Elle aime le goût de sa bite

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Pourquoi le goût du sexe des femmes fascine-t-il autant ?


L’actrice Anne Heche meurt à l'âge de 53 ans


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Publié le 6 février 2020 à 10h47 Mis à jour
le 17 mars 2021 à 14h33

[Hors série Cheek x Les Inrocks – Plaisir féminin] Certain·es évoquent un ananas, d’autres parlent de poisson pourri ou d’un bonbon. Entre répulsion et excitation, la saveur du sexe des femmes fascine autant qu’elle intrigue.
Claire Alquier, sexologue, est formelle : chaque femme a un goût différent, qui varie en fonction des hormones et des phéromones présentes dans ses sécrétions : “Nous avons toute une composition intime unique et le goût ou l’odeur de notre sexe en dépend. Hormis en cas d’infection ou d’absence totale d’hygiène, un sexe féminin n’a ni mauvais goût ni mauvaise odeur. Il est plus juste de parler de compatibilité érotique et sensorielle entre deux partenaires.” Arrêtons donc de culpabiliser les femmes en leur vendant des produits d’“hygiène” féminine inutiles, voire dangereux. Supposés nettoyer le vagin, qui rappelons-le n’en a nul besoin puisqu’il est autonettoyant, ces gels et autres sprays sont souvent trop agressifs et peuvent détraquer la flore vaginale, entraînant infections ou irritations.
Arômes fruités, senteurs florales ou parfums frais et neutres évoquant la propreté, tout est fait pour masquer les odeurs et les goûts naturels du vagin. “Lorsqu’un produit d’hygiène intime vante une fraîcheur pendant douze heures, le message sous-jacent est que vous pouvez écarter les jambes pendant ces douze heures sans incommoder votre partenaire, explique Virginie Girod, historienne. Ces produits nourrissent la représentation très ancienne du sexe féminin comme un organe sale, souillé, impur, dont il vaut mieux éviter de s’approcher.”
Le sexe des femmes exerce sur les hommes un pouvoir contradictoire depuis la nuit des temps. Mystérieux, car interne, il est associé tantôt à une puissance quasi divine puisqu’il donne la vie – beaucoup parlent de “nectar”, boisson des dieux, pour désigner la cyprine, cette substance que produisent les femmes quand elles sont excitées sexuellement –, tantôt à une force sombre qui mène les hommes à leur perte et les salit.
“Toutes sortes de fantasmes ont circulé pendant des siècles sur l’anatomie féminine, ce qui a influé sur les rapports sexuels, notamment le cunnilingus qui est resté une pratique marginale pendant très longtemps, confie Virginie Girod. Les gréco-romains de l’Antiquité, de qui nous avons hérité une grande partie de nos représentations socioculturelles, considéraient le cunnilingus comme une pratique barbare, réservée aux sauvages ou aux chiens. Dans leur sexualité phallocentrée, remplacer le pénis par la langue, organe social utilisé pour débattre dans l’espace public des problèmes de la société, était un sacrilège.” L’insulte suprême à l’époque, comme en attestent des graffitis retrouvés sur les murs de Rome ou Pompéi, était ainsi d’être traité de “bouffeur de chattes”…
D’après un sondage Ifop de 2016 , 85 % des hommes français déclarent avoir déjà fait un cunnilingus. “Le cunnilingus n’est plus tabou, mais le manque de représentations du sexe féminin mène à une méconnaissance qui pèse sur le plaisir sexuel féminin, note Claire Alquier. Beaucoup de femmes angoissent avant ou pendant un cunnilingus, en s’inquiétant du goût ou de l’odeur de leur vagin parce qu’elles ne se connaissent pas assez.” Rien d’étonnant quand on sait qu’il a fallu attendre 2017 pour qu’un manuel scolaire – un sur huit – daigne représenter correctement le clitoris dans la section consacrée à la reproduction.
