Elle Fait Cocu Son Mari

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Elle Fait Cocu Son Mari
Stephan Dötsch / EyeEm via Getty Images
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Cela m’a littéralement laminé, déchiqueté vivant.
COUPLE - J’ai été marié jeune et père tout aussi jeune. Je cumulais les deux à 23 ans. Ce n’était pas une période facile pour notre couple, ma femme m’avait trompé peu avant de nous marier, j’avais décidé de passer par-dessus et je croyais pouvoir sauver notre couple. Je m’illusionnais et me voyais en super-héros. J’ai d’ailleurs accepté d’avoir un enfant en sachant que cela allait aggraver les problèmes tout en espérant que cela les règlerait.
Au bout d’un moment, je me suis aperçu que ma femme me trompait. Des mensonges, des incohérences, des amis qui me disaient qu’elle leur avait fait des avances. Les signes étaient clairs mais j’étais toujours persuadé que j’allais sauver notre couple, qu’elle cherchait à l’extérieur du couple une solution à un problème interne.
Jusqu’au jour où j’ai craqué. J’avais largement dépassé mes limites de ce que je pouvais supporter et j’ai craqué. Ce jour-là, j’ai failli frapper mon jeune fils parce qu’il ne rangeait pas sa chambre. Pourtant, je ne suis pas violent.
J’ai décidé de divorcer et je suis parti squatter chez ma mère, les finances valant l’état du couple. Un soir où j’avais vu mon meilleur ami, je le vois partir et prendre une direction très différente de celle de chez lui. Par contre, elle allait tout droit chez ma femme. Je l’ai suivi. Oui, oui, comme dans les films. Et le résultat fut aussi comme dans les films. C’est là que j’ai appris que leur liaison durait depuis des années.
Cela m’a littéralement laminé, déchiqueté vivant. J’ai mis trois ans pour arriver à refaire confiance à une femme, me reconstruire.
Bien des années après, je sortais avec une femme qui m’avait dit être poly-amoureuse mais pas en relation avec d’autres. Premier contact avec ce terme.
Mais bon, vu qu’elle ne couchait qu’avec moi, quelle importance ? C’était juste des mots.
Et voilà qu’un jour, elle m’annonce qu’elle veut terminer une histoire et va passer le week-end dans un camp naturiste avec un homme. Oups. Passablement de peurs sont montées, celle d’être abandonné, celle qu’il est mieux que moi et je vous passe toutes les variantes. J’ai cherché à me calmer, à accepter, à me gérer. Mais ce foutu week-end a fini par arriver.
Étonnamment, ce ne fut pas si terrible. Désagréable, mais tout à fait vivable. Elle m’a d’ailleurs proposé de les rejoindre le dimanche, ce que j’ai fait, et j’ai passé une excellente journée.
Cela m’a beaucoup interrogé. Pourquoi n’avais-je pas revécu l’enfer ?
J’y ai réfléchi. Pour être honnête, durant des années. J’ai fini par comprendre que c’est le mensonge, les manipulations, qui m’avaient affectés, qui avaient sali ce que nous avions partagé, ma femme, mon meilleur ami, et moi. Ce n’était pas le fait qu’elle couche avec un autre.
Néanmoins, simultanément, je trouvais insupportable l’idée d’avoir la femme que j’aime couchant avec un autre. Comment concilier cela avec le refus d’imposer quelque chose à l’autre ? C’est pour moi une prise de pouvoir à laquelle je me refuse. Et c’était tout autant inimaginable que cela se passe.
Finalement, j’ai entamé un travail sur moi-même avec l’aide d’une psychologue afin de renforcer ma confiance en moi et pris conscience de l’importance de l’honnêteté dans une relation. Oser dire les choses, parler de ses besoins et de ses désirs plutôt que d’essayer de les nier et finir par y céder en détruisant ce à quoi on tient. J’ai 53 ans maintenant et je suis enfin en accord avec moi-même.
Le nom d’utilisateur de l’auteur de ce témoignage a été modifié.
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Le cuckold est un “cocu heureux”, c’est-à-dire un homme –généralement marié– qui jouit de voir sa femme dans les bras d’un ou plusieurs amants. Elle le trompe ouvertement. Et ça l’excite.
Le mot "cocu" viendrait du mot “coucou” ( cuckoo en anglais). La femelle du coucou pond dans le nid des oiseaux d’autres espèces afin que ceux-ci couvent l’œuf et nourrissent son petit à sa place. De même, le cuckold met sa femme dans le lit d’autres hommes, afin qu’ils lui fassent l’amour à sa place.
Contrairement aux cocus habituels dont on dit qu’ils portent des cornes parce que tout le monde peut les voir sauf eux, les “cocus heureux” ne sont pas les derniers informés de leur infortune. Ils jouent au contraire un rôle actif dans leur propre cocufiage: ce sont souvent eux qui poussent leur compagne à avoir des rapports extra-conjugaux.

