Défonce romantique avec ma copine chaude

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Défonce romantique avec ma copine chaude







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En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti)



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Ce récit n'est pas de moi. Nous avions commencé à rouler depuis longtemps déjà et notre petite Ford nous rapprochait chaque minutes un peu plus de notre destination finale : la Bretagne. Nous devions y passer deux semaines du mois d'Aout, au bord de l'eau, chez mon oncle et ma tante. Je me réjouissais à l'idée de revoir cette branche de la famille et plus particulièrement ma cousine, Claire. Nos parents ne se voyaient que très rarement, non pas qu'ils soient fâché mes les occupations de chacun et la distance font que parfois les gens se voient moins. Ainsi, je n'avais rencontré ma cousine qu'à de très rares occasions, au cours de dîner familiaux chez mes grand parents. Le dernier de ces dîner avait eut lieu il y a plus de 5 ans. Autant dire que je n'avais qu’un souvenir très flou des discussions que j'avais eu avec Claire. Une seule chose était certaine, ses photos sur Facebook me l'avaient confirmé, la fille que je trouvais déjà jolie il y a 5 ans de cela était devenue une demoiselle des plus charmantes et à l'apogée de sa beauté. Nos avons le même âge tout les deux, 18 ans, et notre Bac en poche depuis quelques semaines. Voilà à peut prêt tout ce que je sais d'elle. Autant dire que nous avons du temps à rattraper. J'attends de l'avoir sous les yeux pour vous la décrire physiquement, le portrait n'en sera que plus vivace ! Quant à moi je m'appelle Cyril, je suis brun, les yeux verts, je fais un bon mètre 80. Je suis légèrement bronzé mais pas tant que ça pour quelqu'un qui habite dans le Sud de la France ( nous venons de Orange ). Je suis plutôt musclé, pas un athlète non plus mais disons que j'ai fait un peu de musculation. Je viens d'apercevoir un panneau "Bienvenue en Bretagne" sur le bord de l'autoroute. Pas trop tôt... Mais il nous reste encore au moins une heure de route pour arriver à destination. On devrait arriver pour le goûter... J'espère seulement que les nuages qui assombrissent le ciel vont se dissiper et que le Bretagne, trahissant se réputation, nous offrira des jours chauds et un soleil radieux. Y a intérêt ! Entre la piscine de la maison de ma cousine et l'océan tout proche, on n’aura que l'embarras du choix si il fait beau. Sinon, j'imagine qu'on jouera aux dominos pendant deux semaines... Nous quittons l'autoroute pour rejoindre de petites routes qui sillonnent la campagne. Assis à l'arrière de la voiture, je regarde le paysage par le fenêtre et pour passer le temps, je laisse mes pensées vagabonder. Une scène me revient en mémoire. Elle s'est passée il y a deux ans alors que mes parents nous avaient laissé l'appartement à ma sœur et à moi, l'espace d'un week end qu'ils avaient passé de leur côté en amoureux à Venise. Ma sœur Justine et moi avions décidé de profiter de leur absence pour sortir le samedi soir. Justine est brune, fine avec une poitrine plutôt petite. Elle se coiffe de telle sorte que ses cheveux tombent en cascade sur son dos et encadrer son visage aux yeux couleur noisette en ondulant légèrement. Aujourd'hui elle a 21 ans et elle ne fait pas partie du voyage parce que ses études lui prennent beaucoup de temps. A l'époque elle avait 19 ans et moi 16. « -Je vais chez Tom ce soir , lui avais-je dis. On va se faire une soirée jeux vidéo et je dormirai chez lui. Je rentrerai demain vers midi je pense, alors ne t'inquiète pas ! -Pas de souci, on va au ciné avec des copines ce soir et après je rentre. » Je me doutais bien qu'elle avait prévu un peu plus qu’un simple ciné, de même que moi j’avais prévu plus qu’une bête soirée jeux vidéos. Mais c’était un accord tacite entre nous de profiter à fond de cette soirée de liberté sans se préoccuper de ce que ferai l’autre. Pour ma part, je devais aller en boîte