Ejaculation sur la poitrine

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Bonjour, je n'utilise pas de contraceptif, et mon copain n'éjacule que sur ma poitrine, après avoir fait du "va et vient" dans mon vagin. Quel est le risque de grossesse avec ce genre de pratique ?
Bonjour, 30% de risque de grossesse avec la technique du retrait, et ne parlons pas des IST.... Pourquoi n'utilisez vous pas de préservatifs?
Bonjour, 30% de risque de grossesse avec la technique du retrait, et ne parlons pas des IST.... Pourquoi n'utilisez vous pas de préservatifs?
Qu'entends tu par 30% ? Au bout de combien de rapports ?
30% de risques. C'est LA méthode qui a repeuplé la France après 1945. Lis ce post : http://forum.doctissimo.fr/san [...] 6711_1.htm
Edité le 25/09/2015 à 5:33 AM par Solal
Qu'entends tu par 30% ? Au bout de combien de rapports ?
A chaque rapport, tu as 30% de chances de tomber enceintes. C'est énorme. Le liquide séminal (liquide lubrifiant de l'homme) contient des milliers de spermatos, c'est amplemeant suffisant. Et il y a aussi les risques d'IST.
A chaque rapport, tu as 30% de chances de tomber enceintes. C'est énorme. Le liquide séminal (liquide lubrifiant de l'homme) contient des milliers de spermatos, c'est amplemeant suffisant. Et il y a aussi les risques d'IST.
 ❓ J'aime plein d'amies, qui en cherchant à tomber enceintes, nécessitent plus que 3 rapports... Donc moi, au prenant "un tout petit peu" de précaution, je n'ai quand même pas plus de chances qu'elles ? PS : je ne suis pas totalement contre tomber enceinte, donc ne vous inquiétez pas pour moi, c'est jour pour savoir.
il y en a qui tombe enceinte la premiere fois qu'il on essaillier le retrais une personne n' est pas l'autre
 ❓ J'aime plein d'amies, qui en cherchant à tomber enceintes, nécessitent plus que 3 rapports... Donc moi, au prenant "un tout petit peu" de précaution, je n'ai quand même pas plus de chances qu'elles ? PS : je ne suis pas totalement contre tomber enceinte, donc ne vous inquiétez pas pour moi, c'est jour pour savoir.
Tu sais j'avais un ami qui adorait se faire des frayeur. Depuis l'âge de 15 ans, chaque vendredi ou fin de semaine. Il prenait une arme, mettait une balle, tournait et se la mettait contre la tempe avant de tirer... Pendant très longtemps il a eu de la chance, du hasard... Et peu après son 21e annivesaire, la chance a tourné et il en est mort (marié, femme enceinte). Le retrait c'est la même chose, c'est de la chance la plupart du temps. Tu n'as qu'une petite 15aine de jours fécondables dans ton cycle. Ces 15 jours peuvent intervenir n'importe quand, mais il suffit que tu sois pas dedans pour pas tomber enceinte. Mais un jour forcément tu tomberas pile poil dessus et tu seras enceinte. Pour tes amies, il faut savoir qu'une femme qui veut absolument tomber enceinte mettra "plus" de temps à le faire qu'une femme qui ne le désire pas. Le cerveau agit bcp là dedans et peut parfaitement bloquer un cycle, retarder, avancer l'ovulation.
éjaculation sur la poitrine!!!!!!!!!! que c'est agréable!!!!!!!!! c'est ce que je préfère!!! aucuns risques de tomber enceinte de cette façon est nul et hummmmmmm moi c'est ce que je préfère!!!!!!!!!!!!!! 😄 😄
je suis d'accord c'est trè agréable ( après sa depend des gouts de chacun bien evidament mé pour le reste jss dslé de te dire kta tord car mm si ton copain ejacule en dehors de ton vagin , le liquide séminale ki sert a la pénétration contien oci des spermatoizoides ki peuvent très bien allez fécondé un ovule sn aucune méthode contraceptive n'est prise en parrallèle si tu ne souhaite pas tomber enceinte maintenant change tes habitudes sous rsques d'avoir des surprises!!! mé si tu veu un enfant alors pas de soucis!!!!!
