Elle cherche du boulot après la grossesse

Elle cherche du boulot après la grossesse




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Elle cherche du boulot après la grossesse
Grossesse et travail, elles témoignent


By Audrey Kouachy



23 juin 2021

Moins médiatisé que la COVID 19, plus familière aux populations de l’Afrique subsaharienne, et perçue comme bénin, le paludisme est pourtant une ...

.Ce 05 Mars dernier s’est tenu dans les espaces de la Villa Lepic Hôtel, la deuxième édition des Bold Conversations à Abidjan. Une nouvelle éditi...
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Allier travail et grossesse dans la vie d’une femme n’est pas toujours facile, entre stéréotypes et les challenges de la grossesse, elle donne tout pour prouver qu’elle peut assurer même lorsqu’elle n’a rien à prouver. Il est possible de faire le choix de continuer le travail ou de l’arrêter pendant le déroulement de la grossess e. Aussi, avons-nous recueilli des témoignages d’Ayanas qui ont vécu cette situation afin de vous partager leurs expériences.
Saly a eu des grossesses bien différentes, mais à chaque fois, elle a eu la chance d’être choyée par ses collègues et ses responsables.
Lors de ma première grossesse, j’avais arrêté à 6 mois, car j’étais tout le temps hospitalisée. Pour la seconde, j’ai eu la grâce d’avoir la forme ; déjà à terme, pourtant, je n’avais presque jamais raté le boulot. Même pendant l’épisode du confinement, j’ai pris mes précautions pour ne pas rater un jour de boulot. La grossesse n’a pas eu d’impact sur ma performance. C’était une pure grâce…
Les rapports avec mes collègues et collabos étaient cools. Ils prenaient soin de moi et mon manager me demandait de rester à la maison si j’en avais envie, mais vu mes responsabilités, je préférais être présente.
La grossesse est une étape merveilleuse de la vie , elle l’est encore plus lorsque nos conjoints et collègues nous soutiennent, Anouchka et Chris nous racontent.
Mon championnat hein… En gros, je me couche vers 3 mois pour me relever après la naissance. Quand j’étais en entreprise, j’ai eu la chance d’avoir un super manager senior. On avait en objectif annuel de faire un enfant, il en avait marre d’aller au séminaire annuel et de voir les bébés dans les bilans des autres. Du coup, quand les malaises, le cerclage et les hospitalisations ont commencé, il m’a dit : ” je ne veux plus te voir au bureau. Si j’ai besoin de toi je t’appelle, lis tes mails et suis tes équipes à distance “ . Du coup, mon médecin ne m’avait pas mis en congé pathologique mais je ne travaillais pas. Ma directrice a voulu recruter un “intérimaire” pour faire mon boulot. Il s’est opposé et franchement, il m’a ôté le souci de porter la culpabilité de ne pas être disponible au travail pendant ma grossesse et de ne pas atteindre mes objectifs (il les a atteints pour moi). J’ai pu me concentrer sur mes 7 hospitalisations et la menace d’accouchement prématuré et avoir mon bébé sereinement.
De plus, il arrive parfois qu’on tombe sur des anges gardiens qui nous font du bien sans rien demander en retour.
J’ai eu la chance d’être enceinte dans un environnement professionnel cool. Mon chef était tellement bienveillant qu’il me faisait raccompagner quand je ne me sentais pas bien. Les collègues aussi veillaient sur moi, hommes comme femmes surtout qu’ils avaient constaté que j’étais menacée et même au moment de la reprise, c’était toujours aussi cool.
Malheureusement, la grossesse n’est pas toujours rose pour nos Ayanas, que ça soit avant ou après l’accouchement, elles peuvent vite être dépasser par les choses. Pour Fifi et Cyrielle, le plus dure était la reprise du boulot.
Moi, j’ai eu une grossesse assez tranquille donc je performais. C’est plutôt la reprise après qui a été difficile.
En tant, qu’entrepreneur, Cyrielle n’a pas toujours su se mettre des limites.
Moi, j’ai aucun problème qui m’empêche de travailler… Pour ma 2e grossesse, j’ai travaillé jusqu’au dernier jour, car je suis à mon compte. Mais pour les prochaines, je chercherais d’autres moyens de lever le pied avant l’accouchement… Le stress m’a valu une deuxième césarienne pour souffrance fœtale et surtout, j’étais à deux doigts de perdre mon enfant, car il était tout aussi « stressé » que moi… Ce n’est pas facile d’être à son compte dans ce cas… Mon enfant n’a pas eu 2 semaines, que j’ai dû aller sur le chantier et au boulot 3 fois déjà… Ce n’est pas facile.
Sachez chère Ayana, que le code du travail ivoirien a des règles concernant l’arrêt de travail dû à une grossesse. On vous en dis plus dans la suite de cet article.
En étant une femme active et entrepreneure, le désir d’avoir un enfant peut être présent. Il est possible de faire le choix de continuer le travail ou de l’arrêter pendant le déroulement de la grossess e. Et pour les Ayanas dans ce cas, sachez qu’un code du travail existe pour vous protéger.
La salariée a le droit de suspendre le contrat de travail pendant quatorze semaines consécutives dont six semaines avant la date présumée de l’accouchement et huit semaines après la date de celui-ci. La période post-natale des huit semaines est augmentée de deux semaines en cas de naissance multiple.
La suspension peut être prolongée de trois semaines en cas de maladie dûment constatée et résultant de la grossesse ou des couches chez nos Ayanas.
Dans le cas où votre employeur veut vous remplacer ou licencier en cas de grossesse constaté, le code du travail, nous dis ceci.
Dans le cas où pendant sa grossesse, la femme a fait l’objet d’un changement d’affectation, en raison de son état de grossesse, elle est réintégrée dans l’emploi occupé avant cette affectation lorsqu’elle reprend son travail à l’issue de la période de suspension de son contrat pour congé de maternité.
Aucun employeur ne peut résilier le contrat de travail d’une salariée lorsqu’elle est en état de grossesse médicalement constaté et pendant l’intégralité des périodes de suspension du contrat de travail auxquelles elle a droit, qu’elle use ou non de ce droit.
Chère Ayana, comme vous l’avez constaté, les femmes enceintes salariées, sont protégées par des lois en Côte d’Ivoire. N’hésitez pas à faire valoir vos droits en cas de comportements abusifs . Pour plus d’informations, consultez les règles du code du travail ivoirien .
Photo à la Une : Tetra Images, LLC / Alamy Stock Photo

