Elle baise son beau père pour pouvoir sortir

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Battue, violée, prostituée par son mari... Valérie Bacot, jugée pour avoir tué son bourreau - ©Ed Alcock / M.Y.O.P.






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Violences conjugales : elles racontent leur descente aux enfers à visage découvert

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Pendant des années, elle a été battue, violée puis prostituée par son beau-père, devenu son mari et le père de ses quatre enfants. En 2016, elle finit par le tuer. Alors que son procès évènement s'ouvre le 21 juin, Valérie Bacot s'est confiée dans un livre. Entretien poignant.
Elle a une voix d’enfant, mais elle est déjà grand-mère. Valérie Bacot, 41 ans, sera jugée à partir du 21 juin prochain par la cour d’assises de Chalon-sur-Saône pour l’assassinat de Daniel Polette, qu’elle a tué d’une balle de revolver le 13 mars 2016. Cet homme, qui fut d’abord son beau-père, commença à la violer dès ses 12 ans. Arrêté sur dénonciation d’un membre de sa famille, il fut jugé, non devant une cour d’assises mais par un tribunal correctionnel, qui le condamna, en 1995, à quatre ans de prison pour agression sexuelle sur mineure de moins de 15 ans.
Il effectuera trente-trois mois avant de revenir vivre au foyer de la jeune fille, où il reprendra ses agressions régulières. À 17 ans, Valérie Bacot tombe enceinte. Personne, ni dans sa famille ni au sein des institutions, ne verra d’inconvénient à ce que la jeune victime soit émancipée de ses parents défaillants et laissée aux mains de son prédateur, avec qui elle aura quatre enfants, dans l’indifférence générale. Et dans une violence inouïe. Vivant sous le régime quotidien de la terreur, Valérie Bacot est humiliée, battue, violée et bientôt prostituée par ce mari tyrannique et alcoolique, qui la livre en pâture à des clients à l’arrière de sa voiture, lui donnant des ordres via une oreillette. Un jour, c’est l’humiliation de trop. Meurtrie et désemparée, elle s’empare du pistolet que son mari laissait dans l’habitacle et lui tire une balle dans la tête. Elle avait tant de fois senti elle-même la pointe froide de l’arme sur sa tempe…
Après plusieurs mois de détention provisoire, elle est laissée libre, sous contrôle judiciaire, et sort aujourd’hui un livre « Tout le monde savait », avec la collaboration de Clémence de Blasi (éd. Fayard). On y découvre une existence annihilée, un monde de solitude et de silence. Des parents négligents, qu’elle s’obstine à vouloir aimer dans l’espoir d’un amour en retour, quatre enfants, aussi, qui la maintiennent suspendue au fil fragile de la vie. À quelques semaines de l’ouverture de son procès, rencontre, rare, dans le salon triste d’un hôtel de Paray-le-Monial, avec une jeune femme timide et dévastée. Mais résolue à faire entendre son histoire.
ELLE. Pourquoi avoir décidé d’écrire ce livre ?
Valérie Bacot. La première personne qui m’a conseillé d’écrire, c’est, de façon très surprenante, l’un des gendarmes qui m’a auditionnée pendant ma garde à vue. Il m’a dit que, un jour, ce serait bien que je partage mon histoire avec les autres… Je me suis dit que je pourrais peut-être arriver à sauver des personnes de cette façon. Aider les autres femmes, ça me ferait du bien. Personne ne mérite une vie comme ça. Quand on n’a pas d’exemple de vie normale, comme les autres, on ne peut pas savoir si, ce qu’on traverse, c’est bien ou mal.
ELLE. Ce livre a-t-il changé votre regard sur votre histoire ?