de nuit avec Tom. Nous n'avions pas l'âge requis bien sûr mais il connaissait un videur qui pourrait nous faire rentrer. Je n'étais pas tes friand de ce genre de soirées mais il m'avait convaincu de l'accompagner parce que, disait-il, « il y a des filles superbes en boite » . À 19 heures, ma sœur était partie au cinéma et je devais rejoindre Tom chez lui à 20 heures. Mais c'est vers 19heures30 que je reçu un sms de Tom m'annonçant que son ami videur n'était pas de service ce soir là et qu'il faudrait repousser notre excursion à une autre fois… C'était une bonne excuse, mais j'étais convaincu qu'il s'était dégonflé... C'est donc un peu dégouté que je me couchai et je m'endormis rapidement. Le bruit de la porte d'entrée de la maison me réveilla. Mon réveil indiquait minuit. J'entendais deux voix, celle de ma sœur et une autre plus grave. C'était Thibault, son petit copain avait qui elle sortait depuis maintenant 6 mois. Un gars sympa, blond et musclé. Ils parlaient plutôt fort et je pouvais discerner presque tout ce qu'ils disaient. « - Tu es sûr que ton frère n'est pas là ? - Mais oui, t'inquiète pas pour ça , il ne reviendra que demain dans la matinée ! Ça te rassure si je vais vérifier dans sa chambre ? - Oui, fait ça s’il te plait » J'étais à présent parfaitement réveillé, tous mes sens en alerte. Le plus doucement possible, je sortis de mes couvertures et je me cachai sous mon lit alors que j'entendais les pas de ma sœur qui se rapprochaient. Ça peut paraître idiot de se cacher sous son propre lit alors que l'on a rien fait de mal... Mais j'avais le pressentiment que je ne devais en aucun cas montrer ma présence. La porte de ma chambre s'ouvrit et ma sœur s'approcha de mon lit. De là où j'étais, je ne voyais que ses petits pieds fins. Mon cœur battait la chamade mais ma sœur finit par sortir de ma chambre en fermant la porte. Je sortais alors de ma cachette et me remettais sur mon lit tandis que j'entendais les deux amoureux entrer dans la chambre de ma sœur qui est accolée à la mienne. Pendant 20 minutes je n'entendis presque rien puis tout à coup, je cru percevoir un bruit aqueux. Je me levai sur la pointe des pieds, marchai jusqu'au mur qui sépare nos deux chambres pour y coller mon oreille. J'entendis alors plus distinctement ce bruit aqueux qui revenait régulièrement et tout à coup : « Mmmmmh ». C'était ma sœur qui gémissait. Je restais planté là, l'oreille contre le mur, les bras ballant. Mais mon pénis devait avoir compris ce qui se passait avant mon cerveau parce que j'avais un début d'érection. Au bout de quelques minutes, les gémissements se firent plus fort si bien que je pouvais les entendre même en étant allongé sur mon lit. J'avais enlevé mon pyjama je me trouvais allongé sur le dos, nu et avec, cette fois, une belle érection. Justine devait avoir passé un seuil en termes de plaisir parce qu'à la place des gémissements, elle poussait maintenant de petits cris. - Han han han. Han ! Je commençais un va et vient avec ma main le long de mon pénis. - Oh oui, han ! Je n'avais encore jamais bandé aussi fort et mon pénis était devenu plus dur et gonflé que jamais ! Et je continuais mon va et vient en écoutant Justine se faire prendre. Je calquais le rythme de ma masturbation sur les réactions de ma sœur. Dans ses moments de silence, je ralentissais mon mouvement tandis que lorsqu'elle s'exclamait « oh oui, plus vite ! », j'accélérais. J'imaginais Thibault donnant des coups de rein de plus en plus rapide pour satisfaire ma sœur tout en massant ses petits seins avec ses mains. J'imaginais ma sœur, en sueur, allongée sur le dos, caressant le torse musclé de son amant, en train de se faire prendre dans la pièce d'à coté. J'imaginais le plaisir que les deux se donnaient mutuellement et cela m'excitait au plus haut point. Le couple approchait de l'orgasme. Les cris de ma sœur étaient devenus de plus en plus aiguës et de plus en plus fort. - Han han han. Continue, oh oui c'est bon continue, han ! J'entendais parfois Thibault qui