Du temps toute seule

Du temps toute seule




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Du temps toute seule
© 2022 Tous droits réservés, Narcity Media Inc.
Reçois quotidiennement une infolettre contenant les nouvelles les plus importantes du Québec.
Dans la vie, y'a trois sortes de filles : celles qui sont très dépendantes, celles qui sont autant dépendantes qu'indépendantes (donc des filles « normales »)... et celles qui sont plus indépendantes. Et quand t'es une fille un peu plus indépendante que la moyenne, ça t'arrive de te faire un peu basher parce que tu penses donc ben beaucoup à toi et pas assez aux autres et, au fond, tu dis que tu es indépendante alors que t'as clairement juste envie de l'être.
Bon, OK, personne, c'est peut-être exagéré, mais y'a quand même vraiment pas beaucoup de personnes qui comprennent le pourquoi du comment de la nécessité de ton alone time , comme on dit! La plupart du monde aime passer du temps en étant constamment entouré de leurs proches, mais toi, t'es juste pas comme ça...
T'as de la misère à expliquer que tu as pas besoin de passer du temps seule parce qu'il te gosse ou parce que tu l'aimes pas tant que ça et que, de son bord, il a de la misère à comprendre que t'as besoin d'être toute seule dans ta bulle sans qu'il y ait quelqu'un proche de toi.
Mais plus ils apprennent à te connaître, plus ils se mettent à comprendre que c'est pas contre eux et que tu es juste de même au naturel!
Des fois, ça arrive que t'ait pas le temps de passer du temps toute seule parce que t'as trop de soirées organisées entre amis. Ou d'heures à ta job. Ou de travaux à faire pour l'école. Ou de rencontres de famille que-tu-peux-pas-manquer-parce-que-ta-mère-va-clairement-péter-une-coche-sinon. Dans ces cas-là, t'essaies de rester saine, mais c'est dur parce que passer autant de temps en étant entourée par d'autres t'épuise littéralement...
Parce qu'ils te comprennent juste pas.
Et quand je dis « autres », je parle clairement des gars qui t'intéressaient, mais qui avaient peur de se ramasser avec une fille (trop) indépendante (si ça existe, cette chose-là, on s'entend)...
Les normes sociales non plus, au fond! Même si tu veux pas nécessairement être dans une relation ouverte à un moment dans ta vie, tu vois pas trop de mal aux relations à distance : au contraire, ça t'irait assez bien parce que ça te permettrait d'être libre et de ne pas te sentir trop étouffée par un gars qui est juste trop présent dans ta vie.
Et tu les crois pas pour une cenne, mais ça, c't'un détail que tu gardes pour toi, right?
Même si tu sais que tu as pas ce qu'il faut pour être une crazy cat lady (parce que t'es allergique aux chats/que tu préfères les chiens/que t'es pas encore assez vieille pour pouvoir être appelée par ce terme), t'as peur malgré tout de ne jamais trouver le bon gars pour toi qui va t'accepter, toi et ton besoin intense d'être seule un peu plus souvent qu'une fois de temps en temps!
Notre section commentaire est un espace qui promouvoit l’expression personnelle, la liberté d’expression et la positivité. Nous encourageons discussions et débats, mais nos pages se doivent de rester des endroits sécuritaires où tout le monde se sent à l’aise et dans un environnement respectueux.
Pour rendre cela possible, nous surveillons les commentaires pour garder nos pages libres de spam, de discours haineux, de violence et de vulgarité. Les commentaires sont modérés en fonction de nos Règles de communauté .
Veuillez noter que les opinions exprimées dans la section commentaire d’un article ne reflètent pas les positions de Narcity Media. Narcity Media se réserve le droit de retirer des commentaires, de bannir ou de suspendre des utilisateur trices sans avertissement, ou de fermer la section commentaire d’un article à tout moment.
Prénoms et noms apparaîtront avec chaque commentaire et l’utilisation de pseudonymes est interdit. En commentant, vous reconnaissez que Narcity Media détient les droits d’utilisation et de distribution du contenu présent sur nos propriétés.
L’accès gratuit au site est subordonné à ton consentement sur l’utilisation de cookies , notamment de personnalisation publicitaire ou de technologies similaires utilisées par Narcity et ses partenaires. En cliquant "J'accepte", tu nous autorise à utiliser des cookies pour t’offrir la meilleur expérience sur Narcity.

