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Les 7 péchés capitaux du Dr Aga (6/7) : L'envie - ©Anna Wanda Gogusey






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Cet été, le Dr Aga a courageusement choisi de tester les sept péchés capitaux. Chaque semaine, elle est donc en mesure de répondre à cette question d’importance : le vice paie-t-il ?
Impossible de commencer cet épisode sans un point sémantique. Qu'est-ce que l'envie ? Eh bien, déjà, ce n'est pas la jalousie. Comme vous peut-être, j'ai tendance à confondre les deux, alors que les dictionnaires expliquent que ce n'est pas pareil. La jalousie, c'est quand on se sent blessé et humilié par les actions de quelqu'un — exemple : Didier, la main sur la cuisse d'une cagole. L'envie, c'est quand on a le désir de posséder ce qu'a l'autre – exemple : Didier, la main sur la cuisse de Ryan Gosling . Les gens jaloux se sentent trahis, les gens envieux se sentent inférieurs. Par chance pour cette enquête, je passe mes vacances dans le Var, un département où se sentir inférieur aux autres est la chose la plus facile du monde. Même les gens qui ont un bateau de 36 mètres avec hélicoptère trouveront toujours quelqu'un qui a un bateau de 41 mètres avec hélicoptère et terrain de tennis. Et, l'année d'après, c'est ce dernier qui aura les boules car quelqu'un forcément jettera l'ancre avec un bateau, qui, en plus de tout ça, dispose d'un parcours de golf sur le toit. Ici, le concours de zigounettes ne fait que des perdants.
En effet, depuis le temps que Didier et moi nous fréquentons la région, nous y avons beaucoup d'amis, et force est de constater que nous sommes, sans l'ombre d'un doute, entourés de riches. Et que, été après été, on stagne, alors que nos potes grimpent sur l'échelle de la win — exemple : cette saison, nos voisins (des financiers) ont fait venir un chef pour toutes les vacances. Moi, j'ai acheté un Thermomix d'occasion dont les touches en caoutchouc collent aux doigts. Est-ce que ça nous pose un problème ? Pas le moins du monde. Si nous avions une nature envieuse, nous passerions l'été, mettons, dans la Creuse, où, me dit-on, le ratio vaches/assujettis à l'impôt sur la fortune immobilière est inversement proportionnel à celui de la Côte d'Azur. C'est pour ça que je suis embêtée : pour réussir à ressentir de l'envie, après tant d'années à me tenir éloignée de ce sentiment – par pragmatisme ou par fierté, allez savoir… –, il va falloir que je me programme mentalement. Et que j'y trouve mon intérêt : le seul point positif de l'envie, à mon sens, c'est qu'elle doit pouvoir agir comme un aiguillon. Si je veux posséder ce qu'a l'autre, alors je vais devoir me bouger les fesses pour l'obtenir. 
C'est donc remontée comme un coucou que je débarque dans une soirée typique de la presqu'île, à l'heure où les cigales laissent l'animation sonore aux grillons. Villa des années 1960 au gazon coulant en pente douce vers la mer, parfum de jasmin dans l'air, magnums de rosé plantés dans un seau à glaçons grand comme un Jacuzzi, petits canapés au tarama d'oursin de la « bonne crémerie » de la place aux Herbes, employés de maison discrets mais bien là et invités shabby chics : les femmes, aux cheveux plus mousseux qu'à l'ordinaire – comment faire tenir un brushing au bord de l'eau ? –, sont à plat dans des Rondini patinées, mais leur robe Pucci est de l'année ; les hommes, presque trop bronzés, rentrent un peu le ventre sous leur chemise en lin. Tout le monde respire pire que l'argent, le bonheur. Parce que c'est ça, le truc avec les riches. Non seulement tous ne sont pas des connards arrogants, mais beaucoup sont heureux. On préfère imaginer le nanti névrosé, écrasé de soucis professionnels, traqué par le fisc, multi-divorcé et encombré d'enfants pénibles, mais la vérité, c'est que le riche est facilement détente — ce qu'on ne nous montre pas dans des séries comme « Succession » car si toute la famille Roy passait son temps à jouer au Uno en se disant des trucs sympas, personne ne regarderait. 
Me voilà guettant ce que je pourrais concrètement envier à ces gens cool. De son côté, Didier n'a pas à se forcer beaucoup. Il partage une banquette avec une Italienne de 32 ans, dorée comme un muffin et qui glousse à toutes ses blagues. Dans l'oreille, je chuchote à mon mari : « Tu vois, le vieux, en face ? C'est Jean-Jacques, le mec de Donatella. Il est en train de se plaindre de ne plus pouvoir atterrir quand il veut avec son hélicoptère aux Parcs de Saint-Tropez . Tu devrais parler de ta galère pour garer ton scooter 80 cm3 les jours de marché, place des Lices. » C'est bas, mais ça règle momentanément le problème.    
