Dévorer un bonbon sucré

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Quand une irrépressible envie de sucré nous prend, difficile de se contrôler et de ne pas dévaliser la première boulangerie venue ! Plusieurs causes peuvent expliquer ces pulsions, qui ne sont pas seulement dues à la gourmandise et qui peuvent coûter cher sur la balance ! Cosmo vous livre quelques trucs et astuces pour résister au sucre sans vous frustrer !























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On dit que les femmes enceintes ont souvent envie de sucré, mais qu'est-ce qui explique ces envies parfois incontrôlables lorsqu'on n'a pas l'excuse de la grossesse ? Dans de nombreux cas, c'est le stress qui est en cause et qui nous pousse sans ménagement vers un paquet de bonbons ou une pâtisserie.
Pour éviter de plonger la tête la première dans un baril de glucose, adoptez la zen attitude , et évitez au maximum les situations stressantes. Pratiquer une activité sportive de façon régulière peut être un bon moyen de se détendre tout en éliminant les excès !
Pour celles qui auraient du mal à se contrôler, privilégiez un carré de chocolat pour assouvir votre envie car, en plus d'être une source de bienfaits pour le corps, il stimule les endorphines, l'hormone du bonheur et du plaisir !
Les envies de sucré reviennent souvent aux mêmes moments de la journée, le plus souvent dans l'après-midi ou en rentrant du travail. Au lieu de vous dire que vous allez résister et attendre patiemment jusqu'à l'heure du dîner, évitez-vous une torture le plus souvent vouée à l'échec en vous accordant une collation équilibrée .
En donnant à votre estomac un petit quelque chose à se mettre sous la dent avant qu'il soit trop tard, vous aurez davantage de chances de ne pas vous ruer sur le distributeur de barres chocolatées !
En prenant par exemple un laitage, un fruit et un carré de chocolat, vous pourrez calmer votre envie de sucre tout en donnant à votre corps de quoi patienter jusqu'au prochain repas .
Pour lutter contre le sucré, apprenez à tromper votre cerveau et votre estomac. Quand une envie vous prend, ayez le réflexe de boire un thé ou un grand verre d'eau au lieu de dévorer un pain au chocolat pour remplir votre estomac.
Ce dernier n'étant pas idiot, cette astuce n'a malheureusement qu'un très court effet dans le temps. Pour leurrer votre cerveau qui réclame du sucré à cor et à cri, changez d'activité, allez prendre l'air, passez un coup de fil, faites tout ce que vous pouvez pour focaliser votre attention sur autre chose !
Mais ne soyez pas trop dure avec vous-même, et accordez-vous tout de même des petits plaisirs , mais de manière raisonnable ! Chacun a droit à une petite dose de réconfort de temps en temps, le tout étant de ne pas en abuser !
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Vous êtes ici : Accueil / Comment Maigrir / Comment resister à l’envie de sucré ?
Retrouvez votre poids de forme sans peser les aliments ni compter les calories
Faire un régime, garder la ligne, se remettre en forme… Dans les premiers temps, les bonnes résolutions nous préservent des craquages.
Mais les envies de sucré guettent et sont terriblement bien connues de tous ceux qui ont goûté aux joies des restrictions alimentaires.
Voici quelques éléments de réflexion pour les gérer sans trop de casse…
« La seule façon de résister à la tentation, c’est d’y céder » disait l’écrivain irlandais Oscar Wilde.
Cette phrase s’applique merveilleusement bien à la gourmandise alimentaire. S’il est vrai que faire preuve de volonté est absolument primordial dans la poursuite d’un objectif alimentaire, il est quand même un peu illusoire de penser que l’on va arrêter d’aimer le chocolat ou les pâtisseries.
On ne peut pas arrêter d’aimer les sucreries, mais on peut apprendre à gérer les envies de sucré.
Il y a plusieurs raisons qui nous poussent à craquer sur le sucré, et elles ne sont pas toutes mauvaises !
Le sucre est le premier plaisir gustatif que connait le nouveau-né. Il faut croire que c’est un bon souvenir, à voir comme on se réfugie dans le sucre pour se réconforter après une dure journée ou une situation éprouvante.
Un premier pas consiste à développer une bonne conscience de ces moments et des raisons qui nous conduisent directement du sofa au placard à friandises.
Il y a un autre facteur déterminant dans cet amour inconditionnel que nos papilles semblent porter au sucre. Il s’agit de l’accoutumance. Le sucre fonctionne un peu comme une drogue ou encore comme les épices.
Plus on en consomme, plus on va devoir augmenter les doses pour obtenir le même niveau de satisfaction. Les produits industriels apportent des quantités de sucre très importantes pour nous faire plaisir… Mais une fois perchés sur la balance, nous rions moins.