Venez témoigner sur votre retour au travail.
Bonjour à toutes !
Je me permet de lancer ce forum pour les futures mamans qui souhaitent recherchées du boulot ou même des témoignages de maman

Ici ont pourra parlé si ont préfère mettre notre bébé a la crèche, chez une assistante maternelle, chez sa mamie/papi/marraine ou autres...

Ont pourra parler de quelle voie nous souhaiterons nous orientez ...

Enfin voilà !

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J'inaugure !

Alors pour commencer je suis en CDI et je compte prendre 6mois de congé parentale après le congé mater.

Ensuite pour ce qui est de la garde, je veux le mettre chez de la famille (mais sa implique un déménagement...) donc on cherche une maison à acheter à proximité.

Avant je pensais crèche ... on arrête pas d'entendre parler de "négligence" en ce moment

Sinon j’étaie en train de réviser pour passer mon bac en candidat libre mais j'ai tout abandonné en route... donc je ne me présenterais pas cette année!

On aimerais ouvrir un commerce avec chéri... à voir!

Et de vos cotés????
Mon tout 1er bonheur né a 38+5sa, le 18/09/2012
50,5cm et 3,760kg

Ma toute douce née a 41+2 sa, le 17/02/2014
52cm et 3,620kg


Alors moi je suis enceinte de mon premier pour le 5 décembre.
Quand mon bébé aura 3 mois je me décide à trouver un boulot en tant qu'agente immobilière car avant je remplaçait une et sa ma beaucoup plus..