gémissait lui aussi de sa voix grave. Je sentais le plaisir monter en moi tandis que je continuais ma masturbation. Une sensation de plaisir s’emparait de mon corps et tous mes muscles étaient tendus. - Je vais jouir ! cria ma sœur. - Moi aussi. - Jouis sur mes seins s'il te plait, je veux... han ... Je veux te voir jouir ! Thibault devait mettre toutes ses forces dans ses derniers coups de reins pour donner à ma sœur le maximum de plaisir. - Han c'est tellement bon han. Oh ouuiiiiiiii ! Justine poussa un véritable hurlement tant l'orgasme était intense et au même moment, Thibault gémit à son tour en éjaculant sur les seins de ma sœur. Entendre ces deux la jouir en même temps déclencha l'éjaculation chez moi. Tout mon corps se raidit puis mon dos se cambra tandis qu'une vague de plaisir comme je n'en avais jamais ressenti envahissait dans mon corps. Un premier jet de sperme chaud sortit de mon pénis et se répandit sur mon torse, mes jambes et le lit. Puis un deuxième. Puis un troisième. À chaque jet, une nouvelle onde de plaisir plus intense que la précédente se déclenchait. Je me retrouvais alors sur mon lit, le souffle court, incapable de bouger, le torse trempé de sperme. Et je savais que ma sœur qui avait joui en même temps que moi dans la pièce d'à côté était exactement dans le même état. Cette nuit là, Justine atteint l'orgasme deux nouvelles fois avant que, enfin satisfaite, elle ne se décide à dormir. Je n'avais pas perdu une miette de ce qui s'était passé et j'avais synchronisé deux nouvelles masturbations avec les ébats de ma sœur et de Thibault. A chaque fois, la quantité de sperme que j'éjaculais diminuait si bien que s'il avait fallu recommencer une nouvelle fois, je serais probablement resté sec. Le lendemain, je profitai que ma sœur quitte la maison quelques minutes pour sortir de ma chambre. À son retour, je prétendais être rentré pendant son absence. "-Tu as l'air fatigué, m'avait-elle dit. - Oh je n'ai pas beaucoup dormi cette nuit... Tu sais ce que c'est, quand on commence on ne s'arrête plus... avec les jeux vidéos, répondis-je malicieusement." Ce week end mouvementé se termina sans que jamais ma sœur ne pu se douter de ce qui s'était réellement passé. Mais ce que j'avais entendu m'avait marqué et les nombreuses questions que je me posais encore continueraient d'alimenter mes fantasmes !
Je fus tiré de ma rêverie nostalgique par un juron de mon père qui venait de se tromper de route... Je tâchais pour ma part de cacher et de calmer mon érection naissante en croisant les jambes et en sortant un livre. Finalement, la maison de Claire apparût au loin. Vue de l'extérieur, elle avait l'air immense. Elle était un peu isolée et surélevée par rapport à la campagne environnante. "Pas de vis à vis", pensais-je. Mon père gara la voiture à côté de celle de mon oncle, dans une petite cour en gravier que la maison surplombait du haut de ses deux étages. Il klaxonna pour signaler notre arrivée et nous vîmes bientôt mon oncle, ma tante et ma cousine, tout sourire, nous rejoindre dans la cour pour nous accueillir. Quelques minutes après, nous nous retrouvions attablés tous les 6, dans le salon. La pièce, très lumineuse, était élégamment décorée d’une manière moderne. La conversation entre mes parents et ceux de Claire était déjà très animée mais, bien que nous ayons échangés quelques sourires timides, nous restions plutôt silencieux. J’attendais avec impatience le moment ou nous nous retrouverions seuls. Mon oncle avait acheté un énorme gâteau pour fêter notre arrivée et ma mère, par association d’idées, fanfaronna que j’étais doué en cuisine. Après quelques plaisanteries sur le sujet, ma tante me dit que si je voulais cuisiner quoi que ce soit, j’avais carte blanche. Je lui offris donc de m’occuper du petit déjeuner du lendemain matin. « -Claire, si tu faisais visiter la maison à ton cousin ? -Oui, bien sûr, allons-y ! répondit-elle. - Enfin ! pensai-je » Pendant la visite du premier étage, j’observais ma cousine. Elle était plutôt petite, je