise et l’horizon sauvage de la Côte bleue.
Sophie Ferjani, née Godeau – car finalement ça fait vingt et un ans que nous sommes mariés, avec Baligh. J’ai donc plus porté mon nom d’épouse que mon nom de jeune fille ! (Rires) Je vais avoir 45 ans et suis la maman de trois garçons adorables dont je suis très fière ! Je suis architecte d’intérieur de profession et passionnée de tout. Je ne sais pas faire les choses qu’à moitié. J’aime la vie en général, sourire, rire. Je vois le beau partout !
47 ans, amoureux de mes 3 fils et de ma femme. Ma vie est remplie d’amour par eux. Je ne mène pas une vie folle, j’essaye de décrocher tout le temps, de prendre du temps, de m’ennuyer à ne rien faire. J’aime bien dire que je suis un « truquiste » ! Je fais toujours des trucs, comme mes trois garçons (Rires).
Au collège je suis tombée amoureuse des arts appliqués et des arts plastiques grâce à mon prof. Le truc qui n’arrive à personne je pense, parce que, en général, c’est celui qu’on déteste ! Sauf que lui nous a appris la perspective et qu’il nous a expliqué que, dans la vie, tout était mathématique. Je trouvais ça fabuleux parce que finalement ça conjuguait cette discipline – une de mes autres passions – avec la beauté, l’art et notre environnement. Il nous a appris à « dompter le dessin ». En fin de 3 e , j’ai voulu me lancer dans un bac qu’on appelait F12 (le bac Arts appliqués à l’époque). Mes parents m’ont demandé si j’étais bien sûre de moi, ils avaient un peu peur. J’y ai donc renoncé. J’ai passé l’équivalent d’un bac scientifique. Pendant mes années lycée – où j’ai rencontré Baligh –, j’ai fini par côtoyer des filles de ce fameux bac F12. Je me suis glissée avec elles dans quelques cours de dessin, ce qui fait qu’une fois mon diplôme en poche, j’ai réussi à réintégrer les arts appliqués. J’ai fait une mise à niveau en arts appliqués au lycée de Sèvres et j’ai ensuite intégré l’Ensaama Olivier de Serres à Paris. Ce furent les plus belles années de ma vie ! Remplies de découvertes qui m’ont ouverte sur le monde. Finalement, tout ce qui m’a marquée dans mon apprentissage de mon métier, du beau ! Après l’obtention de mon BTS Design d’espace, j’ai travaillé dans la publicité. J’ai créé des décors pendant sept ans, puis j’ai fini directrice artistique de la boîte. Quand elle a battu de l’aile, je me suis mise à mon compte en tant que décoratrice d’intérieur et j’ai continué à faire ce que je savais faire : de la scénographie pour la publicité. Petit à petit – un peu comme une grosse machine à vapeur qui se lance –, des clients ont commencé à arriver. Le réseau de chacun a fait que j’ai eu des missions. Ça s’est fait comme ça. Puis la télévision est arrivée au bout de dix-huit mois. Je me suis fait repérer car je prodiguais des conseils gratuitement sur des forums, des chats, des blogs. J’ai passé le casting de Maison à vendre , une émission dont les producteurs voulaient adapter le concept en France. J’ai été retenue parmi plus de 80 prétendants, et j’en suis ravie ! J’ai rencontré des gens formidables qui sont devenus des amis. Nous ne tournons qu’en extérieur, pas sur plateau. C’est comme si nous partions en colonie de vacances (rires). Ça occupe très bien ma vie depuis quinze ans. Néanmoins au bout de cinq-six ans à jongler entre ces deux activités, je ne pouvais plus prendre de clients particuliers. J’ai donc mis en stand-by les demandes. En plus, je ne sais pas déléguer (rires). Je ne sais pas faire du business, juste de la création ! (Rires) En parallèle, mon mari et moi avons nous avons toujours eu envie d’ouvrir un magasin. Pour ne pas avoir de patron et aussi pour travailler ensemble ! Cela faisait douze-treize ans que ce projet traînait dans un coin de notre tête. Nous avions commencé à monter un dossier – qui s’appelait La Sélection (déjà) ! – à Paris, mais avions finalement abandonné. Trop compliqué, trop cher ! Mais nous nous sommes toujours dit que nous le ressortirions à un moment. C’est arrivé quand mon mari a eu 40 ans. Après des années de grande distribution à avoir emmagasiné ce savoir-faire de l’achat, du choix des produits, du sourcing, de l’approvisionnement, des livraisons, de la comptabilité (etc.), nous nous sommes dit que c’était le moment. Il pouvait démissionner – il était directeur régional de tous les Conforama de la région Île-de-France et Nord – et nous, aller vivre à Marseille. Car mon travail me permettait de travailler à distance !
