Elle avait besoin d'une bonne queue

Elle avait besoin d'une bonne queue




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Elle avait besoin d'une bonne queue
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Mesure d'audience , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal
Paramétrer les cookies Accepter et fermer


Se connecter







Rechercher sur le site











Elle


Psycho & Sexo


C’est mon histoire









Partager sur facebook









Partager sur twitter









Partager sur pinterest









Suivez-nous





Lien vers réseau social facebook








Lien vers réseau social twitter








Lien vers réseau social pinterest








Lien vers réseau social youtube








Lien vers réseau social instagram








Lien vers réseau social snapchat










Newsletter Psycho-Sexo
Je m'inscris


Contacts





Annonceurs




Abonnez-vous




La rédaction




Et depuis toujours, Elle s'efforce de vous proposer des articles de qualité, engagés et exclusifs. La publicité est un des moyens de nous soutenir. En acceptant ces cookies, vous nous permettez de maintenir cette exigence éditoriale.
Nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des données personnelles vous concernant comme celles liées à votre visite sur ce site. Nous pouvons également utiliser des traceurs exemptés du recueil du consentement pour le dépôt de cookies de mesure d’audience. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur 'Paramétrer' ou dans notre page 'Données personnelles et cookies' .
Adolescent, Xavier a vécu une histoire torride avec une femme plus âgée. Aujourd’hui que son fils est lui-même un adolescent, il s’en souvient et fait le bilan. Avec tendresse.
Cet article issu de l’édition abonnées vous est exceptionnellement offert. Découvrez nos offres d’abonnement
Le temps passe vite. Mon fils Diego a eu 17 ans cet été. Le même âge que j’avais lorsque j’ai rencontré Solène. A l’époque, j’étais un passionné de course à pied, je faisais mes allers-retours quotidiens au lycée en courant, je m’entraînais dès que j’avais une minute. Le prof de sport m’a recommandé auprès d’un club d’athlétisme pour que je puisse avoir mon propre entraîneur. Solène avait 36 ans, et elle y venait avec son mari. Nous étions les coureurs les plus performants du club, chacun dans sa catégorie, et rapidement nous avons pratiqué ensemble. J’étais lycéen, elle travaillait dans l’administration, on pouvait se retrouver en fin d’après-midi pour courir le long de l’Isère. C’était rare, à mon niveau, de trouver quelqu’un qui tienne la distance et j’étais ravi et pas peu fier de partager ces moments avec elle. C’était une femme superbe, avec une silhouette de coureuse, élancée, petits seins, taille fine, jambes à se damner. En plus, elle avait des yeux incroyables, violets comme ceux d’Elizabeth Taylor. Entre émulation, effort partagé et admiration mutuelle, nous nous sommes vite rapprochés.
J’étais flatté qu’on vive cette complicité, mais je n’imaginais pas une seconde que son intérêt puisse aller au-delà de l’affection amicale. Bien sûr, j’ai commencé à fantasmer sur elle, on court en short très short… J’avais déjà fait l’amour avec une fille de mon âge, mais, pour l’ado que j’étais, être initié aux choses du sexe par une femme telle que Solène tenait du rêve : l’expérience, la connaissance de son corps, de son plaisir et de celui de son partenaire, autant de choses que ne pouvait offrir une fille de 16 ans aussi terrifiée que moi à l’idée de franchir le pas. J’essayais de refouler ça lorsqu’on s’entraînait, mais, souvent, dans ma tête, ça partait en vrille.