Heureusement – du collectif Vagina Guerilla qui dessine des vulves au clitoris en 3D inventé par la chercheuse Odile Fillod – la représentation du sexe féminin est au cœur des combats féministes. “C’est grâce à ce genre d’initiatives que les femmes pourront totalement se libérer sexuellement. Il faut se connaître pour prendre du plaisir. On ne doit pas hésiter à se regarder, à se sentir, à se goûter. Notre goût intime fait partie de nous, il faut en être fière.”
“Parfois, c’est acide, parfois doux, parfois amer, ça peut même me sembler épicé” Charles, 27 ans, graphiste
J’adore faire des cunnilingus, je crois même que ça m’excite encore plus que la pénétration ou la fellation. Je suis célibataire depuis pas mal de temps, ce qui me convient, et dès que j’ai une aventure avec une fille, je n’ai qu’une hâte, c’est de la goûter. Je suis un peu comme un collectionneur. Chaque fille a une saveur particulière, un nectar différent, et j’avoue que ça m’excite beaucoup de découvrir ce goût si intime. Parfois, c’est acide, parfois doux, parfois amer, ça peut même me sembler épicé… Et puis le goût du sexe féminin ne fait pas tout, il y a aussi l’excitation de procurer du plaisir à la fille, rien qu’avec sa langue ou ses lèvres. Quand je mets ma tête entre les jambes d’une fille, je sais que le moment va être agréable pour elle, du moins je l’espère, et pour moi. Et rien ne m’excite plus que de garder son goût sur le bout de la langue une fois le rapport terminé.
“Acidulé et un jus laiteux” Nizar, 26 ans, commercial
J’ai l’impression que le goût ou l’odeur du sexe d’une fille varie beaucoup en fonction de mes humeurs et de mes envies. Je n’ai rien contre le cunnilingus, je le fais de bon cœur si je sais que ma partenaire en a envie. Mais j’ai remarqué que si j’en fais un alors que j’ai la flemme ou que je suis de mauvaise humeur, ou que je n’ai simplement pas très envie, je vais réagir plus négativement ou violemment aux odeurs et aux goûts. Je me souviens d’une période où j’ai été littéralement dégoûté par le sexe de ma meuf, je ne pouvais pas en approcher sans avoir un mouvement de rejet, limite des haut-le-cœur. C’était une semaine où j’étais très angoissé à cause de mon boulot et aussi ridicule que cela puisse paraître, avec le recul, je pense que c’est pour ça que j’étais bloqué. Deux jours après, je me suis jeté sur ma copine, et j’ai pris beaucoup de plaisir à retrouver son goût acidulé et son jus laiteux. Ça m’avait manqué.
“Comme un bonbon au citron” Charlyne, 25 ans, serveuse
J’adore. Ma copine a un goût sucré, mais un peu acide, comme un bonbon au citron. Quand je la lèche, rien ne me fait plus plaisir que d’avoir son parfum sur la langue. C’est comme une friandise pour moi. En plus, ma copine mouille beaucoup donc je peux rester pendant des heures à la laper. Le sexe d’une meuf c’est magnifique je trouve, plein de couleurs, d’ombres, d’odeurs, de saveurs. Celui de ma copine est plutôt acide alors que le mien est plus amer. J’ai goûté plusieurs fois ma cyprine, par curiosité, par envie, par excitation… C’est très épanouissant, je trouve. La première fois, j’étais ado, et j’ai eu l’impression de découvrir toute une partie de moi, de me connaître mieux, et du coup d’être plus à l’aise avec mes envies et mon corps.
“De l’eau légèrement aromatisée” Jonathan, 32 ans, maçon
