Du vin et de la masturbation

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Du vin et de la masturbation


Publié le 21/01/2015 à 16h22
- Modifié le 21/01/2015 à 17h13




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Vous lisez actuellement : 10 raisons pour lesquelles vous avez raison de vous masturber



Par Patrice le 22/01/2015 à 06:26




Par gnafron le 22/01/2015 à 00:41




Par Alvine Landait le 22/01/2015 à 00:03


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Triste et malsain, l'onanisme ? Que nenni ! Le plaisir solitaire a en réalité de réels bienfaits pour la santé et le moral des hommes comme des femmes.
Plusieurs études s'intéressent à cette activité sexuelle solitaire. L'université de l'Indiana aux Etats-Unis , une équipe de chercheurs du Centre d'épidémiologie du Cancer de Melbourne ( Australie ) se sont notamment penchés sur les bienfaits et les risques de cette pratique. Des résultats troublants...
1. Seules 45 % des femmes avouent la pratiquer régulièrement. Quel dommage, car la masturbation est un excellent antistress ! Durant cet acte intime censé mener à l'orgasme, les tracasseries de la journée s'évanouissent rapidement. Le cerveau libère alors des endorphines, ou hormones du plaisir, qui procurent un sentiment de bien-être.
2. La masturbation favorise le sommeil. Moins nocive que le somnifère et plus efficace que la tisane, elle plonge délicieusement dans les bras de Morphée. La diminution de la pression du sang, combinée à l'orgasme qui épuise le corps, provoque presque instantanément un endormissement paisible. Tout cela, grâce à la libération des neuro-hormones dans le cerveau.
3. La masturbation multiplie les orgasmes. L'appétit venant en explorant ses zones érogènes, les femmes peuvent jouir seules, une, deux ou trois fois de suite. Sachant qu'il faut compter en moyenne quatre minutes pour accéder au Nirvana, les plus pressées seront rapidement comblées.
4. La masturbation ne présente aucune contre-indication et elle est sans risque. À la clé, pas de grossesse ou une quelconque maladie sexuellement transmissible.
5. La masturbation est une façon très efficace de satisfaire seule sa libido, par choix de célibat ou en période de disette amoureuse. En couple, elle peut contribuer à l'épanouissement de la vie sexuelle et aussi à lutter efficacement contre la sacro-sainte migraine...
Ferventes pratiquantes assumées : Rihanna , Miley Cyrus , Pink, Teri Hatcher , Ophélie Winter...
1. La masturbation est très pratiquée chez les jeunes garçons. L'acte permet d'apprendre à connaître son corps et ses réactions, de soulager les tensions, de prendre du plaisir seul. La pratique se poursuit bien au-delà de l'adolescence. 87 % des hommes reconnaissent se masturber régulièrement.
2. La masturbation enseigne la maîtrise de l'érection et de l'éjaculation, tout en se retrouvant en intimité avec soi-même ou avec une partenaire qui appréciera.
3. La masturbation a des effets bénéfiques sur la santé. Elle réduit la pression artérielle. Trois orgasmes par semaine (seul ou en couple) réduiraient de 50 % les risques de problèmes cardiovasculaires.
4. La masturbation est bienveillante pour la prostate. Selon une étude australienne, avec 21 éjaculations par mois, les hommes réduiraient de 33 % les risques de cancer de cette glande génitale.
5. La masturbation développe l'imaginaire. Fantasmes, situations torrides, films X, lectures érotiques, autant de situations qui passent par la tête des hommes qui s'adonnent au plaisir solitaire. Aucune raison pour leurs femmes de s'en offusquer : le plus souvent, dans ce moment intime, c'est à elles qu'ils pensent.
Fervents pratiquants assumés : Woody Allen, P. Diddy et Russell Brand, l'ex de Katy Perry.
Palmarès des hôpitaux et cliniques, dossiers spéciaux, conseils et astuces… Retrouvez chaque mardi notre sélection d’articles issue de notre rubrique Santé.