Parfois même, ils assistent aux ébats et tirent un plaisir sans nom de voir leur bien-aimée entre les bras d’un autre. Pourquoi? Dans le milieu SM, la raison invoquée est souvent humiliante: le cuckold prétend qu’il n’est pas capable de satisfaire son épouse. Il affirme qu’il est impuissant, éjaculateur précoce ou “mauvais coup”. Ce qui n’est pas forcément vrai. A l’origine de ce fantasme, il peut y avoir une forme d’homosexualité larvée. Il peut aussi y avoir le désir d’être transformé en objet sexuel dont la femme dispose à sa guise: tel jour, elle s’offrira un amant, tel autre elle préfèrera utiliser son mari comme un sextoy de substitution…
Mais la raison principale, probablement, c’est que le cuckold trouve sa femme plus désirable si elle est désirée par d’autres. C’est un fantasme qui repose sur la “triangulation du désir”: tu as plus de prix, ma chérie, quand les autres mâles te convoitent.
Tenaillé par la jalousie, le cuckold fera tout pour satisfaire lui aussi sa femme, rivalisant d’ardeur avec ses innombrables amants afin qu’elle ne le quitte pas pour un autre… S’il fallait résumer grossièrement, on pourrait définir le cuckold comme un “mari idéal”. Un homme capable d’aimer sa femme envers et malgré tous les amants, défiant ainsi les conventions morales qui assimilent les adultères à d'indignes trainées.
Le cuckold est aussi un homme tirant son plaisir de celui que sa femme éprouve, s’identifiant à elle lorsqu’elle se met à gémir et crier, partageant ses émotions. C’est aussi un homme qui met son orgueil à rude épreuve, pour le seul plaisir d’avoir –sans cesse– à reconquérir celle qu’il aime. Il met en danger son couple afin de mieux le sauver et entretient en permanence l’excitation des premiers moments, lorsqu’il n’était qu’un prétendant parmi d’autres, luttant pour obtenir la main de son élue, en compétition avec des rivaux séducteurs. Pour le cuckold , chaque jour est une déclaration d’amour.
Beaucoup de maris sont des cuckold sans le savoir: ils encouragent parfois leur femme à se faire particulièrement belle et marchent derrière elle à vingt pas dans la rue, pour regarder les passants qui se retournent ou qui la sifflent. Beaucoup de femmes sont aussi des cuckold . En anglais, on les surnomme cuckqueans . Elles aiment imaginer que leur compagnon flirte avec d’autres femmes, et l’encouragent parfois à aller plus loin, parce qu’il est doux de savoir qu’au final c’est vers elle qu’il reviendra. Il peut bien faire ce qu’il veut “ailleurs”. Les cukqueans savent qu’elles restent l’amour unique. Elles jouissent des regards envieux que leur lancent d’autres femmes. Au final, les cuckold ne sont-ils pas dans une position privilégiée? Ils possèdent un trésor dont les autres ne peuvent jouir qu’à mi-temps. Par un curieux retournement de rôle, ils parviennent même à rendre les amant(e)s jaloux(ses).
Parmi les lecteurs de ce blog, il en est un qui se prénomme “Eric le cocu”: “ Je suis marié depuis 7 ans avec Véronique et j'ai été cocu dès le début de notre relation. Étant soumis et elle dominatrice, nous avons décidé d'en faire un mode vie bien avant que cela ne devienne une mode sur internet. De nombreux sites sont consacrés à notre tendance sexuelle comme cuckoldplace.com par exemple qui est le plus célèbre. Vous y trouverez toutes les tendances cuckold car il y a toute une série de variantes sur ce sujet. Moi ce que j'aime c'est devoir préparer l'appartement pour que ma femme puisse accueillir ses amants, me faire insulter par elle et eux, devoir les regarder baiser dans notre lit conjugal, puis être chassé et obligé d'aller me branler dans le couloir ou dans la cuisine. Ma femme a actuellement un amant régulier et officiel qu'elle embrasse devant notre immeuble devant tous nos voisins pour que tout le sache que je suis cocu. Elle a aussi d'autres amants de passage, ma préférence allant vers ceux qui en plus des insultes me font sucer leur bite, je dois les faire bien bander pour qu'ils enfilent ma femme ensuite. ”
"Eric le cocu" existe-t-il réellement? Peu importe. Son fantasme existe. Dans L’Ecole des femmes , Molière met en scène un homme qui se moque des cocus et finit par devenir l'équivalent d'un cuckold . Dans La Confession impudique Tanizaki décrit un couple qui redécouvre l’amour par le biais de la jalousie. L'homme écrit: « Je voudrais être jaloux jusqu’à la folie »… Il est prêt à offrir sa femme, le corps de sa femme, espérant par cette infidélité découvrir une nouvelle volupté, aimer par procuration. « Elle pourrait aller jusqu’au point où je la soupçonnerais de franchir la limite, je désire même qu’elle aille aussi loin ». 
Dans La Venus à la fourrure , Leopold von sacher Masoch transpose sous la forme d’un roman sa propre expérience: « Je m'oblige, sur ma parole d'honneur, à être l'esclave de Mme Wanda de Dunajew, tout à fait comme elle le demande, et à me soumettre sans résistance à tout ce qu'elle m'imposera .» Pour que s'accomplisse pleinement son fantasme, le héros du roman se met à chercher, mais en vain, celui avec lequel Wanda le cocufierait et, en outre, le ferait battre. Sur internet, des centaines d’hommes déposent des annonces similaires: “ Prenez ma femme devant moi, s’il vous plait ”. “ Je suis un mari qui aime sentir que sa femme appartient à un autre ”. Etc.