Le retrait c'est pas une methode, une amie a moi est tombée enceinte de cette facon.
Tu sais j'avais un ami qui adorait se faire des frayeur. Depuis l'âge de 15 ans, chaque vendredi ou fin de semaine. Il prenait une arme, mettait une balle, tournait et se la mettait contre la tempe avant de tirer... Pendant très longtemps il a eu de la chance, du hasard... Et peu après son 21e annivesaire, la chance a tourné et il en est mort (marié, femme enceinte). Le retrait c'est la même chose, c'est de la chance la plupart du temps. Tu n'as qu'une petite 15aine de jours fécondables dans ton cycle. Ces 15 jours peuvent intervenir n'importe quand, mais il suffit que tu sois pas dedans pour pas tomber enceinte. Mais un jour forcément tu tomberas pile poil dessus et tu seras enceinte. Pour tes amies, il faut savoir qu'une femme qui veut absolument tomber enceinte mettra "plus" de temps à le faire qu'une femme qui ne le désire pas. Le cerveau agit bcp là dedans et peut parfaitement bloquer un cycle, retarder, avancer l'ovulation.
Tu n'as qu'une petite 15aine de jours fécondables dans ton cycle. je suis pas d'accord sur sa, je suis sur le forum grossesse et on a bien que 2-4jours fécondable dans le cycles, pourquoi on a tant de mal a tombé enceinte alors, mais bon c'est toujours ce qui veulent un enfant qui n'y arrive pas et celle qui n'en veulent pas ou qu'y prennent des risques comme ici que sa arrive. C'est pas parce que je dis qu'on tombe pas enceinte facilement (pour celle qui le désire) que sa veut dire qu'il faut prendre des risques alizee0123 car le corps d'une femme n'est pas celui d'une autre.
Tu n'as qu'une petite 15aine de jours fécondables dans ton cycle. je suis pas d'accord sur sa, je suis sur le forum grossesse et on a bien que 2-4jours fécondable dans le cycles, pourquoi on a tant de mal a tombé enceinte alors, mais bon c'est toujours ce qui veulent un enfant qui n'y arrive pas et celle qui n'en veulent pas ou qu'y prennent des risques comme ici que sa arrive. C'est pas parce que je dis qu'on tombe pas enceinte facilement (pour celle qui le désire) que sa veut dire qu'il faut prendre des risques alizee0123 car le corps d'une femme n'est pas celui d'une autre.
Tu as tout faux... Et après on s'étonne que les femmes en essai bb s'énervent... C'est sur qu'avec ce genre de calculs.. Elle risque pas de tomber enceinte de sitôt. Les spermatos vivent 7 jours dans ton corps. L'ovule vit 48H (ovualation 24H). Ce qui nous donne 9 jours par cycle. Qui est lui-même variable selon les femmes (doubles ovulation etc.). Et pour ton info : une femme a plus de chance de tomber enceinte avec les rapports AVANT la date théorique de l'ovu, que le jour même de l'ovu.
Tu as tout faux... Et après on s'étonne que les femmes en essai bb s'énervent... C'est sur qu'avec ce genre de calculs.. Elle risque pas de tomber enceinte de sitôt. Les spermatos vivent 7 jours dans ton corps. L'ovule vit 48H (ovualation 24H). Ce qui nous donne 9 jours par cycle. Qui est lui-même variable selon les femmes (doubles ovulation etc.). Et pour ton info : une femme a plus de chance de tomber enceinte avec les rapports AVANT la date théorique de l'ovu, que le jour même de l'ovu.
il faut partir du principe que, sans protéction, tout les jours du cycle sont a risque : calcule de l'ovulation théorique, double ovulation, superfertiliter, le "pas de bol", ... Bref, autant de facteurs qui font qu'il ne faut pas se fier a l'ovulation théorique du 14eme jour et bien se protéger à chaque rapport si on ne veut pas tomber enceinte.

