Désobéissance et châtiment

Désobéissance et châtiment




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Désobéissance et châtiment
Pour ceux qui n’ont jamais utilisé une véritable autorité à la maison, ou établi des règles, il peut sembler étrange d’en avoir, et de ne pas être clair sur ce que vous appliquez. C’est naturel d’être peu familier, pas seulement avec la fessée, mais avec le rôle de chef et la discipline en général. Je ne vais pas entrer dans toutes les normes que j’ai pour mon foyer, mais je veux vous faire savoir ce que je considère comme suffisamment grave pour justifier une fessée. D’autres questions peuvent simplement justifier une correction douce, ou un rappel. Les fautes graves justifient une punition très indésirable.
Je punis ma femme pour désobéissance, manque de respect, ou être irresponsable. Je ne suis pas un perfectionniste et j’accepte que tout le monde, y compris moi-même, fasse des erreurs. J’ai appris à chercher des cas clairs de fautes. En ce qui concerne l’irresponsabilité, je punis pour le type le plus grave ou le plus permanent, que je pourrais même appeler négligence. Je ne punis pas le simple fait d’oublier de faire quelque chose de mineur, ce qui nous arrive à tous. Comme d’autres maris, je punirais aussi la malhonnêteté, mais je n’ai jamais rencontré cela chez ma femme, donc je ne l’ai jamais appliqué. Naturellement, les offenses les plus graves méritent une fessée plus sévère.
Comme ma femme a un caractère soumis et doux, je n’ai pas besoin de la fesser souvent pour la désobéissance, ou les types plus directs de manque de respect. La plupart des fessées qu’elle a reçues l’ont été pour avoir négligé de faire ce qu’elle devait faire, y compris des choses que je lui avais enseignées comme étant importantes. Laisser passer les choses dans le cadre de ses fonctions, surtout si on vous l’a rappelé, n’est pas excusable, et c’est aussi un manque de respect. Elle a donc dépassé mon genou un certain nombre de fois à cause de cela, bien que ce ne soit pas souvent ces jours-ci. L’extrémité la plus grave de l’irresponsabilité mérite définitivement une fessée effrayante que vous ne voudriez jamais répéter. Ma femme avait également l’habitude de recevoir une fessée pour son retard, mais elle a suffisamment appris pour être plus prudente à ce sujet. Je me souviens que je lui ai donné une fessée au cours de l’année écoulée pour retard, mais c’était la première fois depuis de nombreuses années. Je sais qu’elle souhaitera l’éviter à l’avenir.
Je n’ai eu affaire à la désobéissance ouverte ou au manque de respect qu’une poignée de fois de la part de ma femme. Au début de notre mariage, elle m’a une fois crié dessus en public. Nous étions en voyage à ce moment-là, mais à notre retour, elle savait que quelque chose l’attendait, et elle a dû subir une énorme sangle. Je l’ai également punie à quelques reprises pour son caractère polémique. Je lui permets bien sûr d’exprimer son opinion et de partager ses pensées, mais elle a dépassé les bornes plusieurs fois, même après que je lui ai fait savoir que c’était terminé et que je ne voulais plus l’entendre. Je l’ai prévenue de la limite à plusieurs reprises, et pour une raison quelconque, elle a voulu la dépasser. Elle a reçu une bonne fessée les deux fois où cela s’est produit.
Beaucoup de maris fessés punissent aussi pour une activité dangereuse. Je le fais aussi, mais je le catégorise comme une irresponsabilité. Ce serait quelque chose qu’elle fait de dangereux pour la vie ou pour la propriété. Par exemple, les épouses qui font de gros excès de vitesse, ou qui abusent de l’alcool, seraient qualifiées. Dans notre mariage, les comportements dangereux sont extrêmement rares, mais je les ai punis. Dans les années passées, j’ai vu une fois nos jeunes enfants dans la rue, et une autre fois, l’un d’eux était seul avec un flacon de pilules ouvert. Heureusement, ce n’est pas un événement quotidien, mais pour une chose aussi grave, je n’ai même pas besoin de passer beaucoup de temps à expliquer à ma bien-aimée pourquoi je devrai la voir plus tard. Elle ne prend pas la peine d’essayer de trouver des excuses ou de me convaincre qu’elle ne devrait pas recevoir de fessée. Elle ne discute pas dans ces moments-là. Nous trouvons tous les deux le temps d’être seuls, elle reçoit la pagaie, et elle sait que ce sera un long moment de solitude ensemble.
C’est principalement pour cela que je donne des fessées. Je pourrais probablement penser à quelques autres, mais cela couvre la plupart de ma discipline depuis de nombreuses années. J’y ai beaucoup réfléchi. J’ai évolué et je crois m’être amélioré au fil des ans. Ma femme se retrouve beaucoup moins souvent en difficulté ces jours-ci. Cela peut sembler décourageant au début, mais on n’a pas vraiment besoin d’un système long et complexe de règles ou d’infractions. Je sais que certains le font. Je pense que le simple bon sens permettra même au débutant de travailler avec une poignée de bonnes normes, et de les faire respecter avec succès. Avec le temps, vous pouvez devenir plus nuancé, ou vous retrouver à en ajouter. Je ne pense pas que cela nécessite des compétences particulières. Cela demande du temps, de la patience, de la fermeté et de l’amour. Votre femme est sous votre direction et votre autorité. Vous êtes responsable de son bien. Ne permettez pas le manque de respect ou la désobéissance dans votre propre maison, et tenez-la à l’écart des mauvais comportements, surtout ceux qui pourraient lui nuire ou nuire à la maison. Elle grandira dans sa vertu, sa beauté et sa sainteté sous votre main aimante.
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Accueil / Dossier / La justice restaurative : repenser la peine et le châtiment

