Elle aime les américains

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Publié le
02/05/2016 à 07:00 , mis à jour le

07/06/2016 à 09:47








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« L'amour à l'américaine, les Français n'y comprennent rien »


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Américains et Français ont souvent une vision du couple très différente.
Quand Danielle s'est rendue à Paris pour étudier, elle n'est pas seulement tombée amoureuse des croissants et des planches de charcuterie. Cette Américaine trentenaire originaire de Santa Monica, près de Los Angeles, a aussi testé le marché français des hommes et tout ne s'est pas exactement passé comme prévu. 

"J'ai daté comme je l'aurais fait chez moi, cumulant les rendez-vous et les hommes avec qui je sortais. Je me suis vite fait traiter de tous les noms et je ne comprenais pas bien pourquoi", raconte-t-elle, un peu déboussolée. 

Les Français qui se rendent aux Etats-Unis sont tout aussi surpris. Alors qu'il est convenu de ne fréquenter qu'une personne à la fois en France, même si ce n'est que pour une semaine, les Américains voient les rencontres comme une étude de marché pragmatique: tant qu'aucun contrat moral n'est conclu, il est préférable de continuer à chercher . 

Un phénomène d'autant plus important dans les grandes villes, où le choix est illimité , que dans des régions plus conservatrices ou les petits villages. Ils enchaînent les dates , ces rendez-vous codifiés qui ressemblent presque à des interviews, généralement initiés par les hommes, qui paieront l'addition. Les Françaises les plus modernes n'ont qu'à ravaler leur fierté. 

Le premier rendez-vous est destiné à faire les présentations autour d'un verre, et éventuellement à échanger un baiser sur le pas de la porte de la fille après l'avoir raccompagnée. La seconde date se passera souvent autour d'un dîner , la troisième peut être une activité de jour, comme une randonnée ou un tour de vélo histoire de voir son potentiel partenaire en pleine lumière. A ce stade, si aucun baiser n'est échangé, les Américains en concluront que l'autre n'est pas intéressé et cesseront sans doute d'initier d'autres rencontres. 

Même chose si le sexe n'arrive pas assez rapidement, idéalement autour du troisième ou du quatrième rendez-vous, surtout chez les plus jeunes. "Je me souviens d'un garçon qui était fatigué d'attendre que l'on passe à l'acte, car on se connaissait depuis... deux semaines. Je n'ai pas l'impression d'avoir perdu grand chose", raconte Karine, 28 ans. "Si les choses n'avancent pas, on se dit que la fille veut juste être pote , et franchement je ne suis pas intéressé. Je préfère dépenser mon argent pour une fille qui ne se fait pas prier", balance sans complexes Matthew, un Américain de 25 ans. 

Un calendrier difficile à tenir pour les Français, habitués à laisser faire les choses plus naturellement et sans pression. Maximilien, 27 ans et originaire de Paris, a débarqué à Los Angeles sans aucune notion de ce qui l'attendait. "Les films américains ne nous préparent pas à ça, car c'est dans leurs moeurs et ils ne voient pas l'intérêt de formuler ce qu'est une date et les étapes à suivre . 

Quand j'ai rencontré ma copine, je l'ai emmenée dîner , puis on a fait une activité en plein air, puis on s'est revus une troisième fois, et elle, elle s'impatientait, elle attendait qu'il se passe quelque chose, pendant que moi, en bon Français, j'apprenais juste à la connaître. C'est un ami commun français qui lui a dit de m'expliquer comment ça marche ici. Si elle ne m'avait pas mis les points sur les i, on y serait encore", s'amuse t-il. 

Et les difficultés ne faisaient que commencer. Car le jeu des dates doit mener à un exercice à faire frémir n'importe quel couple français naissant: parler du statut de la relation . Après quelques semaines vient la discussion sur ce que l'on attend de l'autre et la décision, ou non, d'être exclusifs. 

Auquel cas le couple devient " officiel ", s'appelle " boyfriend " et " girlfriend ", et sera présenté comme tel en société. Comprendre que jusqu'alors, il était tout à fait toléré d'embrasser Martha le lundi, de coucher avec Samantha le mardi, de se balader main dans la main avec Helen le mercredi, puis de partir en week-end avec Martha, qui finalement semble être le meilleur parti. 