V.B. Ça n’a rien changé du tout. Même si je me rends compte que ce que j’ai vécu n’est pas normal, je ne suis pas encore passée de l’autre côté. Je suis trop dans le passé. Ça ne me fait rien d’avoir ce livre entre les mains. Enfin, si : je sais que mes enfants, ma petite-fille pourront, s’ils le souhaitent, connaître leur histoire. Mon dernier fils m’a dit au départ que ça ne l’intéressait pas. Mais son grand frère, chez qui il vit, l’a vu le lire en cachette. Même s’ils savent tout, ils en ont besoin. 
ELLE. Votre histoire, c’est l’histoire d’un silence. Celui de votre mère, de votre famille qui refusent de voir les viols de votre beau-père, puis les violences dont vous êtes victime quand vous vous installez avec lui. Comment l’expliquez-vous ?
V.B. C’est quelque chose dont je me suis rendu compte plus tard. Sur le moment, je ne comprenais rien. Quand on est petit, on sait juste qu’il faut se taire parce qu’on nous dit de nous taire. On est perdu. Se confier à qui ? Il faut avoir quelqu’un de confiance. Je n’avais personne. Et puis, quand on se rend compte que sa propre mère se soucie plus de « l’autre » que de sa fille, on se sent coupable. C’est nous qui avons les torts, c’est nous la méchante. Comment parler quand vous êtes certaine que tout est votre faute ? Et mon beau-père me menaçait. Est-ce que c’est normal, pas normal, qu’est-ce qu’il faut faire ? Est-ce qu’il faut dire, pas dire ? Vous subissez, sans comprendre.
ELLE. Il finit par être condamné à quatre ans de prison. Saviez-vous, à l’époque, qui l’avait dénoncé ?
V.B. Non. C’est en prison que j’ai appris que c’était sa sœur qui avait alerté la gendarmerie, après une visite à l’improviste de son mari, qui m’a entendue crier. C’est aussi en prison que j’ai appris qu’il avait violé sa sœur pendant de nombreuses années. Quand j’étais petite, je n’étais au courant de rien. Ma mère s’est occupée à la fois de mon avocat et du sien. Quand il a été mis en garde à vue, on m’a emmenée chez un médecin qui ne s’adressait qu’à ma mère. Il lui a dit que j’avais perdu ma virginité et qu’il y avait des lésions qui montraient que ça durait depuis longtemps. Ma mère n’a eu aucune réaction. Elle était plus tracassée par le fait de devoir lui préparer ses valises et lui dire au revoir que par sa propre fille. Moi, je n’avais personne à qui parler. Ni mon père ni ma mère. Ni personne à mon collège – professeurs, élèves. Tout le monde savait. Personne n’a dit un seul mot là-dessus.
ELLE. Étiez-vous soulagée de le voir enfin parti ?
V.B. Certes, je n’avais plus la boule au ventre en rentrant de l’école, mais je voyais surtout le mal que j’avais fait à ma mère. C’était à cause de moi qu’il n’était plus là, et elle m’en voulait. Quand on est petit, on croit ça… 
ELLE. Vous racontez que votre mère vous emmenait avec elle au parloir…
V.B. Je faisais ce qu’elle voulait, parce que je me disais que c’était à cause de moi qu’elle déprimait, qu’elle buvait encore plus. Le parloir, c’étaient ses seuls moments de -bonheur, elle avait le sourire, elle s’apprêtait, se maquillait. Je voulais lui faire plaisir, tout simplement pour qu’elle m’aime, un peu.
ELLE. Vous disait-elle que c’était de votre faute ?
V.B. Non. Ma mère disait juste que quand il sortirait de prison, elle lui ferait la fille qu’il voulait. 
V.B. Et c’est redevenu comme avant…
ELLE. Personne n’a questionné le fait qu’il revienne au foyer de sa victime ?
V.B. Personne. Il parlait avec les voisins comme s’il n’était jamais parti.
ELLE. Est-ce que vous avez essayé de comprendre l’attitude de votre mère ?
V.B. J’ai abandonné. J’ai cherché toute ma vie pourquoi elle m’a autant détestée. Maintenant, elle est inexistante à mes yeux.