Et, un jour, nous avons gagné, chacun dans sa catégorie, un semi-marathon. Le prix était un long week-end à Londres. Il allait de soi qu’on le passerait ensemble. Déjà dans le bus qui se dirigeait vers l’aéroport, l’ambiance avait changé entre nous. Elle potassait son guide et m’indiquait des lieux. Nos têtes se trouvaient très proches l’une de l’autre, alors que, jusque-là, nous en étions à peine à nous faire la bise. Arrivés à l’hôtel, à côté de Piccadilly Circus, nous avons posé nos affaires, évidemment chacun dans sa chambre, et nous avons passé l’après-midi à arpenter Londres. Elle avait concocté un super itinéraire, moitié monuments, moitié shopping. J’exultais d’être là, sans arrière-pensée. Et puis est arrivé le dernier truc auquel je m’attendais : alors qu’on traînait chez Marks & Spencer, elle a pris ma main. Je me disais que c’était une marque d’amitié, qu’il ne fallait pas que je me méprenne ni que je commence à me faire des films. Solène qui flirtait avec moi ? De la science-fiction !
>>> Retrouvez les podcasts C'est mon histoire
Le soir, on a mangé dans un petit resto, j’avais commandé un truc bizarre, genre huîtres à la menthe, je faisais mon malin, mais je me demandais comment j’allais pouvoir avaler ça. La vérité, c’est que j’étais de plus en plus troublé et que je ne voulais pas que ça se voie. Elle souriait à mes clowneries et me regardait d’une façon qui n’arrangeait pas mes affaires. Au dessert, elle a soufflé la bougie qui se trouvait au centre de la table et s’est penchée vers moi pour m’embrasser. « Tu es beau, Xavier, est-ce que tu sais à quel point tu es beau ? » Elle m’a avoué que cela faisait un bon bout de temps que je lui plaisais et qu’elle m’admirait « comme athlète et comme personne ». Moi, je ne me trouvais pas beau, loin s’en fallait, et ses mots m’ont bouleversé. Elle m’a demandé si je ressentais la même chose et si j’avais envie qu’on dorme ensemble. J’ai répondu oui à tout.
Nous sommes rentrés à l’hôtel. Elle est venue dans ma chambre et… vous imaginez, deux marathoniens fous de passion : on a fait l’amour toute la nuit. Littéralement : on a vu le jour se lever. Je savais à peine, à l’époque, ce que le mot « préliminaires » pouvait vouloir dire. Ah bon, les femmes aiment tant que ça qu’on leur caresse les seins ? Et on peut rigoler au lit sans avoir l’air débile ? Au réveil, nous avons recommencé. J’étais excité et renversé en même temps, et si j’ai évidemment adoré qu’elle prenne mon sexe dans sa bouche, j’ai été presque choqué quand elle a dirigé ma tête vers le bas de son ventre. Comme je savais que ça se faisait, je me suis appliqué, soucieux de bien faire sans pour autant savoir si j’aimais ou pas. On est à peine sortis de l’hôtel, juste ce qu’il fallait pour avoir des photos à montrer en rentrant. Et tant pis pour le British Museum.
Je n’en revenais pas de pouvoir réaliser mon fantasme, j’avais l’impression d’avoir atterri sur une autre planète. D’ailleurs, pendant l’année qu’a duré notre histoire, cette sensation ne m’a pas quitté. On s’est embrassés comme des fous jusqu’à Paris. Dans le train du retour, je m’attendais à ce qu’elle me dise que je devais tout oublier, mais, au contraire, elle a commencé à faire des plans pour les mois à venir. A la rentrée, j’ai commencé la fac à Lyon, j’occupais ma chambre universitaire, et je rentrais le week-end chez mes parents. Le club était toujours au centre de ma vie, et Solène avec. Je courais, j’étudiais et je faisais l’amour avec elle. Je ne peux pas dire que j’étais amoureux. Mais très attaché, séduit, accro, j’avais l’impression de vivre quelque chose d’irréel. Solène faisait souvent la petite centaine de kilomètres qui nous séparaient, et je me sentais très fier lorsqu’elle venait m’attendre à la sortie des cours. J’avais droit à des réflexions assez contrastées de la part de mes potes du « Waouh, quelle belle femme ! » admiratif au « Mais c’est une vieille » écœuré.
Pourtant je n’en avais que faire lorsqu’elle descendait de sa Golf, le sourire aux lèvres, son Lancel à l’épaule. L’âge de Solène n’était pas un souci pour moi, c’était plutôt son statut de femme mariée qui me troublait. Et aussi, ce qu’on faisait au lit. Même si elle était assez « pédagogue », il y avait des jeux pour lesquels je n’étais pas mûr. Encore à la découverte de mes sensations, je ne comprenais pas le plaisir qu’elle pouvait tirer de se faire attacher, par exemple, ou de me bander les yeux, même si elle a amené ces pratiques progressivement. Ça me faisait passer par des moments d’aversion, et ça me travaillait. Par exemple, tout ce qui touchait au sexe anal me coupait mes moyens. Blocage total, impossible. Comme si mon corps refusait d’aller plus loin. Ça aussi, ça m’a beaucoup préoccupé ! Elle a dû prendre conscience alors du décalage qu’il y avait entre nous, pas dans l’état civil, mais dans nos têtes.
