Ejaculation sur la motte de sa femme enrobée

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Votre avis sur les femme enrobées..
👋 J'aimerais avoir votre avis sur les femmes enrobées... Beaucoup de femmes cherchent à maigrir absolument pour être mince.. Alors que énormément d'hommes aiment les femmes avec des formes, les femmes enrobées.. Pourquoi cherchez-vous tout le temps à mincir? Vous êtes belles comme vous êtes et vous n'avez rien à changer, surtout si c'est pour un homme... Je comprend certaines femmes qui se sentent mal dans leur peau car elles ont toujours été mince et qu'au jour d'aujourd'hui elles ont pris beaucoup de poids.. Y'a t-il beaucoup d'hommes ici qui aiment les femmes enrobées? Je pense qu'il faut faire passer un joli message au femmes enrobées, je les trouve très belle et qu'elle ne déprime pas à cause de ça car elle seront toujours belle quoi qu'il arrive. (Je soutiens les femmes rondes!!) 👋
L'image même du laisser aller. Bien sur je ne parles pas de cas de rares maladies qui peuvent éventuellement provoquer du surpoids mais sinon c'est clairement une hygiène de vie merdique donc après il faut pas venir se plaindre. Ni plus, ni moins. Une alimentation adapté et la pratique régulière d'un sport ce n'est pas nocif hein ;-)
Edité le 19/08/2016 à 1:32 PM par Cyaan
👋 J'aimerais avoir votre avis sur les femmes enrobées... Beaucoup de femmes cherchent à maigrir absolument pour être mince.. Alors que énormément d'hommes aiment les femmes avec des formes, les femmes enrobées.. Pourquoi cherchez-vous tout le temps à mincir? Vous êtes belles comme vous êtes et vous n'avez rien à changer, surtout si c'est pour un homme... Je comprend certaines femmes qui se sentent mal dans leur peau car elles ont toujours été mince et qu'au jour d'aujourd'hui elles ont pris beaucoup de poids.. Y'a t-il beaucoup d'hommes ici qui aiment les femmes enrobées? Je pense qu'il faut faire passer un joli message au femmes enrobées, je les trouve très belle et qu'elle ne déprime pas à cause de ça car elle seront toujours belle quoi qu'il arrive. (Je soutiens les femmes rondes!!) 👋
Bonjour 👋 En effet, mincir pour un homme, ou plus globalement pour plaire aux hommes, ça ne me paraît pas une bonne idée. Personnellement, si j'aspire à conserver/retrouver la ligne, c'est parce que j'aime les corps féminins minces, avec des muscles fuselés. Ils évoquent pour moi une impression de bonne santé, de peps, de joie de vivre, d'énergie saine et positive. (je ne dis pas qu'une personne enrobée ne pourra dégager aucun peps ni joie de vivre, énergie positive, etc hein 😉 ). Puis faut dire ce qui est: le surpoids est difficile à porter au sens physique du terme. Avec ma prise de poids récente, je sens mes bourrelets trembler quand je marche: c'est super désagréable. 🙁 Les élastiques de mes vêtements laissent des traces. Je me sens engoncée dedans. 🫤 Puis je me sens coincée, pas en forme. Je m'essouffle vite. On fait plus glop quand même comme perception de son propre corps... 🫤 Ça va de mieux en mieux car je me suis reprise en mains récemment mais je ne me sens pas au top de ma forme, de ma souplesse, de mon énergie et j'aspire vraiment à retrouver cela. Quand je lis des discours à la forme générale qui prônent les "rondeurs", ça me hérisse un peu parce que le surpoids est toujours dû soit à une faiblesse émonctorielle (et parfois c'est vraiment vraiment dur d'en trouver la cause, surtout que bien souvent tout ce qui a trait à l'émotionnel vient allègrement biaiser la théorie), soit à une entrée plus importante de calories par rapport aux sorties. Ou les deux. Donc en cas de surpoids, il y a forcément un "problème" quelque part. Partant de là, pour moi c'est vraiment du cas par cas, l'idée étant de trouver son propre équilibre: Trouver la cause d'un surpoids, et la combattre peut parfois, s'avérer tellement énergivore que si une personne vit bien son surpoids, ma foi c'est tout le bien que je lui souhaite. Autrement dit, quand la balance (héhé... 