ELLE. Parce que ça fait trop mal ou parce que ça fait partie de votre reconstruction ?
V.B. Parce qu’elle est comme elle est. Ma mère était fille unique. Elle avait la réputation d’une femme un peu légère. On savait qu’elle buvait, qu’elle avait fait des séjours à l’hôpital psychiatrique de Sevrey. Je ne veux pas me fatiguer à donner de la valeur à des gens qui ne le méritent pas. La figure maternelle, j’ai fini par la trouver chez les surveillantes de la prison. 
ELLE. Au retour de votre beau-père, les viols continuent, et vous tombez enceinte, à 17 ans. Une démarche d’émancipation est engagée par vos parents. Vous passez devant un juge, qui ne voit aucun obstacle à ce que vous emménagiez avec votre bourreau…
V.B. Je n’ai jamais compris cette décision. Tout ce dont je me souviens, c’est que ma mère était super gentille juste avant et que, devant le juge, elle a commencé à dire des mensonges, que je lui avais mis un couteau sous la gorge pour pouvoir partir de chez moi. Du coup, j’ai vu rouge, je me suis énervée, le juge aussi, et il m’a menacée d’outrage. La voir jouer ce jeu, comme ça, c’était pathétique. Et une fois sortis, elle était de nouveau toute mielleuse. Je lui ai dit qu’on ne se reverrait plus. Et je me suis promis de n’être jamais comme elle avec mes enfants. 
ELLE. Votre père aussi était très absent.
V.B. Il l’a toujours été. Il est venu me voir deux fois en prison, alors que je ne l’avais jamais revu depuis que j’étais gamine. Il m’a demandé ce qu’il pouvait faire pour moi. Je lui ai répondu que la seule chose qui m’importerait serait qu’il apprenne à connaître ses petits-enfants, de faire les trucs de famille, les anniversaires, Noël… Et là, ma belle-mère et lui ont levé les bras au ciel en disant qu’ils n’avaient pas d’argent à dépenser pour mes enfants. Je leur parlais d’esprit de famille, eux me parlaient d’argent. J’ai refermé la porte. 
ELLE. Les violences s’abattent quand vous devenez mère, puis votre mari vous force à vous prostituer. Comment survivez-vous ?
V.B. Comme un robot. L’objectif, c’était de protéger les enfants en faisant attention à ne pas l’énerver, de contrôler tous nos faits et gestes. Je ne pensais à rien d’autre que ça. Comme un automate. 
V.B. Non car j’avais trop peur. Il menaçait de nous tuer. Moi, les enfants. Et quand vous avez une arme sur la tempe… vous ne cherchez pas à faire la rebelle, c’est une question de survie.
ELLE. Vous envoyez vos enfants par deux fois à la gendarmerie…
V.B. Et personne ne nous a aidés. On nous a dit qu’il y aurait peut-être une enquête, peut-être une mesure d’éloignement, peut-être une convocation. Mais ce n’est pas avec des « peut-être » qu’on se sauve. Car, s’il revient, c’est la fin pour nous tous.
ELLE. Cet homme, Daniel, qu’est-ce qu’il est pour vous, un monstre ?
V.B. C’est moi, le monstre. Pas lui. C’est ce qu’il me disait et je le croyais. C’est à cause de moi qu’il était comme ça. Même si maintenant ses sœurs et son frère m’ont appris plein de choses, je l’ai tellement entendu que je le crois encore : c’est moi, le monstre.
ELLE. « Je l’ai éliminé, écrivez-vous, mais il a pris tout ce que j’avais. » Qu’est-ce que cela veut dire ?
V.B. Qu’il est toujours là. C’est compliqué à expliquer. C’est comme quand il me frappait, je préférais qu’il me frappe plutôt qu’entendre tout ce qu’il me disait. Parce que les coups, en fin de compte, ça passe. Alors que ces moments où il vous insulte, où il vous met plus bas que terre, ça reste dans la tête.