Nous nous écrivions souvent, jusqu’à trois lettres par semaine – dans les années 80, il n’y avait pas d’e-mails ! – et, à ce moment, le ton des siennes a commencé à devenir mélancolique et fataliste. Elle n’était pas heureuse avec son mari, qui ne voulait pas d’enfants et dont la libido était quasi inexistante, mais, avec moi, disait-elle, « aucun avenir n’était possible ». Moi, à 18 ans, je ne me projetais pas au delà de la fin de mes études. J’essayais de la convaincre du contraire, de la rassurer, mais elle a rompu avec moi, sur la plage, en Camargue, après un week end de tendresse et de sexe. « Je ne veux pas te voler tes belles années, il faut que j’arrête d’être égoïste. » Je n’ai pas vraiment compris, mais j’ai accepté. Comme lorsqu’elle m’avait dit qu’elle me trouvait beau et avait envie de moi. J’ai ressenti un vide dans ma vie, mais c’était comme si, au fond, j’avais toujours su que ça devrait se finir ainsi. Ma vie sexuelle a beaucoup changé, les jeunes filles n’avaient pas les mêmes demandes qu’elle, j’étais perdu, parfois je dépassais les limites, d’autres fois leur pudeur m’agaçait. J’avais trop appris d’un coup et j’ai mis du temps à comprendre que le corps d’une femme s’apprivoise et qu’il faut avancer par paliers. En gros, j’ai commencé à m’y retrouver à 25 ans passés. Solène… je l’ai revue un temps, au club. Ensuite, quand j’ai laissé tomber la compétition, je l’ai croisée quelquefois en ville. Et j’ai fini par la perdre de vue.
Cet été, j’ai beaucoup pensé à elle. C’était les premières vacances que je passais avec Diego et Isabelle, ma nouvelle compagne, qui a 37 ans. Elle était hyper gênée à l’idée que mon fils puisse nous entendre faire l’amour. C’est là que j’ai vraiment mesuré le décalage énorme entre Solène et moi. Diego, ce surfeur timide, son iPod sur les oreilles, avec une femme, une vraie ? L’idée me choquait. Je me disais que j’aimerais autant qu’il y aille pas à pas, qu’il prenne le temps de découvrir, de désirer, d’attendre, d’apprendre… Un vrai papa poule ! C’est curieux comme on a beaucoup plus peur pour ses enfants que pour soi. Parce que, si c’était à refaire, je le referais : Solène, qui se trouvait égoïste, a aidé l’ado renfermé que j’étais à devenir l’homme que je suis. Même si j’ai brûlé quelques étapes.
Vous avez envie de raconter votre histoire ? Nos journalistes peuvent recueillir votre témoignage. Écrivez-nous à cmh@cmimedia.fr
C’est mon histoire d’été : « J’ai couché avec le mauvais pirate »
C'est mon histoire d'été : passion sur une île bretonne
C’est mon histoire : « Je suis tombée amoureuse au téléphone »
Podcast - C'est mon histoire : « j'ai accouché avec mon ex »
« Au secours, ses enfants sont des monstres ! »
C’est mon histoire : « Ce qui se passe au hammam reste au hammam »
J’ai testé pour vous : le double orgasme avec un sextoy
Sabrine, sur Tinder depuis trois ans : « J’ai tendance à ne matcher qu’avec des losers »
5 positions sexuelles pour une pénétration jouissive
Intuition : 6 conseils pour booster son sixième sens
Le Kama-Sutra de la semaine : 7 positions pour faire grimper la température
Comprendre les paralysies du sommeil : « J’allais au lit en ayant peur »
Julien, divorcé sur les applis de rencontres : « Je me suis pris la réalité en pleine gueule »
Allô, Giulia ? « On fait comment pour pallier la différence d’âge sans blesser personne »
C’est mon histoire : « Ce qui se passe au hammam reste au hammam »
J’ai testé pour vous : le double orgasme avec un sextoy
Sabrine, sur Tinder depuis trois ans : « J’ai tendance à ne matcher qu’avec des losers »

Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Mesure d'audience , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal
Paramétrer les cookies Accepter et fermer


Se connecter







Rechercher sur le site











Elle


Psycho & Sexo


C’est mon histoire









Partager sur facebook









Partager sur twitter









Partager sur pinterest









Suivez-nous





Lien vers réseau social facebook








Lien vers réseau social twitter








Lien vers réseau social pinterest








Lien vers réseau social youtube








Lien vers réseau social instagram








Lien vers réseau social snapchat










Newsletter Psycho-Sexo
Je m'inscris


Contacts





Annonceurs




Abonnez-vous




La rédaction




Et depuis toujours, Elle s'efforce de vous proposer des articles de qualité, engagés et exclusifs. La publicité est un des moyens de nous soutenir. En acceptant ces cookies, vous nous permettez de maintenir cette exigence éditoriale.
Nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des données personnelles vous concernant comme celles liées à votre visite sur ce site. Nous pouvons également utiliser des traceurs exemptés du recueil du consentement pour le dépôt de cookies de mesure d’audience. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur 'Paramétrer' ou dans notre page 'Données personnelles et cookies' .
Voler l’homme d’une autre et sous ses propres yeux, Céline ne s’en serait jamais cru capable. Mais la tentation était trop forte.
Cet article issu de l’édition abonnées vous est exceptionnellement offert. Découvrez nos offres d’abonnement
Partir seule en vacances avec ses deux enfants, c’est rigolo, mais il y a mieux. Je décide donc de louer, avec ma meilleure amie et son mari, une maison au bord de l’eau pour nous et nos quatre fils. J’ai besoin de chaleur, d’horizon bleu et de cigales. Nous optons pour la Méditerranée. Comme la maison est grande, Bruno, le mari de Nathalie, propose d’y convier Pierre et Fabienne, un couple d’amis que je ne connais pas, mais dont Nathalie me dit toujours du bien. 
Nous sommes déjà installés sous un olivier, quand la voiture apparaît au bout de l’allée. Fabienne en sort la première, mais je n’ai d’yeux que pour Pierre. Le soleil dans la figure, les mains sur le volant, le front ridé par la lumière, il me regarde. J’essaie de me remettre les idées en place. Il n’est pas question de faire n’importe quoi. Est-ce mon divorce qui produit cet effet-là ? Il faut dire que mon ex-mari a cessé de me toucher après la naissance de notre deuxième fils… Qui a 9 ans. Pierre me fait la bise, et son odeur me pénètre. Des papillons me montent à la tête tandis que mon cerveau analyse chaque fragrance que Pierre exhale, menthe, chaleur, reste de parfum sur le lin de sa chemise. Et tout mon corps se liquéfie. Pierre est là depuis quelques heures et, chaque fois qu’il sort de ma vue, je le cherche. Je sais qu’il sait. Je sens qu’il sent. Et cette attirance mutuelle qui a germé en une fraction de seconde ne s’estompe pas au fil de la journée. Le soir, à table, alors que nous nous asseyons côte à côte, nos genoux se frôlent. Nathalie parle de mon récent célibat , annonçant à qui veut l’entendre que les hommes, sur la plage, n’auront qu’à bien se tenir. Mes fils râlent de ces mauvaises blagues. Fabienne se joint à Nathalie pour me souhaiter : « Bonne chasse ! ». Et, à ce moment-là, la main de Pierre effleure ma cuisse. Je suis en nage. De la racine des
Trois jeunes lesbiennes se bouffent la hatte
Trois bites pour s'occuper d'elle
Une bonne baise avec Texas

Report Page