Elle baise sur son propre bureau
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Elle baise sur son propre bureau
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Pourquoi baise-t-on si bien au bureau?
Lâactrice Anne Heche meurt Ă l'Ăąge de 53 ans
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Publié le 3 août 2014 à 18h54 Mis à jour
le 3 août 2014 à 18h54
Maggie Gyllenhaal et James Spader dans "La Secrétaire", de Steven Shainberg
Le monde du travail est une des scénographies fétiches du porno, comme le montre un documentaire diffusé sur Canal+. Et dans la réalité, pourquoi le sexe au travail est-il si excitant ?
« Donât shit where you eat. » Les Anglo-Saxons ont toujours eu le sens de la formule. Le sexe au travail sent le soufre, la transgression, les ennuis. Le bureau serait le lieu de lâadultĂšre, de lâaventure extraconjugale. Lâacte sexuel y pervertirait lâacte productif. Dâailleurs, aux Etats-Unis, certaines firmes vont jusquâĂ lâinterdire sous peine de licenciement. Dans le documentaire Zob in the Job (sur Canal+ en septembre), le rĂ©alisateur Olivier Ghis raconte comment le X mainstream a fait du monde du travail son territoire de prĂ©dilection. Par besoin dâefficacitĂ©, le genre joue sur des figures types Ă haute valeur ajoutĂ©e fĂ©tichiste : la secrĂ©taire cochonne, le patron, le rĂ©parateur, lâinfirmiĂšre, le pompier, la femme de mĂ©nage. Lâuniforme est le costume du X. Ces figures du monde du travail subliment dans lâacte sexuel le couple soumission-domination du capitalisme.
Dans le porno mainstream, des professions associĂ©es Ă une grande disponibilitĂ© prodiguent des faveurs sexuelles Ă une figure dâautoritĂ©. « Ăa peut ĂȘtre drĂŽle mais on a constamment lâimpression de mettre en scĂšne la soumission fĂ©minine au patron, Ă lâhomme fort », dĂ©plore la porn-star Anna Polina dans Zob in the Job. Dans le mĂȘme temps, nuance la linguiste Marie-Anne Paveau (auteur du Discours pornographique, La Musardine, lire p. 95), « il y a quelque chose de lâordre du renversement, de lâabolition des hiĂ©rarchies, des conventions sociales et de cette distance entre les corps. Dans la vie normale, il y a beaucoup dâĂ©tapes avant dâavoir un rapport avec quelquâun ».
En sâappuyant sur de nombreuses images dâarchives, le documentaire dessine en creux, avec un matĂ©riau peu orthodoxe, celui des films pornographiques, les transformations et bouleversements du marchĂ© du travail, ses rapports de domination de genre et de classe. Sur un vieux film en noir et blanc du dĂ©but du siĂšcle, on voit des ouvriĂšres de confection se prodiguer Ă tour de rĂŽle des cunnilingus. Dans les annĂ©es 50, comme dans Mad Men, la secrĂ©taire concentre tous les clichĂ©s. Elle tient encore aujourdâhui un rĂŽle de choix dans la mythologie pornographique. Au milieu des annĂ©es 70, la bourgeoisie obsĂšde le porno. Le bourgeois ne travaille pas: il baise, avec une certaine prĂ©dilection pour les soubrettes et les domestiques en livrĂ©e. Bourgeoise en chaleur, Bourgeoise et pute, le mot sera dĂ©clinĂ© Ă lâinfini. « On tombe dans le fantasme de Lady Chatterley : les femmes ont aussi envie de se taper le garde-chasse », continue Marie-Anne Paveau. Soit le petit peuple des ouvriers ou des bonnes du capitalisme patrimonial, enterrĂ© depuis par le nĂ©olibĂ©ralisme et la fĂ©minisation du monde du travail.