est pasteur de l’EPUdF. Il est actuellement
aumônier national des prisons pour la Fédération
Protestante de France, Président de l’IPCA (International
Prison Chaplain Association) pour la zone Europe, et
membre du Conseil de l’Exécution des Peines.

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Vous les femmes.


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Auteur : Brice Deymié

cté Dossier , Journal


1 décembre 2015
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Domenico Muzzi (1742-1812), Allégorie de la Justice. Fresque, Palais Dalla Rosa Prati, Parme. Photo Wikimedia © CC
La justice punitive est inscrite au cœur de notre système pénal, tant et si bien que nous avons du mal à penser qu’il ait pu exister un autre système, ou qu’il puisse en exister un autre. On estime souvent qu’avant que la justice soit administrée par l’État, il existait une justice privée axée sur la vengeance, les règlements de compte, une réponse sauvage et généralement violente aux infractions.
L’histoire montre cependant que l’administration de la justice dans ces cas-là était surtout le domaine de la médiation et de la négociation. On appelle l’ensemble de ces pratiques du nom de « justice communautaire », où les différends qui avaient lieu au sein de la communauté étaient réglés par elle. La justice communautaire accordait une place principale à la préservation des liens entre les gens et à la réconciliation. On comparera l’œuvre de cette justice primitive à celle d’un médecin. Le droit se devait de préserver la bonne santé du corps social en rétablissant l’équilibre des rapports entre les parties adverses.
À côté de cette justice communautaire, il existait une justice rétributive et un règlement judiciaire plus formel mais qui n’intervenait que secondairement. À mesure que les sociétés se complexifient, elles cherchent des fondements rationnels au principe juridique et, de ces fondements, naît la nécessité de punir l’homme fautif indépendamment des liens qui l’unissent à sa victime ou la communauté.
Howard Zehr 1, criminologue mennonite né en 1944, a repensé cette justice communautaire il y a une quarantaine d’années aux États-Unis en la nommant « justice restaurative » ( healing and revitalizing ). S’inspirant des modèles historiques de la justice privée et des formes de résolution des conflits chez certains peuples de Nouvelle-Zélande ou d’Afrique, Howard Zehr propose un modèle qui rompt avec la seule logique rétributive comme moyen de résoudre les questions liées aux crimes et à la rupture du lien social. Dans nos sociétés occidentales, la justice rétributive nomme la punition comme moyen nécessaire d’atteindre l’égalité. Elle identifie la notion même de réparation avec celle de châtiment. Elle tâche de rétablir l’équité sociale par le biais de la rétribution contre l’auteur d’un délit ou d’un crime en l’isolant du reste de la société.
La justice restaurative recherchera au contraire les pratiques les plus efficaces pour atteindre l’objectif du rétablissement de l’équité sociale. L’identification de ces pratiques exige un dialogue social faisant intervenir l’auteur du délit ou du crime, la victime et la collectivité, et exige la considération concrète du besoin de chacune des parties d’obtenir réparation.
Nous étudierons successivement les théories qui préconisent le châtiment comme moyen de rendre justice. Pour certains le châtiment est nécessaire en tant que tel : c’est la conception expiatoire de la peine, pour d’autres, le châtiment est une nécessité sociale : c’est la conception utilitariste de la peine. Nous verrons ensuite comment la justice restaurative propose une troisième voie en visant le rétablissement de l’harmonie sociale par le retissage des liens rompus.
De gauche à droite : Friedrich Hegel (1770-1831) et Emmanuel Kant (1724-1804)
C’est à saint Anselme (1033-1109) que l’on doit la théorisation la plus aboutie de la doctrine de l’expiation déjà présente chez certains Pères de l’Église, en particulier saint Augustin (400 ap. J.C.).
