Elle adore se la prendre jusqu'aux boules

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Grégory et Marion, c’est le petit couple parfait... Mais, un jour, à New York, la jeune fille découvre un jeu érotique qu’elle ne connaissait pas.
  Propos recueillis par Florence Soderbergh  
Grégory et Marion, c’est le petit couple parfait... Mais, un jour, à New York, la jeune fille découvre un jeu érotique qu’elle ne connaissait pas.
  Propos recueillis par Florence Soderbergh  
Cela fait quatre ans que je sors avec Grégory, et j’espère sincèrement que c’est l’homme de ma vie. Tout se passe bien entre nous, il est drôle, je le trouve toujours beau comme un dieu et, bref, sans vouloir paraître cliché, j’avoue que j’aime la vie qu’on mène à deux. Mais quand on s’est installés ensemble, l’année dernière, j’ai eu un choc. Ce n’est pas que je m’attendais à vivre dans une comédie anglaise, et à le retrouver tous les soirs en tablier à couper des poivrons dans la cuisine, m’offrant un verre de bourgogne avant de me renverser sur la table, mais, tout de même... En gros, pour le dire vite et simplement, j’étais assez déçue. Je sais aujourd’hui que ça va, ça vient, qu’il y a des périodes où l’on va faire l’amour trois fois par jour, et d’autres où il ne se passe rien du tout pendant dix jours. Mais, au tout début, la première fois qu’on s’est couchés, comme ça, plusieurs fois l’un à côté de l’autre sans faire l’amour, ça m’a tétanisée. En plus, c’était l’été, en plein Paris. J’ai commencé à déprimer sérieusement, à avoir peur, à le scruter, si bien que, lorsqu’on m’a proposé de partir en reportage pour mon magazine à New York, j’ai filé prendre l’air. Et là, j’ai rencontré Andrew.
  « J’aimais trop ses lèvres sur mon cou… » 
Je peux en parler maintenant parce que j’ai tout avoué à Grégory et que, au fond, ce n’était pas si méchant, juste une réaction idiote à une peur profonde. Andrew était le bruiteur du film sur lequel j’étais partie faire un article. Pas vraiment mon genre, à première vue, mais assez coquin tout de même, et drôlement séducteur. Un soir, après ces heures d’ennui en studio, toute l’équipe est allée dans un bar de Greenwich Village. Je suis sortie fumer une cigarette, il m’a retrouvée, et nous sommes partis ensemble dans un autre bar, puis chez lui. Je me vois encore sortir de l’ascenseur, arriver sur le pas de sa porte en me disant : « Tu fais une énorme bêtise, mais tu en as une énorme envie. » C’était très étrange. Chez lui, c’était tout petit, assez moche, rien d’excitant, et j’ai failli partir en courant, mais j’aimais trop ses lèvres sur mon cou, et cette façon un peu brutale de tirer mes cheveux en arrière pour m’embrasser, d’ôter mes vêtements. C’était différent. Je me suis demandé bêtement – réflexe professionnel, j’imagine – si tous les Américains étaient comme ça, un peu à jouer les acteurs de film porno. Il me disait des mots terriblement crus, mais comme c’était en anglais, ça ne me choquait pas. Et il me demandait de répéter ces mots, et j’adorais ça. Je me suis complètement désinhibée. Je ne me reconnaissais plus, il me rendait complètement folle, juste avec son vocabulaire. Un « Bled » érotique ! On a fait l’amour une fois, on a ri… même si je me sentais extrêmement mal d’avoir trompé Grégory. Et, au moment où j’allais partir, il m’a retenue.