😁 ) "coût"/"bénéfice" du combat contre les kilos penche lourdement du côté "coût", bah voilà...pour moi ce n'est pas aberrant de ne pas se lancer dans une lutte épuisante et vaine contre les kilos, et d'opter pour l'acceptation de son corps tel qu'il est. Sinon, ayant été mince, voire maigre très longtemps, il y a autre chose qui a le don de m'agacer... 😙 C'est le culot qu'on parfois les gens, quand ils s'adressent aux personnes maigres, voire tout simplement minces. On se permet rarement de faire des remarques à quelqu'un en surpoids: il y a un réel tabou là derrière. (et tant mieux hein finalement, parce que les remarques, c'est casse-bonbon!) Par contre, face à qqn de très mince ou maigre, c'est open bar. Moi j'ai déjà eu (et à plusieurs reprises): "de toutes façons, LES hommes préfèrent les femmes avec des formes.", "de toutes façons, LES homme n'aiment pas les sacs d'os" (euh... mais je te traite de "tas de graisse" moi? 🤨 Non hein, alors du calme!), "tu devrais manger tu sais, c'est pas beau d'être maigre" ou encore "non mais tu sais ça sert à rien de vouloir ressembler à un mannequin: elles sont toutes anorexiques!" (t'es gentil mais en fait c'est naturel chez moi d'être mince et je suis tellement pas l'actu people que je ne sais même pas à quoi ça ressemble un mannequin)... etc Ah oui et une des plus populaires, en présence de nanas évoquant leurs complexes physique: " de toutes façons, toi tu ne peux pas comprendre: tu es mince!" (mais bien sûûûûr, et du coup je n'ai aucun complexe, cela va de soi!) Que répondre à ça? 🤨 (perso, en général, c'est "mais je t'emmerde" qui me venait à l'esprit, mais je suis bien trop polie pour répondre 😮 ) Zut quoi... ça reste personnel tout ça. 🤷
Iris Sambre Ha ha, tu m'as bien fait rire. Combien de fois ais-je entendu aussi ces réflexions qu'on me faisait, étant maigre (46 kgs pour 1m66) et pourtant je mangeais beaucoup, beaucoup mais mon travail me faisait tout dépenser. A 10 h ou à 16h, je mangeais une baguette entière avec beurre, jambon..... pour tenir ma journée, avec les repas du midi aussi et soir, bien sur. Un gros américain pour le repas du midi ne me faisait pas peur du tout (vous connaissez, la baguette, les frites qui débordent de la baguette, la saucisse, la sauce). Maintenant j'en mangerais même plus 1/4 ! Bon, j'ai vieilli, mon appétit a diminué et j'ai du faire attention à mon poids une fois mon travail très physique arrêté. Hé oui, il arrive que les maigres doivent aussi faire attention un jour ! Et puis, garder la ligne, c'est parfois en faisant de gros effort sur l'alimentation, ça, on ne le pense jamais, tu es mince, alors tu as de la chance mais bon, on ne se gave pas de gâteau, de chips, de sauce.....(enfin plus maintenant) Pour ce qui est du discours de Cyaan, tous les obèses ne mangent pas mal, faut pas croire ça. Et certains enfants n'ont pas la chance de savoir ce qui est bon et moins bon à manger. J'ai déjà conseillé ici de très jeunes personnes et c'est effrayant leur ignorance !! Certains aussi pensent que tous les plats préparés industriellement, une fois qu'il y a des légumes sur le photo ne font pas grossir, ça, il y a encore un énorme travail à faire en information. Moi, une fois que j'ai grossi un peu trop, je suis montée à 61 kgs sans pouvoir arrêter cette hausse, j'ai été très inquiète, mal dans mon corps. Heureusement j'ai trouvé la bonne façon et c'est redescendu. On est jamais contente de ce qu'on a mais gros, mince, grand, petit, tant qu'on est en bonne santé, c'est le principal ET il ne faut pas critiquer sans savoir, c'est trop facile !!! 👋
La seule chose que je ne supporte pas chez les femmes enrobées. Ce sont celles qui veulent un homme au corps parfait alors qu'elles sont loin d'en avoir un (corps parfait). Les mecs normaux, ils peuvent aller voir ailleurs. Sympa... Bin, oui! Ca, ça me gonfle.
