Elle baise avec son attachée de presse

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Elle baise avec son attachée de presse
Publié
le 20/08/2022 à 17:29 , Mis à jour le 20/08/2022 à 17:30
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L'actrice britannique aurait retrouvé l'amour dans les bras d'un certain Brandon Green, un riche héritier britannique, comme en témoignent les photos du Daily Mail , publiées vendredi 19 août.
Emma Watson aurait-elle trouvé chaussure à son pied ? En septembre dernier, l'actrice avait été photographiée à la sortie d'un héliport aux côtés d'un certain Brandon Green, fils du richissime homme d'affaires britannique Sir Philip Green. Depuis, les rumeurs d'un rapprochement amoureux allaient bon train. Il semblerait que cette romance se confirme. Dans ses colonnes, le Daily Mail publie ce vendredi 19 août des clichés de la star d'Harry Potter, marchant main dans la main avec le jeune homme de 29 ans dans les rues de Venise.
Sur les clichés, on aperçoit l'actrice tout sourire, vêtue d'une robe rouge à pois blancs, en train se balader allègrement dans les ruelles de la Cité des Doges. Celui qui la dévore des yeux n'est pas loin, cheveux blonds relevés en chignon et habillé d'un t-shirt bleu marine et d'un pantalon bleu de Prusse. Après leur promenade, les deux tourtereaux se sont dirigés vers les canaux pour rejoindre leur bateau privé.
C'est Brandon Green qui aurait fait le premier pas il y a plus d'un an, rapporte le Daily Mail . Emma Watson était en train de se séparer de son petit ami de l'époque, Leo Alexander Robinton, un entrepreneur californien. «Brandon a fait la cour à Emma tout l'été, confiait une source en septembre à nos confrères britanniques. Elle a passé beaucoup de temps avec Brandon. Il est vraiment gentil avec elle et elle apprécie sa compagnie.» Et d'ajouter : «Brandon et Leo se ressemblent. Elle a certainement un type.»
En effet, l'actrice cultive depuis longtemps un penchant pour les anonymes , dont la plupart ne sont pas référencés sur IMDb, et possèdent un profil plus Mark Zuckerberg que Brad Pitt. Mais cette fois-ci, ce nouveau petit ami fait exception à la règle, en raison de son héritage familial très sulfureux.
Brandon Green est en effet le fils de Sir Philip Green. Autrefois magnat de la mode britannique, l'homme d'affaires, célèbre pour ses soirées au luxe indécent, a subi une chute brutale suite à des accusations de harcèlement sexuel et de racisme, puis, plus récemment, la faillite de son empire de prêt-à-porter Arcadia (Topshop, Dorothy Perkins, Burton), emporté par la pandémie et des années de gestion hasardeuse.
Un choix de cœur étonnant d'après certains membres de l'entourage d'Emma Watson, laquelle est considérée comme une fervente féministe et écologiste, note le Daily Mail . Pour autant, comme le souligne une autre source interrogée par nos confrères, Brendan serait loin d'être le portrait craché de son père.
Lui aussi serait davantage branché sauvegarde de la planète plutôt que les paillettes. «Il s'est beaucoup intéressé à la biodiversité et à la sauvegarde des océans, rapporte un témoin. Il fait beaucoup d'actions caritatives avec la fondation du prince Albert de Monaco et la fondation de la princesse Charlene.» Et de renchérir: «Il est très porté sur le fitness et s'implique dans des galas et des associations caritatives qui aident la planète. Il nettoie souvent les plages et fait tout ce qu'il peut pour aider.»
encore une championne de la vertue qui fait la leçon à tout le monde. faites ce que je dis pas ce que je fais.
Après une escapade new-yorkaise, le couple formé par la chanteuse et le rappeur est retour à Los Angeles avec son nouveau-né ce dimanche 14 août. Leur arrivée était très attendue par la presse, impatiente de découvrir le visage du nourrisson.
L'interprète de Material Girl a célébré son anniversaire ce mardi 16 août, lors d'une folle soirée d'été en Sicile, où elle passe des vacances auprès de son fils Rocco Ritchie.
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Emma Watson : escapade en amoureux à Venise avec le fils du très controversé milliardaire Sir Philip Green
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Dans l'hebdo du 18 Août

Durée : 7 min






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Publié le
14/08/2022 à 14:00






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« "Cher connard" de Virginie Despentes : le grand retour de la romancière au Kärcher »


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Virginie Despentes fait montre d'un talent et d'un flair aiguisés pour capter les blessures de la société contemporaine.
C'est arrivé crescendo, par poussées successives. En près de trente ans, la "prolotte de la féminité" est passée du statut de trublionne des lettres françaises à celui d'impératrice, voire de madone. Une ironie quand on songe aux ouvrages qui jalonnent son ascension, Baise-moi et Cher connard. L'art des titres et de la provoc... L'art aussi de se faire attendre. Voilà plus de cinq ans que, depuis le troisième tome du raz-de-marée de Vernon Subutex (1,76 million d'exemplaires de la trilogie au compteur), Virginie Despentes n'avait pas publié. De quoi l'ériger en fer de lance de cette rentrée littéraire, comme Michel Houellebecq le fut en ce début d'année . Une analogie qui ne s'arrête pas là d'ailleurs : à l'instar de l'auteur de L'Extension du domaine de la lutte , la romancière de 53 ans fait montre d'un talent et d'un flair aiguisés pour capter les blessures de la société contemporaine et brosser une vaste comédie humaine. 