© 2022 Tous droits réservés, Narcity Media Inc.
Reçois quotidiennement une infolettre contenant les nouvelles les plus importantes du Québec.
Dans la vie, y'a trois sortes de filles : celles qui sont très dépendantes, celles qui sont autant dépendantes qu'indépendantes (donc des filles « normales »)... et celles qui sont plus indépendantes. Et quand t'es une fille un peu plus indépendante que la moyenne, ça t'arrive de te faire un peu basher parce que tu penses donc ben beaucoup à toi et pas assez aux autres et, au fond, tu dis que tu es indépendante alors que t'as clairement juste envie de l'être.
Bon, OK, personne, c'est peut-être exagéré, mais y'a quand même vraiment pas beaucoup de personnes qui comprennent le pourquoi du comment de la nécessité de ton alone time , comme on dit! La plupart du monde aime passer du temps en étant constamment entouré de leurs proches, mais toi, t'es juste pas comme ça...
T'as de la misère à expliquer que tu as pas besoin de passer du temps seule parce qu'il te gosse ou parce que tu l'aimes pas tant que ça et que, de son bord, il a de la misère à comprendre que t'as besoin d'être toute seule dans ta bulle sans qu'il y ait quelqu'un proche de toi.
Mais plus ils apprennent à te connaître, plus ils se mettent à comprendre que c'est pas contre eux et que tu es juste de même au naturel!
Des fois, ça arrive que t'ait pas le temps de passer du temps toute seule parce que t'as trop de soirées organisées entre amis. Ou d'heures à ta job. Ou de travaux à faire pour l'école. Ou de rencontres de famille que-tu-peux-pas-manquer-parce-que-ta-mère-va-clairement-péter-une-coche-sinon. Dans ces cas-là, t'essaies de rester saine, mais c'est dur parce que passer autant de temps en étant entourée par d'autres t'épuise littéralement...
Parce qu'ils te comprennent juste pas.
Et quand je dis « autres », je parle clairement des gars qui t'intéressaient, mais qui avaient peur de se ramasser avec une fille (trop) indépendante (si ça existe, cette chose-là, on s'entend)...
Les normes sociales non plus, au fond! Même si tu veux pas nécessairement être dans une relation ouverte à un moment dans ta vie, tu vois pas trop de mal aux relations à distance : au contraire, ça t'irait assez bien parce que ça te permettrait d'être libre et de ne pas te sentir trop étouffée par un gars qui est juste trop présent dans ta vie.
Et tu les crois pas pour une cenne, mais ça, c't'un détail que tu gardes pour toi, right?
Même si tu sais que tu as pas ce qu'il faut pour être une crazy cat lady (parce que t'es allergique aux chats/que tu préfères les chiens/que t'es pas encore assez vieille pour pouvoir être appelée par ce terme), t'as peur malgré tout de ne jamais trouver le bon gars pour toi qui va t'accepter, toi et ton besoin intense d'être seule un peu plus souvent qu'une fois de temps en temps!

Voici une liste des articles les plus commentés des derniers 7 jours.