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Caresser les seins d'une femme est souvent pour elle source de plaisir. Zone érogène, la poitrine peut être stimulée pendant les préliminaires en vue de booster le désir, mais aussi au cours de l'acte sexuel pour décupler la jouissance. Attention néanmoins : les caresses des seins doivent être douces et tendres, pour ne pas provoquer d'inconfort.
Zone particulièrement érogène, la poitrine d'une femme est tout aussi sensible. Dans ces conditions, il est primordial pour l'homme de manier les seins de sa partenaire avec douceur. A défaut, les caresses des seins, plutôt que de mener à l'orgasme, risquent de s'avérer douloureuses au point de couper la femme dans son élan sexuel.
Effleurer plutôt que pincer, masser plutôt que pétrir et lécher plutôt que mordre, les caresses des seins ne s'effectuent pas dans un contexte de sexe brutal mais s'inscrivent au contraire dans une ambiance romantique. Si certaines femmes, à certains moments, apprécient la bestialité, rares sont-elles à ressentir de l'excitation sexuelle quand leur amant malmène leur poitrine.
D'autant plus sensibles, les tétons et l'aréole doivent être caressés encore plus doucement : la peau de cette zone est très fine et la moindre brusquerie peut provoquer de la douleur. Pour les mêmes raisons, d'ailleurs, il est recommandé à l'homme de bien se couper les ongles et de se raser la barbe, pour en aucun cas risquer que les seins de la femme se trouvent irrités.
A certains moments du cycle menstruel, mais aussi pendant la grossesse et l'allaitement, la poitrine de la femme gonfle et devient douloureuse. Il est inutile de caresser les seins de sa partenaire au cours de ces périodes. 
Pour stimuler le désir et procurer du plaisir, l'homme peut caresser les seins de sa partenaire de multiples manières : en soufflant sur le téton, en promenant ses doigts sur le galbe du sein puis en se rapprochant progressivement de l'aréole... tous les gestes tendres sont bons pour faire monter l'excitation au cours des préliminaires. Et pour ajouter du piment dans leur routine sexuelle, les amants peuvent agrémenter leurs caresses : un glaçon à la main pour faire frissonner l'autre de plaisir, en versant un liquide préalablement tiédi sur la poitrine et le ventre pour réchauffer l'ambiance... Au couple d'imaginer de nouvelles manières de mener au plaisir par les caresses des seins, dans le respect de cette zone féminine sensible.
Les seins, en règle générale, fascinent les hommes parfois au point de les ériger en fantasmes. C'est pourquoi au-delà des caresses des seins, les amants redoublent d'imagination pour exploiter cette zone du corps féminin en vue de ressentir du plaisir.
Parmi les nombreuses manières de caresser les seins, utiliser sa langue est largement privilégiée dans la mesure où lécher est un gage de douceur et de subtilité - attention néanmoins à ne pas se laisser aller à la morsure. Et pour un plaisir sexuel immédiat, l'amant peut s'essayer à la succion : en aspirant le mamelon de sa partenaire, il provoque une excitation intense et parfois même une forme de jouissance.
Elle figure sous le nom de "cravate de notaire" dans le Kamasutra, la mazophallation consiste pour l'homme à se masturber entre les seins de sa partenaire. Plus facile à tester si la femme a une poitrine généreuse, cette position peu répandue satisfait davantage les hommes que les femmes qui l'assimilent à une pratique pornographique.
Toutes les femmes ne sont pas sensibles aux caresses des seins. En cas de complexe ou tout simplement lorsque la poitrine n'est pas une zone érogène, la femme ne ressent pas de plaisir à voir l'homme lui caresser les seins. La plupart des hommes, en revanche, prennent plaisir à titiller cette partie du corps. 
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Le sexe est-il dangereux pour le cœur ?
