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Les petits pénis n’ont pas à rougir : les gros pénis, ça peut faire peur ! Nos conseils pour se détendre et ne pas avoir mal.
La première fois que vous avez senti la bête en érection à travers son slip, vous vous êtes dit « chouette ». La première fois que vous l’avez vue, vous vous êtes dit « ouch ». Si un gros pénis peut avoir du style, il peut aussi faire peur. Découvrez comment l’apprivoiser.
Les préliminaires ne servent pas seulement à faire joli. D’abord, ils sont agréables. Ensuite, ils préparent à l’acte sexuel : l’homme a une érection et la femme lubrifie. Et plus nous prenons notre temps, plus nous sommes disposés à la pénétration, que ce soit physiquement ou psychiquement. Face à un gros pénis, il est donc préférable de partager de longs préliminaires afin que votre vagin se détende, s’ouvre et accueille son (gros) copain en toute confiance. De plus, encouragez votre partenaire à utiliser ses doigts avant de piquer une tête, un peu comme on ne saute jamais dans la piscine sans avoir mouillé sa nuque.
Si ça fait mal ou que l’on appréhende, on ne force rien : la pénétration doit être très lente. On peut d’abord se rassurer et se rappeler que le vagin est conçu pour s’adapter au pénis, un peu comme un collant (que vous y mettiez un stylo ou une baleine, ça s’étire). Généralement, nous avons une vision déformée des organes génitaux et l’impression que le vagin est tout petit et étroit tandis que le pénis est très imposant. Ne doutez pas de votre vagin. Bien sûr, ce n'est pas une raison pour insister. Si vous êtes excitée et que ça bloque, reprenez les préliminaires (et le temps). Il n’y a pas le feu au lac, aimait dire mamie en parlant de la vie.
Le lubrifiant est votre meilleur allié ! Contrairement à ce que l’on croit, il n’est pas réservé aux femmes qui souffrent de sécheresse vaginale ou aux couples qui pratiquent la sodomie . Tout le monde est invité à utiliser du lubrifiant, tout simplement parce que la lubrification féminine n’est ni automatique ni constante (et que plus c’est humide, plus on aime). Alors, on opte pour lequel ? A base d’eau ou de silicone ? Il faut savoir que le lubrifiant à base d’eau sèche plus vite que le lubrifiant à base de silicone. Ce dernier est recommandé pour des rapports sexuels plus longs et plus sportifs.
Parlons désormais positions : à partir du moment où vous êtes sur votre partenaire (en Andromaque , par exemple), vous pouvez décider de la profondeur de la pénétration ainsi que du rythme des va-et-vient. Idéal pour ne pas avoir mal. Si la levrette ou la missionnaire vous empêchent de contrôler la situation, demandez à votre partenaire d’aller doucement et bougez votre bassin à la recherche de l’angle de pénétration qui vous convient le plus. Vous pouvez également faire des pauses pendant le coït afin de vous occuper du gland de votre clitoris. Des caresses qui boosteront votre excitation pour mieux repartir.
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Le vagin et le pénis sont deux entités qui se complètent et ont les mêmeS intentions ; LIEN ENTRE LES DEUX ÊTRES (OU PLUSieurs) , ORGASMES COSMIQUES ET FÉCONDITÉ.

Pasteur chaste jean-rené

Bref, le désir masculin et féminin sont semblables.
Je m'en doutais un peu...

Je vais ressentir le plaisir, le désir avec l'imagination. Ne pas avoir mon homme à mes côtés durant quelques jours et c'est l'anarchie totale niveau émotions ! Je ressens un plaisir, une envie de lui en voyant seule un film d'amour, avec des scènes d'amour réalistes qui traduisent une sensualité très forte, qui donnent envie. Comme les hommes aiment voir du porno. Je lui fais alors des tas de sextos, des messages brûlants, qui le réveillent dés que l'on se voit... un régal !


je ne prend du plaisir que lorsque je controle totalement mon partenaire... j'aime le sentir totalement à ma merci... j'aime le savoir maso, offert et fragile ... soumis... alors qu'il est si dominant dans son travail et dans la vie de tout les jours... cette excitation interdite, secrete me grise totalement..
