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Accueil / EGORA news / “L’externe, elle aime quand on lui passe par derrière” : quand l’humour carabin va trop loin
biniasz 2017-01-05T13:59:12+01:00 5 janvier 2017 | 0 commentaire


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EGORA – Téléconsultations : cinq raisons de ne pas en faire trop












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Deux externes viennent de lancer la plateforme “Paye ta blouse” pour dénoncer le sexisme du milieu hospitalier. Femmes médecins, étudiantes ou encore infirmières rapportent les blagues salaces et remarques machistes qu’elles subissent au quotidien, sans jamais oser en parler. Dans l’univers majoritairement féminin de l’hôpital, le mâle domine.
“Je fais ce que je veux. Si je veux être en retard, je le suis. J’ai même le droit de cuissage sur toi” , rétorque un chef de gynécologie, dérangé dans sa pause-café, à une jeune femme envoyée par sa secrétaire lui signaler qu’il était en retard en consultation. Le genre de remarque que de nombreuses femmes médecins, étudiantes en médecine ou infirmières subissent régulièrement. Sans jamais oser se plaindre, ni même en parler. Pour briser ce tabou, deux externes viennent de lancer un Tumblr rassemblant des témoignages sur le sexisme à l’hôpital, sur le modèle de “ Paye ta shnek “, qui dénonce le harcèlement de rue, et de “ Paye ta robe “, dédié au milieu juridique.
“Le sexisme est intériorisé dès la première année de fac”
Les deux étudiantes, qui se revendiquent féministes, se sont rencontrées sur Twitter. C’est sur ce réseau social qu’elles se rendent compte qu’elles ne sont pas les seules à avoir été la cible de l’humour carabin au cours d’un stage. “Au sein de la promo, on n’en parle pas. Le sexisme est intériorisé dès la première année, estime Sophie*, étudiante en 6 e année de médecine et cofondatrice de la plateforme, qui elle aussi a eu droit à la fameuse blague sur le “droit de cuissage” . “ Tous n os professeurs, pratiquement, sont des hommes. On nous transmet des notions sexistes en nous apprenant à déceler certaines pathologies en fonction du sexe : dans les cas cliniques des examens, un homme homosexuel jeune ce sera forcément une IST ; une femme, une salpingite… C’est très cliché.” Des clichés que l’on retrouve ensuite chez certaines diplômées. La plateforme rapporte les propos d’une chef qui ordonne un bilan IST pour une patiente sur le seul motif qu’elle a tatouage. “On sait bien qu’elles ont une vie débridée, les tatouées”, juge-t-elle.
Face aux blagues graveleuses et aux remarques déplacées, il y a celles qui “nient le problème”. Celles qui estiment qu’ “on peut s’en sortir avec un peu de répartie” . Et celles que ça dérange, mais qui choisissent de se taire pour ne pas mettre en péril leur carrière dans un monde hospitalier très hiérarchisé. “Une infirmière ira rarement faire une réflexion à un chef, surtout sur le sexisme” , remarque Sophie. Externes et infirmières sont d’ailleurs les catégories les plus représentées parmi la cinquantaine de témoignages reçus par les deux jeunes femmes.
“Beaucoup de témoignages viennent de chirurgie , relève Sophie. Un chirurgien dans son bloc, il a tous les droits. Il peut faire et dire ce qu’il veut, parce que c’est lui le chef et parce qu’il est stressé.” Comme cet interne qui ordonne à l’externe : “Va te laver les mains, et lave toi bien la chatte aussi pour ton deuxième job après m’avoir admiré au bloc.” Ou ce chef de chirurgie qui lance : “On va faire une incision par derrière. L’externe elle aime quand on lui passe par derrière, on peut y venir à plusieurs.” Ou cet autre qui s’exclame : “Déjà qu’elle sert à rien cette connasse, elle ferait mieux de rester à la cuisine.”
La médecine de ville n’est pas épargnée. ” Oh vous savez, les femmes tout ce qu’elles veulent, c’est s’occuper de leurs enfants et travailler à mi-temps” , répond un généraliste lorsque le patient demande à sa stagiaire quel sera son choix de spécialité. “Il n’y a pas forcément plus de sexisme dans le médical qu’ailleurs, mais le milieu fait qu’il est désinhibé” , analyse Sophie.
Dérive de l’humour carabin ? Pour la jeune externe, “ces blagues crasses qu’on se permet de dire pour décompresser et parce qu’on vit des choses terribles” reprennent “tous les codes habituels du sexisme” . Pour l’étudiante, les conditions d’exercice ne justifient en rien le fait de blaguer sur le corps des patientes et des étudiantes. “J’aimerais bien déjeuner dans une salle où il n’y a pas de pénis peints au mur” , soupire-t-elle.
Ces témoignages, qui seront publiés sur la plateforme jour après jour, visent à alerter le grand public, mais aussi à faire prendre conscience aux femmes de la santé qu’elles ne sont pas seules. D’autant plus quand le sexisme passe à l’acte. “J’ai des amies qui ont été agressées par des internes en garde. Je suis sûre qu’il y a eu d’autres agressions sexuelles, voire des viols, mais personne n’en parle.”
*Le prénom a été changé, pour préserver l’anonymat.
– “Si vous voulez un vrai kiné allez voir un mec. Elles, elles ne sont bonnes qu’à masser … si vous voyez ce que je veux dire.” 
Conseil d’un interne de chirurgie orthopédique à un patient en post-opératoire
– “Je passe la matinée au parc à moules !” Un chirurgien qui parlait d’aller former des étudiant-e-s en soins infirmiers.
– “Qui sera la suceuse aujourd’hui ? Ah non, tu as de trop petits seins pour être une bonne suceuse ! Les jeunes, laquelle suce le mieux ici ?” En cours de dissection, la sonde d’aspiration était dénommée « la suceuse ».
– “Bon dis-moi tout de suite, tu te maries, tu fais des gosses ce semestre ? J’aime pas avoir des filles…” Un chef à une amie interne
– “Et toi tu te la rases comment, ta chatte ?” Au bloc opératoire, au-dessus d’une patiente dont les organes génitaux étaient exposés.

