Elle Se Touche Sur Periscope
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Elle Se Touche Sur Periscope
dimanche 04 septembre 2022, Sainte Rosalie
M. a tenu en. haleine les internautes pendant plusieurs jours avant de passer Ă l'acte.
Photo DDM, capture d'Ă©cran.
Publié le 12/05/2016 à 08:02
, mis Ă jour
Ă 10:28
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Avant de se suicider, une jeune fille de 19 ans a filmĂ© ses derniers instants via l'application Periscope qui permet de diffuser des vidĂ©os accessibles Ă tous. Des images visionnĂ©es par des centaines d'internautes, qui relancent une fois de plus les terribles dĂ©rives d'internet oĂč les scĂšnes violentes se multiplient. Pour les spĂ©cialistes, la situation est prĂ©occupante.
Sans doute faut-il y voir l'expression d'une immense dĂ©tresse, d'une solitude totale qu'il lui fallait briser au risque de rendre insupportables les images d'une mort en direct donnĂ©e en pĂąture aux internautes. La jeune femme de 19 ans qui s'est suicidĂ©e mardi au passage d'un RER en filmant la scĂšne sur Periscope dĂ©montre une nouvelle fois les terribles dĂ©rives d'internet. La toile n'est pas que le formidable outil virtuel qui ouvre les portes de la connaissance ; c'est aussi un redoutable instrument qui s'immisce dans tous les instants de notre vie, dans ses bonheurs, ses drames, ses excĂšs, envahissant progressivement notre sphĂšre privĂ©e. Cette mort en temps rĂ©el Ă 19 ans s'ajoute Ă la longue sĂ©rie des «vidĂ©os chocs» qui dĂ©bordent sur la toile et dont il est quasi impossible d'empĂȘcher la publication. En septembre 2015, les images d'un homme se jetant d'un immeuble Ă Toulon ont Ă©tĂ© visionnĂ©es plus de 300 000 fois en 24 heuresâŠ
«Tout cela est trĂšs prĂ©occupant. On se heurte Ă une hausse massive de ce type de phĂ©nomĂšnes, oĂč le rĂŽle de l'image est devenu essentiel», reconnaĂźt Alain Penin, psychologue, expert judiciaire auprĂšs de la Cour de cassation, qui a dressĂ© entre autres le profil psychologique de Merah. «L'image est partout. Elle a accompagnĂ© la naissance des rĂ©seaux sociaux. Tout cela dĂ©note une sorte de fascination Ă se mettre en scĂšne dans toutes les circonstances de la vie, baptĂȘmes, mariages ou enterrements, qu'il s'agisse parfois de raconter ses propres relations intimes ou sexuelles, jusqu'Ă filmer sa propre mort. Il est extrĂȘmement facile d'utiliser son portable pour cette forme du reportage privĂ© dĂ©ployĂ© ensuite sur les rĂ©seaux», ajoute l'expert national.
Pour Alain Penin, c'est clair : nous sommes dans une course effrénée au direct. On se trouve «dans un schéma de perversion avec, d'un cÎté, une forme d'exhibitionnisme, de l'autre une sorte de voyeurisme. Le systÚme ne fonctionne que parce que ces images en temps réel ont une audience. Ceux qui les regardent en sont friands. Plus ces images sont morbides, plus elles sont fascinantes», conclut l'expert.
Les vidéos violentes tournées en live, comme on l'a vu fin avril à Bordeaux ( lire par ailleurs ), la mise en scÚne du suicide de la jeune fille dans l'Essonne, interpellent la classe politique et les juristes sur ses nouvelles pratiques devant lesquels tout le monde est désarmé. Faudra-t-il, un jour interdire la publication d'images chocs et traumatisantes sur internet, comme on pourchasse et sanctionne déjà les sites pédophiles, les propos discriminatoires, racistes ou antisémites, ou les sites qui font l'apologie du terrorisme ? Certains y pensent déjà , mais le chantier, immense, semble impossible.
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Encore une fois, ce fait divers dramatique soulÚve le sujet des dangers des réseaux sociaux pour les enfants.
En France, plus de 2 millions dâenfants de moins de 13 ans sont inscrits sur des rĂ©seaux sociaux comme Facebook ou Snapchat, le plus souvent en cachette de leurs parents et dans une quasi-indiffĂ©rence gĂ©nĂ©rale. Sur ces rĂ©seaux, dont la loi interdit lâaccĂšs aux moins de 13 ans, les enfants sont quotidiennement exposĂ©s au harcĂšlement, au dĂ©tournement, Ă la violence et Ă des contenus inappropriĂ©s, avec les consĂ©quences horribles que lâon connaĂźt.