dirais un bon mètre 60. Ses yeux étaient entre le bleu et le vert ; ses cheveux blonds et obscurcis par quelques mèches plus foncées lui tombaient derrière le dos en dégageant ses épaules. Elle portait un jeans moulant et un débardeur décolleté noir qui mettait en valeur sa poitrine généreuse. Celle-ci était maintenu fermement par un soutien gorge dont je ne pouvais voir qu’un bout de bretelle et qui lui donnait une jolie forme. Ses aisselles, parfaitement épilées, étaient laissées nues par le débardeur et elle avait vraiment d’adorables épaules. « -Montons au deuxième étage, dit-elle. C’est là que se trouve ma chambre. Mes parents ne vont jamais là haut alors c’est un peu mon coin à moi ! -Je te suis » Elle m’amena à l’escalier et commença à en gravir les marches. Je le suivis, un peu en retrait, si bien que ma tête se trouvait maintenant à la même hauteur que ses fesses… Celles-ci étaient légèrement rebondies et bien moulées par le jeans. J’aurais aimé pouvoir m’assurer de leur fermeté mais ça aurait été une drôle de façon de renouer avec Claire… Ma cousine est bien proportionnée du reste : fine mais avec une carrure solide ; elle a des taches de rousseur à peine visibles sur le nez et sur les bras qui lui donnent du charme. L’étage est constitué d’un long couloir avec différentes pièces de chaque côté. A droite, un salon avec canapé, télévision et table à jeux. Plus loin, une pièce d’eau avec toilettes et salle de bain. A gauche, la chambre de ma cousine. Elle m’invite à y entrer. Je remarque immédiatement une porte contre un des murs, le grand lit double et, à l’opposée, un canapé-lit déplié. J’imagine déjà les nuits passées à dormir dans se canapé-lit, tout près de ma cousine. « - Voilà ma chambre, ici mon lit, et ici le canapé lit où va dormir… Marianne quand elle arrivera. J’essaye de cacher ma déception derrière un sourire. - Qui est Marianne ? - Ma meilleure amie, elle va passer quelques jours avec nous ! Ca ne te dérange pas j’espère ? -Non non, pas du tout ! Je suis sûr qu’on va bien s’entendre tous les 3." Pour les nuits passées dans la même pièce que Claire, c’est mort… Il ne me reste plus qu’à découvrir l’endroit où je vais dormir. Ma chambre se trouve justement tout au bout du couloir. "-Tu as de la chance, me dit ma cousine. C’est la seule pièce de la maison qui a une vue sur la piscine. Tes parents dormiront dans la chambre d’ami au rez-de-chaussée, au fait." En effet, depuis ma fenêtre, j’ai vue sur la piscine et j’ai un bel ensoleillement plein Sud. La décoration est simple mais elle me plaît, le lit a l’air confortable. Au moins je ne moisirai pas dans une petite pièce obscure et exigüe… on se console comme on peut. Ma cousine me propose de l’accompagner dans son footing du soir, ce que j’accepte. Nous discutons un peu au début, mais très vite, elle s’essouffle et se tait pour se concentrer sur sa course. Sa respiration est saccadée et ses halètements ne sont pas sans me rappeler quelque chose… A notre retour, nous jouons une partie d’échec. « Celui qui perd a un gage », propose ma cousine. J’accepte et je perds... A peine ma défaite entérinée, mon oncle nous crie depuis en bas : "- Douchez-vous les jeunes, on passe à table dans une demie heure ! - Vas-y en premier, lui proposé-je galamment en désignant du doigt la salle de bain du couloir. - T’inquiète pas, j’ai ma propre salle de bain dans ma chambre. Toi, prends celle du couloir. Il doit déjà y avoir une serviette propre pour toi… Et n’oublie pas… tu me dois un gage", ajoute-t-elle malicieusement. Je prends donc ma douche. Au moins, maintenant je sais que la porte que j’avais remarquée dans la chambre de Claire donne sur sa salle de bain. La soirée se passe dans le calme et, fatigué par le voyage et le footing, je décide de me coucher tôt. Je lis un peu avant d’éteindre ma lampe de chevet et de me glisser sous les draps. Mais peu de temps après, je suis réveillé par le bruit de quelqu’un qui gratte à ma porte… La porte s’entrouvre et, mes yeux s’étant habitués