  « Je me revoyais faire ces trucs bizarres comme dans un clip de Madonna... » 
Je pensais avoir appris ma leçon, j’étais prête à jouir rien qu’en nous entendant parler, mais, soudain, alors qu’il était sur moi, il s’est mis à me donner une claque sur la fesse. J’ai trouvé ça vraiment bizarre, mais je n’ai rien dit, et il a recommencé. Je ne sais pas ce que cela a déclenché en moi, et j’ai décidé de ne pas en parler à mon psy, mais, en tout cas, c’était « mortel », comme on dit. Il a tout de suite senti l’effet que ça me faisait, alors, il m’a retournée et il a recommencé, là, derrière moi, à me donner des fessées, et j’ai eu un de ces orgasmes fulgurants qui vous surprennent vous-même. Et là, j’ai été saisie d’une honte immense. Je me suis rhabillée en deux secondes et Andrew n’a pas eu le temps de dire un mot que j’étais déjà dans le couloir, lui disant au revoir et le priant bien sûr d’éviter de mentionner notre petite aventure, au boulot, le lendemain matin. Dans le taxi qui me ramenait à mon hôtel, on aurait dit une folle. Je pleurais pour ce que je venais de faire à l’homme que j’aime et, en même temps, soudainement, je riais, parce que je me revoyais en train de faire ces trucs bizarres comme dans un clip de Madonna... Je me sentais un peu sale aussi et, en même temps, presque fière d’avoir connu, aimé une chose à laquelle je n’aurais jamais pensé, d’avoir franchi une barrière qui, au fond, n’était pas si effrayante. Ce jour-là, je n’ai pas appelé Grégory, je me suis couchée en priant de ne jamais revoir Andrew. Bien sûr, il était là, le lendemain, au studio. Mais j’ai fait comme si de rien n‘était. Je l’ai pris à part à la fin de cette atroce journée pour lui expliquer que j’avais quelqu’un, et cetera, et, au fond, je crois que ça ne l’a pas vexé plus que cela. Il m’a juste glissé deux, trois mots cochons à l’oreille au moment de me faire la bise... et j’avoue que, un instant, j’ai terriblement eu envie de le revoir.
Je me suis dit qu’il devait avoir encore mille autres choses à m’apprendre, que le laisser partir, là, comme ça, c’était comme avoir un ticket gratuit pour Disneyland et ne pas tester « Space Mountain », enfin, quelque chose comme ça, et puis j’ai repensé à Grégory, à ses bras, à le sentir contre moi, et je préférais ça. Je préférais ça, mais toujours est-il qu’à mon retour, malgré mon immense gentillesse post-culpabilité extrême et ma folle envie de lui sauter dessus toutes les minutes, ça n’allait toujours pas très bien. Ça allait mieux, mais pas très bien. J’étais terrorisée à l’idée qu’une routine s’installe jusque dans notre lit. Alors, j’ai repensé à Andrew. A ses délires. A cette façon
de faire l’amour un peu brutalement, à ces drôles de fessées soudaines. Et, plus j’y pensais, plus j’avais envie de... recommencer ! J’avais l’impression d’avoir goûté à un délicieux morceau de gâteau et je n’en avais même pas proposé à Grégory. Que, peut-être, il aimerait, lui aussi, vu qu’on s’aime. Mais ce n’est pas évident de demander à son homme : « Tu ne veux pas me donner une fessée ? » C’est incongru, tout de même. Et j’avais peur qu’il ne se doute de quelque chose, qu’il comprenne que cette idée de fessée ne m’était pas venue de nulle part. Mais, petit à petit, c’est devenu un challenge : il fallait que je vive cela avec Grégory aussi, c’était nécessaire pour notre couple. Mais comment ? Je ne me voyais pas arriver un soir et dire : « Je crois que j’ai fait une bêtise... Je ne mériterais pas une fessée ? » Ou carrément déposer un fouet rose sur le lit. Ça n’est pas du tout notre genre. Je me suis vraiment cassé la tête. La première fois que j’ai essayé d’évoquer la chose, on faisait l’amour doucement, joliment, et j’ai dit comme ça, très maladroitement : « Grégory, fais-moi mal », comme une mauvaise citation de Boris Vian.
Ça l’a coupé dans son élan. J’ai tenté de lui maquiller ça avec un : « L’autre jour, j’ai vu un film érotique sur M6 et... », et il a juste éclaté de rire en me disant qu’il était hors de question qu’il s’habille en petit marquis et moi en soubrette, comme dans un mauvais scénario. Horrible souvenir. Mais je ne pouvais pas en rester là. J’en avais trop envie. Bien sûr, j’adorais sa façon de me faire l’amour, mais, parfois, on a besoin d’un peu de sauvagerie, il me semble, d’un peu de domination. J’ai donc tout fait. Les restaurants où on lui glisse à l’oreille qu’on ne porte pas de culotte, les « prends-moi là, tout de suite » et autres gestes plus explicites. Je n’y croyais plus, mais, en fait, l’idée avait tout doucement fait son chemin dans sa tête à lui. Un soir, il s’est mis à me susurrer des mots qu’il n’avait jamais dits, des mots très crus, mais, dans sa voix, douce, un peu cassée, ce n’était plus cru, c’était comme la clé d’une espèce de verrou, un code secret pour une autre pièce… un autre nous. Ce n’est pas que c’était mieux, c’était différent. Il me dominait complètement, et j’aimais cette impression de lui appartenir totalement, d’être sa chose. Et, au moment où je n’y pensais même plus, où j’étais déjà à moitié partie, j’ai senti sa main frapper ma fesse droite, et nous avons pris notre pied comme jamais !