Rédigé à 16:06 dans Fétichisme | Lien permanent

guitry disait ceci ou à peu pret :je devrais remercier l'amant de ma femme ,il sait maintenant du peu dont je me contente...louis nantes

Rédigé par :
louis |
03/09/2009 à 16:47

quand à l'ecole des femmes de moliere le theme central c'est la cruauté de la jeunesse qu'indiferre un vieux de 40ans...qui l'a pourtant éduqué...la jeunesse va à la jeunesse!

Rédigé par :
louis |
03/09/2009 à 16:57

Merci pour cet article intéressant.
Toutefois, faut-il encore parler de "cocufiage" (ou adultère etc.) lorsqu'il y a une telle attente, une telle connivence entre les deux époux dans ces situations fantasmiques ?
On peut imaginer qu'un adultère "classique" est malheureux avant tout en raison du secret gardé par l'un et méconnu de l'autre...


Rédigé par :
M.A |
03/09/2009 à 17:33

au japon ,le chant du coucou (kigo ou mot de saison utilisé tel quel dans les haikus ,poemes de 17 syllabes ) est le signe de la mort qui vient .
etonnant ,non ?

Rédigé par :
une petite precision |
03/09/2009 à 17:35

"Elles aiment imaginer que leur compagnon flirte avec d’autres femmes" ou même flirte avec des hommes ?