22 millions (87%) de la population masculine en France entre 15 et 70 ans, quatre fois par semaine (l'article dit régulièrement), 20 millions de spermatozoïdes par éjaculât de 2 mml ça en fait 3, 5 trillion dans 176000 litres à la poubelle. Et on a un problème de renouvellement de population en France !

Bernard Mabille l'affirme sur scène, "Si la masturbation était un pêcher Dieu nous aurait fait les bras plus courts.
C'est une façon de faire l'amour avec quelqu’un dont on n'est sure qu'il nous aime
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L'addiction sexuelle, trouble de plus en plus fréquent (ou de moins en moins tabou), Florent Badou la connaît bien. Ancien porno-dépendant, l'ingénieur parisien, père de famille, est progressivement tombé dans la spirale de la consommation du X : l e soir pour s'endormir, au réveil pour s'apaiser... jusqu'à cinq fois par jour sur Internet. Auteur de "Avant j'étais accro au porno", celui qui fut addict aux contenus pornographiques et à la masturbation pendant 15 ans prodigue dans l'ouvrage ses conseils pour retrouver une vie normale. "Combler autrement le vide, apaiser différemment l'angoisse", résume-t-il dans une interview donnée à Pourquoidocteur.fr en août 2016, par une meilleure alimentation, plus de lien social ou encore l'investissement dans une association. L'homme explique que, comme pour un alcoolique, la jouissance était devenue mécanique et associée à un "sentiment de solitude, de honte et de culpabilité". Pour lui, on ne peut s'en sortir sans aide extérieure.


Axelle Choffat , Mis à jour le 24 Mai 2018 18:15



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Publié le 17/02/2020 à 21h00




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Vous lisez actuellement : « La masturbation est l'élément organisateur de la sexualité »



Par Biglotron le 06/02/2022 à 21:08




Par Ausone 33 le 24/02/2020 à 13:13




Par Garmin2 le 24/02/2020 à 04:58


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Philippe Brenot, psychiatre et auteur d'« Éloge de la masturbation », revient sur nos rapports, parfois compliqués, avec une pratique encore mal perçue.
Détail d'une statue au musée du Louvre. (Photo d'illustration)
Une révélation après l'autre, le grand public se familiarise avec des pratiques plus ou moins répandues allant de la golden shower de Donald Trump aux écarts de l'ancien patron du FMI Dominique Strauss-Kahn. Benjamin Griveaux en sait quelque chose. Le député de Paris a renoncé, vendredi, à briguer la mairie de la capitale , après la diffusion, sur les réseaux sociaux, d'une vidéo à caractère sexuel . Aussi ridicule soit-elle, cette affaire aura eu le mérite de mettre en lumière un terme quelque peu désuet : l'onanisme, ce synonyme de masturbation. Retour à la racine du mal avec Philippe Brenot, psychiatre et thérapeute du couple, pour comprendre la signification d'un plaisir peu catholique.
Le Point : « Plaisir sexuel », « orgasme » ou « point G » sont des termes communément admis. En est...

Ne jamais remettre à demain ce que l'on peut faire... Avec une seule !

S’il vous plaît, parlez plus fort, je vis seul. , .