Personnellement, je reste assez indifférent face à la cyprine de ma meuf. Je n’ai aucun problème à en avoir dans la bouche ou à en avaler pendant un cunni, mais ça ne m’excite pas. Ça ne me dégoûte pas non plus. Pour moi, l’important est de lui donner du plaisir, je ne fais pas trop attention au goût qu’elle a. En fait, j’ai du mal à décrire ce goût parce que pour moi, c’est assez neutre, je ne sens pas grand-chose et en bouche, c’est un peu comme de l’eau légèrement aromatisée, un petit peu salée peut-être. La seule chose que je décèle, c’est souvent un peu de transpiration, ce qui aurait tendance à m’exciter d’ailleurs. Ce qui est sûr, c’est que j’associerai toute ma vie ce goût à ma copine et aux moments qu’on passe sous les draps, à notre complicité, au plaisir.
“Une saveur douce mais relevée par un côté amer, presque métallique” Maéva, 24 ans, étudiante
Le goût d’une chatte c’est très compliqué à décrire. Perso, j’associe ça à une saveur douce mais relevée par un côté amer, presque métallique. Comme quand on se mord la lèvre et que l’on goûte un peu de sang du bout de la langue. Enfin, évidemment, le goût change selon la fille. Une fois, je suis tombée sur une chatte qui sentait le poisson, une autre la menthe, peut-être à cause de produits intimes. Ceci dit, le goût change aussi selon l’endroit du sexe, j’adore aller dans les recoins, tester de nouveaux goûts et de nouvelles textures. Ma copine s’épile, donc au toucher, c’est tout doux, mais au risque de vous paraître bizarre, j’aime bien aussi tomber sur une petite touffe de poils quand je passe ma langue dans les plis de son sexe, ça donne différentes sensations.
“Visqueux, chaud, un peu collant” Léa, 30 ans, laborantine
Je n’aime pas du tout le goût du sexe. Que ce soit celui d’un homme ou celui d’une femme, je n’aime pas. Ce n’est pas que je trouve que ça sent mauvais ou que le goût soit désagréable – si évidemment la personne n’a pas de problème d’hygiène –, c’est juste que je ne prends aucun plaisir à lécher, sentir, goûter. J’ai déjà essayé de nombreuses fois de faire un cunnilingus à mon ex et clairement je ne kiffe pas. Cela me rend triste parce que je passe sans doute à côté de quelque chose, mais je n’y arrive pas. Plus que le goût, je crois que c’est surtout la texture des sécrétio ns qui me rebute. C’est visqueux, chaud, un peu collant et je déteste avoir ça dans la bouche, les sentir me couler dans le cou ou sur le menton. Rien que d’y penser, j’en ai des frissons.
“Très sirupeux, mielleux comme un ananas au sirop” Bastien, 23 ans, étudiant
« Vous allez me prendre pour un psychopathe, mais je suis un peu obsédé par ce qui sort du sexe de ma meuf. Ça a toujours été comme ça. Pour moi, c’est comme un nectar, un truc presque mystique. Je me demande souvent si le fait d’en avaler donne des propriétés spécifiques, un peu comme une potion magique. En plus, son sexe a un goût hyper agréable, très sirupeux, mielleux comme un ananas au sirop. Quand je fais des cunnis à ma meuf, c’est comme si tu me servais un grand cru, je n’en perds pas une goutte. Pour être honnête, ça m’excite tellement que je regarde même du porno ou des meufs ou des mecs dégustent de la cyprine à la petite cuillère. Je ne sais pas si c’est le goût qui m’excite le plus ou si c’est l’idée d’avaler une substance qu’elle a créée et qui est unique, propre à elle.
Le Hors série Cheek x Les Inrocks « Plaisir féminin » sera disponible en kiosque à partir du 7 février
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Archivé de: Lettres Gay – Numéro 124
Date de parution originale: Juin 2003