C’est un livre qu’il faudrait mais je vais faire simple. L’école est mon passé, Sophie mon ange gardien et le travail ma reconnaissance.
Une enfance un peu compliquée mais qui m’a permis de devenir adulte un peu plus vite et de toujours me débrouiller. Je me suis construit et j’ai appris seul jusqu’à ce que Sophie m’apporte les éléments qui me manquaient pour comprendre où j’étais. Oui ! Mes goûts sont ceux de ma femme et j’en suis fier.
Je viens d’une famille modeste où on nous a appris – à ma sœur et moi – les vraies valeurs de la vie. J’ai été élevée à la campagne à 2,5 km d’un village de 400 habitants. Je ne voyais jamais personne ! (Rires) Quand nous revenions de l’école, nous allions directement jouer dehors. C’est un peu le résumé de ma vie. Je n’avais pas grand-chose d’autre à faire que de m’occuper, donc je bricolais beaucoup. J’ai toujours eu le modèle de mes parents qui ont eux-mêmes construit leur maison sur quinze ans. Ils étaient tous les deux fonctionnaires et avaient de petits revenus. Un sou était un sou et dès qu’ils mettaient un peu d’argent de côté, hop, ils achetaient une nouvelle poutre pour le toit ! Ils travaillent énormément. Je les ai toujours vus en action, sans se plaindre. On m’a toujours dit que dans la vie, ça ne sert à rien d’être belle, il faut travailler. Du moins, il faut se faire reconnaître par son travail. Mes parents ont beaucoup de goût dans le sens où ils ont toujours aimé les belles matières. Je pense que je tiens ça d’eux ! Ils préféraient attendre deux ans pour s’acheter un beau carrelage qu’un autre à moindre coût, et ont donc donné naissance à une maison qui semble toujours avoir été là car elle est en tomettes chinées, en vieux bois. Toutes les poutres ont été rabotées à la main par leurs soins ! Mon goût de l’authenticité, je le tiens de là.
Pour Marseille, ce n’est pas moi mais Sophie. Je voulais seulement le soleil et la mer. J’ai appris à aimer cette ville. Elle vous dompte, et pas l’inverse ! Il faut l’appréhender avec un regard d’enfant pour en voir toute la beauté.
Nous nous sommes rencontrés à Blois effectivement, au lycée. J’avais 15 ans, il en avait 17. Nous avons flirté, nous nous sommes séparés, puis aimés, re-séparés puis plus vus pendant deux ans. Et quand nous nous sommes retrouvés, nous nous sommes aimés pour toujours ! (Rires) Ensuite, je suis partie pour les études à Paris. J’étais très contente de profiter de cette effervescence. J’ai bu et j’ai bu du Paris ! Ça m’a fait grandir mais au bout de vingt ans, je me suis demandé ce que je faisais là. Je n’en étais pas originaire et n’avais pas forcément choisi cette ville. En tout cas, je n’étais jamais venue dans le but d’y rester, seulement pour y prendre ce que j’avais à y prendre et donner ce que j’avais à y donner ! À nos 40 ans, nous nous sommes dit que le sens de notre vie, c’était de choisir où nous souhaitions vivre : au soleil ! Sur la carte de la météo, tout en bas à droite. Moi, je me suis toujours dit Marseille. Car elle est puissante, extraordinairement riche en énergie. C’est un bassin méditerranéen qui accueille depuis toujours, par son histoire, des gens de tous les pays. Il y a un bain de culture incroyable, ça parle fort, on se sent vivant ! Je vis par les contrastes. Je dis toujours que la couleur est née de l’obscurité et que la lumière vient du noir. Nous avons besoin de cette vibration pour se sentir vivants. De par le peuple marseillais, mais aussi l’environnement. La mer est là, présente sous nos yeux. Personnellement, j’ai besoin de vivre à côté de l’eau. C’est très important. Nous sommes des êtres humains, nous en sommes constitués ! J’ai également besoin, pour relativiser, de la nature. Qui est forte, qui est violente. Qui est devant moi, qui était là avant moi, qui sera là après moi ! Je trouve que ça nous remet les pieds sur terre, ou sur la roche – car c’est quelque chose de très fort à Marseille ! Cette roche blanche, calcaire, que nous voyons dans le sud de Marseille, dans le 8 e , ou sur la Côte bleue, en face de chez moi. En tout cas, j’ai toujours adoré cette ville. Et puis, c’est la