Source :
www.egora.fr
Auteur : Aveline Marques


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30 novembre 2011
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/ 2011
15:06


Published by john



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Bonjour.
Viens me voir si tu veux.
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Bises
salut, j'ai adoré ton récit et adorerai échanger avec toi sur nos aventures, fantasmes aussi.
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Une petite histoire très sympathique comme je les aime, croustillans pleine de fraîcheur, j'adore....
Bonne lecture et merci à Coralie pour cette histoire, du pur bonheur.
Je m’appelle Coralie, et j’ai 19 ans.
Mon histoire est simple ,j’ai découvert le sexe à l’âge de 16 ans avec un homme de 38 ans, en fait mon patron.
Je bossais dans un hôtel l’ été, j’ai été embauché par mon boss pour une saison.
J’ai bien vu lors de l’entretien qu’il me reluquait un peu mais bon je me suis dit que c’était le cas de nombreux mecs, surtout que je suis pas trop mal foutue.
1,70m rousse cheveux mi long,90B et 36 en tour de taille.
Je devais faire le service en salle tous les soirs ,avec mini jupe et chemisier blanc pour le restaurant.
Je travaillais tous les soirs sauf le vendredi et samedi.
Par contre le dimanche soir je bossais avec lui et un cuistot, c’était calme et sa femme rentrait s’occuper des enfants, ils habitaient un peu haut sur la rue.
Le premier dimanche cela se passa normalement avec juste quelques frottements lorsque l’on se retrouvaient tous les deux derrière le comptoir, c’était pas large.
Au niveau sexe, jusque la j’étais une ingénue, avec mes parents grenouilles de bénitier, le sexe est taboue, on en parlait pas, et au lycée j’écoutais sans plus non plus.
J’avais vu une fois un film porno sur internet mais j’avais refermé le dossier rapidement de peur que mes parents s’en aperçoivent.
Donc le dimanche soir se passe et la semaine se suit.
La semaine d’après je remarque qu’il me reluque un peu, son regard se pose souvent sur mes seins, j’ai un soutien gorge blanc ajouré ,et mon chemisier acheté pas cher est un peu transparent. Je m’en suis pas rendu compte sur le champs mais à la vue de son regard insistant je m’en suis aperçu.
Un moment donné on se retrouve derrière le comptoir il me regarde et je lui demande ce qu’il se passe, et il me répond » tu devrais défaire un ou deux boutons de ton chemisier ca te donnerait un air moins coincée » et sans attendre mon accord il défait mes deux boutons du haut ouvrant ainsi mon chemisier, je n’ose pas bouger et il me dit « voilà c’est mieux comme ca » et je repars servir ainsi .
Je commence à servir et je vois que quelques clients n’hésite pas à regarder dans mon chemisier du coup., et je m’aperçois que ca me gêne pas mais au contraire ca m’excite pas mal.
Je reviens au comptoir avec le sourire et une chaleur dans le bas ventre.
Mon patron « et ben on dirait que tu as chaud qu’il me dit « et c’est vrai que j’ai chaud si il savait ou même …..
On continue le service toute la soirée et je sens que la vue de mon chemisier ouvert l’excite lui aussi car il se colle de plus en plus derrière le comptoir et moi cela m’excite encore plus, ca devrait me gêner mais au contraire j’en trouve du plaisir.
A un moment je prépare un café et il se colle contre moi et la je sens une belle bosse contre mes fesses, j’en reste bouche bée et il me glisse à l’oreille « tu m’excite » et il s’en va servir.
Entre deux clients je le regarde et je sens que lui aussi m’excite j’ai surtout envie de sentir à nouveau sa bosse contre moi et je fais tout pour, je suis déchainée
