Elle A Pas Mis De Culotte

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Elle A Pas Mis De Culotte
De quoi scotcher les téléspectateurs !
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La nouvelle saison de La France a un incroyable talent était enfin de retour sur M6 ce mardi 20 octobre. L'émission de découverte de talents, animée par Karine Le Marchand qui remplace David Ginola , et toujours avec un jury composé d'Eric Antoine, Hélène Segara, Marianne James et Sugar Sammy, a littéralement séduit les téléspecteurs qui étaient 3,6 millions à la regarder , soit le meilleur lancement pour le programme depuis 2016. Mais le point que l'on puisse dire, c'est qu'une séquence les a particulièrement marqués... 
En effet, parmi tous les candidat.e.s, une certaine Tiffany Well a interpellé l'audimat. C'est avec une robe fluide en dentelle blanche que la chanteuse a ainsi fait le show sur scène en reprenant le titre Sans logique de Mylène Farmer. Seulement voilà. En faisant virevolter sa robe, Tiffany a dévoilé ses parties intimes aux téléspectateurs à tel point que M6 a dû ajouter une croix rouge à l'écran . " On a vu sa foufoune !", s'est alors exclamée Karine Le Marchand, choquée de voir depuis les coulisses que l a candidate n'avait, en effet, pas mis de culotte. " Pour moi, c'était comme une danse érotique à Saint-Etienne un lundi matin, elle a la grâce d'une momie et le sex appeal d'un cendrier. Après Hélène Ségara , Hélène Cigarette !", s'est ensuite moqué Sugar Sammy.
"on a vu sa foufoune" #LFAUIT je meurs pic.twitter.com/jzsQ2qBPRx
"On voit sa foufoune" dit Karine, ça va buzzer ça vu qu'on peut plus rien dire #LFAUIT
"Aanh on a vu sa foufoune" Karine elle vas regretter l'année prochaine on rechange de présentateur �xܭ�x #lfauit
Quoiqu'il en soit, cela n'a pas empêché la candidate de se dire déçue par sa prestation car elle ne s'entendait pas chanter. "Chanceuse ", lui a alors rétorqué le juré Sugar Sammy.

Ce soir, Julie... n'a pas mis de culotte !
Ce soir, Julie... n'a pas mis de culotte !


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dimanche 04 septembre 2022, Sainte Rosalie

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Condamné pour agression sexuelle, un ostéopathe derrière les barreaux











Justice , Narbonne , Gruissan



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l'essentiel
Un ostéopathe gruissanais de 64 ans a été condamné jeudi 1 er septembre pour agression sexuelle caractérisée sur l’une de ses patientes à 3 ans de prison ferme. Récit d’une audience pesante au cours de laquelle le Parquet s’est montré intransigeant.