deuxième de France sur le papier. En quittant vingt ans de Paris avec mes habitudes de sale gosse parisienne d’avoir tout, tout de suite, quand je veux, je ne pouvais pas vivre ailleurs, encore moins retourner là d’où je viens (rires). Baligh, lui, m’avait dit « jamais Marseille ». Moi, par mon côté béni-oui-oui « j’aime me mélanger aux gens, je pense que j’ai ma pierre à apporter à l’édifice », il y avait vraiment l’idée qu’il devait y avoir un mélange social. Pour moi, c’est la base de notre société. Nous avons vécu dans le XX e à Paris, après à Romainville, puis à Bondy. Des endroits toujours extraordinairement intéressants et qui nous ont permis de vivre dans des lieux géniaux ! Je trouve que nous avons notre part à jouer dans cette mixité sociale. Enfin bon, c’est mon avis. Et puis finalement, nous avons fait travailler plusieurs écoles de commerce en cas d’école en leur disant que nous souhaitions implanter notre projet dans une ville du Sud. Il s’avère que la meilleure pour cela était Marseille. Baligh me dit que j’ai forcément influencé les étudiants… C’est possible, je ne vais pas dire le contraire (rires). Mais bon, en tout cas, voilà. Il y avait toute la place à prendre ici pour créer notre magasin. À Aix-en-Provence le secteur était déjà un peu bouché, et puis j’avais envie d’aller à la rencontre de ma clientèle marseillaise.






Mes parents ont du goût dans le sens où ils ont toujours aimé les belles matières. Je pense que je tiens ça d’eux ! Ils préféraient attendre pour s’acheter un beau carrelage qu’un autre à moindre coût, et ont donc donné naissance à une maison qui semble toujours avoir été là.
La boutique, c’est un concept store Sophie Ferjani qui s’appelle La Sélection. En quoi c’est un concept store ? Tout simplement parce que le concept, c’est moi ! Avec beaucoup de modestie (rires). Les gens qui me connaissent, qui voient mon style à la télévision ou dans la presse depuis plusieurs années, se disent « j’aime son style, j’aimerais retrouver son univers, ses conseils, ses astuces, les produits qu’elle aime, ses bons petits prix ». Et c’est exactement ce que vous pouvez retrouver dans mon adresse. Il y a mon cabinet d’archi, 10 000 références que je me casse la tête à sélectionner moi-même car nous avons énormément de fournisseurs. Je ne prends pas le catalogue complet chez eux, mais une chaise dans toutes les couleurs par exemple. Ça va de la bougie au canapé. Je ne mets pas en avant de marques, car c’est tout l’inverse de ma philosophie. On ne vient pas acheter chez moi une marque avec un gros porte-monnaie. On vient car on est sensible à la matière, parce qu’on va avoir un coup de cœur devant un carrelage – ou autre chose ! – mais pas parce qu’on a vu la marque. Je veux que les gens retrouvent leurs sensibilités premières. En entrant dans notre boutique de 275 m 2 – je dis « notre », car je l’ai ouverte avec mon associé, qui est mon époux –, ils laissent parler leurs sens. Dans cette aventure, c’est moi qui suis part majoritaire ! Ça nous a toujours amusés, rien que pour voir la tête des notaires (rires). Lui, il est le gérant de la société. Il endosse toute la partie comptabilité, fournisseurs, gestion du personnel : c’est le directeur, le boss sur place. Moi, j’y suis une à deux journées par semaine en moyenne en fonction de mes tournages, mais aussi de nos enfants et de ma vie ! C’est un vrai prolongement de moi. Il est coloré, gai, riche de plein de choses. Quand on m’a appelée pour me dire « Sophie, on a le magasin pour vous ! C’est un ancien passage historique abandonné depuis cent ans », j’ai répondu, sans l’avoir vu « Ok, vous me le réservez et j’arrive ! » Depuis, il est à nous. Il reliait la rue de la République à un passage de l’autre côté en parallèle, celui des Folies Bergères. Nous avons donc la chance d’avoir une artère centrale avec de la pierre, etc. C’est extraordinaire, car, grâce à l’intervention d’une artiste peintre avec laquelle je travaille à Paris, nous avons pu remettre en état à l’intérieur même du magasin d’anciennes enseignes de
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