Une règle qui fonctionne sur le papier autant pour les filles que pour les garçons, même si les filles seront jugées plus durement si elles semblent papillonner un peu trop. Un vrai casse-tête pour les Français, qui parfois obtiennent une dérogation de par leur statut d'étranger. 

"Quand j'ai rencontré mon copain je n'avais pas particulièrement prévu que ce soit du long terme, mais je lui ai dit que si on couchait ensemble, il n'était pas autorisé à le faire avec quelqu'un d'autre. Que s'il voulait voir ailleurs, c'était fini. Il a fait une exception pour moi car j'ai expliqué que c'était culturel ", raconte Charlotte, Versaillaise de 33 ans qui habite désormais Los Angeles. 

Un message qu'il est souvent difficile à faire passer, les Français ayant, ironiquement, la réputation d'être polygames . "Tout le monde a des amants et des maîtresses en France" est un adage que les expatriés entendent en boucle. Un cliché véhiculé notamment par les médias américains qui se délectent des aventures extra-conjugales de nos hommes politiques presque autant que des leurs. 

Un choc culturel donc, mais les Français ne sont pas les seuls à se plaindre des règles du dating à l'américaine. Les natifs du pays se disent épuisés par ce processus de sélection qui tient davantage de l'entretien d'embauche que de l'élan du coeur, et la multitude d'options virtuelles offertes par les sites de rencontre n'arrangent pas la situation. 

Les Américains gèrent leur vie amoureuse comme on gère une entreprise, font jouer la compétition , tentent de faire des choix qui rapportent. Car le but ultime de cette danse amoureuse reste le mariage , institution toujours très ancrée dans la culture américaine. Un contrat que l'on se doit de conclure avec le meilleur parti possible. 




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Les Américaines, en tout cas. Je ne sais pas si c’est ce que ressentent les expatriées d’autres parties du monde mais ici, c’est un fait médiatique : nous sommes parfaites (ou presque). Hélas, ça tient plus du mythe que de la réalité et c’est surtout devenu un argument commercial pour bien vendre. Bien sûr, on ne niera pas l’élégance indépassable d’une Coco Chanel, ni que nos grands couturiers ont fait l’histoire de la mode. Néanmoins, avec la globalisation et la malbouffe, ce temps béni où “les femmes françaises ne grossiss[ai]ent pas” (titre d’un livre à succès publié en 2006, French Women Don’t Get Fat ) est définitivement révolu. Et croyez bien que je suis la première à le regretter !
Cependant, il y a comme pour tout un fond de vrai et, j’avoue, je fais partie des irréductibles qui préféreraient s’arracher un bras plutôt que d’aller à l’école en tenue de sport, sauf si je vais VRAIMENT faire un footing derrière. A ce niveau, Boston, comme toutes les villes cossues des USA, n’est pas vraiment représentative du reste du pays. Car si vous y voyez une femme en tenue de sport, outre le fait que la tenue elle-même vaut souvent plusieurs centaines de dollars, c’est parce qu’elle va vraiment faire du sport, pas parce qu’elle trouve ça confortable. Car n’oublions pas que l’Américain aime courir. Tout le temps. Partout. Et par tous les temps. On aura l’occasion d’y revenir.
Quant à ma sportive américaine, en général, c’est la même qui alterne les régimes “ sans ” (gluten, graisse, plaisir…), qui ne jure que par le kale , et qui vénère la déesse hollywoodienne de la nutrition, Gwyneth Paltrow. On en a quelques-unes chez nous aussi…
En revanche, il est rarissime de voir une femme française se laisser aller aux fameux comfy pants une fois rentrée du boulot, une habitude très répandue chez les Américaines. Kézako ? Le pantalon de jogging-yoga (voire pyjama) qu’enfilent beaucoup d’entre elles à la seconde où elles passent le seuil de leur maison. Comme si le fait d’avoir travaillé toute la journée en tenue apprêtée leur donnait le droit de ressembler à rien le soir. Si encore c’était avant le repas… Personnellement, ça m’a toujours dépassée.
Bien sûr, je mentirais si je disais que je ne fais pas ça le week-end. Ça va avec l’ambiance de traîne du samedi matin, les tartines et le petit café au lit… Mais bon, je ne vois pas pourquoi je le ferais en semaine aussi. Comme si l’élégance n’était réservée qu’au boulot et aux soirées. Évidemment, je fais toujours plus d’efforts quand je sors/travaille que lorsque je reste chez moi, mais il y a un juste milieu entre ressembler à Dita Von Teese et à un sac, non ?
Une autre habitude vestimentaire qui me fait frémir : les voir trotter sur le chemin du boulot ou au retour en tailleur avec des baskets. C’est vrai, moi aussi je n’ai pas envie de porter toute la journée mes 12 cm de talon –bon, OK, 5 cm, je n’ai plus 20 ans – mais y a un truc formidable et qui par chance est à la mode, j’ai nommé les ballerines. Pourquoi préférer imposer cette tenue tailleur-baskets qui fait mal aux yeux – plus genre conjonctivite mal soignée que poussière dans l’œil, voyez ? J’exagère à peine, mais franchement, c’est juste laid.
C’est peut être l’une de nos différences fondamentales en la matière : si elle doit choisir, l’Américaine optera en général pour le confort plutôt que pour l’élégance. Mais si elle décide d’être élégante, au contraire, c’est le grand jeu ! Parfois trop, d’ailleurs. J’ai de bonnes anecdotes là-dessus, je vous raconterai. En attendant, mangez, bougez, sortez, mais surtout, soyez toujours classe : on a une réputation à tenir !