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On a toutes vécu des grands moments de solitude, d’agacement ou d’énervement avec les vêtements. On m’en raconte en rendez-vous, devant une penderie ou en shopping. Voici des confessions que mes clientes m’ont autorisées à partager et des anecdotes que vous m’avez envoyées. Inoubliable !
« Mon fils était encore petit et c’était la course tous les matins. Un jour, je repasse ma jupe juste avant de partir. Comme le fer est brûlant, je mets d’abord mes bottes et dans la précipitation d’arriver à l’heure à l’école, j’oublie de l'enfiler. Je pars déposer mon fils, je prends le train, j’arrive au bureau, j’enlève mon manteau fendu au dos et ma collègue me dit : “Alors soit tu as un caleçon ultra transparent, soit tu as oublié ta jupe !” Moment de stupéfaction puis énorme fou rire. Je suis retournée chez moi en rasant les murs... pour finir de m’habiller ! »
« Je l’ai quitté de façon pas très sympathique après une tromperie vraiment pas cool. Deux jours après, il est revenu discrètement prendre ses affaires en donnant au passage des coups de ciseaux dans ma penderie. Horrible ! »
« Après la folie Marie Kondo, j’ai rêvé d’une penderie épurée. Un samedi, je me décide. Comme le précise la gourou, j’élimine toutes les pièces qui ne me mettent pas en joie. Radical. Je suis si contente de voir ma penderie vide que je mets tout dans une benne de récupération. Deux jours après, je me rends compte qu’il me manque des pièces essentielles qui, certes, ne me mettaient pas spécialement en joie mais me permettaient de m’habiller ! En revanche, j’ai toujours des chaussures que j’adore mais trop petites ou aux talons impraticables. Bref, je n’ai plus rien à me mettre, que des choses incohérentes. Aujourd’hui, je regrette encore mes basiques et toutes ces pièces pas si mal qui me permettaient de combiner mes vêtements. »
« L’hiver dernier, je voulais absolument du tie and dye. J’étais fauchée. Alors j’ai fait du do it yourself pour la première fois. J’ai noué des élastiques dans mon vieux sweat beige, je l’ai plongé dans une casserole avec la teinture, j’ai laissé bouillir pendant que je prenais un bain. Misère, j’ai retrouvé les murs et le plafond de la cuisine aspergés de traînées verdâtres ! Avec la chaleur, les élastiques avaient fondu et tout avait éclaboussé. »
« Je maudis le jour où j’ai pris un rasoir neuf pour déboulocher mon gilet en cachemire. J’ai frotté comme une brute jusqu'à réussir à le trouer. »
« Enfant, j'étais une hyper active, je bougeais tout le temps. Je ne supportais pas les collants en laine, qui grattent et qu'il fallait remonter tout le temps. La photo de classe de CP peut en témoigner : cheveux devant les yeux avec deux dents de lait en moins et des collants descendus en accordéon sur les mollets. Complètement débraillée ! À partir du collège et jusqu'à mes 20 ans, je n'ai plus porté de jupe ou de robe, même l'été. Je préférais le short. »
« Je ne supporte pas les étiquettes qui grattent. Je coupe. Parfois trop ras. J’ai déjà dû recoudre les coutures d’un t-shirt et dire adieu à un cachemire que j’ai coupé en même temps que l’étiquette ! J’ai aussi eu un accident de ciseaux avec mon jean chéri que j’ai coupé bords francs pour lui donner un coup de frais. A l’arrivée, un pantacourt… importable ! »
« J’ai toujours cru que ma jolie robe rouge en soie se portait avec le décolleté plongeant sur le devant. Pas pratique, je devais systématiquement glisser un t-shirt dessous. Le soulagement quand j’ai appris que je me trompais de côté ! C’est vrai qu’elle tombe mieux comme ça !! »
« Un samedi après-midi, mon mari et moi nous promenions à Lille. Il se met à pleuvoir. Nous sommes juste devant
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