Elle choisit sa colocataire selon son talent pour le cunnilingus
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Elle choisit sa colocataire selon son talent pour le cunnilingus
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Edouard, colocataire de l'homme de 38 ans décédé dans la nuit de lundi à mardi à Colombes (Hauts-de-Seine) aprÚs avoir reçu deux décharges de Taser, détaille au Parisien.fr les conditions de l'arrestation de la victime. «Il était menaçant. Et pourtant, c'était un garçon trÚs calme, trÚs gentil. Je ne sais pas ce qui s'est passé. Il a pété un plomb. Il a pris un couteau contre moi, j'ai eu peur. Je vous dis, il a pété les plombs. J'ai appelé les secours, la police. Il n'a pas voulu sortir à la demande des policiers. Puis ça a dégénéré. Il a pris un marteau, il a frappé les policiers», raconte Edouard, ami de Mamadou, un Malien en situation irréguliÚre.
La voix tremblotante, il assure que le trentenaire, un costaud, a «touché deux ou trois fonctionnaires avec son marteau». Ce dernier a résisté aux policiers avant de s'enfuir par l'escalier, toujours selon son témoignage. A la question de savoir s'il a vu les forces de l'ordre utiliser un Taser, pistolet à impulsions électriques, pour le maßtriser, Edouard coupe net : «Les policiers n'ont pas réagi là . Mamadou s'est enfui et ils l'ont rattrapé à l'étage au dessous. Le Taser, je n'ai rien vu, moi j'étais chez moi, je n'ai rien pu voir...»
«Aujourd'hui, je suis désolé. Je suis dans un grand chagrin. Et je regrette que ce soit arrivé jusque-là . J'ai perdu le sommeil, je n'arrive plus à dormir. C'est trÚs délicat», souligne Edouard.
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Par charentelibre.fr ,
publié le 31 mars 2014 à 19h32 .
Sa colocataire avait été retrouvée morte en 2011. Elle présentait de nombreuses brûlures.
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Le procÚs d'une Grenobloise accusée d'avoir torturé sa colocataire morte en mai 2011 des suites de ses brûlures, s'est ouvert aujourd'hui devant la cour d'assises de l'IsÚre. Yasmina Aifa, aujourd'hui ùgée de 40 ans, avait appelé les pompiers le 2 mai 2011 au soir pour leur signaler la mort de sa colocataire, Sandrine Hanifi, 38 ans.
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Sur place, le médecin du Samu avait constaté une rigidité cadavérique et une odeur de putréfaction, laissant penser que la mort remontait à plusieurs heures avant l'appel, selon le résumé de l'affaire lu par le président de la cour d'assises. La victime présentait des brûlures nombreuses et parfois anciennes sur une grande partie du corps, probablement dues au contact avec un liquide brûlant. Les médecins ont établi un lien formel entre les brûlures et la mort de la victime.
La victime sous emprise psychologique
Cette derniÚre avait été vue avec des brûlures au visage et au front par plusieurs témoins dans les semaines précédant sa mort. Elle faisait l'objet d'humiliations et de brimades de la part de l'accusée, dont elle était sous l'emprise psychologique. Certaines déclarations de Yasmina Aifa ont été contredites par la géolocalisation de son téléphone portable ou par les déclarations de certains témoins. L'accusée avait été mise en examen et écrouée un peu moins d'un mois aprÚs les faits.
"Je ne reconnais rien du tout parce que je n'ai rien fait" , a-t-elle déclaré lundi à l'audience, en présentant ses condoléances à la famille de la victime. Selon un de ses avocats, David Metaxas, "les circonstances du décÚs ne sont pas élucidées" en "l 'absence de témoignage direct" . "On est sur la rumeur, c'est le dossier de la rumeur ", a affirmé Me Florent Girault, lui aussi avocat de la défense. " Ce n'est pas parce qu'on a une relation d'emprise qu'on arrive à asseoir la culpabilité" , a-t-il ajouté.
Me Bernard Bouilloud, avocat des parties civiles, a au contraire estimé qu'il y avait "suffisamment d'éléments factuels pour aller vers une culpabilité". "L'accusée se contredit sans cesse. Et juste aprÚs les faits, elle avait été surprise en train d'arracher les appels à témoins placardés par la police dans le voisinage" , a-t-il expliqué. MÚre de six enfants, Yasmina Aifa a été décrite comme issue d'une famille marquée par une violence conjugale importante et connaissant d'importantes difficultés financiÚres.
Une cinquantaine de tĂ©moins doivent ĂȘtre entendus au cours du procĂšs, dont le verdict est attendu mardi 8 avril. L'accusĂ©e, qui comparaĂźt pour actes de tortures et de barbarie ayant entraĂźnĂ© la mort sans intention de la donner, encourt la rĂ©clusion criminelle Ă perpĂ©tuitĂ©.
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