Pour les parents, les Ă©tudes (https://goo.gl/tLZoQQ et https://goo.gl/FPrFXV) dĂ©montrent quâinterdire ne fait que renforcer lâattirance des enfants pour les rĂ©seaux sociaux, en effet 83% des enfants mentent sur leur Ăąge pour sâinscrire !
La seule stratégie efficace pour les parents consiste à accompagner leurs enfants dans une découverte sécurisée des réseaux sociaux, en utilisant des réseaux spécialement adaptés aux enfants et qui sont sous le contrÎle des parents.
Fox.Mulder, il y a 1 jour - le 12/05/2016 Ă 13h59
Personne n'a rien fait, les français sont des gens individualistes, sauf quand il faut plaider leur cause personnelle.
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Un des problĂšmes est justement l'individualisme car quand cela ne va pas, il faut retrouver ses parents, des trĂšs proches amis ou de la famille qui peuvent aider afin de surmonter les problĂšmes afin de les affronter ensemble et surtout ne pas rester dans son coin et sombrer!
Et c'est partout pareil, hélas, mais aussi, il faut toujours se dire qu'il y a bien plus malheureux que soi et il suffit de voir comment vivent les peuples dans des pays sous-développés!!!....
tous les jours des gens se donnent la mort sans qu'internet y soit pour quelque chose
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Longtemps prĂ©fĂ©rĂ© par les mĂ©dias, Periscope touche dĂ©sormais un public plus large. GrĂące au bouche-Ă -oreille, grĂące Ă la presse qui ne fait plus un reportage sans le diffuser en direct sur lâapplication, grĂące Ă François Hollande qui sây est mis en mars et grĂące au footballeur Serge Aurier, qui y insulte son entraĂźneur et ses coĂ©quipiers dans une vidĂ©o. Ă lâoccasion du premier anniversaire de Periscope, rencontre avec Kayvon Beykpour, 27 ans, Ă lâorigine de cette application qui rassemble aujourdâhui plusieurs dizaines de millions dâutilisateurs.
TombĂ© dans les ordinateurs Ă lâĂąge de 5 ans et dans Internet Ă lâadolescence, Kayvon Beykpour nâest pas le geek en claquettes Adidas et T-shirt blanc enfermĂ© dans sa chambre. Le fondateur de Periscope est du genre tout aussi clichĂ© des grands bruns tĂ©nĂ©breux et charismatiques. Mais Ă lâĂ©couter, il nâest quâun jeune qui aime crĂ©er et travailler, et ce depuis toujours. « Jâai grandi Ă San Francisco. Je me rappelle de ma premiĂšre utilisation dâun ordinateur. Jâavais 5 ans, mon pĂšre lâavait apportĂ© Ă la maison et jâĂ©tais fascinĂ©. Je voulais comprendre comment il fonctionnait. Je jouais Ă des jeux vidĂ©o avec, et jâĂ©tais Ă lâaise avec la machine. Je me suis mis Ă fabriquer des ordinateurs. »
 Pendant que certains construisent des circuits Meccano, il crĂ©e des sites avec Joe Bernstein, son meilleur ami rencontrĂ© Ă lâĂ©cole primaire. « Quand on avait 13 ans, on faisait des sites Internet. Un jour, un ami de mes parents qui vendait du vin nous a payĂ©s pour quâon lui crĂ©e son site. Ensemble, on sâest rendu compte quâon aimait fabriquer des choses, monter des projets. » Le duo fonctionne si bien quâils fondent ensemble Periscope.
 AprĂšs le lycĂ©e, brillant Ă©lĂšve, Kayvon intĂšgre Stanford oĂč il Ă©tudie, sans surprise, lâinformatique. Pourtant, câest la rĂ©alisation de vidĂ©os qui le fait rĂȘver. Durant ses Ă©tudes, toujours avec Joe â qui est alors installĂ© sur la cĂŽte est â, il lance sa premiĂšre entreprise. Les deux amis crĂ©ent une application Ă destination des Ă©tudiants pourq quâils puissent organiser en quelques clics leurs cours, se repĂ©rer sur le campus, contacter leurs professeurs⊠Lâapplication est rachetĂ©e par Blackboard, un gĂ©ant du high-tech, et au bout de quatre ans et demi Joe et Kayvon se retirent du projet.