Date de publication/archivage: 2013-11-24

Auteur: Thibaut
Titre: Le goût de sa bouche
Rubrique: À nos jeunes amours
Note: Le magazine Lettres Gay ayant disparu, nous archivons sur Gai-Éros des textes y ayant été publiés au fil des ans, à titre d'archive, notre but premier étant que la littérature homo-érotique se préserve au fil du temps. Si vous êtes l'auteur de ce texte ou si vous détenez des droits légaux sur ce texte, veuillez communiquer avec nous sans délais.
Ce texte a été lu 4559 fois depuis sa publication (* ou depuis juin 2013 si le texte a été publié antérieurement)


Je m’appelle Thibaut et j’ai vingt-et-un ans. Je suis étudiant en droit constitutionnel. J’habite près de Toulouse, toujours chez mes parents. Il y a une semaine, je leur ai enfin appris que j’étais homo. Ça s’est beaucoup mieux passé que je ne l’avais espéré. En fait, ils en avaient déjà discuté entre eux, ils s’en doutaient, non pas parce que chez moi, ça se voit, mais parce que je n’ai jamais eu de "petite copine". J’ai toujours eu des bons copains, mais jamais aucune relation sexuelle jusqu’à il y a environ neuf mois. Puceau j’étais, mais ça ne m’empêchait pas de me donner du plaisir en lisant des revues pornos. Je n'étais pas innocent pour autant.

La première fois s’est passée chez mes parents. Ils étaient absents pour le week-end, partis dans la famille. C’était en mai, il faisait un temps splendide. J’avais ouvert en grand les portes-fenêtres qui donnent sur le jardin. C’est alors qu’un copain d’un copain, que je connaissais surtout de vue, m’a appelé. Il devait faire un tract pour des séances de cinéma. Il ne connaissait pas grand-chose à Photoshop, et, comme j’étais l’un des seuls à avoir un ordi Mac, il me demandait s’il pouvait passer pour se faire aider. Je n’avais rien à faire ce samedi-là.

Manu est arrivé en début d’après-midi. On s’est mis tous les deux devant l’écran. Son truc: n’était pas difficile à faire, mais il avait superposé tellement de "calques" que son image pesait des tonnes, et tout était sens dessus dessous. Au bout d’un moment, j’ai senti le genou droit de Manu se presser contre le mien. C’est comme une vague de chaleur qui m’a submergé, un drôle d’effet. Je n’avais jamais vraiment regardé Manu, d’une part parce que je le connaissais peu, d’autre part parce que pensais qu’il était hétéro. Mais là, soudain, j’avais des doutes. Je me suis mis, sous le coup de l’émotion, à le regarder d’un autre œil. C’était un beau mec, finalement, grand, de belles épaules, des yeux en amande, vifs, plus petit que moi, mais bien foutu.

Pendant tout le temps qu’on est restés à travailler, il ne s’est rien passé de plus, sinon ce genou qui, de temps en temps, se pressait contre le mien. On s’entendait bien, lui et moi, le courant passait bien. Puis on a fini par sortir l’image retravaillée sur l’imprimante. Manu devait partir, il devait être cinq ou six heures. Je me suis lancé : je lui ai proposé de venir bouffer le soir, vu que j’étais seul et que je n’avais rien de prévu. Le plus grave, c’est qu’il a accepté !

Ce qui s’est passé dans ma tête ? Tout ! J’ai senti que c’était le grand soir. Mais en même temps, je me traitais de petit con, je n’étais sûr de rien, le genou, ce n’était peut-être pas du tout volontaire, auquel cas, eh bien, on se passerait quand même une bonne soirée. Il y avait de quoi soutenir un siège dans le frigo, le bar était plein. Cool ! J’ai pris une bonne douche, je me suis servi une vodka-orange, histoire de décompresser. Il me plaisait bien, le Manu, je suis sûr qu’il devait savoir bien embrasser, et sucer... Et puis, il est arrivé, avec une bonne bouteille de Buzet (vin local). On a commencé à bien se marrer. On avait les mêmes goûts en musique. On s’est mis du drum & bass à fond les manettes (mes parents ont une maison sans voisins immédiats, rassurez-vous), on a descendu pas mal d’alcool, et puis j’ai fait chauffer la pizza et préparé une salade. Je me sentais bien, mais bien !

On a beaucoup discuté, on se trouvait plein d’amis communs, de goûts communs. Je voyais les yeux de Manu étinceler, je savais qu’on ressentait la même chose, lui et moi. Ce qui était curieux, c’est que les discussions sur les meufs n’allaient jamais très loin...