Cher connard , son dixième roman, exclusivement épistolaire, est à cet égard un véritable feu d'artifice : addictions diverses (drogue, alcool, notoriété, séries, jeux), harcèlement sexuel, viol, féminisme, patriarcat, tyrannie des réseaux sociaux, férocité du jeunisme, diktat de la minceur et de la beauté, détermination sociale, affres de la paternité... Ouf ! Elle est sur tous les fronts, la romancière au Kärcher, dans ce roman qui frise parfois l'essai et qu'elle déroule dans une langue unique et savoureuse, avec son style coup de poing, à l'oralité maîtrisée - teintée d'humour - faussement désinvolte et riche en fulgurances. 

Cinq ans d'absence mais pas de silence. Moins misanthrope et plus empathique que Houellebecq, Despentes n'est pas du genre à rester dans sa tour d'ivoire. En 2018, à peine cooptée au septième couvert de l'académie Goncourt, la Nancéenne se réjouit de voir couronner son coreligionnaire de Lorraine Nicolas Mathieu ; début 2020, alors que ses collègues de chez Drouant ne tarissent pas d'éloges sur son professionnalisme, elle démissionne ; août 2021, elle annonce fonder sa propre maison (avec la photographe et vidéaste Axelle Le Dauphin), La Légende éditions, afin de "promouvoir la représentation et la visibilité de la culture queer et féministe" ; et en février 2022, elle rejoint le collectif #StopBolloré qui dénonce l'emprise de Vivendi sur le débat démocratique... Si Virginie Daget (Despentes est un pseudo choisi en souvenir d'une virée sur les pentes de la Croix-Rousse lyonnaise) ne chante plus L'Internationale près de la statuette de Marx dans le foyer de ses parents, un couple de postiers militants syndicaux, la révolte est toujours là. 

Pour autant, ni de ces propos haineux prisés par les masculinistes de Cher connard , ni d'envolées hystériques des extrémistes du genre : c'est avec l'intelligence d'une intellectuelle autodidacte biberonnée à la cause des femmes que Despentes creuse ses multiples entrées. Et fait preuve, à cet effet, d'un don d'ubiquité certain. Car elle est tout à la fois Rebecca, la sublime actrice sur le déclin de près de 50 ans, grande gueule au franc-parler irrésistible dopée au crack, Oscar, l'écrivain macho bourré en permanence, Corinne, sa grande soeur "goudou" amie de jeunesse de Rebecca - tous trois viennent de la classe moyenne nancéenne ; mais aussi Zoé, la trentenaire blogueuse féministe qui metooïse Oscar pour harcèlement sexuel subi lorsqu'elle était son attachée de presse. 

"Cher connard", ce sont les premiers mots de Rebecca à Oscar qui vient de la traiter de "crapaud" et de "vieille négligée" sur son compte Insta sans se douter qu'elle allait le lire. Des dommages des insanités proférées sur Internet, il en sera beaucoup question dans ce roman. Ainsi des menaces de mort reçues par Zoé après sa dénonciation de l'attitude d'Oscar. "La honte doit changer de côté", proclame la blogueuse, tout comme Virginie Despentes qui, dans son manifeste féministe post-punk King Kong Théorie (2006), racontait sans fard son viol à l'âge de 17 ans. Oscar, lui, ne voit aucun mal à ses agissements de l'époque. Il affirme, qu'amoureux transi, il n'a fait alors qu'une simple "cour assidue". 

Pourtant, au fil du roman et des missives échangées avec Rebecca, qui en vient à l'appeler "minou", l'écrivain comprend ce que le désir non partagé peut avoir d'insupportable. Services réciproques : son récit du bienfait de ses réunions Narcotiques anonymes donne des idées à la comédienne ("quinze ans d'héroïne et vingt ans de crack dans le système"). Des vertus de la conversation entre antagonistes... 

On l'a dit, l'auteure aborde mille autres sujets dans ce roman dense, intense, démonstratif. On aurait aimé peut-être un peu plus de légèreté lors des passages sur le féminisme ou les séances de désintoxication, mais peu importe, Virginie Despentes affiche ici avec maestria sa maturité. Et sa grande liberté. Libérée de la course aux prix, la lauréate du Renaudot ( Apocalypse Bébé , 2010), "interdite" de Goncourt - "On nous taxerait de copinage", confie un membre du jury -, s'affranchit avec allégresse de nombre d'impératifs. En impératrice ! 

Cher connard , par Virginie Despentes. Grasset, 350 p., 22 € (en librairie le 17 août). 


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Le 16 janvier 2022 à 13h10 , modifié le 17 janvier 2022 à 06h16
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« Est-ce que l’on va recommencer ? Oui, bien sûr ! » Au moment d’évoquer sa toute première soirée intime avec son mari et un autre couple, Dshamilja n’a pas le moindre doute sur le fait de vouloir renouveler l’expérience. Cette première virée torride à quatre, le couple en parlait depuis des mois avant de décider de franchir le pas. Une première fois vécue différemment par ceux qui décident de s’essayer au libertinage.
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