La seule chose que je ne supporte pas chez les femmes enrobées. Ce sont celles qui veulent un homme au corps parfait alors qu'elles sont loin d'en avoir un (corps parfait). Les mecs normaux, ils peuvent aller voir ailleurs. Sympa... Bin, oui! Ca, ça me gonfle.
"Moi je fais pas attention mais tu dois m'aimer comme ça sinon tu passes pour le plus gros des connards, mais toi faut que tu sois parfait parce que être avec quelqu'un qui prends pas soins de lui, ben c'est pas super cool hein" 😄
La seule chose que je ne supporte pas chez les femmes enrobées. Ce sont celles qui veulent un homme au corps parfait alors qu'elles sont loin d'en avoir un (corps parfait). Les mecs normaux, ils peuvent aller voir ailleurs. Sympa... Bin, oui! Ca, ça me gonfle.
Tu fais une généralité, on est pas toute comme ça. J'ai toujours été ronde ou considérée comme ronde et mon mec est un geek à petit bedon 😄 Je dois être aussi lourde que lui. Mais c'est vrai que certaines femmes sont comme ça mais pas toutes.
Non, je ne fais pas généralités. Il y a peut-être un malentendu dans mes propos. Ceux ci peuvent se traduire sous cette forme. Dans le groupe des femmes dites enrobées, il y a un sous groupe où celles ci ne balayent pas devant leur porte.

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“La sensation était folle”: Des femmes racontent leur première masturbation 


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Publié le 4 février 2020 à 17h51 Mis à jour
le 17 mars 2021 à 14h32

[Hors série Cheek x Les Inrocks – Plaisir féminin] Un jet de douche puissant, une selle de vélo serrée, un oreiller contre notre peau… et voilà que la chaleur monte dans le bas-ventre. Des premières sensations aux caresses autoérotiques, la première masturbation est un apprentissage (souvent) à l’aveugle.
Entre secousses sensorielles, tâtonnements maladroits et couacs, comment se passent ces premiers instants où l’on cherche la jouissance de soi ? Selon une enquête IFOP 1 , en 2019, trois femmes sur quatre (76 %) déclarent s’être déjà masturbées au cours de leur vie, contre 60 % en 2006 (CSF 2 ). Comment trouve-t-on le chemin vers les terminaisons de son plaisir ? Peut-on jouir sans connaître son corps ? Des femmes entre 20 et 32 ans nous ont raconté leur autre “première fois”.
“J’ai commencé à me masturber avec une peluche, vers l’âge de 6 ou 7 ans. J’avais un long serpent d’un mètre cinquante comme traversin dans mon lit. Le soir, dans ma chambre, je le mettais autour de mes jambes et de mes bras. Je baissais mon pantalon et je me frottais bien autour de lui. Je me suis rendu compte que c’était hyper agréable de faire ça. J’ai réussi à jouir et c’était assez dingue. J’avais très envie de le refaire.”
“La première fois que j’ai entendu parler de masturbation féminine, c’est en lisant… Le Journal d’Anne Frank . Je me souviens très bien de la scène où elle découvre le plaisir solitaire. Elle met un doigt dans son sexe et le décrit assez précisément. Au moment où j’ai lu ça, je devais avoir 12 ou 13 ans. Ça m’a bouleversée. J’ai essayé de le refaire, mais ça ne marchait pas du tout. Je crois que je ne savais pas comment m’y prendre, ça n’allait pas avec juste un doigt. J’avais l’impression que c’était un peu technique, un peu ardu… C’est bien plus tard que j’ai découvert qu’il me fallait un pommeau de douche ou un gode pour avoir un orgasme.”
“Vers l’âge de 7 ans, j’allais chez mes grands-parents avec ma cousine dont j’étais super proche. On dormait dans le même lit et je me souviens qu’on prenait nos doudous et qu’on les mettait entre nos jambes en se faisant des films. On se disait qu’on avait des amoureux et qu’on faisait l’amour – je crois qu’on mimait un peu maladroitement des bruits d’adultes. On savait toutes les deux très bien trouver notre plaisir, ce que je trouve assez fou si jeunes. Mais c’était notre secret évidemment.”