Au milieu du brouhaha, un rire à la fois cristallin et contagieux se distingue. C'est celui d'une femme que je ne connais pas, jolie sans tapage et dont on a l'impression qu'elle a avalé des Led tant elle rayonne. Elle est assise à côté d'un quinqua stylé, avec des avant-bras magnifiques — je suis sensible aux bras, je sais, c'est bizarre… Mon voisin m'explique que ce sont les W., des nouveaux sur la presqu'île. Ils ont fait fortune, presque sans faire exprès, grâce à leur start-up de recherche médicale, mais ne sont pas du tout bling-bling. Tiens donc. Je m'approche et entame la conversation. Lucile et Marc me racontent qu'ils ont longtemps vécu en Afrique, où leurs trois enfants sont nés. Médecins tous deux, c'est avec l'idée d'être utiles qu'ils se sont lancés dans la tech : « On a eu du bol que ça marche, quoi ! » Je lève un sourcil : et où ont-ils acheté, alors ? Ils citent le nom d'un petit domaine que je connais bien, loin du bruit et près de l'eau. Le rêve. Un autre invité s'attendrit : « C'est charmant chez eux, tout est en bois, même le bateau au bout de leur ponton… » Marc rigole : « On ne peut pas dire qu'on double grand monde avec les 100 chevaux de notre barque, mais c'est bien suffisant pour aller se baigner ! » Le re-rêve. Successivement, j'apprends que deux de leurs enfants terminent leurs études pour être chirurgiens et que celle qui « n'était pas trop scientifique » est entrée à l'Essec. Petit à petit, quelque chose commence à me grignoter le cœur. Mais le pire, c'est quand Lucile m'apprend que Marc vient de lui confier les rênes de leur société : « Mon mari a fait un travail pour lutter contre ce qu'il y avait encore de patriarcal dans l'inconscient de notre couple. » La pute ! Elle a un mec déconstruit ! Le voilà, l'aiguillon que j'attendais. Je regarde Didier, les yeux dans les seins de l'Italienne, qui glousse de plus en plus fort. Dès demain, je le déconstruis — ou je le démolis, faut que je réfléchisse. L'envie, un péché qui pousse à faire de belles, de grandes choses.
                       
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Je vous écris ce petit mot depuis mon lieu de villégiature dans le Var. Pourquoi cette précision logistique ? Parce que j’ai très envie qu’on me décerne un diplôme d’employée du mois. Avant de filer dans le midi, j’avais évidemment prévu de ne RIEN faire pendant trois grosses semaines, comme chaque année. Mais cette fois, c’est différent. Depuis que nous avons lancé cette newsletter, que vous semblez de plus en plus nombreuses à apprécier, cœur sur vous, j’ai en quelque sorte charge d’âme. Mes cheffes m’ont dit « Il faut continuer tout l’été, les abonnées payent toute l’année, elles, alors pars en vacances mais laisse quatre billets d’avance. » Ma tête. J’ai dit, le menton haut « Impossible de servir du réchauffé aux lectrices, ce n’est pas le genre de la maison » alors qu’en fait, c’est juste qu’on était la veille du 14 juillet, aucune envie de me taper 4 papiers pendant le week-end, surtout qu’il faisait 42° partout. Bref, finalement on a dealé, je vais vous envoyer un produit frais, mais juste une semaine sur deux jusqu’au 20 août. Ca vous va ? En même temps, pas sûre que vous ayez le choix, ahahaha (rire dément).
Donc voilà, ce qui me frappe, cette semaine, c’est qu’autour de moi, tout le monde avale du vinaigre de cidre avant les repas. Pourquoi, diable, faire une chose pareille ? J’ai d’abord cru à un challenge sur les réseaux sociaux mais mes amis 1) ne sont pas débiles 2) n’ont pas 14 ans, et ils m’ont dévoilé le pot aux roses. En fait, ils suivent les conseils du livre best-seller du moment « Faites votre glucose révolution » de Jessie Inchauspé (Robert Laffont). Il s’agit d’éviter les pics de glucose, en tapissant son estomac de substances qui aident le corps à mieux assimiler l’apport de sucre . A cette occasion, j’ai appris l’existence d’un problème de santé majeur qui jusqu’à maintenant ne m’a strictement jamais gêné (le pic de glucose, késako ??). Ensuite, ils m’ont doctement expliqué le processus à suivre. Après avoir avalé son vinaigre, on doit manger les aliments dans l’ordre : d’abord les fibres (légumes), ensuite les protéines et le graisses, puis les féculents et enfin le sucre.
J’ai évidemment ricané : « Vous êtes en train de me dire qu’il faut commencer avec les crudités et manger le dessert au dessert ? Merci du tuyau. » Mais mon rire s’est étranglé quand ils m’ont tous dit qu’ils avaient perdu 2 ou 3 kilos sans souffrir. Restait à ré-envisager les menus de notre petit groupe en conséquence : les deux seuls trucs qu’on se tape à chaque repas, c’est tomates-mozza, melon-jambon, comme tout le monde n’est-ce pas ? Mais comment on va faire ? ai-je gémi. Quelqu’un a alors répondu : « ben on commencera par les tomates, puis on mangera la mozza et le jambon et on terminera par le melon ». Comme quoi, la vie peut être simple, quand on est entouré de gens plus intelligents que soi. Pour finir, ils ont tous trinqué au vinaigre de cidre. Et moi j’ai attaqué ma glucose révolution avec un verre de cidre pas encore tourné, à chaque jour suffit sa peine.
« Bon baisers » de mon Midi, et à dans quinze jours, donc ! 
L’article qui explique de façon intelligente tout ce que je viens de vous dire avec mes pauvres mots à moi.
Suis fan de cette actrice. Je me souviens même d’elle dans « L’amour en héritage ! » (Maintenant, si tout se passe comme prévu, vous aurez l’air du générique toute la journée dans la tête. On dit « merci Dr Aga »)
J’adore Clara Luciani, et j’adore cette double tresse qui rafraichit vraiment la nuque l’été. Souvenir d’avoir coiffé ma fille comme ça pendant une bonne dizaine d’années, j’arrivais même à lui fait ses nattes à demi-endormie le matin dans mon lit, avant qu’elle parte à l’école avec son père.
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