Moi je compte mettre Bébé chez une assistante maternelle car entre les problème qu'il y a en ce moment sa me fais peur !

Vous voulez ouvrir quelle genre de commerce ?


dès 3 mois, sa ne te semble pas peu??
je me dis que bébé sera tellement petit je n'y arriverais pas personnellement, en plus je vais l'allaité et j'aimerais le faire jusqu’à ses 8-9 mois environ

Oui c'est vrai on arrête pas d'entendre des bébé oublié en crèche, ou des bébé qui s'échappent ... sa fait peur!!

pour l'assistante mat j'ai peur également, ma maman était AM aussi mais notre voisine d'en face aussi et on la voyait mettre des coups de pieds au fesses des petits et les laisser seul chez elle pendant qu'elle allait boire son café ailleurs

J’espère que tu trouveras ta perle rare!!!
heureusement elle ne sont pas toutes comme çà!

Agent immo c'est pas mal comme job c'est vrai!
t'as fait sa longtemps??

On aimerais ouvrir un resto, chéri travail déjà dans la restauration.
Mon tout 1er bonheur né a 38+5sa, le 18/09/2012
50,5cm et 3,760kg

Ma toute douce née a 41+2 sa, le 17/02/2014
52cm et 3,620kg
Ah oui sinon moi aussi c'est BB1
pour le 20 septembre

sa va tu n'as pas trop de nausées??
Mon tout 1er bonheur né a 38+5sa, le 18/09/2012
50,5cm et 3,760kg

Ma toute douce née a 41+2 sa, le 17/02/2014
52cm et 3,620kg
Coucou ici !
Sa va ?

Non, sa me semble pas peu (je ne veux pas apparaître comme un mère indigne) mais j'ai besoin de travailler, déjà financièrement et moralement !
Sa va faire bientôt 1 ans que je suis au chômage il y en a marre

Pour l'assistante maternelle, ont la connait très bien et nous avons entièrement confiance en elle

C'est sympa un resto

Oui j'adore ce métier ! sa ma beaucoup plus, j'ai fais sa presque 1 ans

Félicitation pour votre bébé !

Non, je n'ai pas trop de nausées juste un peu le matin sinon

A bientôt


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Moments sans enfants


Elles racontent l’enfer du premier trimestre de grossesse au boulot




Clémence Boyer

16 juin 2021


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madmoizelle



Daronne



Moments sans enfants



Les conventions disent qu’il faut attendre la fin du premier trimestre pour annoncer sa grossesse au boulot. Pas de bol, c’est souvent la période où l’on est crevée et nauséeuse H24. Alors, comment on gère ça tout en essayant de travailler ?

J'ai passé un premier trimestre compliqué et j'avais tendance à faire des petites chutes de tension au boulot (bouffées chaleur, point noir devant les yeux...).
Par la force des choses je l'ai annoncé rapidement à mes collègues car ils s'inquiétaient et dans la foulée à ma direction.
A partir de ce moment là c'était à peine si j'avais le droit de me baisser pour ramasser un stylo au sol.