Ce 11 novembre 2020 fut un jour de rupture pour deux personnes. L’une, jeune mère de famille narbonnaise, est une patiente habituelle de l’autre, ostéopathe gruissanais dont la réputation est assise sur 40 années de pratique. C’est un jour férié et la salle d’attente du cabinet, habituellement pleine, est vide. La jeune femme s’installe sur la table du praticien. Elle en sortira en état de choc, ira trouver son ex-compagnon et deux heures plus tard déposera plainte pour viol à la gendarmerie. Près d’un mois plus tard, le 17 décembre, l’ostéopathe est placé en garde à vue.
La présidente du tribunal, lors d’une audience correctionnelle ce jeudi 1er septembre, explique les faits d’agression sexuelle retenus contre le praticien : il l’a fait allonger sur le dos, a mis ses mains sur le bas-ventre de la jeune femme, a touché ses parties intimes, lui a demandé de respirer très lentement. Il a caressé sa poitrine. Après lui avoir retiré son pantalon et sa culotte il l’a touchée et a introduit ses doigts. La jeune femme était sidérée et ne pouvait plus parler. Elle avait l’impression de flotter au-dessus de son corps et a réussi à dire qu’elle devait aller récupérer ses enfants pour quitter le cabinet, non sans avoir auparavant signé un chèque de 50 €. Un chèque qu’il n’encaissera jamais et que les enquêteurs retrouveront à son domicile, rangé dans sa chambre, lors des perquisitions.
Le praticien ne se départit pas de son calme, et nie catégoriquement les faits. Mais selon l’avocate de la victime, l’ostéopathe aurait avoué ce 11 novembre 2021 à la fin de la séance à sa patiente : "on a un peu dérapé" .
L’avocat du praticien Maître Clary a invoqué deux nullités, l’une lié e "au rapport d’expertise accablant. L’expert s’est exprimé en juge plutôt qu’en médecin, il a suivi le sentiment des enquêteurs qui l’ont estimé coupable immédiatement". L’autre nullité tient à l’enquête sociale, jugée également à charge par l’avocat. Ces deux actions seront balayées plus tard par le tribunal.
La présidente poursuit en indiquant que des traces d’ADN ont été retrouvées sur la culotte et à l’entrée du vagin de la plaignante. " C’est une ADN de contact qui n’est pas une preuve absolue, explique l’avocat de la défense, qui émet l’hypothèse que "l’ADN de l’ostéopathe était présente sur les mains de la victime et celle-ci a pu, par la suite, toucher sa propre culotte".
La patiente qui, consultait l’ostéopathe depuis 20 ans, avait totalement confiance en lui et n’avait jamais constaté de geste déplacé dans un premier temps. Cependant, elle évoque lors des dernières séances chez le praticien avoir vécu "des situations inconfortables et ambiguës" .
À la barre, l’ostéopathe explique posément qu’il manipule ses patients lorsqu’ils sont habillés, jamais dévêtus et relève des incohérences dans les propos de celle qui l’accuse, dont certaines au niveau des gestes techniques.
Maître Castelbou explique que la séance a duré une éternité pour sa cliente, et qu’elle était en état de sidération à ce moment-là, ce qui explique son absence de réaction immédiate lorsqu’elle a senti la pénétration digitale. Elle réfute la théorie de l’ADN par manipulation, et parle de déviance, en demandant 10 000 euros de dommages et intérêts au titre du préjudice.
Le procureur relève des éléments inquiétants de l’expertise psychologique. Il décrit un homme en toute puissance, note que personne n’a déposé plainte pendant toutes ces décennies de pratique, à l’exception d’une patiente qui, en 2003 n’a pas formalisé de plainte mais, choquée par des agissements de l’ostéopathe et prise d’une crise d’angoisse, en a informé sa famille et son médecin. Ce dernier a reçu l’ostéopathe dans son cabinet, qui n’a ni avoué, ni nié les faits rapportés, se contentant dans sa réponse à son confrère d’un simple "ok, ok"… La présidente du tribunal souligne que le témoignage, rejaillissant dix-sept ans après les faits, entre en écho avec les déclarations de la jeune femme, qui seule, a décidé de porter plainte.
Le procureur Eric Camous évoque l’attitude du praticien à l’audience : " aucun remords, aucune prise de responsabilité : au contraire, il cherche à culpabiliser la victime en se demandant pourquoi n’a-t-elle pas réagi en disant, et si vraiment ça s’était passé, pourquoi a-t-elle signé le chèque ?" Une attitude relevée par Eric Camous qui requiert 4 ans de prison assortis d’un sursis de 18 mois et un mandat de dépôt avec interdiction définitive d’exercer et d’approcher la victime.
En défense, Maître Clary soulève le fait que la victime " a tout fait pour trouver des témoignages accablants : les rumeurs ont été virales sur les réseaux sociaux et son cabinet en a pâti. Il plaide l’incohérence de la réquisition pour un praticien au casier vierge, dont la longue pratique n’est émaillée d’aucune plainte. C’est ubuesque de demander son incarcération !"
Le tribunal présidé par Mylène Lefrère a condamné l’ostéopathe à 4 ans de prison pour agression sexuelle caractérisée dont un an avec sursis sur une période probatoire de 2 ans, et a ordonné un mandat de dépôt, pour éviter tout risque de fuite. Il doit également régler 7 000 euros à la victime. Il est frappé d’une interdiction d’exercice de la profession de kiné et d’ostéopathe avec inscription au fichier des délinquants sexuels. À cette annonce, l’ostéopathe n’a pas cillé, la victime, elle, a éclaté en sanglot. À 1 heure du matin ce vendredi, le praticien quittait Narbonne. Direction la maison d’arrêt de Béziers. Dès ce vendredi matin, l’avocat a interjeté appel contre cette décision.
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