Rédigé par :
Pierre |
03/09/2009 à 18:08

e principal n'est-il pas que tous en retire du plaisirs ??? Si toutes les parties "sans jeux de mot sont consentente bien entendu

Rédigé par :
jackomo76000 |
03/09/2009 à 18:26

Billet très intéressant. En ce qui me concerne je travaille dans un autre pays que ma femme. Cela ne me dérange pas qu'elle sorte avec d'autres hommes et qu'elle flirte avec. Je pense que c'est bénéfique de se sentir désirée. Par contre je n'ai pas d'opinion arrêtée sur le sexe. Je ne lui ai pas demandé de ne pas le faire, mais je veux être au courant si cela se produit.
Je navigue à vue, car je trouve que les modèles de couple classique ne s'appliquent pas à ma relation, ou mes intérêts. Et puis j'ai beaucoup lu de SF des années 50 ou 60, dans laquelle il y avait beaucoup de spéculation sur la sexualité et les relations de couple. La monogamie ne me semble pas du tout une obligation pour une relation satisfaisante.
Ironiquement je suis moi même strictement monogame. J'ai pas la patience ou l'envie d'avoir des coups d'un soir, et je ne survivrais pas à maintenir deux relations sentimentales en même temps ;-)
Par contre je n'ai pas vraiment un phantasme homossexuel. Après tout, je vois bien que ce sont les femmes qui me stimulent, pas les hommes, donc je ne pense pas que les deux soient forcément liés.

Rédigé par :
Laramie |
03/09/2009 à 21:06


Rédigé par :
Trouduc |
03/09/2009 à 22:21

Il va de soit que, probablement comme beaucoup, il me convient davantage de jouer le rôle du cocufieur !

Rédigé par :
marquant17 |
04/09/2009 à 00:55

Tous les goûts sont dans la nature, mais vraiment je n'arrive pas à me replacer dans un tel désir. Rien que de m'imaginer en cocu volontaire, je n'imagine que de la souffrance.

Rédigé par :
Fabrice Clerc |
04/09/2009 à 08:28


Une fois de plus, article très intéressant.
En passant
Pour tout ceux et celles étant dans ce cas de figure (ou voulant découvrir de nouveaux horizons),
vous pouvez utiliser le site internet xxlove.fr pour trouver vos nouveaux (nouvelles) partenaires
Cerise sur le gateau : contrairement à tous les autres sites, celui-ci est totalement gratuit.

Rédigé par :
xxlove |
04/09/2009 à 08:59

La poésie du cocu s'en va...
dommage!!!
moi je reste "fidèle" à Georges Brassens et son cocu.

Rédigé par :
chimel |
04/09/2009 à 09:17

par glissement et consonance l'origine du mot serait plutôt "vieille couilles" celui qui ne peut + satisfaire - par l'age ou/et l'impuissance

Rédigé par :
priape |
04/09/2009 à 10:12

Merci Agnès pour cet article très enrichissant car je ne voyais pas les tenants et les aboutissants du cuckold ( ou candaulisme en français, je crois...)
Et merci aussi pour tous vos autres articles!

Rédigé par :
Mlle_Alice |
04/09/2009 à 11:04

Mieux vaut être cocu heureux
que cocu battu.

Rédigé par :
Chicoballa |
04/09/2009 à 11:14

Vous oubliez une référence littéraire essentielle : "L'éternel mari" de Dostoïevski. Le héros, l'éternel mari, est en réalité un éternel cocu, puisqu'il ne peut pas aimer une femme sans qu'elle soit désirée par un autre.

Rédigé par :
Denis Monod-Broca |
04/09/2009 à 17:48

Que celui qui n'a pas été cocu un jour lêve le doigt!
Une main se lêve: encore un qui n'est pas encore au courant...