Etats-Unis , Vie Expat 04/08/2018 02/03/2019

Culture américaine : 21 choses étonnantes aux Etats-Unis


Je ne sais pas comment cela se passe dans le pays où...
Je m’appelle Gabrielle, et j’ai vécu dans de nombreux pays depuis 10 ans, avant de poser mes valises en Angleterre. Je suis passionnée par toutes les facettes qui entourent la vie à l’étranger, et j'écris sur ce sujet quelque que soit le format : articles de blogs, récits de voyage ou chroniques ! Je propose aussi des séances d'aide à l'expatriation et j'anime des conférences à ce sujet. Discutons !

L'allé du Monde par Gabrielle Narcy / DESIGN : LE STUDIO LAM
Qu’il s’agisse des Etats-Unis ou des autres pays où j’ai pu vivre depuis que j’ai quitté la France il y a 8 ans, je trouve que rien ne vaut les premières semaines qui suivent l’arrivée. Le regard neuf que nous portons sur les gens ou les situations nous permet d’identifier rapidement les différences culturelles qui existent entre sa nouvelle terre d’accueil et son pays d’origine, qu’il s’agisse de petites choses du quotidien sans réelle importance ou de choses plus cruciales, comme l’accès à la santé. Personnellement, c’est l’élément de la vie à l’étranger que j’aime le plus : découvrir comment les Autres vivent, quelles sont leurs habitudes, ce qu’ils mangent, quel est leur sens de l’humour (parce que je trouve que l’humour est quelque chose de terriblement culturel). La liste est longue !
En ce qui concerne les Etats-Unis, il est parfois difficile de généraliser : ceux qui y vivent vous diront que chaque Etat possède une identité et des habitudes culturelles bien distinctes. Mais au-delà de ces différences « régionales », il existe tout de même quelques similarités culturelles que j’ai perçues dans toutes les villes où j’ai vécues (bien que je n’ai jamais voyagé dans le centre des Etats-Unis, même si j’en rêve !).
Voici donc mon petit tour d’horizon des choses étonnantes que j’ai remarquées aux Etats-Unis. Et vous, quelles sont les vôtres ? Vous avez certainement une liste personnelle !
Mon parcours américain : Même si je vis aux Royaume-Uni depuis des années et que j’ai passé deux ans au Portugal, j’ai eu la chance de vivre plusieurs fois aux Etats-Unis, dans différentes villes. Tout d’abord quelques mois pour un stage près de Boston, plus précisément à Cambridge, à côté du superbe campus d’Harvard. Puis 3 mois à San Francisco pour écrire après la fin de mes études universitaires. Et j’ai la chance de passer 2 mois à Los Angeles cet été, où mon mari travaille à l’université de UCLA, et où je prends le temps de terminer un manuscrit de récits de voyage. J’ai aussi eu la chance de voyager à travers le pays pour des durées plus courtes, et de découvrir la Floride, Chicago ou Seattle. Il se peut donc que je sois passée à côté de choses que ceux qui vivent dans d’autres régions ont remarqué (par exemple sur la question du gun control ) ! Il se peut aussi que vous ayez des commentaires plus « profonds » si vous vivez aux Etats-Unis depuis longtemps. N’hésitez pas à les partager !
Consultez mes autres articles sur la vie aux Etats-Unis : 14 endroits que j’aime à Los Angeles et Pasadena et Chronique Expat : pourquoi j’ai renoncé à ma Green Card .