Dans les annĂ©es 80, les films porno reprĂ©sentent des mĂ©tiers plus populaires comme postiĂšre ou boulanger : des figures au coĂ»t de production trĂšs faible. Avec la crise, le X met en scĂšne DRH et banquiĂšres. A lâinverse, le porno nĂ©glige le chĂŽmeur, dĂ©plore Christophe Bier, Ă©rudit du X : « Le chĂŽmeur, câest les vitelloni de Fellini, tout ce quâil a Ă faire, câest baiser. » Les annĂ©es 90 amĂšnent libĂ©ralisation et flexibilitĂ© : les acteurs porno jouent des livreurs de cartons vides, des pizzaĂŻolos, des VRP.
« En France, câest OK de draguer la stagiaire »
La pornographie reste une fiction. Dans la vraie vie, sortir son braquemart devant la standardiste ou caresser le clitoris de sa collĂšgue dans lâopen space valent au pire un sĂ©jour Ă Sainte-Anne ou Ă la SantĂ©, au mieux un licenciement. En France, la loi punit les sollicitations de faveurs sexuelles dans le travail, le harcĂšlement sexuel et le harcĂšlement moral Ă base de sexisme. En 2011, les autoritĂ©s amĂ©ricaines ont comptabilisĂ© plus de 11 000 plaintes pour harcĂšlement sexuel â dont 17 % de plaintes masculines.
« En Angleterre, ce nâest pas du tout OK de draguer la stagiaire, tu perds ton boulot, raconte RaphaĂ«lle, 29 ans, journaliste de mode. Les hommes sont hyper respectueux et les filles partent Ă la chasse autant quâeux. En France, les hommes sont plus machos, câest OK de draguer la stagiaire, câest un truc de camaraderie, une sorte de rite de passage pour entrer dans le moule et se mettre des tapes dans le dos entre collĂšgues. »
Des chemins de traverse Ă©tranges et excitants
Sexe et travail nâest pas quâun couple fantasmĂ©, il est aussi trĂšs pratiquĂ©. Selon une Ă©tude OpinionWay de 2011, un tiers des salariĂ©s français dĂ©clarent avoir dĂ©jĂ eu une relation sexuelle au travail. En mai 2013, une enquĂȘte du magazine amĂ©ricain Business Insider rĂ©vĂšle que la moitiĂ© des salariĂ©s interrogĂ©s ont dĂ©jĂ flirtĂ© avec un collĂšgue dâopen space. Pour Ă©viter les problĂšmes, ils sont 50 % Ă brider leur attirance et 65 % Ă ne pas envisager de relation avec un subordonnĂ© ou Ă la voir dâun mauvais Ćil. BĂ©nĂ©dicte, 30 ans, travaille dans une chaĂźne dâinfo. Il y a Ă©normĂ©ment dâhistoires de cul : « Celle ou celui qui sâest tapĂ© toute la boĂźte, ceux qui baisaient en secret, se sĂ©parent et tout devient compliquĂ©âŠÂ » Contrairement au porno, dans le monde rĂ©el, le sexe au travail prend des chemins de traverse Ă©tranges et excitants.
« Câest un peu comme les francs-maçons, rĂ©sume RaphaĂ«lle, les gens baisent en permanence dans les bureaux mais câest une vie souterraine invisible. »
« La meilleure pipe de lâunivers dans le frigo Ă viande »
Le sexe au bureau nâa pas le mĂȘme goĂ»t quâĂ la maison. Il est planquĂ©, Ă©pistolaire, lĂ©ger, plus sulfureux. On peut y jouer des rĂŽles. On sây lĂąche. Paul, maĂźtre dâhĂŽtel, sâest fait surprendre par un client avec sa collĂšgue de la rĂ©ception. Une autre fois, « une habituĂ©e mariĂ©e mâa fait la meilleure pipe de lâunivers dans le frigo Ă viande », raconte-t-il. « Moi jâai eu droit au plan Milf, raconte Patrick, alors salariĂ© dâun vidĂ©o-club. Elle venait louer des Audiard avec son mec. Un jour, elle est venue seule et me dit en rougissant : â Je vais me louer un autre filmâ, je lâai suivie dans le rayon porno. »
Quand RaphaĂ«lle croise Sophie dans le couloir de son mag, tout va trĂšs vite : un cafĂ©, une pelle derriĂšre une porte. « Cette histoire a durĂ© quatre mois mais nâa jamais dĂ©bordĂ© dans la vraie vie : câest le plan cul du bureau. » Auparavant, RaphaĂ«lle avait couchĂ© avec le directeur dâune galerie dont elle Ă©tait stagiaire. « Une trĂšs mauvaise idĂ©e : tu deviens la stagiaire qui sâest fait prendre dans le bureau, il ne te prend plus au sĂ©rieux. » Elle en garde une rĂšgle : « Il faut coucher Ă poste Ă©gal. »
