Elle aime quand son mec prend les devants
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Elle aime quand son mec prend les devants
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BIBA, un magazine féminin et un site qui font vraiment du bien ! Mode, beauté, lifestyle, culture, pratique, psycho, love & sexe… On y parle de tout, on y échange bons plans et conseils, confidences et fous rires. Un vrai shot de pep’s !
Que pensent-ils de celles qui n’hésitent pas à prendre les devants ? Sans détour, nous leur avons posé la question !
« Il y a peu, j'ai rencontré une nana très sympa, douce, maligne, bretonne, raconte Fred. Au deuxième rencard, très vite dans la soirée, elle s'est approchée avec un petit sourire et m'a dit : "Je fais un truc" et elle m'a roulé une pelle puis s'est rassise à côté de moi pour finir son verre. Elle m'a signifié son désir de cette manière simple et franche. J'ai trouvé ça hyper joli. Ça m'a un peu surpris parce que c'est rare ! » Fini le temps où nous attendions sagement que monsieur fasse le premier pas ? Pas si sûr. À en croire ceux que nous avons interrogés, si les filles affichent aujourd'hui une image décomplexée, dans la réalité, la drague reste une prérogative masculine. Une constatation qui n'étonne pas Thérèse Hargot, jeune sexologue et philosophe, auteur d'Une jeunesse sexuellement libérée (ou presque) (Albin Michel) : « Beaucoup de jeunes femmes n'osent pas, parce qu'elles ne se voient pas comme "désirables". » Un manque de confiance, doublé selon elle d'une si forte imprégnation du mythe du prince charmant que nous préférons souvent attendre que l'amour, le vrai, l'unique, nous tombe dessus au coin de la rue. Y compris pour celles qui se montrent pourtant très entreprenantes dans le domaine professionnel. Il est peut-être temps d'arrêter de guetter le cheval blanc... Qui prend les devants ne se contente plus de ce qui vient (ou ne viendra jamais) mais choisit ce qui lui plaît.
Peu habitués à se faire brancher, nos hommes reconnaissent que ça peut les déstabiliser, voire leur faire peur. « Je serais plus que sceptique quant à la sincérité de la fille. Ce serait même assez dérangeant », avoue Sébastien, 29 ans. « C'est vrai que tu te demandes où est le piège. Plus la fille est jolie et inconnue, moins ça te paraît logique qu'elle t'aborde. Soit elle joue, soit elle est désespérée », ajoute Grégory, 33 ans. Les clichés ont la vie dure. Pour certains, encore trop nombreux, celle qui aborde cherche « un plan d'un soir », est « du genre dominatrice » ou veut « se caser à tout prix ». Pour d'autres, se retrouver dans le rôle de la proie devient anxiogène : « C'est si peu commun qu'on peut psychoter, du genre la femme "appât" et ses compères qui t'attendent chez elle », lance Guillaume, 38 ans. Et pourquoi pas une caméra cachée pendant qu'on y est ?!
Globalement, nos héros se disent plutôt fatigués de mener tout le temps la barque et voient d'un bon œil que nous prenions l'initiative. « Au nom de quoi devrait-on systématiquement jouer à ce jeu du dragueur et de la draguée ? », interroge Fred. Ça change, ça repose. Ça va aussi dans le sens d'une société « moins stéréotypée », dans laquelle « une femme a le droit de draguer de la même façon qu'un homme a le droit d'aimer élever ses enfants », observe Arnaud, 34 ans. Pour certains, ça facilite les choses. « Moi qui suis timide, ça m'arrange que la fille soit entreprenante », reconnaît Willem, 21 ans. À condition « qu'elle ne soit pas trop directe non plus ». Ni trop cash, ni vulgaire, ni trop insistante. Mais audacieuse, rigolote, charmante. Et spontanée. « Les hommes aiment les femmes qui osent dire ce qu'elles pensent », affirme Thérèse Hargot, qui suggère de s'entraîner à la spontanéité en faisant par exemple, des compliments à ses amis.