Pour Anselme, Dieu a créé l’homme pour une vie de béatitude éternelle, mais cette vie de béatitude implique que l’homme se soumette de son plein gré à la volonté de Dieu. Or l’homme a choisi de désobéir à Dieu et ce péché de désobéissance est transmis héréditairement à tout le monde. Anselme distingue alors le péché originel, dont l’homme peut se libérer par le baptême en Jésus-Christ, et ses fautes personnelles, sorte de péché secondaire. Pour ces fautes personnelles la justice divine exige le châtiment.
Ce raisonnement va être laïcisé à partir du XVIIIe siècle : on glissera du péché ordinaire au « crime », au sens juridique, et on ajoutera que la victime doit trouver sa satisfaction personnelle via la justice civile, tandis que le prince ou la société sont obligés d’imposer une peine criminelle pour mettre en ordre leur univers ou « faire » justice. Pour Anselme, Dieu ne peut pas simplement pardonner, il est obligé de châtier les péchés pour rétablir l’ordre de l’univers et affirmer sa droiture. Il devient alors « divinement juste pour un homme de payer pour ses péchés » : la punition devient une dignité et c’est ainsi que Kant et Hegel vont la considérer.
Mais posons-nous la question de cette obligation de punir que l’on trouve chez Anselme, puis chez Kant et Hegel, et qui va finalement devenir le paradigme de notre justice pénale, encore aujourd’hui. Pour Kant l’idée de désobéissance à la loi pénale est en quelque sorte un mal séparé du tort causé à une victime spécifique, et ce mal ne saurait être payé que si l’autorité (qui représente la loi) punit le coupable. Il n’y a rien que l’individu fautif puisse offrir à sa victime qui aurait assez de valeur pour réaffirmer la valeur de la loi transgressée. La seule façon de rétablir l’ordre troublé c’est de punir le coupable. Pour Kant, le droit de punir puise alors son fondement dans une sorte d’obligation morale qu’aurait l’autorité de rétablir l’ordre en imposant une souffrance au coupable. Cette conception rétributive de la justice, telle qu’elle a été théorisée par saint Anselme puis laïcisée par Kant, part donc de l’idée qu’il existe un lien naturel, ontologique, entre un crime et sa peine. Ainsi la question complexe de la responsabilité est ici réduite à celle d’un sujet libre. Pour déterminer une peine, on ne tient compte ni de l’histoire sociale ni de la vie de l’individu, ni de la part éventuelle de la communauté. Kant a montré que le fait que nous portions des jugements moraux suppose que nous considérions les hommes comme responsables de leurs actes.
La théorie rétributive de la peine stimule une dévotion expiatoire et sacrificielle assez trouble. On se trouve dans le même cadre qu’une théologie du Dieu punitif où seul le mal du châtiment peut expier les péchés. Dans la théorie pénale rétributive, seule la peine criminelle étatique, cherchant à produire la souffrance, a la vertu de rétablir l’ordre et d’accomplir l’idéal de justice.La vision utilitariste de la peine Cette théorie « utilitariste » va être au XVIIIe siècle portée par des penseurs comme Cesare Beccaria ² et Jeremy Bentham ³. Une peine doit avant tout être utile à la société et inciter le coupable à ne plus recommencer. « La peine, moyen vil en lui-même, qui répugne à tous les sentiments généreux, s’élève au premier rang des services publics lorsqu’on l’envisage, non comme un acte de colère ou de vengeance contre un coupable […] mais comme un sacrifice indispensable pour le salut commun 4. » Pour les tenants de ce courant, on ne peut pas dissocier le mal causé par la peine d’avec son utilité sociale, soit en provoquant chez le coupable une volonté de changement, soit en satisfaisant la victime, soit en intimidant suffisamment pour que personne n’ait envie de l’imiter. Ces trois fonctions ne s’excluent pas mais se combinent les unes aux autres. Comme Bentham le souligne : « Il ne faut pas oublier, quoique trop souvent on l’oublie, que le délinquant est membre de la communauté, comme tout autre individu, comme la partie lésée elle-même, et qu’il y a même raison pour consulter son intérêt que tout autre 5. » Le mal que le délinquant va subir ne doit donc pas excéder le bien que la société, la communauté, pourra en retirer. Pour Bentham il y a dans la peine une valeur