Rédigé par :
Rabbit |
05/09/2009 à 18:07

Je suis une fidèle de votre blog, sans jamais intervenir.
Cet article me fait réagir car je vis avec un "homme idéal" tel que vous le décrivez. Il est attentionné,prévenant, amoureux, et notre complicité n'a aucun égal. Nous sommes toujours ensemble et parfois un autre homme se joint à nous, pour notre plaisir. A 40 ans, je vis enfin avec un homme qui sait m'aimer et me le montrer. Je sais que c'est une chose rare et je l'apprécie chaque jour. Et mon admiration et amour en sont plus grand.

Rédigé par :
laure |
06/09/2009 à 00:29

Il y a cependant un cas de figure que vous n'abordez pas parmi les explications que vous proposez : celui où le mari est heureux de l'empire que sa femme exerce sur d'autres hommes. Dans nos fantasmes, il me plaît d'imaginer que mon épouse choisit souverainement un autre partenaire, qu'elle le soumette à ses désirs, qu'elle décide (et non subisse) ce que seront leurs gestes. En toute liberté, en pleine autonomie. Curieux que vous n'ayez pas même envisagé cette situation. Le récit d'Eric-le-cocu que vous rapportez reste dans un rapport soumis-dominante qui n'est pas ce que j'évoque ici.


Rédigé par :
Seingalt |
06/09/2009 à 21:32

Je pense que votre analyse quoiqu'interessante est un peu incomplète.
S'il y a certainement l'envie de reconquérir son partenaire après avoir mis en danger son couple par une telle pratique. Il y a tout aussi certainement une jouissance dans la destruction de tout orgueil de soi même ce qui exclue toute reconquête et, au contraire, ne maintien le coiuple qu'a la seule bonne volonté de son partenaire.
Pour dire, vrai et aller encore plus loin, ce fantasme est aussi un fantasme d'eloignement de l'autre qu'on imagine ( ou qu'on vit) cocufieur pour n'avoir pas à lui donner autre chose qu'une soummission ritualisée.
Il est parfois difficile de prendre le risque d'être simplement soi-même, le macho et le soumis sont les deux revers de la médaille du "deshonneur" des mecs qui n'osent plus.

Rédigé par :
eco |
07/09/2009 à 11:04

En effet, M.A, il ne s'agit pas tant de cocufiage que de candaulisme (qui est plus exactement la traduction du cuckolding au sens ou on l'entend aujourd'hui).
C'est une forme de complicité en soit que de voir sa(son) partenaire prendre du plaisir avec d'autres, une forme de libertinage en somme si l'on excepte le plaisir "voyeuriste".
Vaste débat que les déclinaisons du plaisir et de la complicité (dont vous faites un tour d'horizon avec brio, Agnès), mais le sens même d'une relation n'est-elle le plaisir partagé ; sa beauté résidant dans le fait de d'offrir du plaisir à sa(son) partenaire, quitte à sacrifier un peu de son plaisir personnel...
Il y a certes manière et manières de concrétiser cette complicité et ce(s) plaisir(s), mais les relations de couple reposent toujours plus ou moins sur ce principe. Le candaulisme en est une forme.
Pour ce qui est du sentiment de jalousie que vous illustrez, Fabrice, je ne vous jette pas la pierre mais il n'est jamais issu que d'une forme d'appropriation de l'autre, de possessivité. Or, est-on propriétaire de sa(son) partenaire ? A mon avis (et hors cadre d'une relation D/s bien-entendu), considérer l'autre comme une propriété revient à le considérer comme un objet ; ce qui pourrait être une forme d'égoïsme en soit.
Mais loin de moi l'idée de faire de la psychologie à l'emporte pièce, je vous rassures... le plus important restant que chacun saisisse son bonheur sans prendre l'autre en otage du sien.

Rédigé par :
Gille de Rancy |
07/09/2009 à 16:46

Etant moi même parfois bull je tiens a faire remarquer que le cuckolding n'est pas la même chose que le candaulisme (ce que l'article semble dire).
Bien que les deux pratiques soient souvent associées il n'est pas rare de trouver des candaulistes non cuckholds et vice versa.
Le canda
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