Bonne nouvelle : comme toute accoutumance, cette trop grande tolérance au sucre qui se transforme en besoin de sucré intempestif peut être combattue avec succès.
Pour éviter de craquer sur le sucré, il y a une règle fondamentale qui s’applique particulièrement aux régimes amincissants : il faut organiser son alimentation de manière à se faire plaisir (avec des repas savoureux) sans se faire du mal (maux de ventre et/ou longues heures d’angoissante culpabilité).
Vous aimez le chocolat ? Soit. Il est possible d’en consommer sans porter atteinte à sa taille de guêpe .
Quatre plaques de chocolat bof-bof ne valent pas deux ou trois carrés de votre chocolat préféré. Si vous en doutez, essayez et passez au test plusieurs modes de consommation de sucré (quel que soit votre aliment fétiche).
Le rééquilibrage alimentaire et les régimes amincissants sont en fait des portes ouvertes vers de nouvelles saveurs et de nouveaux comportements alimentaires.
Il parait que les biscuits X ou les bonbons Y peuvent nous rendre heureux. En fait, pour dire la vérité, il faut bien mois de sucre que ça pour être heureux !
Les grignotages trouvent quelquefois leur inspiration dans les spots diffusés à la télévision, ou dans les images imprimées dans les magazines et aux arrêts de bus.
Alors que si on y réfléchit bien, est-ce vraiment ce beignet à la confiture ultra-sucrée qui pourra combler notre envie de bien-être ?
Encore une fois, devenir conscient de ses motivations et aspirations réelles peut calmer l’envie de sucré et nous ramener sur une voie plus saine et plus maitrisée.
Organiser ses moments de craquage facilite la tenue d’une bonne conduite le reste du temps. Ainsi, sans mauvaise conscience, vous pouvez vous autoriser une gourmandise à un moment donné et choisi.
Cela vous aidera à tenir le grand démon du craquage éloigné pour un temps. En d’autres termes : il vaut mieux prévenir que guérir.
La pomme est bien connue pour sa participation aux régimes alimentaires. Sucre, eau et vitamines : que demander de plus quand on est sur le point de craquer ?
La pomme se décline en mille et une variétés : on peut donc diversifier les plaisirs. Et si toutefois on s’en lasse, d’autres fruits légers et faciles à transporter peuvent prendre le relai : poires, clémentines, etc.
Les noix et les fruits secs sont également de très bons compagnons. Vous pouvez emporter avec vous, sur votre lieu de travail par exemple, un assortiment de noix (noisettes, cajou, Brésil, etc.) et ainsi apporter de bons nutriments à votre corps tout en évitant les barres chocolat-caramel que vous auriez regrettées très vite.
C’est toujours une bonne idée, si vous êtes sur le point de craquer pour du sucré et que vous souhaitez éviter ça, de vous changer les idées en vous déplaçant (ou en faisant quelque chose de radicalement différent si vous devez rester au même endroit).
Par exemple, faire un tour peut faire passer l’envie de sucré, et 5 minutes peuvent suffire. De la même manière, les associations de comportements sont à surveiller et à modifier si nécessaire.
Si vous avez l’habitude de dévorer des poignées de bonbons en regardant un film le soir, vous pouvez essayer de remplacer ce grignotage par des mots-croisés, ou encore vous offrir une boule anti-stress qui vous occupera les mains… sans vous plomber l’estomac.
Comme dans bien des situations dans la vie, il est préférable de regarder dans la direction que l’on souhaite prendre. A regarder le précipice de trop près, on finit souvent par tomber dedans.
Ainsi, lorsqu’il s’agit de gérer les envies de sucré, une méthode consiste à se remémorer et à visualiser son objectif (perdre du poids, réaliser une performance sportive, rentrer dans ses jeans, etc.) au lieu de se concentrer sur le négatif (sentiment de culpabilité et d’impuissance).
Chaque cas est particulier et c’est pourquoi chaque solution doit être personnalisée pour atteindre l’objectif fixé.
Il ne faut pas oublier qu’on ne vit a priori qu’une seule fois : craquer de temps en temps est permis dans la mesure où cela permet de gérer la frustration et, donc, de poursuivre sur la voie d’une alimentation saine et équilibrée.
Des aides externes sont disponibles en cas de difficultés difficiles à surmonter : psychologues, nutritionnistes, acupuncteurs…
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  Les bonbons, c'est tellement bon ! Oui, mais attention à l' addiction ! N'avez-vous jamais connu des sortes de "crises" où vous vous jetez sur des paquets de bonbons pour les vider en un rien de temps ? Cette envie soudaine de sucre peut s'expliquer scientifiquement !