Un sujet fédérateur et un article de soi-disant spécialiste qui réinvente l’eau chaude pour vendre un bouquin
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La majorité des hommes et des femmes rapportent une expérience et une vision similaire du plaisir solitaire. Mais pour une femme sur quatre, les choses sont plus compliquées.
Trois types de comportements apparaissent lorsque l'on évoque la masturbation. Deux sont communs aux hommes et aux femmes et le troisième est spécifiquement féminin. C'est la conclusion, statistique, d'une étude menée auprès de 3000 Suédois des deux sexes, âgés de 18 à 22 ans, sous la direction du Pr Eva Elmerstig, de l'université de Malmö, en collaboration avec ses collègues d'universités belges et allemandes.
Commençons par les deux groupes mixtes. Le groupe 1 est plutôt «masturbation friendly», alors que le groupe 2 a une attitude plus négative vis-à-vis de la masturbation. Même divergence sur l'aspect «excitant» (groupe 1) ou «dégoûtant» (groupe 2) des fantasmes sexuels. Toutefois, les deux groupes affichent un taux élevé d'orgasme par la masturbation.
Près des 2/3 des hommes appartiennent au groupe 1 et 1/3 au groupe 2. Pour les femmes, le groupe 1 rassemble une femme sur deux et l'autre moitié se répartit de façon à peu près équilibrée entre le groupe 2 et le groupe 3. Qu'a donc de si particulier ce groupe 3, dans lequel les hommes n'entrent pas, et qui est loin d'être négligeable puisqu'il concerne près d'une femme sur quatre (23%)?
Au premier coup d'œil, les femmes du groupe 3 sont assez proches de celles du groupe 1. Elles ont une attitude positive vis-à-vis de la masturbation et des fantasmes sexuels. En revanche, «c'est dans ce groupe que le pourcentage d'orgasme pendant la masturbation est le plus bas», notent les auteurs de l'étude. «Ces femmes sont sexuellement actives et ouvertes d'esprit sur la masturbation et pourtant elles n'ont pas aussi souvent d'orgasmes que les autres (24% n'en ont jamais, alors que c'est le cas de 12% du groupe 2 et 0% du groupe 1), en particulier lors de la masturbation», remarquent le Pr Elmerstig et ses collègues.
On remarque également que 88% des femmes de ce groupe disent avoir moins facilement des orgasmes par la masturbation que lors des autres pratiques sexuelles avec un partenaire (82% du groupe 2 et 51% du groupe 1). Enfin, elles ne sont que 6% à déclarer avoir des orgasmes plus agréables en solo qu'en duo, alors que c'est le cas de deux fois plus de femmes du groupe 2 et quatre fois plus dans le groupe 1.
Au total, tous groupes confondus, 19% des femmes et 12% des hommes disent avoir des orgasmes plus plaisants par la masturbation. Bien sûr, cela ne renseigne pas sur la satisfaction émotionnelle et affective de l'acte. Enfin, une femme sur trois et un homme sur quatre admet jouir plus facilement seul qu'avec un partenaire.
Le développement de la masturbation (ou de la facilité à la déclarer lorsque l'on est interrogé dans une enquête, impossible de trancher) a été noté récemment sur une population plus large, âgée de 16 à 69 ans, en Australie. Le Pr Juliet Richters et ses collègues de l'université de Sydney ont réalisé en 2013 la deuxième grande enquête nationale (la première datait de 2002) sur la sexualité des Australiens. «L'augmentation est observée dans toutes les classes d'âge», confirme au Figaro le Pr Richters. Si l'on regarde la proportion d'hommes qui disaient ne pas s'être masturbés au cours des 12 mois précédents, ils étaient 33% lors de l'enquête de 2002. Dix ans plus tard, ils ne sont plus que 26% dans la même situation. Tendance identique pour les femmes: 60% déclaraient ne pas s'être masturbées (les 12 mois précédant la question) en 2002, mais elles sont 54% dans ce cas en 2013.
La différence entre les hommes et les femmes est régulièrement notée dans les différentes enquêtes. La dernière enquête nationale britannique (16-74 ans) notait par exemple que 66% des hommes s'étaient masturbés au cours du mois écoulé pour seulement 33% des femmes. Une étude qualitative récente à l'université de Virginie (États-Unis) a montré que la façon de concilier le dilemme entre stigmatisation et plaisir que procure la masturbation était vécue différemment par les hommes et les femmes. Autour de 20 ans, on trouve davantage de femmes (37,5%) que d'hommes (12%) qui ne se sont pas encore débarrassés du sentiment de culpabilité.
Oscar Espinosa Castillo le 25/05/2016 à 12:50
Les femmes en veulent toujours plus . . . Voici le lien : . . . . . . . . . . . SASH! - Encore Un Fois Cloud 9 Dance
2546749 (profil non modéré) le 24/05/2016 à 18:03
Par ce qu'on se connait mieux soi-même, on sait ce qui nous fait du plaisir que "l'autre" ne peut pas toujours bien faire même en expliquant
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