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En lançant mon appel à témoignages sur les réseaux sociaux, je ne m’attendais pas à recevoir autant de messages. Des dizaines et des dizaines de femmes m’ont écrit pour me raconter combien leur premier trimestre de grossesse avait été compliqué à vivre au boulot. D’abord parce que la fatigue, les nausées et autres maux de grossesse ont été compliqués à supporter tout en continuant à travailler, mais également parce que le silence qui entoure ce premier trimestre est difficile à vivre .
Comme le risque de fausses couches est plus élevé pendant les douze premières semaines de grossesse, on conseille souvent d’attendre la première échographie officielle à la fin du premier trimestre pour annoncer l’heureux événement au monde entier, et donc à ses collègues. Mais rien n’oblige les femmes à attendre ce moment précis pour le faire, si ce n’est des conventions sociales et la crainte d’être discriminée.
C’est ce qu’explique Judith Aquien, autrice du livre Trois mois sous silence , qui se penche justement sur ce premier trimestre de grossesse.
« On n’explique pas les raisons de cette injonction au silence et les femmes l’appliquent souvent sans trop réfléchir aux conséquences que cela peut avoir, et notamment la solitude qu’elles vont traverser .
Cela devrait être un pur choix personnel éclairé, et cela devient une convenance à tous les niveaux. Aucune aide n’étant prévue pour les femmes enceintes au premier trimestre, elles se retrouvent à devoir cacher des symptômes extrêmement difficiles à vivre et handicapants . »
Cette femme qui préfère rester anonyme m’a par exemple raconté qu’elle faisait un métier éprouvant physiquement et que son premier trimestre de grossesse avait été compliqué à gérer.
« J’ai eu beaucoup de nausées et une fatigue intense. Je passais clairement tout mon temps libre à dormir. J’emmenais des paquets de gâteaux au boulot pour manger toutes les heures, ça diminuait mes nausées. J’étais vraiment exténuée donc j’arrivais au boulot à 8h pile. Mon supérieur m’a fait la remarque « on n’arrive pas à 8h pile le matin » bien sûr, je ne pouvais rien dire.
Bref, je passais clairement pour une flemmarde qui ne pensait qu’à manger . Ça aurait été tellement plus simple si je l’avais dit dès le début vis-à-vis du regard des supérieurs et collègues, mais bon, pour moi je n’avais pas d’autres choix que de le cacher. »
Louise*, 32 ans, attend son deuxième enfant, et cette responsable marketing se planque aussi en attendant la fin du premier trimestre :
« Je me cache régulièrement dans une salle de réunion vide pour me reposer et attendre que les nausées passent… J’esquive les invitations sushis… On me dit régulièrement que j’ai l’air très fatiguée et je prétends que non tout va bien … Je n’ose pas me confier à un collègue de peur que cela se sache trop tôt et que cela impacte un bonus que j’attends… Bref, c’est dur de mentir toute la journée à des gens finalement très proches.
Pendant ma première grossesse, c’était la même chose et cerise sur le gâteau, j’avais eu droit au séminaire avec randonnée… C’est vraiment un grand moment de solitude ce premier trimestre ! »
Comme elle, de nombreuses femmes m’ont raconté leurs stratégies pour atténuer les nausées, leurs siestes improvisées dans des coins tranquilles du bureau, leurs vomissements dans des poubelles ou des sacs à vomi sur le trajet pour venir travailler. Mais aussi cette fatigue intense qui te colle à la peau et cette peur d’être repérée parce qu’on a changé ses habitudes alimentaires, qu’on ne boit plus d’alcool ou qu’on a le ventre qui commence à s’arrondir.
Plusieurs femmes m’ont expliqué qu’ elles n’ont pas souhaité annoncer leur grossesse au boulot avant trois mois révolus par crainte de faire une fausse couche : pas envie de devoir ensuite affronter les regards et maladresses des collègues (ni même des amis ou de la famille) pendant cette épreuve, pas envie non plus d’être discriminée « pour rien ».
Comme Louise qui attend son bonus pour parler de sa grossesse, les femmes qui dissimulent leur grossesse pendant les trois premiers mois s’achètent ainsi un peu de sursis avant d’être étiquetées « enceinte » pour obtenir des promotions ou des garanties concernant leur carrière.
Théoriquement, les femmes enceintes ne peuvent pas être discriminées à l’embauche ou en poste . Leur emploi est protégé puisqu’elles ne peuvent pas être licenciées (sauf faute grave) à partir du moment où elles annoncent leur grossesse et jusqu’à dix semaines après leur retour de congé maternité . Elles sont aussi censées retrouver le même niveau de poste et de rémunération.
Dans les faits, les salariées précaires peuvent être pénalisées à partir du moment où leur grossesse est annoncée : non-renouvellement de CDD ou de contrat d’intérim, rupture de période d’essai, etc. C’est ce qui est arrivé à cette lectrice de Madmoizelle qui préfère rester anonyme et je vous préviens : en lisant son témoignage, vous allez avoir envie de péter des genoux. L
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