Encore faut-il y arriver. Les nouvelles mĂ©thodes de management ont fait du bureau un lieu panoptique oĂč le salariĂ© peut ĂȘtre surveillĂ© quasiment en permanence : open space, cloison de verre, camĂ©ra de sĂ©curitĂ©. Reste les issues de secours, les ascenseurs, les salles de rĂ©union closes, le sous-sol. A ses risques et pĂ©rils. « Elle mâenvoyait des photocopies de son cul par fax, raconte RaphaĂ«lle. Un jour, tu tâaperçois quâil y a une mĂ©moire et que tout est stockĂ©. On se voyait dans lâascenseur. Trop malin ? On a appris quâil y avait une camĂ©ra, les gens de la sĂ©curitĂ© nous voyaient depuis des semaines. » Il existe des alternatives : rester tard au travail permet dâallier plaisir sexuel et apparence de lâacharnement.
Autre option : les toilettes. Selon lâessayiste amĂ©ricaine Arianne Cohen, auteur de The Sex Diaries Project, 25 % des professionnels sây masturbent au moins une fois par semaine. De plus, 50 % regardent du porno au travail. Contrairement aux clichĂ©s, ce nâest pas le PDG qui a la vie sexuelle la plus trĂ©pidante â trop stressĂ©, trop busy â mais ses collaborateurs et employĂ©s. Le sexe au travail est souvent virtuel. Lors de son premier stage en mairie, Simon, 24 ans, passait trois Ă quatre heures par jour Ă chatter avec une collĂšgue. « On a eu une aventure Ă©rotique incroyable, trĂšs frustrante, ça me mettait dans un Ă©tat de ouf. » Deux ans sans coucherie.
Parfois, la vraie vie est plus subversive que le porno. A ses débuts de flic, Philippe avait pour capitaine Serge, un type corpulent.
« Il avait sucĂ© la moitiĂ© du commissariat, se tapait des gardĂ©s Ă vue, Ă©tait capable de me parler quinze minutes du goĂ»t dâun sperme. »
Philippe gardera toujours lâimage de Serge, en robe et talons aiguilles, en train de sucer deux collĂšgues en boĂźte de nuit. Serge finira par y laisser sa qualification de capitaine. A lâinverse, le porno mainstream introduit dans le sexe performance, rendement, productivitĂ©, optimisation des rĂ©sultats, instrumentalisation. Jean-François Rauger, directeur de la programmation de la CinĂ©mathĂšque, le rĂ©sume dans Zob in the Job : « Les bons pornos, les plus convaincants, sont ceux qui font oublier lâidĂ©e que câest du travail humain. »
Zob in the Job dâOlivier Ghis, le 6 septembre Ă 23 h 10 sur Canal+
Article extrait du numĂ©ro sexe 2014 des Inrocks, en kiosque jusquâau 12 aoĂ»t, Ă©galement disponible dans notre boutique en ligne.
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a_da_ma_naga_le_27_06_2012 a posté le 17 novembre 2016 à 15h29
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yvon_le_za_bulon a posté le 17 novembre 2016 à 15h29
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La scĂšne a Ă©tĂ© filmĂ©e par la camĂ©ra de vidĂ©osurveillance. Le concierge sâen est vantĂ©Â : sur les images, il a reconnu un salariĂ© de lâune des petites entreprises qui se partagent le bĂątiment. Il parle dâun « grand », mais il ne dira pas qui.
Muni de sa clĂ©, le « grand » aurait pĂ©nĂ©trĂ© dans les locaux vides, en pleine nuit â la camĂ©ra est Ă infrarouge â, accompagnĂ© dâune amie, avant de pratiquer avec elle certaines acrobaties. Ce ne serait pas la premiĂšre fois, le salariĂ© de grande stature ne serait pas le seul concernĂ©, et le concierge promet de tout balancer le jour oĂč il partira.