C’est l’une des toutes premières choses que j’ai remarquées lorsque je suis sortie de chez moi pour la première fois pendant que je faisais un stage près de Boston dans le Massachusetts. En une heure et demie, trois parfaits inconnus avaient engagé une conversation avec moi. Alors fraîchement débarquée de France, j’ai trouvé ça franchement étrange. Lorsque j’en ai parlé à ma colocataire américaine de retour à la maison, elle m’a répondu : “C’est très courant aux Etats-Unis, et encore plus dans le Midwest ou sur la Côte Ouest”. Je ne peux que confirmer ! Cela va de paire, je pense, avec le fait que les américains sont globalement positifs et conviviaux, du moins dans les petits échanges du quotidien. Non ?
Si vous vivez ou avez voyagé aux Etats-Unis, vous aurez forcément remarqué que les portes des toilettes publiques possèdent toutes ces écarts de chaque côté, offrant un peu trop de visibilité depuis l’extérieur. Un brin gênant lorsque l’on a l’habitude de davantage d’intimité !
Aux Etats-Unis, on ne plaisante pas avec la climatisation dans les espaces publics. Si vous passez l’été dans un endroit chaud du pays, vous remarquerez rapidement que l’intérieur des centres commerciaux, bibliothèques, musées ou cafés est souvent réglé aux alentours de 19°. La règle d’or numéro 1 est donc de toujours penser à prendre un pull ou cardigan avec vous, même s’il fait 40° dehors !
Les campus américains rivalisent de beauté, de technologie et de grandeur (ici, l’université de UCLA à Los Angeles). Vraies petites villes qu’il faut parfois parcourir en voiture, à vélo ou à l’aide de navettes gratuites tant elles sont grandes, les universités américaines valent la peine d’être visitées. D’autant plus qu’elles sont souvent ouvertes au public. Autre élément démesuré des universités américaines ? Le coût des études, jusqu’à 67 000 dollars l’année pour l’université la plus chère (une université californienne), avec un coût moyen de 60 000 dollars l’année à travers le pays. Il existe des bourses, mais qui souvent ne couvrent qu’une petite partie des frais. Ce qui explique que j’ai déjà rencontré des américains sortis de l’université avec une dette de plus de 200 000 dollars pour un Bachelor.
Vrai casse-tête pour ceux qui viennent de pays où le pourboire n’est pas automatique et obligatoire dans les restaurants. Aux Etats-Unis, vous devrez payer 20% de la note en « tips » (pourboire). Vous pouvez laisser un pourboire plus petit, mais c’est en général assez mal vu. Il y a quelques années, j’avais en toute bonne foi oublié le pourboire dans un restaurant de Boston. La serveuse m’a couru après devant tout le monde avec la note à la main alors que je quittais le restaurant en disant « You forgot the tip ! ». La honte de ma vie.
Dans les fast-foods et dans certains diners , vous avez droit à des « free refills », comprenez boissons à volonté ! Vous pouvez vous resservir (ou vous faire resservir) sans payer de supplément.
Les américains ont peu de congés payés : deux semaines par an ! Certaines entreprises proposent un peu plus, ou acceptent que leurs employés prennent quelques jours de congés non payés supplémentaires par an. Mais globalement, je n’ai pas rencontré beaucoup d’américains qui prenaient plus de deux semaines de congés, et j’en ai même rencontré certains qui ne prenaient pas leurs deux semaines annuelles. On est loin des 5 semaines de congés payés minimum en France !
Aux Etats-Unis, on ne plaisante pas avec les citrouilles (pumpkin) ! C’est LE légume national. On trouve de tout saveur citrouille, surtout des choses sucrées : lattés, tartes, cookies, M&
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