Notre section commentaire est un espace qui promouvoit l’expression personnelle, la liberté d’expression et la positivité. Nous encourageons discussions et débats, mais nos pages se doivent de rester des endroits sécuritaires où tout le monde se sent à l’aise et dans un environnement respectueux.
Pour rendre cela possible, nous surveillons les commentaires pour garder nos pages libres de spam, de discours haineux, de violence et de vulgarité. Les commentaires sont modérés en fonction de nos Règles de communauté .
Veuillez noter que les opinions exprimées dans la section commentaire d’un article ne reflètent pas les positions de Narcity Media. Narcity Media se réserve le droit de retirer des commentaires, de bannir ou de suspendre des utilisateur trices sans avertissement, ou de fermer la section commentaire d’un article à tout moment.
Prénoms et noms apparaîtront avec chaque commentaire et l’utilisation de pseudonymes est interdit. En commentant, vous reconnaissez que Narcity Media détient les droits d’utilisation et de distribution du contenu présent sur nos propriétés.
L’accès gratuit au site est subordonné à ton consentement sur l’utilisation de cookies , notamment de personnalisation publicitaire ou de technologies similaires utilisées par Narcity et ses partenaires. En cliquant "J'accepte", tu nous autorise à utiliser des cookies pour t’offrir la meilleur expérience sur Narcity.





.





,




@





Judith Lachapelle La Presse

« On veut maintenir notre zone jaune après les fêtes »


Émilie Bilodeau La Presse

Marie-Eve Morasse La Presse
Ce texte provenant de La Presse+ est une copie en format web. Consultez-le gratuitement en version interactive dans l’application La Presse+.

FAQ et Nous joindre
Annonceurs
Carrières


Politique de confidentialité
Conditions d'utilisation
Registre de publicité électorale