Lâinformation a suscitĂ© lâĂ©moi et une dizaine de e-mails dans la plus grosses des entreprises de lâimmeuble. AprĂšs le jeu des devinettes, est venue lâheure de lâoffuscation : peut-on filmer dans les couloirs, ascenseurs, escaliers sans que le personnel en soit informĂ© (non) ? Qui peut conserver les enregistrements (les seules personnes « habilitĂ©es Ă cet effet ») ?
Il est rĂ©vĂ©lateur de constater que pas une seule fois, dans cette affaire, la question nâa Ă©tĂ© posĂ©e de la lĂ©galitĂ© dâun acte sexuel dans un lieu habituellement dĂ©diĂ© Ă lâactivitĂ© productive.
Pour cause : en France, la vie privĂ©e du citoyen est sacrĂ©e depuis la loi du 22 juillet 1893, reprise par le code civil, et le Français reste citoyen mĂȘme sous son bleu de travail ou son costard-cravate. Câest Ă©crit dans le code du travail.
Pas question dâexiger que les portes dâun bureau restent ouvertes quand deux personnes se trouvent Ă lâintĂ©rieur, ni dâinterdire les relations sentimentales entre collĂšgues. Cela se fait aux Etats-Unis, oĂč, dans de nombreuses entreprises, des codes de bonne conduite rĂ©gentent les relations entre employĂ©s.
En France, sâil sâagit dâune relation sexuelle entre adultes consentants, cette derniĂšre ne peut ĂȘtre interdite. Ses consĂ©quences, Ă©ventuellement, peuvent ĂȘtre sanctionnĂ©es, estiment les deux avocats en droit social contactĂ©s, Aline Jacquet Duval et StĂ©phane BĂ©al.
Il faut pour cela que la relation sexuelle entraĂźne un « trouble manifeste » au fonctionnement de lâentreprise. Câest le cas :
Sanctions possibles : avertissement, mise en garde, rappel Ă lâordre. Mais les salariĂ©s font plutĂŽt attention, et agissent « en adultes », estime Me Jacquet Duval.
Vanessa â câest le pseudo que la jeune femme sâest choisi â est tombĂ©e sur un collĂšgue de bureau en cherchant des partenaires sur un site libertin. Ils ont dâabord Ă©changĂ© des banalitĂ©s (« tâes lĂ aussi ? », « joyeux NoĂ«l »), avant dâenvisager des relations sexuelles. Depuis plus dâun an, ils profitent des sĂ©minaires de travail pour partager un lit dâhĂŽtel. Dans les locaux de lâentreprise, en revanche, rien de plus que « des baisers volĂ©s entre deux portes », voire « une petite tape aux fesses ». Vanessa tient Ă sĂ©parer les deux univers, elle ne veut surtout pas que sa vie sexuelle perturbe son travail.
Elle a raison : si lâun des salariĂ©s impliquĂ©s dans la relation sexuelle ne travaille plus, trop absorbĂ© par ses rĂȘveries par exemple, il peut ĂȘtre licenciĂ© pour insuffisance professionnelle. Fait rarissime, constate toutefois Me Jacquet Duval :
Quant aux relations consenties, la situation se rĂšgle souvent dans lâentreprise, entre quatre yeux. Avec plus ou moins de dĂ©licatesse.
Claire â le prĂ©nom a Ă©tĂ© modifiĂ© â travaillait dans un hĂŽtel quatre Ă©toiles. Un jour, alors quâelle termine de passer lâaspirateur dans le couloir des clients, la jeune femme pousse la porte qui mĂšne Ă lâescalier de service et dĂ©couvre... lâun des directeurs, gĂȘnĂ©, et la rĂ©ceptionniste Ă©bouriffĂ©e.