« Quand j'ai rencontré Julie, j'étais déjà en couple. Mon histoire s'étiolait, nous n'habitions pas la même ville parce que j'étais parti pour mes études mais, dans ma tête, je n'étais pas disponible. Si Julie ne m'avait pas dragué, je ne serais jamais allé vers elle », raconte Stéphane, aujourd'hui marié (avec Julie !) et papa de deux petits garçons. Sans vous inciter à aller séduire tous les mecs casés de la planète, il serait dommage de laisser passer une belle rencontre parce qu'on n'ose pas. Ça vous apporterait aussi la preuve que vous valez mieux que le lourdaud qui vous a tenu la jambe au bar la dernière fois. Peur du râteau ? Ça n'a jamais tué personne.
Car la plupart finissent par l'avouer, être le fruit du désir leur procure des sensations grisantes. « J'ai toujours trouvé ça flatteur, que la fille me plaise ou non », reconnaît Arnaud. Eux aussi aiment plaire et être rassurés sur leur séduction. Adrien, 41 ans, se souvient d'une soirée chez un pote où il retrouvait une fille déjà croisée qu'il considérait comme « trop belle » pour lui. Quand elle a engagé la conversation, puis lui a donné son numéro, il a eu du mal à en croire ses yeux. « Je n'imaginais pas que je puisse être son genre. Ce jour-là, mon ego s'est épanoui ! » Leur histoire a duré trois ans. On est loin là encore de la « collectionneuse » d'amants d'un soir.
La drague trop longtemps l’apanage des hommes qui sont à présent quelque peu déboussolés quand ils se font accoster par une femme ayant compris qu’en faisant le premier pas, c’est un peu plus de liberté qu’elle conquiert.
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« Il y a peu, j'ai rencontré une nana très sympa, douce, maligne, bretonne, raconte Fred. Au deuxième rencard, très vite dans la soirée, elle s'est approchée avec un petit sourire et m'a dit : "Je fais un truc" et elle m'a roulé une pelle puis s'est rassise à côté de moi pour finir son verre. Elle m'a signifié son désir de cette manière simple et franche. J'ai trouvé ça hyper joli. Ça m'a un peu surpris parce que c'est rare ! » Fini le temps où nous attendions sagement que monsieur fasse le premier pas ? Pas si sûr. À en croire ceux que nous avons interrogés, si les filles affichent aujourd'hui une image décomplexée, dans la réalité, la drague reste une prérogative masculine. Une constatation qui n'étonne pas Thérèse Hargot, jeune sexologue et philosophe, auteur d'Une jeunesse sexuellement libérée (ou presque) (Albin Michel) : « Beaucoup de jeunes femmes n'osent pas, parce qu'elles ne se voient pas comme "désirables". » Un manque de confiance, doublé selon elle d'une si forte imprégnation du mythe du prince charmant que nous préférons souvent attendre que l'amour, le vrai, l'unique, nous tombe dessus au coin de la rue. Y compris pour celles qui se montrent pourtant très entreprenantes dans le domaine professionnel. Il est peut-être temps d'arrêter de guetter le cheval blanc... Qui prend les devants ne se contente plus de ce qui vient (ou ne viendra jamais) mais choisit ce qui lui plaît.
Peu habitués à se faire brancher, nos hommes reconnaissent que ça peut les déstabiliser, voire leur faire peur. « Je serais plus que sceptique quant à la sincérité de la fille. Ce serait même assez dérangeant », avoue Sébastien, 29 ans. « C'est vrai que tu te demandes où est le piège. Plus la fille est jolie et inconnue, moins ça te paraît logique qu'elle t'aborde. Soit elle joue, soit elle est désespérée », ajoute Grégory, 33 ans. Les clichés ont la vie dure. Pour certains, encore trop nombreux, celle qui aborde cherche « un plan d'un soir », est « du genre dominatrice » ou veut « se caser à tout prix ». Pour d'autres, se retrouver dans le rôle de la proie devient anxiogène : « C'est si peu commun qu'on peut psychoter, du genre la femme "appât" et ses compères qui t'attendent chez elle », lance Guillaume, 38 ans. Et pourquoi pas une caméra cachée pendant qu'on y est ?!