Cet écran a été partagé à partir de La Presse+

Édition du 4 décembre 2020,
section ACTUALITÉS , écran 9

Les nouvelles du jour concernant la crise du coronavirus
D’abord, il y a eu un plan, celui d’aller souper chez l’un de ses fils, où se seraient joints d’autres membres de la famille dans le respect des règles sanitaires. Puis il y a eu la question compliquée du confinement, qui est devenu impossible à respecter pour l’un de ses fils, qui allait devoir travailler jusqu’au 24 décembre. Et chaque jour, le nombre de cas ne cessait d’augmenter, au point qu’elle s’est dit que l’idée de tenir un rassemblement sécuritaire devenait de plus en plus utopique.
Alors, Claire Lanari a pris sa décision, avant même l’annonce du premier ministre : non, elle n’ira pas au souper de Noël cette année. C’était, pour elle, une question de « responsabilité » face à ses enfants.
« Si jamais je tombais malade, que je décédais à cause de la COVID, mes enfants auraient à vivre avec cette culpabilité de me l’avoir transmise », dit la Montréalaise de 83 ans.
Bien sûr, renoncer à voir ses trois fils, ses trois petits-enfants et son arrière-petite-fille lui a serré le cœur. Elle passera Noël seule dans son appartement, avec un repas de dinde qu’a promis de lui préparer son fils, qu’elle mangera en même temps que ses enfants par vidéoconférence.
« Non, je n’ai pas peur de la solitude. Maintenir une distance est un geste d’amour cette année. Je ne doute pas que mes enfants m’aiment, ils ne m’abandonnent pas. »
Si Claire Lanari avait déjà fait son deuil du souper de Noël avant l’annonce du gouvernement, d’autres sont maintenant placés devant un dilemme déchirant. De nombreux lecteurs qui ont répondu à l’appel à tous lancé par La Presse à ses lecteurs jeudi après-midi ont fait part de leur désarroi. « Ma mère octogénaire devait nous recevoir le soir du 25 », nous a écrit Nicole. « Elle avait tout acheté et cuisiné, ce qui, pour elle, représente un effort économique important. Or, elle vient de nous dire qu’il n’est pas question qu’elle annule cette soirée. Elle croit que nous ne sommes pas à risque puisque nous nous protégeons toujours. Si c’était si simple… » Nicole se pose donc la question : « Que devons-nous faire ? La laisser déprimer ou y aller ? »
Christine Grou, présidente de l’Ordre des psychologues du Québec, invite les gens à trouver un moyen de ne pas laisser complètement les personnes seules à leur solitude. « Il faut faire attention d’éviter le désespoir » en s’assurant, par exemple, qu’un proche garde un œil sur elles, qu’il leur rende visite. « Ce qu’on veut éviter, ce sont les grands rassemblements, la proximité, les accolades, les câlins, le fait de passer beaucoup de temps ensemble, voire, parfois, de dormir sous un même toit », dit M me Grou.
Habituellement, Dominique Vincent recevait une bonne quinzaine de personnes pour Noël chez elle, dans Lanaudière. Cette fois-ci, les grands-parents seront seuls, et loin de leurs deux petits-fils nés cette année. « Je ne les ai même jamais embrassés encore », dit la femme de 56 ans. Pour elle, annuler le souper de Noël est une question de « gros bon sens », surtout quand elle pense au personnel du milieu de la santé.
« Et je ne voudrais pas qu’on arrive aux soins intensifs au point où il faudrait qu’on choisisse de sauver une personne comme moi, ou une personne de 35 ans. »
Un autre lecteur, Michel, se désole de ne pas pouvoir voir ses deux enfants pour Noël. Ceux-ci habitent hors de sa région et les membres de la famille avaient prévu se retrouver tous les quatre pour une rare fois cette année. « Est-ce que ce sera considéré comme un “rassemblement” ? Nous exposons-nous à la délation et (ou) à une amende ? Qui peut me répondre ? Nous sommes une famille très unie et c’est très accablant d’envisager un temps des Fêtes sans nos [deux enfants] », écrit le retraité.
Guy Bélanger, de Brossard, aussi fêtera seul avec son chat. Célibataire depuis le 12 mars dernier (oui, la journée de l’annonce du confinement !), il avait un moment envisagé de se joindre à la famille d’un ami pour Noël, avant de finalement y renoncer. « Pour moi, c’est une décision raisonnable de fêter chacun de notre côté. » Le soir du réveillon, il en profitera peut-être pour faire une marche dehors, au frais. « J’ai déjà fait ça, le soir du 24 décembre : aller marcher dans la rue, voir dans les maisons les gens qui fêtent, qui ouvrent les cadeaux, les enfants qui s’amusent. Au lieu de m’attrister, ça me faisait plaisir de voir les gens heureux. Ça me rappelait mes propres souvenirs de Noël. »
Les régions en zone jaune ou en zone orange sont en état d’alerte à l’approche du temps des Fêtes. Des maires des quatre coins de la province demandent aux visiteurs de rester à la maison ou de faire preuve d’une grande prudence s’ils doivent se déplacer dans leur région durant le congé de Noël.