Claire fait comme si de rien nâĂ©tait. Mais, le soir, durant le dĂźner avec ses collĂšgues, elle raconte sa dĂ©couverte. Le lendemain, lâemployĂ©e est convoquĂ©e dans le bureau-cagibi de sa supĂ©rieure. « Vous nâavez rien Ă me dire ? » demande la chef de service. Claire met quelques minutes Ă comprendre, rĂ©pond ne pas pouvoir en dire plus... et, cĂ©dant aux menaces et aux flatteries, finit par raconter la scĂšne.
Sa responsable se fait franche : le directeur est mariĂ©, Claire doit se mĂȘler de ce qui la regarde.
Câest lĂ que ça devient compliquĂ©Â : quand sexe et pouvoir sâentremĂȘlent. Quand un supĂ©rieur hiĂ©rarchique est impliquĂ©. Si la relation sexuelle donne par exemple lieu Ă du favoritisme, un salariĂ© qui sâestime lĂ©sĂ© peut intenter des poursuites aux prudâhommes, explique Aline Jacquet Duval.
Mais les risques peuvent surgir dâailleurs, rebondit lâavocate, se remĂ©morant une jurisprendence :
StĂ©phane BĂ©al, quant Ă lui, se souvient dâune situation qui a eu des consĂ©quences pour le dirigeant, cette fois. Lâavocat avait rendez-vous avec un employeur en plein plan social. Lâemployeur nâest jamais venu :
Conclusion : sauf grosses embrouilles, vous ne risquez pas grand-chose Ă faire lâamour ou autre chose du mĂȘme genre sur votre lieu de travail. Comme le montre la mĂ©saventure de Claire dans son hĂŽtel, il peut mĂȘme ĂȘtre plus dĂ©licat de diffuser des ragots (le « qui couche avec qui ») que dâen ĂȘtre le sujet.
« FutĂ©Â ? : Ceci explique pourquoi votre entreprise a rendue lâĂąme. »
Vous connaissez la diffĂ©rence entre « une faillite », et un cessation dâactivitĂ©Â ? La preuve que non...
Krash, la rĂ©alitĂ© en pleine face pour un socialo communiste de base qui ne se rend toujours pas compte que plus ses amis feront de dettes, plus il courra Ă sa propre perte, et sera inĂ©vitablement soumis au plus grand esclavageâŠ
Lien Episode 1.
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Mais qui emprunte massivement sur les marchés pour faire tourner les services publics, et nous entraine progressivement vers la prochaine crise ?
Qui a le plus intĂ©rĂȘt Ă vous faire croire que câest la finance et les banquiers qui sont les plus coupables, alors que vous vivez vous-mĂȘme Ă crĂ©dit depuis maintenant plus de 35 ans ?
Qui est lâallier objectif des banquiers quand François HOLLANDE va voir la city pour les rassurer, pendant que les entreprises ferment les unes aprĂšs les autres, parce que les charges et les impĂŽts les Ă©touffent, que ceux qui appliquent lâaustĂ©ritĂ©, ne lâappliquent jamais pour eux-mĂȘmes ?
Pourquoi donc DSK a t-il été sacrifié, et par qui ?
Vous vivez du mensonge des autres, et vous allez vite comprendre que votre pouvoir dâachat aura Ă©tĂ© volĂ© par ceux qui vous en promettent toujours plus. Quâils nâont jamais cessĂ© de vous mentir pour mieux vivre eux-mĂȘmes, et que vous en avez Ă©tĂ© au fond les seules et unique victimes... MĂȘme un fou nâarriverait pas Ă le nier...
« Vous ne faites que rabacher des Ă©vidences que tout le monde connait, avec la suffisance et le caractĂšre doctoral de quelquâun qui vient de dĂ©couvrir la pierre philosophale. »
Mais tout Ă fait. Câest ce qui fera toujours la diffĂ©rence entre quelquâun dâinstruit, qui Ă©tudie, qui compare, qui tire la substantifique moelle, dâun inculte, trouillard, et qui fuit les rĂ©alitĂ©s pour mieux se rassurer... De ce fait, il passe Ă cĂŽtĂ© de tout, et surtout de ce qui lui permettrait de grandir, dâĂȘtre plus intelligent, dâĂȘtre plus responsable, et donc de mieux sâen sortir. quand comme vous on
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