Globalement, nos héros se disent plutôt fatigués de mener tout le temps la barque et voient d'un bon œil que nous prenions l'initiative. « Au nom de quoi devrait-on systématiquement jouer à ce jeu du dragueur et de la draguée ? », interroge Fred. Ça change, ça repose. Ça va aussi dans le sens d'une société « moins stéréotypée », dans laquelle « une femme a le droit de draguer de la même façon qu'un homme a le droit d'aimer élever ses enfants », observe Arnaud, 34 ans. Pour certains, ça facilite les choses. « Moi qui suis timide, ça m'arrange que la fille soit entreprenante », reconnaît Willem, 21 ans. À condition « qu'elle ne soit pas trop directe non plus ». Ni trop cash, ni vulgaire, ni trop insistante. Mais audacieuse, rigolote, charmante. Et spontanée. « Les hommes aiment les femmes qui osent dire ce qu'elles pensent », affirme Thérèse Hargot, qui suggère de s'entraîner à la spontanéité en faisant par exemple, des compliments à ses amis.
« Quand j'ai rencontré Julie, j'étais déjà en couple. Mon histoire s'étiolait, nous n'habitions pas la même ville parce que j'étais parti pour mes études mais, dans ma tête, je n'étais pas disponible. Si Julie ne m'avait pas dragué, je ne serais jamais allé vers elle », raconte Stéphane, aujourd'hui marié (avec Julie !) et papa de deux petits garçons. Sans vous inciter à aller séduire tous les mecs casés de la planète, il serait dommage de laisser passer une belle rencontre parce qu'on n'ose pas. Ça vous apporterait aussi la preuve que vous valez mieux que le lourdaud qui vous a tenu la jambe au bar la dernière fois. Peur du râteau ? Ça n'a jamais tué personne.
Car la plupart finissent par l'avouer, être le fruit du désir leur procure des sensations grisantes. « J'ai toujours trouvé ça flatteur, que la fille me plaise ou non », reconnaît Arnaud. Eux aussi aiment plaire et être rassurés sur leur séduction. Adrien, 41 ans, se souvient d'une soirée chez un pote où il retrouvait une fille déjà croisée qu'il considérait comme « trop belle » pour lui. Quand elle a engagé la conversation, puis lui a donné son numéro, il a eu du mal à en croire ses yeux. « Je n'imaginais pas que je puisse être son genre. Ce jour-là, mon ego s'est épanoui ! » Leur histoire a duré trois ans. On est loin là encore de la « collectionneuse » d'amants d'un soir.
La drague trop longtemps l’apanage des hommes qui sont à présent quelque peu déboussolés quand ils se font accoster par une femme ayant compris qu’en faisant le premier pas, c’est un peu plus de liberté qu’elle conquiert.
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Que pensent-ils de celles qui n’hésitent pas à prendre les devants ? Sans détour, nous leur avons posé la question !
« Il y a peu, j'ai rencontré une nana très sympa, douce, maligne, bretonne, raconte Fred. Au deuxième rencard, très vite dans la soirée, elle s'est approchée avec un petit sourire et m'a dit : "Je fais un truc" et elle m'a roulé une pelle puis s'est rassise à côté de moi pour finir son verre. Elle m'a signifié son désir de cette manière simple et franche. J'ai trouvé ça hyper joli. Ça m'a un peu surpris parce que c'est rare ! » Fini le temps où nous attendions sagement que monsieur fasse le premier pas ? Pas si sûr. À en croire ceux que nous avons interrogés, si les filles affichent aujourd'hui une image décomplexée, dans la réalité, la drague reste une prérogative masculine. Une constatation qui n'étonne pas Thérèse Hargot, jeune sexologue et philosophe, auteur d'Une jeunesse sexuellement libérée (ou presque) (Albin Michel) : « Beaucoup de jeunes femmes n'osent pas, parce qu'elles ne se voient pas comme "désirables". » Un manque de confiance, doublé selon elle d'une si forte imprégnation du mythe du prince charmant que nous préférons souvent attendre que l'amour, le vrai, l'unique, nous tombe dessus au coin de la rue. Y compris pour celles qui se montrent pourtant très entreprenantes dans le domaine professionnel. Il est peut-être temps d'arrêter de guetter le cheval blanc... Qui prend les devants ne se contente plus de ce qui vient (ou ne viendra jamais) mais choisit ce qui lui plaît.