apparente et une valeur réelle. La valeur réelle, c’est le mal entier de la peine, tout ce qui serait éprouvé quand elle serait infligée, et la valeur apparente, c’est le mal probable qui se présenterait à l’imagination du commun des hommes. Bentham ne conteste pas qu’il faille appliquer une peine au délinquant, et la peine réelle provoque une perte chez celui-ci, mais la peine apparente représente un profit puisqu’elle agit sur la communauté ; donc, écrit Bentham : « Il est peut-être nécessaire que l’intérêt du délinquant soit en partie sacrifié à l’intérêt commun, mais non qu’on y ait aucun égard 6. » Bentham insiste pour que la peine infligée soit exactement liée à l’intérêt que la société pourra en dégager.
Quand on parle de sens de la peine on le situe souvent entre ces deux choix que sont l’expiation (la pénitence) et la réparation (peine utile pour la société). Dans l’une des formalisations la peine restaure quelque chose du droit de la personne, dans l’autre elle restaure la forme de la structure sociale.
Aujourd’hui les raisons que l’on invoque pour justifier la peine, la peine de prison en particulier, se situent à la croisée des chemins des deux conceptions. D’un côté, il y a l’homme condamné comme être autonome et responsable, et de l’autre côté, l’homme pris dans la structure sociale dont la condamnation a une vocation contributive à celle-ci. La souffrance causée par la peine doit à la fois être émancipatrice et faire redécouvrir les vertus d’un vivre ensemble. Dans cette tension du sens, on assigne à l’homme (à l’homme puni) une posture délicate puisqu’on le reconnaît, d’un côté, comme tout à fait maître de son destin et capable d’intégrer naturellement et raisonnablement les normes en cours dans notre société et, de l’autre côté, on prend acte de la faiblesse de la nature humaine qui n’est pas nécessairement à la hauteur des exigences de la raison. Cette tension peut se résumer dans un conflit entre liberté morale et probabilité de la faute.
Le résultat un peu trivial de ce conflit, c’est que la peine perd son sens dans l’incapacité des structures juridiques et pénitentiaires de notre pays à faire fonctionner ces deux pôles en cohérence. Ainsi comme le disait la garde des Sceaux Christiane Taubira : « Nos prisons sont pleines et vides de sens . » La philosophie de la peine en France est restée très dépendante de l’idée kantienne d’un concept transcendantal de la raison pratique, qui implique la punition comme une nécessité anthropologique, et qui fonde la morale sur un principe absolu. Cependant il faut constater que la peine de prison est aujourd’hui vécue par beaucoup comme une abstraction car le temps de la peine n’a pas de contenu existentiel.
Une autre manière de faire justice et d’envisager l’application de la peine serait de penser que la société n’est pas composée de sujets isolés les uns des autres, qui attendraient de l’extérieur des formes et des principes d’intégration communautaire et qui, en matière pénale, recevraient leur peine comme le nécessaire rééquilibre d’une balance métaphysique, ainsi que l’exprime Howard Zehr 7, mais une société composée d’individus ayant leur propre identité et placés dans un tissu de relations intersubjectives. La reconnaissance mutuelle des identités propres constituent le socle sur lequel reposent les échanges au sein de la collectivité sociale.
Le philosophe Emmanuel Levinas (1905-1995) a développé une anthropologie pour laquelle rien n’est moins conditionné que l’homme. C’est ainsi qu’Emmanuel Levinas résout le dilemme précédent en posant un sujet éthique sans assimilation à l’être et à la totalité neutre. L’homme est celui qui échappe à la totalisation, il ne se laisse ni définir, ni comprendre, l’homme est unique et sujet d’une responsabilité infinie.
Pour Levinas, il n’est pas possible de penser le bien à partir de la raison ; la raison ne peut que provoquer des discours sur ce qui est. Pour lui, il ne faut pas d’abord définir le bien et ensuite chercher des techniques rationnelles pour l’approcher mais, au contraire, le bien se laisse entrevoir dans la
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