à l’obscurité, je reconnais Claire. « - Tu ne dors pas ? dis-je. - Non… Ca te dirait de discuter un peu, on n'a pas encore eu trop l’occasion mais il faut bien qu’on apprenne à se connaitre. - Oui, bien sur, avec plaisir ! - Cool ! Suis moi alors. Nous allons dans sa chambre et elle s’assied sur son lit tandis que je m’assois en face d’elle sur le canapé. Nos visages sont éclairés par la lampe de chevet qui diffuse une lumière tamisée, toute en ombres et en contrastes. - Tu ne crois pas que si nos parents nous voient ici ils vont trouver ça bizarre ? - Pas de risque ! Je t’ai dit, ils ne viennent quasiment jamais ici, surtout à cette heure là et puis de toute façon, les escaliers grincent tellement fort qu’on les entendrait arriver quoi qu’il arrive ! » Me voilà rassuré. Je me détends donc et profite de la conversation pour dévorer ma cousine des yeux. Elle porte une nuisette assez fine, noire et rouge qui met ses bras et ses jambes nus bien en évidence. A travers le tissu, je crois pouvoir deviner le forme du soutien gorge qui maintient sa poitrine. Claire a croisé les jambes, c’est une sage décision parce que la nuisette est courte et dans notre position actuelle, je risquais à tout moment d’entrevoir sa culotte. J’appris beaucoup de choses sur ma cousine au cours de cette discussion. Son lycée se trouvait en ville et son père l’y emmenait en voiture tous les matins en allant au travail. C’est là qu’elle avait rencontré Marianne et elles étaient rapidement devenues inséparables. Elle me raconta comment elle avait eu du mal à concilier d’un coté ses résultats scolaires toujours très bons et de l’autre, ses relations amicales ou amoureuses avec des garçons plutôt turbulents. J’appris, info importante, qu’elle était célibataire depuis 6 mois ! Elle se moqua gentiment de moi quand je lui dis que j’aimais bien la poésie et je lui rendis sa plaisanterie quand elle déclara être fan de comédies musicales. Finalement, ma cousine me raccompagna jusqu’à ma chambre et me souhaita une bonne nuit en déposant un baiser sur ma joue. Je dormis très bien cette nuit là.
Le lendemain, je me lève tôt pour aller préparer le petit déjeuner comme je l’avais promis. Je prépare une pâte à pancakes et je commence à les cuire en ajoutant au dernier moment quelques myrtilles fraiches. « - Ça sent bon ! Je me retourne et aperçois Claire dans l’embrasure de la porte. - Tu t’es levée tôt aujourd'hui, lui dis-je. - Ça m’arrive. Qu’est-ce que tu nous prépares de beau ? Nous parlons cuisine pendant un moment pour finir par un échange plutôt intéressant : - Tu sais faire les mille-feuilles ? me demande ma cousine. - Oui, j’en fais de temps en temps. Tu aimes ça ? - J’adore ! Je crois que je pourrais fondre pour n’importe quelle personne qui m’offrirait un mille-feuille. - J’y penserai ! lui réponds-je avec un ricanement. » Je me promets de lui confectionner un mille-feuilles un de ces jours, je crois que j’ai très envie de faire fondre ma cousine. Le reste de la matinée se passe sans événement notable et à midi, mon oncle nous propose de profiter du soleil, particulièrement éclatant aujourd'hui, pour aller à la piscine. Claire et moi trouvons l’idée excellente et nous donnons rendez-vous au bord du bassin pour 14 heures. J’arrive un peu en retard au rendez-vous. Après avoir contourné la maison en suivant un petit chemin en gravier, j’arrive au bord de la piscine. Claire est déjà entrain de nager. « - Viens, me dit-elle, l’eau est chaude ! » Je constate que ma cousine avait raison de dire que ma chambre est la seule pièce de la maison à avoir une vue sur la piscine. Entre le bassin et le mur se trouvent trois transats. Je pose ma serviette et mes vêtements sur l’un d’eux et me jette à l’eau. J’ai remarqué que Claire regardait avec insistance mon torse aux abdos bien dessinés et c’est donc sans culpabilité que je l’observe à mon tour. Elle porte un maillot de bain de sport une pièce noir et bleu qui lui comprime la poi
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