Voyant que je ne résiste pas ses mains se baladent en dessous le comptoir sur mes jambes, mes fesses et ca m’excite encore plus, je me sens mouiller dans ma culotte.
Alors que je sers un demi il glisse sa main sous ma jupe par derrière et son doigt s’insinue dans ma culotte pour caresser ma fente, j’ai cru que j’allais jouir au contact de ce doigt, je le repoussait et je lui dis discrètement « je suis vierge » il me répond « je m’en doutais vu ton air de coincée » et je repartis servir comme ca avec le souvenir de ce contact, un peu vexée par ses paroles et je me suis dit en moi même « tu vas voir si je suis coincée ! »
On termine le service et tout le monde s’en va, le cuistot aussi et il reste plus que nous deux, je remonte les tables pour le service du midi tandis que lui range le bar et le comptoir.
Je ramène un plateau de verre et il se met derrière moi en prenant mes seins à deux mains et collant son sexe contre mes fesses, je gémis il me caresse les seins a travers mon chemisier et il me dit « il est temps que tu connaisse le plaisir « et il lâche ma poitrine pour se mettre à genoux derrière moi.
Ses deux mains se glissent sous ma jupe et descendent ma culotte, puis il remonte ma jupe au dessus de ma taille découvrant ainsi mes fesses .
Il écarte mes jambes et je sens sa bouche sur mes fesses, sa langue s’insinue entre les lobes et joue avec mon anus, je gémis, un de ces doigt me caresse le sexe, puis sa langue me fouille et la j’ai un premier orgasme très rapide en criant ohhhh mon dieuuu , accroché au bar.
Puis il se relève et me retourne pour me faire face et m’embrasse à pleine bouche tandis que ses mains me caressent les fesses, je sens son sexe bien dur contre mon ventre et il me dit » a ton tour de me faire jouir » et il défait sa braguette et sors son sexe tendu et appuie légèrement sur mes épaules, je comprend ce qu’il veut sauf que je suis novice en la matière.
Je me baisse et je me retrouve face à cette barre chair bien tendu, je la prend en main et le décalotte, son sexe est humide, je pose mes lèvres dessus le gland et je le fais glisser dans ma bouche juste le gland, il gémit, je suppose que ca doit être bon, en tout cas moi j’aime ce gout.
Il prend ma tête entre ses mains et commence à onduler, son sexe rentre et sort de ma bouche ,il va tranquillement sans trop m’enfoncer son sexe, et j’apprécie ,je découvre le plaisir de sucer.
Puis d’un coup je sens un jet de semence chaude qui me tapisse le palais, un peu surprise j’essaye de retirer ma bouche mais il bloque avec ses mains et il se répand dans ma bouche ,ce qui fait que je suis obligé d’avaler son sperme, et la aussi je découvre une nouvelle saveur, j’aime le sperme, ce gout épais doux.
Je finis de le lécher et je me relève puis il me dit il vaut mieux qu’on arrête la pour ce soir, et on se quitte ainsi, je monte dans ma chambre et lui rente chez lui.
J’ai eu du mal à m’endormir mais j’ai adoré cette partie et je pense plus qu’a une chose c’est qu’il me pénètre, j’ai envie de l’avoir en moi.
La semaine se passe, sa femme est la toute la journée , les mains de son mari se posent régulièrement sur mes fesses, mes seins entre deux portes et on arrive même à s’embrasser.
Le mardi il me dit entre deux portes toujours, « met pas de culotte toute la semaine « et j’obéis.
Me promener cul nu sous ma
Il baise la fille de ménage dans l'escalier
Clandii se tape un mec dans la cuisine, très chaude elle lui taille une pipe hard
Aruna Aghora se fait bien remplir

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