Et puis, on s’est mis un DVD, Existenz de Cronenberg, un must. On s’est installés tous les deux sur le canapé, j’ai baissé les halogènes. Il n’a pas fallu attendre longtemps, et l’alcool nous a aidés, surtout Manu, qui a osé faire le premier pas. Je l’ai senti se tourner vers moi. Il m’a dit :

— Tu sais très bien ce que je veux dire, Thibaut ! J’ai envie de toi !

— Je l’ai senti, même avant de venir cet après-m’.

Le film a continué, mais il n’avait plus de spectateurs. Pour la première fois de ma vie, j’ai embrassé un garçon, nos langues se sont mêlées, on s’est roulé pelle sur pelle, sans plus pouvoir s’arrêter, serrés à s’étouffer l’un contre l’autre. Des vagues de chaleur successives m’envahissaient, j’avais la bite raide comme un barreau de chaise. J’ai dit à Manu :

— Tu sais, pour moi, c’est une première ! Et toi, t’as déjà...

Ce que j’ai aimé, c’est le goût de la bouche, le mélange de clope et d’alcool, et puis la petite barbe de deux jours de Manu qui me râpait les joues. J’ai dit à Manu :

— Tu sais, j’attendais ça depuis si longtemps !

— Tu vas voir, tu vas pas regretter !

Manu a été le premier à me masser la braguette. J’en ai fait autant. De sentir ce barreau dur sous la toile du jean, ça m’a fait une décharge électrique. J’étais presqu’au bord de jouir. Manu a été plus rapide, il m’a ouvert la braguette et en a extirpé ma bite qui n’en pouvait plus. Il l’a décalottée, il l’a caressée, il m’a soupesé les couilles, il a passé son doigt tout autour du gland. Puis il s’est penché et m’a gobé. Quand j’ai senti sa bouche chaude se refermer sur ma bite et sa langue frotter contre le nerf, je n’ai pas pu résister. J’ai crié à Manu :

Mais il n’a pas voulu se retirer. Je lui ai envoyé toute la dose dans la bouche. Il est resté assez longtemps comme ça, les joues déformées par mon manche, les yeux fermés. Je l’ai trouvé beau, mortel à ce moment-là, mais j’avais la honte de ne pas avoir pu m’empêcher de jouir. Quand il s’est relevé, il m’a longuement embrassé, et j'ai senti le goût de mon sperme mêlé à sa salive. Il m’a dit :

— C’était bon ? On a toute la nuit, non... ?

C’était à mon tour de lui faire la même chose. Je me suis penché sur sa braguette. J’ai massé, puis j’ai ouvert les boutons et défait la ceinture. J’avais déjà vu des bites, mais pas dans ces conditions-là ! Enfin, elle est apparue, un beau morceau, à la peau plus foncée que la mienne, avec un gland plus large et aplati. Je l’ai regardé, j’ai senti la légère odeur de mec, ça sentait un peu le savon et le sperme. J’ai ouvert la bouche... Et je me suis remis à triquer instantanément, une gaule d’enfer. Sucer une queue, c’était vraiment le pied. J’étais vraiment pédé, si jamais j’en avais douté ! Je l’ai sucée, bouffée, léchée, jouant des lèvres et de la langue comme si j’avais fait ça toute ma vie.

Ce soir-là, Manu et moi, on a fait l’amour pendant des heures. Il a voulu me dépuceler, mais ça, je n’étais pas prêt, et puis, on n’avait de capotes nulle part. Pourtant, je sais que j’en avais envie. Je n’ai pas pu le prendre non plus, pour les mêmes raisons, mais on a fait "semblant". À un moment, je me suis allongé de dos sur le lit, et il s’est allongé sur moi. Nos deux bites se sont retrouvées coincées l’une contre l’autre entre nos deux ventres. D’instinct, j’ai refermé mes cuisses autour de sa taille. Nous avons joui comme ça, presqu’en même temps, on était inondés de jus. pourtant, pour moi, c’était déjà la troisième fois...

On a
Fausse infirmière prend une bite
Folle de la bite de son petit ami
Défoncer le meilleur cul

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