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La libido féminine dérange. Parfois même : on la craint. De là à savoir qui et pourquoi, c’est plus compliqué. James Pfaus, éminent chercheur en neurobiologie du comportement sexuel à l'Université Concordia, à Montréal, tente d’apporter une réponse, aussi sincère que maladroite ou déplacée, c’est selon. “Pourquoi maintenons-nous le désir des femmes sous une chape de plomb ? Les hommes ont peur : si cette boîte de Pandore s'ouvre, si nous perdons le contrôle, nous allons tous être cocus. L'intérieur de la boîte nous effraie”, lance-t-il.
Sur ce terreau prospèrent à l'envi les mythes foireux et les diktats sociaux immuables depuis des siècles, laissant accroire que la libido féminine serait un filet d'eau tiède, plus doucereuse que volcanique, se réchauffant aux seuls feux de l'amour. Dans l'inconscient collectif, le raccourci est vite fait : sexualité féminine libre et libérée = batifolage, voire désordre social.
Et on en était encore là, en 2014 (date de parution initiale de cet article, ndlr ) comme en 2019, cinq ans plus tard, lors de sa réédition. Stop ! Il est grand temps de tordre le cou aux idées reçues. Le journaliste américain Daniel Bergner s'y est attelé, dans Que veulent les femmes ? Ed. Hugo Doc , en compilant ses huit années d'investigation sur la sexualité féminine. Voici la vérité. Sa vérité, du moins.
Et si on embarquait pour une expérience de lâcher-prise sexuel total, sans tabous ni pudeur, afin de lever le voile sur le véritable starter de l'excitation féminine ? Aux commandes, Meredith Chivers, professeure de psychologie à la Queen's University de Kingston (Canada). Elle a convié des femmes à visionner sept films érotiques de 90 secondes. Tandis qu'elles sont installées dans un fauteuil, une fine sonde de 5 cm de long est placée dans leur vagin. Mission : mesurer l'afflux sanguin vaginal, lequel s'intensifie proportionnellement à l'excitation sexuelle. Ce qui déclenche, en réaction, la lubrification des muqueuses. “De cette manière, on cerne au plus près ce qui, au niveau primaire, excite les femmes, car les barrières mentales sont contournées”, indique la spécialiste.
Visualisons les films en question. Le premier met en scène une femme nue allongée dans un bois. Son amant, aux muscles saillants et aux cheveux ras, la pénètre avec vigueur. Il est militaire. Pour accélérer son va-et-vient en elle, il prend appui sur ses bras, et la caméra s'attarde sur ses fesses tendues sous l'action. La femme noue ses jambes autour de sa taille et finit par agripper ses bras dans le plaisir. Fin de la séquence. Pour remettre à zéro le curseur de l'excitation potentielle avant la projection suivante, on projette aux "cobayes" des images, neutres, de montagnes. Deuxième film : un homme nu à la plastique sculpturale ­- disons Bradley Cooper ou Teddy Riner - marche sur une plage. Son sexe, au repos, balance d'une cuisse à l'autre. Le geste de lancer des galets fait saillir ses muscles. Zoom sur son bas-ventre quand, bravant le danger, il longe à pas vifs l'arête d'une falaise. Troisième film : une femme est assise, nue, sur le rebord d'une baignoire. Plans serrés sur ses seins, beaux et lourds, aux aréoles sombres. Une seconde femme sort de la baignoire, cheveux et corps ruisselants. Aussitôt elle enfouit son visage entre les cuisses de la première et s'adonne à un cunnilingus voluptueux. Ainsi se succèdent une fellation passionnée entre hommes, des scènes de masturbation féminine et masculine, une sodomie gay, une pénétration lesbienne... Clou du show, le septième film : un couple de singes bonobos joue dans une prairie. Subitement, la femelle se laisse tomber sur le dos et lève les pattes, le mâle la pénètre illico et adopte un rythme endiablé. La femelle déploie ses bras derrière sa tête.
Conclusions de l'expérience ? Toutes les femmes ont été instantanément émoustillées par chacun des scénarios, bonobos compris... A un détail près : l'homme nu sur la plage a suscité une excitation moindre que les singes en rut. Quant aux lesbiennes, leur afflux sanguin vaginal a connu une sérieuse inflation devant les scènes de fellations et de sodomies masculines. Traduction : “L'excitation sexuelle féminine est totalement anarchique et affiche des tendances omnivores. Ce qui signe l'animalité d'une pulsion primitive dans le désir féminin.”