  Les aliments sucrés, tout comme les aliments gras, sont ceux que nous trouvons les plus attirants, car ce sont les plus énergétiques, et donc les plus utiles à la survie. Les enfants manifestent dès leur naissance une attirance pour le goût sucré. Cette constatation est fondée sur l'observation, chez les nouveau-nés, des réflexes gusto-faciaux, autrement dit les grimaces, suscitées par des substances de saveurs différentes. Bien que la palette des saveurs soit infinie, on distingue quatre substances sapides fondamentales : le sucré , le salé , l' amer et l' acide . A l'inverse du sucré, le salé, l'amer et l'acide provoquent chez les bébés une réaction nettement négative. In utero, un bébé peut déjà percevoir les différences de concentration de glucose sanguin, la sensation de faim de sa mère et l'apaisement qui suit la prise alimentaire. Son cerveau associe donc le sucre à une sensation agréable. En général, l'attirance pour le sucré diminue pendant l'adolescence et l'âge adulte, puis augmente de nouveau avec les années .
  Le goût sucré dépend des cellules réceptrices spécialisées, localisées dans les papilles gustatives buccales. Pour l'instant, malgré de nombreuses études, rien n'est prouvé, mais il existerait un pré câblage neuronal génétiquement programmé entre les cellules du goût sucré et le circuit cérébral de la récompense et de la motivation. Le sucre active la sécrétion de dopamine et de sérotonine dans le mésencéphale, une région du tronc cérébral reliée au cerveau. La dopamine est un neurotransmetteur impliqué dans le désir et le plaisir. Sa fabrication est assurée par une variété de neurones appelés neurones dopaminergiques . La dopamine augmente dans le striatum ventral , une partie du cerveau qui intervient dans le traitement des émotions. C’est cette augmentation qui serait responsable de l’attirance pour le goût sucré. On retrouve le même procédé pour les drogues, mais de manière plus intense et de durée plus longue.
                                         Molécule de dopamine
                                     Formule brute : C 8 H 11 NO 2
 Enfin, chez l’Homme, le goût sucré active aussi le cortex orbi frontal, une région du cortex cérébral qui entre en jeu dans le processus de décision. Ce cortex, qui tient son nom des lobes frontaux et du fait qu’il soit situé au-dessus des orbites, est également activé chez les personnes dépendantes à la cocaïne après consommation de drogue ou à la vue de quelqu’un qui en consomme.
Manger un bonbon est ainsi très agréable et nous rehausse le moral. Cependant, cela peut créer un sentiment de dépendance , une addiction au sucre similaire à une drogue . L’addiction se définit par un état psychique et parfois physique qui implique une prise compulsive d’un produit, de façon régulière ou périodique, de manière à ressentir ses effets et éviter ainsi de se trouver en phase de manque . La plupart du temps, on a besoin d’accroître les quantités pour obtenir l’effet recherché. Dans ce cas, manger un bonbon n'est plus un plaisir mais devient un besoin vital . Il se produit alors un cercle vicieux. Aux Etats -Unis, des expériences ont prouvé que chez les rats, la dépendance au sucre est plus forte que la dépendance à la cocaïne .
                               Le terrible engrenage de la consommation de sucre
Est-ce possible ? Le bonbon pourrait-t-il être à l'origine de certains comportements violents ? Rien n'est scientifiquement prouvé pour l'instant, mais certains chercheurs britanniques ont étudié la question de très près, et leurs résultats sont tout de même étonnants.
Des chercheurs de l'université de Cardiff, dans le pays de Galles, ont suivi pendant 40 ans la consommation de bonbons de plus de 17000 individus nés en 1970. Ils en en conclu que parmi ceux qui mangeaient des bonbons quotidiennement à 10 ans, 69% ont eu affaire à la justice pour des faits de violence entre 29 et 34 ans. Parallèlement, seulement 42 % de ceux qui n'ont jamais été poursuivis pour des faits similaires consommaient des bonbons jour après jour.
Pour autant, faut-il généraliser cela ? Selon les mêmes chercheurs, il n'y a pas de lien absolu entre bonbon et violence. Alors comment expliquer les résultats précédents ? Il s'agit avant tout de la psychologie de l'enfant. Les enfants qui reçoivent régulièrement des bonbons de la part de leurs parents n'ont pas l'habitude d'affronter le refus de leurs parents : dès leur plus jeune âge, tous leurs désirs sont satisfaits. Cela favoriserait la difficulté de se contrôler, d'être patient et de supporter la contradiction. Les enfants n'apprennent pas à attendre une gratification : les récompenses ne sont plus ponctuelles mais deviennent banales. Ces facteurs prédisposent ainsi aux écarts de conduite et aux réactions agressives à l'âge adulte.
Autrement dit, même si l'on interdit les bonbons, on ne va pas limiter le problème de la violence ! Il s'agit avant tout d'une question d' éducation .
L'état général de notre peau dépend en grande partie de notre alimentation.
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