ELLE. Avant le jour de sa mort, aviez-vous déjà pensé à le tuer ?
V.B. Non, en revanche j’ai pensé plusieurs fois à me tuer, moi. Mais chaque fois je me disais que, même si ça me soulagerait, je ne pouvais pas laisser les enfants.
ELLE. Comment le passage à l’acte est-il arrivé, ce 13 mars 2016, dans cette voiture ?
V.B. Franchement, je ne sais toujours pas réellement. Je me souviens juste du client avec qui j’étais, violent, qui m’a forcée. Je me rappelle le brouhaha dans mes oreilles, dans ma tête, les insultes dans l’oreillette, cette phrase qu’il avait dite la veille à ma fille de 14 ans : « Comment es-tu sexuellement ? »… C’était comme une Cocotte-Minute, je cherchais à faire taire ce bruit, je voulais le silence. J’ai fermé les yeux. Et puis il y a eu une lumière et l’odeur de poudre. Il est tombé quand j’ai ouvert la porte et je n’ai pensé qu’à me sauver avant qu’il ne me tue. J’ai fui en voiture, complètement nue. Et c’est seulement quand je suis retournée sur place, avec le petit ami de ma fille, que j’ai compris que je l’avais tué. 
ELLE. Après en avoir parlé à vos trois grands enfants, vous décidez de l’enterrer dans un bois…
V.B. Cela peut paraître irrationnel, mais la seule peur qu’on avait, c’était qu’il revienne et qu’il nous tue. On a vécu près d’un an comme ça. Juste avant d’être arrêtée [après dénonciation par la mère du petit ami de sa fille, ndlr], j’ai dit la vérité à mon plus petit garçon, qui ne savait pas et qui a réagi comme ses deux frères et sa sœur. Avec un câlin. Et en me disant qu’il ne m’en voulait pas. 
ELLE. Comment appréhendez-vous le procès ?
V.B. J’ai hâte qu’il arrive. Je vis beaucoup dans le passé. Je suis dans le présent et je ne sais pas où sera mon futur. C’est très pesant. J’ai hâte, même si je sais que je vais perdre une partie de la vie de mes enfants et de ma petite-fille. Mais je vois cela comme mon dernier combat : j’espère que je serai plus forte que lui, au moins une fois. 
« Tout le monde savait », de Valérie Bacot, avec la collaboration de Clémence de Blasi (éd. Fayard).
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Directrice d'école depuis 4 ans, autrice de "Le Blog de Carla"
Quand on se sépare du père ou de la mère de ses enfants, on pense être "libéré, délivré!". Mais voilà, en ayant des enfants en commun, on est quand même obligé de "faire avec" ... Alors, pour le bien des enfants, comment composer avec son ex? Voici quelques règles de base.
Quand on se sépare du père ou de la mère de ses enfants, on pense être "libéré, délivré!": son sale caractère, son côté bordélique, ses retards, ses sautes d'humeur, sa fainéantise... Tout ça, c'est fini! Tel le corbeau, on jure mais un peu tard qu'on ne nous y prendrait plus. Mais voilà, en ayant des enfants en commun, on est quand même obligé de "faire avec"... Alors, pour le bien des enfants, comment composer avec son ex (si possible sans se pourrir la vie?)? Voici quelques règles de base (que je travaille à m'appliquer aussi):
Surtout au début de la séparation , les adultes peuvent se sentir un peu seuls, un peu isolés. On ressasse la séparation, on espère recoller les morceaux, on se remet en question. Il peut être tentant de prendre les enfants pour des confidents: on leur raconte l'histoire d'amour entre papa et maman, on grave des images d'Epinal sur le pseudo-couple, on espère même qu'ils feront passer le message à l'autre...
STOP! Mauvaise idée! Les enfants ne sont pas des confidents, ils n'ont pas à connaitre les tenants et les aboutissants de la séparation. Cela les place
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