Peu habitués à se faire brancher, nos hommes reconnaissent que ça peut les déstabiliser, voire leur faire peur. « Je serais plus que sceptique quant à la sincérité de la fille. Ce serait même assez dérangeant », avoue Sébastien, 29 ans. « C'est vrai que tu te demandes où est le piège. Plus la fille est jolie et inconnue, moins ça te paraît logique qu'elle t'aborde. Soit elle joue, soit elle est désespérée », ajoute Grégory, 33 ans. Les clichés ont la vie dure. Pour certains, encore trop nombreux, celle qui aborde cherche « un plan d'un soir », est « du genre dominatrice » ou veut « se caser à tout prix ». Pour d'autres, se retrouver dans le rôle de la proie devient anxiogène : « C'est si peu commun qu'on peut psychoter, du genre la femme "appât" et ses compères qui t'attendent chez elle », lance Guillaume, 38 ans. Et pourquoi pas une caméra cachée pendant qu'on y est ?!
Globalement, nos héros se disent plutôt fatigués de mener tout le temps la barque et voient d'un bon œil que nous prenions l'initiative. « Au nom de quoi devrait-on systématiquement jouer à ce jeu du dragueur et de la draguée ? », interroge Fred. Ça change, ça repose. Ça va aussi dans le sens d'une société « moins stéréotypée », dans laquelle « une femme a le droit de draguer de la même façon qu'un homme a le droit d'aimer élever ses enfants », observe Arnaud, 34 ans. Pour certains, ça facilite les choses. « Moi qui suis timide, ça m'arrange que la fille soit entreprenante », reconnaît Willem, 21 ans. À condition « qu'elle ne soit pas trop directe non plus ». Ni trop cash, ni vulgaire, ni trop insistante. Mais audacieuse, rigolote, charmante. Et spontanée. « Les hommes aiment les femmes qui osent dire ce qu'elles pensent », affirme Thérèse Hargot, qui suggère de s'entraîner à la spontanéité en faisant par exemple, des compliments à ses amis.
« Quand j'ai rencontré Julie, j'étais déjà en couple. Mon histoire s'étiolait, nous n'habitions pas la même ville parce que j'étais parti pour mes études mais, dans ma tête, je n'étais pas disponible. Si Julie ne m'avait pas dragué, je ne serais jamais allé vers elle », raconte Stéphane, aujourd'hui marié (avec Julie !) et papa de deux petits garçons. Sans vous inciter à aller séduire tous les mecs casés de la planète, il serait dommage de laisser passer une belle rencontre parce qu'on n'ose pas. Ça vous apporterait aussi la preuve que vous valez mieux que le lourdaud qui vous a tenu la jambe au bar la dernière fois. Peur du râteau ? Ça n'a jamais tué personne.
Car la plupart finissent par l'avouer, être le fruit du désir leur procure des sensations grisantes. « J'ai toujours trouvé ça flatteur, que la fille me plaise ou non », reconnaît Arnaud. Eux aussi aiment plaire et être rassurés sur leur séduction. Adrien, 41 ans, se souvient d'une soirée chez un pote où il retrouvait une fille déjà croisée qu'il considérait comme « trop belle » pour lui. Quand elle a engagé la conversation, puis lui a donné son numéro, il a eu du mal à en croire ses yeux. « Je n'imaginais pas que je puisse être son genre. Ce jour-là, mon ego s'est épanoui ! » Leur histoire a duré trois ans. On est loin là encore de la « collectionneuse » d'amants d'un soir.
La drague trop longtemps l’apanage des hommes qui sont à présent quelque peu déboussolés quand ils se font accoster par une femme ayant compris qu’en faisant le premier pas, c’est un peu plus de liberté qu’elle conquiert.
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