Là où les choses se corsent, c'est que toutes les “cobayes” ont déclaré ­ sur une tablette numérique qui leur était remise ­ ne pas avoir été excitées du tout. Un ressenti intime résolument contradictoire avec les données physiologiques relevées par l'appareil. La psychologue Terri Fisher, de l'Ohio State University, à Mansfield, y voit la preuve d'une censure intériorisée par les femmes après des siècles d'oppression de leur plaisir : “Être un humain sexué, à qui on permet d'être actif sexuellement, est une liberté que la société accorde plus facilement aux hommes qu'aux femmes. La répression imposée aux femmes a laissé des traces.”
Il est des clichés qui s'accrochent comme une bernique sur un rocher : l'osmose émotionnelle, la réassurance, la confiance et les sentiments comme indispensables aphrodisiaques féminins sont de ceux-là. Oui, cela compte. Parfois. Mais pas toujours... Cette fois-ci, l'expérience passe par des pornos sonores. Parmi les scénarios à fantasmer : Ryan Gosling ou Idris Elba, en agent immobilier à la virilité trépidante, vous fait visiter un appartement ; vous ne résistez pas, et le parquet devient le terrain d'ébats ébouriffants. Une inconnue, moulée dans une robe torride, vous suit chez vous et referme la porte à clé. Une autre, dans le vestiaire de votre salle de sport, essuie son corps au sortir de la douche en vous fixant dans les yeux. Un copain, de passage pour le week-end, s'exhibe nu dans l'appartement. Votre amant(e) officiel(le) rentre avec un bouquet de fleurs. Votre meilleure amie essaie de la lingerie qui galbe ses courbes.
Résultat : la perspective d'un corps à corps enflammé avec un homme ou une femme totalement inconnu(e), dans une situation imprévue, décroche la palme du désir impérieux et débride littéralement la libido féminine. Sachant que l'inconnu mâle s'avère huit fois plus excitant que les autres. En troisième position s'imposent les jeux sexuels avec une amie connue. L'amant officiel est largement distancé ; quant au copain de longue date, il ne suscite aucun attrait sexuel. “ L'érotisme fonctionne le mieux dans l'imprévu et avec des inconnus ”, résume la Pre Chivers.
Non, les femmes ne sont pas de pures affectives émotionnelles qui laisseraient aux seuls hommes le plaisir de jouir de ce qu'ils voient dans leurs étreintes, comme le confie Nathalie, 47 ans : “Quand je défais sa ceinture, j'aime deviner son sexe bandé sous le tissu du caleçon, et je guette cet instant où il va surgir pour moi, la veine principale palpitante de désir. Il n'est jamais tout à fait le même, je touche, j'embrasse, je lèche, j'aime me dire que ce bronze puissant enveloppé de soie fragile, que je regarde, va renverser mes sens.” 
Une appétence visuelle que confirme Kim Wallen, chercheur en neuropsychologie à l'Emory University, à Atlanta. Armé de logiciels neuro-mathématiques, il a mesuré le temps et le degré d'observation d'hommes et de femmes regardant des photos érotiques, afin de définir l'intérêt qu'elles suscitaient chez eux. Résultat : les femmes les ont scrutées avec autant d'audace et aussi intensément que les hommes. 
De son côté, la Pre Chivers a soumis des gros plans de pénis au repos et en érection, ainsi que de vulves­ en partie cachées par les cuisses, puis largement offertes ­à des femmes hétérosexuelles. Effet immédiat constaté : afflux sanguin record dans les muqueuses vaginales, et donc excitation optimale, devant le sexe en érection. Une ultra-réactivité visuelle qui apporte “une preuve de plus que le désir féminin, à la base, est tout ce qu'il y a de plus anima”.
“Au cœur de la libido féminine, on trouve le besoin d'être l'objet de tous les désirs pour désirer en retour. Le narcissisme, c'est l'étincelle du désir féminin. Le véritable orgasme, c'est d'être désirée", plaide Marta Meana, ancienne présidente de la Société pour la recherche et la thérapie sexuelles, docteure en psychologie à l'Université du Nevada, à Las Vegas. Pour parvenir à ces conclusions, elle a conduit des expériences avec un appareil quasi ophtalmologique. Les femmes y posent le menton, et l'appareil enregistre, à la milliseconde près, toute oscillation de l’œil et, de fait, la façon dont il scrute les images, tandis qu'elles visionnent un film X ou des photos scénarisant des préliminaires sexuels . Conclusion : les femmes s'attardent sur le visage et le corps des femmes, mais avec nettement plus d'insistance sur les expressions manifestes et significatives du désir de l
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