« On est chanceux d’être dans une zone jaune, mais c’est extrêmement fragile. Ça ne prendrait pas grand-chose pour qu’il y ait une éclosion », affirme Sébastien D’Astous, le maire d’Amos. Malgré son inquiétude, il sait que l’Abitibi-Témiscamingue recevra bien des visiteurs des zones rouges dans les prochaines semaines. C’est le cas de nombreux jeunes qui ont quitté la région pour étudier au cégep ou à l’université et qui reviendront dans leur famille à Noël.
La Direction régionale de santé publique travaille justement à établir des règles sanitaires pour ceux qui ont deux adresses : une dans la région et une autre en zone rouge. « On va sûrement demander à ces personnes de ne pas aller magasiner, de ne pas aller dans les restaurants et de rester à leur adresse, affirme M. D’Astous. On veut maintenir notre zone jaune au retour des Fêtes. »
À Sept-Îles, le maire Réjean Porlier croit qu’il est « utopique » de penser que sa région ne recevra aucun visiteur. Il espère que les gens de passage se soumettront à une quarantaine volontaire pour minimiser la transmission du virus sur la Côte-Nord, qui se trouve actuellement en zone jaune.
« J’ai toujours dit que ce qui me fait le plus peur, c’est nos gens à nous, nos familles. Quand ils reviennent, naturellement, on a envie de les enlacer, de les toucher », dit M. Porlier.
« En plus, les gens risquent de prendre un verre. Avec la boisson, on se relâche un peu, on devient jovial. Si jamais ça va jusque-là, si les gens ont fait leur quarantaine, au moins, ça va réduire les risques. »
— Réjean Porlier, maire de Sept-Îles
Dans les Laurentides, en zone orange, Val-David reçoit habituellement de nombreux visiteurs de la région montréalaise qui louent un chalet pour la saison hivernale. La mairesse Kathy Poulin ne veut pas interdire l’accès à sa municipalité aux villégiateurs. « Nous, ce qu’on demande, c’est que les gens des zones rouges évitent d’aller dans les commerces et qu’ils respectent les consignes de distanciation physique quand ils sont dehors », explique-t-elle.
Dans le Bas-Saint-Laurent, le maire de Rimouski craint pour sa part que sa région – actuellement en zone orange – bascule en zone rouge, bien avant Noël. Depuis trois jours, le nombre de cas de COVID-19 augmente considérablement dans la région. Si la prédiction de Marc Parent se confirme, les rassemblements de six personnes ne seront plus permis dans sa ville, pour Noël.
« Le moral de plusieurs personnes est affecté. C’est certain que passer le temps des Fêtes en zone rouge, ça ne sera pas facile. Mais c’est comme ça pour beaucoup de monde au Québec. »
— Marc Parent, maire de Rimouski (actuellement en zone orange)
Marc Parent espère que ses concitoyens se tourneront vers les activités extérieures pour chasser l’ennui.
Le D r Richard Fleet, qui représente les urgences en région rurale à l’Association des médecins d’urgence du Québec, a quant à lui salué la décision de Québec d’interdire les rassemblements dans les zones rouges. Il estime que les 26 petites urgences étaient les plus à risque en cas de rassemblements. « Ça mettait à risque toute la population qui risquait de se contaminer, mais aussi le personnel médical qui est déjà en surcharge », explique le médecin en soulignant que ce sont parfois jusqu’à 30 % à 50 % des gardes qui sont assurées par des médecins dépanneurs.
Les rassemblements sont annulés pour Noël, mais le plan pour les écoles demeure inchangé. Québec estime qu’il permettra d’« arriver au mois de janvier dans le meilleur état possible ».
Il y a deux semaines, Québec avait annoncé qu’en marge du congé des Fêtes, des journées d’école se feraient à la maison plutôt qu’en personne, et ce, tant au primaire qu’au secondaire.
En point de presse jeudi, le premier ministre François Legault a rappelé qu’il y avait « des écoles et des centres de services scolaires qui avaient commencé à ajuster leur calendrier, [à préparer] le travail qui va être fait par les enseignants à la maison ». En conséquence, rien ne change pour les écoles.
Le maintien de cette décision est salué par les directions d’école. « Il a fallu un déploiement d’énergie pour passer en mode virtuel pour quelques jours, donc à deux semaines du congé, ce sera apprécié qu’on ne défasse pas ce qu’on nous a demandé d’organiser », affirme Hélène Bourdages, présidente de l’Association montréalaise des directions d’établissement scolaire (AMDES).
Le président de la Fédération québécoise des directions d’établissement, Nicolas Prévost, est aussi de cet avis.
« Dans les écoles, les équipes sont avancées quant à ce qui sera donné aux élèves du primaire comme travaux et ce qui sera fait pour l’enseignement à distance au secondaire. »
— Nicolas Prévost, président de la Fédération québécoise des directions d’établissement
La « stabilité » dans la décision de Québec est bienvenue, dit-il, surtout dans le contexte que nous connaissons depuis mars dernier.
Le Regroupement des comités de parents autonomes du Québec, qui représente des parents de Montréal et de Laval, s’est pour sa part réjoui que l’annonce du gouvernement pour les écoles ait été faite rapidement.
Rappelons que les écoles primaires seront fermées du 1
Grosse bite petite chatte
Lesbiennes qui s'amusent 3
Un bdsm avec une salope plantureuse

Report Page