“Ça a commencé vers l’âge de 8 ans, les jours de piscine. Dans mon lit, le matin au réveil, je me déshabillais pour enfiler mon maillot de bain sous mes vêtements avant de partir à l’école. Mais une fois toute nue, au lieu d’enfiler mon maillot, je retournais sous la couette. Je ne sais pas pourquoi je le faisais, mais c’est devenu un rituel. Ce qui éveillait un désir érotique, c’était vraiment le fait d’être nue et le contact des draps sur ma peau, la sensation de chaleur en retournant sous la couette. Je voyais des choses, des couleurs, des formes, comme si je visualisais le plaisir qui monte.”
“Je me suis masturbée pour la première fois vers l’âge de 19 ou 20 ans. J’ai parlé avec une amie qui m’a donné envie de tenter l’expérience. Intuitivement, j’ai trouvé mon clitoris. J’ai fait des gestes approximatifs mais efficaces. Le plaisir est monté de malade, je me suis demandé si c’était normal, si ça allait s’arrêter… La sensation était folle, j’ai eu un orgasme. J’ai écrit à mon amie pour le lui annoncer… J’ai regardé mon téléphone et j’ai vu : ‘Message envoyé à parrain.’ Et là, j’ai eu envie de crever… J’ai envoyé un second message, pour justifier le premier. Il a fait comme s’il n’avait rien vu et m’a dit que j’avais raison de ‘m’amuser’ … Aujourd’hui, ça me fait rire, même si la honte brûlante a duré longtemps.”
“Je me rappelle, vers l’âge de 8 ans, je me masturbais. J’appuyais sur mon sexe sans savoir. Ça faisait du bien, comme des guilis. C’était sympa. Je regardais les films de James Bond à la télé, dans le salon. Il y avait des scènes avec des meufs sexy et le mec qui commence à les chauffer. Ça plaisait bien à mon imaginaire de gamine. Un jour, ma mère m’a vue et m’a fait une remarque. Par la suite, je ne me suis pas arrêtée pour autant. J’avais envie de découvrir mon corps. Comme c’était un truc vraiment interdit, ça m’excitait encore plus. Je le faisais planquée dans les toilettes ou quand tout le monde dormait.”
“J’avais autour de 8 ans quand j’ai découvert la masturbation. J’avais un scénario en tête, des fantasmes qui découlaient d’images volées, genre bande dessinées pornos. Pour me mettre en situation, je glissais un foulard dans mon T-shirt pour faire une fausse poitrine. Je crois que je visualisais l’image de la femme que j’aurais voulu être, avec ses jolies formes. Je me frottais contre un coussin ou une couverture, dans mon lit. Je stimulais mon clitoris. Du premier coup, ça a très bien fonctionné ! J’ai longtemps utilisé la même technique.”
“J’étais chez mes grands-parents et je regardais la télé. Je me suis endormie sur le canapé et quand je me suis réveillée, la télé diffusait un film pornographique. Je devais avoir 10 ou 11 ans. J’étais perplexe. Un peu après, quand j’ai été seule chez ma mère, j’ai voulu retenter l’expérience. En regardant du porno, j’ai senti une sorte de chaleur au niveau de mon clitoris et j’ai commencé naturellement à me caresser. Chaque sensation était une découverte.”
“J’ai découvert la masturbation un peu par hasard, quand j’ai eu 12 ou 13 ans. C’était plus comme un jeu, je ne savais pas vraiment ce que je faisais. Je croyais que j’avais trouvé un truc fou, que j’étais la seule capable de faire. J’étais dans un internat catholique. Je ne pouvais pas en parler à mes copines, les questions de sexualité étaient hyper taboues. Je croyais que j’étais une obsédée sexuelle. Mais je le faisais assez régulièrement, même à l’internat, et je trouvais ça cool. J’avais l’impression d’avoir un genre de super pouvoir sur mon corps.”
1 Étude Ifop pour le magazine Elle “Où en est la vie sexuelle des Français en 2019 ?” , réalisée par questionnaire auto-administré en ligne du 28 au 29 janvier 2019 auprès d’un échantillon de 1 007 femmes, représentatif de la population féminine âgée de 18 ans et plus résidant en France métropolitaine.
2 Enquête Contexte de la sexualité en France (CSF), réalisée entre septembre 2005 et mars 2006 par l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) et l’Institut national d’études démographiques (Ined) à l’initiative de l’Agence nationale de recherche contre le sida (ANRS).
Le Hors série Cheek x Les Inrocks « Plaisir féminin » sera disponible en kiosque à partir du 7 février
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