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Ch. Brohet

Publié dans la revue de : Octobre 2016

Rubrique(s) : Pathologie sexuelle masculine


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La dépense énergétique produite lors d’un rapport sexuel est faible, équivalente à un effort modéré tel que marche rapide ou montée de deux volées d’escaliers (3-5 METS). Le risque d’un incident cardiovasculaire lié à l’activité sexuelle est donc faible, moyennant certaines précautions chez des patients cardiaques. La reprise des relations sexuelles est autorisée dès la première semaine après un infarctus du myocarde, après 6-8 semaines chez les cardiaques opérés. Le problème devrait être évoqué lors de toute consultation médicale et les conseils du praticien doivent s’appuyer sur les recommandations officielles en la matière.
L’activité sexuelle qui est un facteur de bonne santé physique et morale et une source d’épanouissement personnel comporte un certain degré de dépense énergétique. On a constaté que chez des personnes âgées ou chez des malades cardiaques, l’activité sexuelle peut être réduite ou délaissée par crainte d’un risque hypothétique, souvent dans un contexte d’anxiété ou de dépression.
Cet article a pour objectif de répondre à 3 questions :
1. Quels sont les effets et risques cardiovasculaires de l’activité sexuelle en général ?
2. Quelles sont les recommandations officielles concernant la pratique sexuelle dans diverses cardiopathies ?
3. Comment le médecin peut-il aborder cette problématique et quelles réponses apporter à ses patient(e)s ?
Activité sexuelle, risque cardiaque, maladies cardiovasculaires, conseil médical
L’activité sexuelle comme facteur de risque cardiovasculaire ? La question peut paraître saugrenue quand on sait que, au contraire, les problèmes de couple (séparation, divorce, veuvage, célibat) sont plutôt associés à une prévalence plus élevée de maladies cardiovasculaires. Donc, dans cette optique, c’est « l’inactivité sexuelle » qui serait un facteur de risque ! (1).
Cependant, l’activité sexuelle produit un certain degré de dépense énergétique assimilable à un effort physique, avec une composante émotionnelle supplémentaire qui peut imposer au système cardiovasculaire un surcroît de travail éventuellement dangereux dans certaines situations pathologiques. C’est surtout dans la période de convalescence après un infarctus du myocarde ou une chirurgie cardiaque que se pose la question de la reprise des activités sexuelles.
On ne peut assez insister sur l’importance de l’activité sexuelle comme facteur d’épanouissement et comme moteur d’une réinsertion familiale, sociale et professionnelle réussie chez les malades après incident cardiaque. La reprise des relations sexuelles de qualité est un objectif de la réadaptation cardiaque, au même titre que l’amélioration de la capacité physique, la reprise des activités professionnelles et de loisir. De plus, les relations sexuelles contribuent à entretenir un climat d’affection et de tendresse entre conjoints qui constitue un facteur de protection contre de nouvelles complications cardiaques : en effet, plusieurs observations ont montré qu’une carence émotionnelle, un isolement affectif ou un manque de soutien familial étaient associés à un taux plus élevé de rechutes (2).
Cet article est divisé en trois parties. Dans la première seront examinés les effets cardiovasculaires de l’activité sexuelle et le risque cardiovasculaire de la pratique sexuelle en général. Dans la seconde seront détaillées les recommandations « officielles » concernant l’activité sexuelle dans diverses situations pathologiques précises (3,4). La troisième partie sera consacrée à la recherche des causes de dysfonction sexuelle chez les cardiaques et la nécessité d’un dialogue franc avec le médecin.
La plupart des études qui se sont intéressées au problème ont interrogé les effets cardiovasculaires et neuroendocriniens de l’activité sexuelle chez des hommes jeunes ou d’âge moyen durant une relation hétérosexuelle. Lors d’un rapport sexuel, durant les préliminaires les valeurs de pression artérielle systolique et diastolique augmentent de façon modérée, l’augmentation la plus marquée se produisant pendant les 10 à 15 secondes d’orgasme, suivie par un rapide retour aux valeurs de départ. Chez des sujets en bonne santé, la fréquence cardiaque peut dépasser 180 battements par minute chez les hommes tandis qu’elle se situe entre 110 et 175 battements pa
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