 « AprĂšs avoir travaillĂ© pendant des annĂ©es, jâai voulu voyager et rĂ©flĂ©chir Ă ce que je voulais faire ensuite. » De retour aux Ătats-Unis, Joe et lui se retrouvent et prennent conscience du besoin de partage entre les personnes Ă travers le monde. « Il se passe tellement de choses, ici ou Ă lâautre bout du monde. Comment pouvons-nous les partager ? On avait envie de crĂ©er une machine pour se "tĂ©lĂ©porter", qui vous permet de voir le monde Ă travers les yeux de quelquâun dâautre. » Le duo est persuadĂ© dâavoir trouvĂ© une idĂ©e en or. Pendant neuf mois, ils se penchent sur ce projet, embauchent une Ă©quipe et lancent une version bĂȘta quâils partagent avec leurs amis et leur famille.
 Ils dĂ©cident de tester leur produit auprĂšs dâun cercle plus large, dans lequel se trouve une employĂ©e de Twitter, une ancienne camarade de classe de Kayvon. « Elle mâa appelĂ©, car elle voulait me prĂ©senter Jack Dorsey, le fondateur de Twitter. Ăvidemment, cela ne se refuse pas. Il a vu le potentiel de Periscope et a dĂ©cidĂ© de nous soutenir. Trois mois plus tard, nous lancions lâapplication. » AidĂ© par la visibilitĂ© de Twitter, Periscope est trĂšs vite mĂ©diatisĂ©. Les journalistes sont les premiers Ă ĂȘtre sĂ©duits. En France, Nikos Aliagas filme les coulisses de « The Voice ». Les mĂ©dias transmettent en direct des images de leurs envoyĂ©s spĂ©ciaux : « Le Parisien », par exemple, diffuse les coulisses des Victoires de la musique sur Periscope. Les tapis rouges des Grammy Awards sont diffusĂ©s sur lâapplication grĂące aux journalistes amĂ©ricains.
 Sur Periscope, chacun se transforme en reporter dâun jour . En mars, les premiĂšres images des attentats Ă lâaĂ©roport de Bruxelles sont retransmises par des tĂ©moins des explosions. Certains crient Ă lâindĂ©cence, dâautres se rĂ©jouissent de lâinstantanĂ©itĂ© de lâimage. Mais Kayvon se dĂ©fend dâavoir crĂ©Ă© une application voyeuriste. « Je comprends quâon puisse associer Periscope Ă la tĂ©lĂ©-rĂ©alitĂ©. Mais Ă la diffĂ©rence que le spectateur nâest pas passif devant sa tĂ©lĂ©. Il peut interagir avec le diffuseur dâimages et influencer sa maniĂšre de filmer. »
 Kayvon Beykpour est incapable de nous dresser un profil type des « Periscopeurs ». On peut aussi bien trouver des adolescentes dans leur chambre en train de raconter leur journĂ©e, que des entreprises qui crĂ©ent un lien intime avec leurs clients. « Jâai un chien et je suis abonnĂ© Ă une box pour lui. Cela sâappelle Bark Box. Un jour, jâai vu sur Periscope que la marque prĂ©sentait la box quâon allait recevoir, les produits du mois, puis nous avons eu droit Ă une visite guidĂ©e des bureaux, avec les chiens. Cela a crĂ©Ă© une vraie proximitĂ© avec Bark Box, jâĂ©tais encore plus impatient de recevoir la box. Jâavais lâimpression de les connaĂźtre, je pouvais leur parler et ils me rĂ©pondaient. » Periscope a aussi sĂ©duit le monde de la mode. Pendant la derniĂšre Fashion Week Ă Londres, Ralph Lauren a retransmis son dĂ©filĂ© en live, sur les Ă©crans de Piccadilly Circus.
 Mark Zuckerberg, le fondateur de Facebook, subit le mĂȘme traitement mĂ©diatique que nâimporte quelle star, et a mĂȘme eu droit Ă un biopic Ă sa gloire. Evan Spiegel, fondateur de Snapchat, sâaffiche fiĂšrement au bras du top model Miranda Kerr, et Jack Dorsey de Twitter compte Lily Cole parmi ses ex. Les rois du Web sont-ils les nouvelles rockstars ? « Depuis que je suis au lycĂ©e, on fait des icĂŽnes Ă la Silicon Valley. Lâascension dâApple y a jouĂ© un grand rĂŽle. Steve Jobs est devenu une icĂŽne, tout comme Mark Zuckerberg avec Facebook. Se dire quâun Ă©tudiant de fac peut crĂ©er un site aussi Ă©norme peut faire rĂȘver. Oui, certains sortent avec des top models, voyagent en jet, mais la majoritĂ© reste terre-Ă -terre. Je me rends au travail Ă 8 heures t
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